THE CHANGELING

1980 RÉALISATION: Peter Medak SCÉNARIO: William Gray et Diana Maddox AVEC: George C. Scott, Trish Van Devere, Melvyn Douglas, Jean Marsh et John Colicos. Film canadien ayant raflé plusieurs prix Génie (les Oscars canadiens !) à sa sortie, The Changeling est un film de maison hantée sorti en 1980. Le film, réalisé par Peter Medak, n’est pas aussi reconnu aujourd’hui que The Amityville Horror et Poltergeist, mais son influence se fait encore sentir dans des films tel que What Lies Beneath, The Others et The Ring. Après que sa femme et sa fille soient mortes dans un accident d’auto, John Russell emménage dans un immense manoir pour se changer les idées. Professeur de musique dans une université, le manoir, situé près de son travail, semble l’endroit idéal pour se remettre de son deuil. Mais voilà qu’il se met à entendre de drôles de bruits provenant du grenier. Croyant que la maison est hantée, Russel décide d’investiguer le passé de son manoir pour y découvrir la provenance de l’esprit qui l’habite… Source: http://www.horreur-web.com

The FWA

FWA stands for Favourite Website Awards, an industry recognised internet award program and inspirational portal, established in May 2000. FWA is the most visited website award program in the history of the internet, with over 100 million visits as of August 2010. thefwa.com

Sean Ellis

Si son nom reste encore presque inconnu du grand public, le travail de Sean Ellis parle pour lui. Photographe précoce, artiste à facettes, le jeune Britannique se démarque rapidement du reste de la production par une esthétique glacée et un souci perpétuel de capturer la fugacité de la beauté. A la fin des années 1990, sa maîtrise de l’éclairage acquise de son expérience dans la photo de natures mortes fait fureur dans les plus grands magazines internationaux, parmi lesquels Vogue ou Harper’s Bazaar. Qualifié de cinématographique, son style l’oriente tout naturellement vers la réalisation. Avec le même succès. Jean-Paul Gaultier, Land Rover ou EA Games lui confient leurs spots publicitaires, les All Saints le clip de leur ‘Never Ever’. Tout en continuant à sévir dans la photographie, en travaillant notamment avec David Lynch, Kylie Minogue, Richard Ashcroft ou Elton John, Sean Ellis s’essaye au court métrage en 2001 avec l’horrifique ‘Left Turn’. Mais c’est bien ‘Cashback’, en 2004, qui va le révéler. Avec un budget infime, il signe une comédie noire visuellement riche et secoue le microcosme du court en obtenant une nomination aux Oscars. Fort de ce nouveau succès, il ne restait qu’un pas pour se lancer à l’assaut du cinéma. En brodant autour du matériel déjà mis en boîte, il signe en 2006 un long métrage dans lequel le grand public se familiarise avec son univers. ‘Cashback’ séduit et signe l’entrée remarquée de Sean Ellis dans le 7e art.

Steve Aoki

Steve Aoki, connu également sous le nom de scène de DJ Steve Aoki Kid Millionaire (né le 30 novembre 1977), est un DJ américain, producteur musical ainsi que fondateur et PDG du label Dim Mak Records. Steve Aoki est né à Miami et a grandi à Newport Beach en Californie. Il est le troisième enfant de Rocky Aoki et de Chizuru Kobayashi. Son père Rocky Aoki est un ancien champion japonais de lutte et le fondateur de la chaîne de restauration américaine de cuisine japonaise Benihana. Steve Aoki a plusieurs frères et sœurs célèbres: une grande sœur, Kanaa (qui s’appelle désormais Grace), un grand frère, Kevin (patron du restaurant Doraku Sushi), un demi-frère et un demi-sœur plus jeunes, Kyle et Echo. Il a enfin pour autre demi-sœur l’actrice et top-model Devon Aoki. Enfant, Steve a vécu en compagnie de son grand-père, de sa mère ainsi que de son frère Kevin et sa soeur Kanaa. Son père, un homme d’affaires que Steve ne voyait que pendant les vacances, vivait à l’autre bout des États-Unis. Steve Aoki étudia à l’Université de Californie à Santa Barbara (USCB) et en sortit muni de deux diplômes de premier cycle, l’un en Etudes Féminines (Women’s Studies) et l’autre en Sociologie. C’est à l’université qu’Aoki enregistra des productions réalisées entièrement tout seul et qu’il lança une série de concerts undergrounds qui avaient lieu dans le salon de son appartement à Isla Vista qu’il renomma avec ses colocataires The Pickle Patch, une parcelle de terrain résidentielle adjacente à l’UCSB. Âgé d’à peine plus de 20 ans, il lança son propre label musical qu’il nomma Dim Mak en honneur à l’art martial éponyme pratiqué par Bruce Lee, son héros d’enfance. A cette époque, il était également actif dans de nombreux groupes musicaux tels que This Machine Kills (qui sortit un album chez Ebullition Records), Esperanza et The Fire Next Time. Son père a un jour déclaré qu’il avait eu « trois enfants de trois femmes différentes exactement au même moment ». En 2005, Rocky poursuivit en justice quatre de ses six enfants (Grace, Kevin, Kyle et Echo) au motif qu’ils auraient tenté abusivement de prendre le contrôle de la société qu’il avait fondé et dont la valeur serait estimée entre 60 et 100 millions de dollars. Steve et Devon n’ont, eux, pas été poursuivis. Rocky a déclaré à propos de Devon qu’il ne lui en voulait pas parce « qu'[elle] ne participe pas aux affaires d’argent de la famille et qu'[elle] est [sa] préférée, qu'[elle] est très intelligente et qu'[il] est fier d'[elle] »

Exposition au Pied de Biche : Ciou, Fräneck et Malojo 4 juin- 29 juillet

Ciou, née en 1981, s’est aménagé une place à part sur la scène artistique pop et lowbrow. Ce mouvement underground, également appelé Pop surréalisme, est né à la fin des années 70 aux États-Unis et s’inspire de la culture punk et rock, du tatouage, des comics, des films d’horreur et de séries B… Les œuvres de Ciou mêlent le merveilleux, l’onirique, le cauchemardesque. Une galerie de portraits et une succession de saynètes dévoilant au spectateur des personnages aux caractères amusants, burlesques, inquiétants. Femmes ou nymphes côtoyées par des yokai – créatures surnaturelles, monstres et esprits légendaires du folklore japonais – évoluent dans une sphère hostile, violente rehaussée de couleurs vives et acidulées. Le miroir d’une génération hantée par la mort, rêvant de nature et de douceur. Sa carrière a démarré aux Etats-Unis avec une exposition en 2004 à la Flux Factory de New York. Elle a ensuite exposé à Amsterdam, Paris, Barcelona, Brussels, California, Portland, Rome, Berlin, Seattle.
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Les dessins de Fräneck fonctionnent comme des séries, des mises en scènes où personnages et paysages se côtoient dans un huis-clos où règne une atmosphère à la fois bon enfant et menaçante. Ce basculement du rêve au cauchemar, de l’harmonie à la discorde, entraîne les personnages et les différents éléments du décor dans une confrontation parfois violente, humoristique, toujours sur fond de couleurs vives et d’attention portée au détail. Diplômé des Beaux-arts de Toulouse, Fräneck évolue aujourd’hui dans l’édition, l’auto-édition, les fanzines et revues collectives. Il a intégré il y a deux ans le Collectif Indélébile, basé à Toulouse, où ils organisent tous les ans un festival de petites éditions et de narrations graphiques. Les dessins présentés pour l’exposition sont issus de son dernier livre «Les Maisons», paru aux éditions Ion et disponible courant juin 2012.

86 rue de Charonne, 75011 Paris tél. : 09 81 71 32 09 mail : contact@lepieddebiche.com Horaires d’ouverture : Du mardi au samedi de 11 à 20h, le dimanche de 14h à 19h.


Cocktail Eat My Pussy

[A consommer avec modération] 4 cl baileys irish cream (crème de whisky) 1 cl vodka 2 cl rhum 2 cl crème laitière fouettée4 cl lait Ajouter sirop de chocolat Verser directement dans un verre cocktail, ajouter le lait et une goutte de sirop de chocolat.

Cannes : le trash peut-il relancer la carrière de Nicole Kidman ?

A l’origine du débat la performance de l’actrice : Nicole Kidman crée le scandale dans «The Paperboy» « La presse américaine a surtout été frappée de découvrir Nicole Kidman en train d’uriner à l’écran sur Zac Efron, le chouchou des adolescentes outra-atlantique. Réagir sur d’autres sujets ? Newsring, le site de débat lancé par Frédéric Taddeï. Pour participer, il suffit de se connecter sur le site (à l’aide de Facebook, Google+ ou LinkedIn) et de cliquer sur “contribuer au débat”.

SUR LA ROUTE

Un film de Walter Salles Avec Garrett Hedlund, Sam Riley et Kristen Stewart Au lendemain de la mort de son père, Sal Paradise, apprenti écrivain new-yorkais, rencontre Dean Moriarty, jeune ex-taulard au charme ravageur, marié à la très libre et très séduisante Marylou. Entre Sal et Dean, l’entente est immédiate et fusionnelle. Décidés à ne pas se laisser enfermer dans une vie trop étriquée, les deux amis rompent leurs attaches et prennent la route avec Marylou. Assoiffés de liberté, les trois jeunes gens partent à la rencontre du monde, des autres et d’eux-mêmes.

VELOCITY BIRD

Après 3 ans de vie commune et plus de 70 concerts dans des salles comme le Bus Palladium, le Grand Mix, l’Aéronef, le Splendid, Le Truskel avec MEDI, Minitel Rose, Adam Ficek et autres Neïmo, VELOCITY BIRD prend son envol en sortant son 1er EP officiel intitulé « Panorama » aux teintes Pop-Electro. (http://www.soundcloud.com/velocitybird)
Une résidence au Grand Mix (Tourcoing) accompagné du Directeur Artistique (et Ex Curry & Coco) Sylvain Przybylski les a amené à considérer un schéma professionnel pour une prestation scénique pleine d’énergie donnant vie à leurs mélodies ravageuses pour une tournée nationale à partir de Septembre 2012.

STONE ISLAND SUNGLASSES

Carlo Rivetti, Stone Island’s founder, has been looking to launch a sunglasses collection for some time now and personally handpicked sunglasses specialists, EG Brands, as the ideal collaborator. www.stoneisland.co.uk

I DON'T CARE (LES PRELIMINAIRES) par Elegangz et HTC

Vendredi 8 juin de 19h à 5h à La Rotonde. TRICKSKI – ARK (Live) – DAVID SHAW and THE BEAT – PATRICK VIDAL – MARIE MADELEINE (Sextapes) – LAMÂCHE – MIAOU MIX – FLORIAN SAILER – VICTOR PETROI & JAMALE – ETHEL SWAN – ADLANE – BUZZ L’EKLER – ÉRIC LABBÉ I DON’T CARE c’est le rendez-vous trimestriel d’Elegangz et HTC avec la Nuit Parisienne (avec des majuscules un peu partout).
Après une première édition parfaitement dantesque, I Don’t Care Demain Matin, voici venu le temps de I Don’t Care Les Préliminaires, dans l’idée de ne pas y aller par quatre chemins. Toujours je-m’en-foutiste, toujours à La Rotonde, et toujours avec cette idée de faire sauter les agaçants carcans du clubbing parisien.

MGallery

Singuliers et remarquables, les hôtels de la collection MGallery le sont par leur agencement et leur décor. Classique et volontairement historique, ou design et résolument moderne, l’aménagement et la décoration de chaque hôtel plongent le voyageur dans une ambiance unique propre à l’histoire de l’établissement.

RED BULL MUSIC ACADEMY SESSION

avec Jean Michel Jarre (en entretien avec Patrick Thévenin) Mercredi 16 mai 2012 – Lyon (Nuits Sonores) Compte rendu En ouverture du festival Nuits Sonores, la Red Bull Music Academy a accueilli Jean Michel Jarre à l’Hôtel de Ville de Lyon. Le pionnier de l’électro s’est confié durant deux heures, entre anecdotes, techniques secrètes et visions musicales. Bluffant.
Jarre est ici pour se livrer, pour raconter les petites et les grandes histoires d’une carrière larger than life. Et c’est ce qu’il fait : « Ma rencontre avec Pierre Schaeffer a été fondamentale. On enregistrait des matières, on manipulait des bandes. Mais on ne parlait pas de musique électronique, le terme n’existait même pas ». Lorsque Jean Michel Jarre débute, la musique électronique est encore une science obscure, chasse gardée du Groupe de Recherche Musical (GRM) réuni autour de Schaeffer. « Happyness is a sad song », une de ses créations résonne alors entre les baffles et désarçonne les fans du premier rang, habitués aux mélodies marquantes qu’il n’a pas encore inventé : « A l’époque, je n’avais pas d’argent pour acheter un Theremin, donc ce qu’on entend c’est de la scie musicale, l’instrument des clowns…, sourit-il, avant de préciser : Sur le moment, ce morceau était un ovni. Les labels n’y comprenaient rien, c’était un truc de spécialistes ».
Dans ce contexte, son départ du GRM provoque un séisme. Sur les disques de Christophe ou de Patrick Juvet, il bouscule la variété française en la passant à la moulinette de ses rêves électro. Quelques mois plus tard, Oxygène est un choc : ce disque synthétique et hors formats (titres longs, absence de chant, visuel étrange…) dresse un pont entre les chercheurs du GRM et la musique populaire. « Ce disque m’a permis de connecter mon amour du son et celui de la mélodie ». Jarre invente alors le futur : « Ceux qui faisaient de la musique classique avaient des siècles d’histoire musicale derrière eux, ceux qui faisaient du rock avaient quelques décennies. Mais pour la musique électronique, il n’y avait rien, c’était nouveau ». Le soleil cogne sur la place de l’Hôtel de ville, mais Jean Michel Jarre tient l’audience en otage. Passionné et ouvert à la discussion, il explique tout. Un intérêt ravivé par Patrick Thévenin qui mène l’interview, qui connaît l’animal et sonde ses secrets.
ll y a 40 ans, Jean Michel Jarre a été un des premiers a inventer et populariser le langage électro. En un sens, ceux qui partagent aujourd’hui les scènes des Nuits Sonores (Etienne Jaumet, Theo Parrish…) lui doivent beaucoup. Après avoir répondu aux questions du public, il salue, remercie, signe quelques autographes et disparaît dans les rues de sa ville natale. Ce soir, il arpentera les scènes du festival pour voir à quoi ressemble le futur de cette musique électronique qu’il a contribué à créer. Mais seuls les chanceux réunis cet après-midi savent combien il en a rêvé, dès 1970, dans son petit studio.
Comme un avant-goût de la Red Bull Music Academy 2012 qui se tiendra dans quelques mois à New York, cette session exceptionnelle aura été l’occasion de pénétrer l’univers d’un artiste singulier. De lire entre les lignes, de lever le voile sur une carrière démesurée et de réduire la distance entre l’artiste et son public. L’histoire de la musique, version confidentielle.

Des vertus du Révolté

Les gens aigris me fatiguent au point où je le deviens, les gens jaloux me fatiguent au point où je le deviens, les gens rancuniers me fatiguent au point où je le deviens. Révolté je suis par les antagonismes minables que reservent inexorablement le quotidien. J’ai beau fuir les embrouilles et les fauteurs de trouble, ils me dénichent toujours, nécessaire il semble que je suis à leur épanouissement. Et puis des ténèbres surgit la lumière, des personnes ouvertes qui me donnent goût à la vie, des personnes simples qui me donnent goût à la vie, des personnes courageuses et humbles qui me donnent la force de me battre. Contre moi même et mes faiblesses, contre mon jugement, contre l’idée que je me fais des gens.

Dunhill – Bourdon House

Traiter ses clients comme des invités. Les marques de luxe rivalisent d’idées et d’attentions pour (re)donner du sens à l’acte d’achat. Au coeur de Mayfair, en retrait de l’agitation de Bond Street, Bourdon House, l’ancienne demeure du duc de Westminster, accueille le nouveau navire amiral de Dunhill. Difficile ici de parler de boutique, même si ce vaste hôtel particulier en briques sombres de style classique – le bâtiment date de 1720 – propose sur trois niveaux tout l’univers de la marque britannique de prêt-à-porter masculin, propriété du groupe Richemont : vêtements, accessoires, bagages, et, présentés dans la « discovery room », ces « toys for boys » et autres gadgets qui appartiennent à l’imaginaire de la maison. A l’étage, aux côtés d’un petit musée réunissant pièces d’archives et articles vintage, les clients se voient proposer les services d’un tailleur, d’un barbier, ainsi qu’un salon de coiffure et le désormais incontournable spa. Salon, salle de projection et cave à cigares ont trouvé leur place au sous-sol. (…) VALÉRIE LEBOUCQ La suite sur  www.lesechos.fr

Fabrice Emaer

Fabrice Emaer (1935-1983) était un directeur artistique de boites de nuit parisienne. Il était propriétaire de beaucoup de boîtes de nuits dans la rue Sainte-Anne à partir des 1960, comme le sept, et en 1978, il ouvre la plus grande boîte de nuit parisienne en s’inspirant du Studio 54 à New York dans un vieux music-hall désaffecté qu’il a rachète et rénove : Le Palace où des artistes nationaux, locaux, internationaux et des politiciens, écrivains venaient se jeter dans l’ambiance de cette discothèque du tout Paris, comme Régine, John Travolta, Grace Jones, Jack Lang, Pierre et Gilles, etc. Il meurt en 1983 d’un cancer du rein.

POULET AUX CITRONS CONFITS

1 poulet d’1,4 kg coupé en morceaux – 1 citron – 500 g d’oignons – 2 gousses d’ail – 2 cm de gingembre frais (ou 5 g en poudre) – 1 pincée de safran – 1 petit bouquet de persil – 2 bâtons de cannelle – 1 petit bouquet de coriandre – 2 citrons confits ou 10 tranches (épicerie fine, produits orientaux des grandes surfaces) – 1 feuille de laurier – 1 branche de thym frais – 150 g d’olives noires ou vertes dénoyautées – 5 cuillères à soupe d’huile d’olive – sel, poivre. Presser le citron. Mélanger le jus avec du sel et du poivre. Enduire les morceaux de poulet de ce jus. Peler et couper les oignons en deux, les émincer grossièrement. Peler et dégermer les gousses d’ail, les écraser. Eplucher et râper le gingembre. Hacher le persil et les feuilles de coriandre, en réserver quelques brins pour la décoration. Dans le fond d’une cocotte, disposer les oignons, ajouter l’ail, le gingembre, le safran, la cannelle, le persil et la coriandre hachés. Y poser les morceaux de poulet. Répartir les rondelles de citrons confits, ajouter la feuille de laurier et le thym. Arroser de 5 cuillères à soupe d’huile d’olive, saler, poivrer. Ajouter de l’eau pour couvrir la viande. Mettre à feu vif pour porter à ébullition. Puis couvrir la cocotte, réduire le feu et laisser mijoter pendant environ 45 min, à feu très doux, jusqu’à ce que la chair du poulet se détache facilement des os. Pendant la cuisson, retourner la viande délicatement avec la cuillère en bois une ou deux fois. Ajouter les olives 15 min avant la fin de la cuisson. Retirer les morceaux de poulet de la cocotte et les poser dans un plat de service creux. Couvrir d’une feuille de papier d’aluminium et maintenir au chaud dans le four à 50°C. Faire réduire le jus de cuisson de moitié, à découvert. Puis arroser le poulet de cette sauce. Décorer de feuilles de persil et de coriandre, servir très chaud.

7 For All Mankind

The story of premium denim is one that is intricately intertwined with the launch of 7 For All Mankind in Los Angeles, California in the Fall of 2000. 7 For All Mankind was the first company to truly bring premium denim to scale, marking Los Angeles, California as denims’ venerable center for research and development worldwide changing the landscape of denim forever.  7 For All Mankind’s premium jeans literally exploded onto the scene, quickly earning critical acclaim and an immediate following for its innovative us of fits, fabrics, and finishes in denim. Sales for the first year reached a staggering $13 million, an unheard of figure in the denim market, and has continued to show exponential growth year after year. In the past seven years 7 For All Mankind has become both an established modern classic for its sophisticated fits as well as a leading trendsetter for its newest fashion forward washes and designs. The brand, famously dubbed “Sevens” by fashion editors and stylists, grew to fame in no small part because it became an instant favorite among Hollywood’s elite. 7 For All Mankind jeans continue to rank as a preferred jean among Hollywood’s leading ladies such as Angelina Joile, Cameron Diaz, Jennifer Garner and Liv Tyler. Male celebrities such as Jake Gyllenhaal, Ben Affleck, and Ryan Reynolds became fan’s of the brand shortly after the launch of the 7 For All Mankind’s men’s collection in 2002. The company continues to grow and evolve as a true denim lifestyle brand, expanding its product line to include men’s, sportswear, handbag, footwear and kids collections. The brand’s offerings also continue to expand through innovative collaborations with highly regarded designers such as The Great China Wall, Zac Posen, Azzedine Alaia, Evan Yurman and Pucci. Exciting partnerships that push the envelope of design and creativity are now a signature part of the brand’s exploratory endeavors. 7 For All Mankind continues to merge the worlds of denim and couture to redefine the fashion landscape. The brand is currently sold at luxury retail stores such as Barneys New York, Neiman Marcus, and Saks Fifth Avenue as well as high end specialty boutiques in over 80 countries throughout the world. http://www.7forallmankind.com

Baron de Ley

Un vin très agréable qui ne demande qu’à se faire une place parmi les grands. A l’antithèse des Rioja souvent trop forts, ce Baron de Ley présente des caractéristiques dignes d’intéresser un pur Bordelais… Comptez aux alentours de 60€ la bouteille Reserva 94. Représentant en France : ELIDIS AQUITAINE 31, Allee du Moura 64200 BIARRITZ Tel. 33 – 59232425 Fax 33 – 59412502 www.barondeley.com. A consommer avec bonne humeur et bon sens.

Guru’s Jazzmatazz Back to the future

Cette mixtape ‘Back to the Future’ de Guru’s Jazzmatazz est le pendant brut de l’album Jazzmatazz Vol.4 sorti en 2007. Ce CD a été mixé avec attention et superbement mis en valeur par le super producteur Solar afin de nous présenter l’ « âge d’or  » New Yorkais avec un style futuristique tranchant. On comprend donc bien mieux ce titre, ‘Back To The Future’. gurujazzmatazz4

Claude-Adrien Helvétius

Claude-Adrien Helvétius, né le 26 février 1715 à Paris et mort le 26 décembre 1771 à Versailles, est un philosophe français. Au sein des matérialistes de son siècle, Helvétius (latinisation de Schweitzer) développe un sensualisme matérialiste, où l’intérêt seul dirige les jugements et considère l’éducation comme l’élément constitutif principal de l’esprit des humains, qui sont, selon lui, tous susceptibles de s’instruire également. Il est fortement inspiré par Locke, dont il lit très tôt l’Essai sur l’entendement humain. Ses idées sur la constitution de l’esprit humain en seront nettement influencées. Il veut dépasser cependant toute idée de Dieu en défendant un athéisme relatif. Il considère la croyance en Dieu et en l’âme comme le résultat de notre incapacité à comprendre le fonctionnement de la nature, et voit dans les religions, notamment la religion catholique, un despotisme n’ayant comme but que le maintien de l’ignorance pour une meilleure exploitation des hommes. Souvent présenté comme un physiocrate (il monte une manufacture, fait faillite, puis connait le succès) et un philosophe matérialiste, selon Michel Onfray Helvétius est pourtant plus à rapprocher d’un philosophe nominaliste et déiste. On trouve dans ses textes plusieurs références à Dieu et à son existence : « l’être suprême », « l’éternel », « le législateur céleste » sont des expressions qui reviennent plusieurs fois dans son ouvrage De l’Homme ; il y définit même Dieu comme étant « la cause encore inconnue de l’ordre et du mouvement ». La raison de cet amalgame est en partie due à la récupération politique de ses textes, qu’il s’agisse de discréditer son œuvre (jésuites, jansénistes, le pape Clément XIII ou encore le pouvoir royal de Louis XV) ou d’en faire un penseur incontournable du socialisme scientifique (marxistes). Ainsi, si Helvétius est anti-chrétien, il ne nie pas l’existence d’une force dans la nature et il défend même l’idée d’une philosophie plutôt positive dans cette religion une fois épurée de son fanatisme, superstitions et institutions. Helvétius était à la fois matérialiste et sensualiste. Le matérialisme est un système philosophique qui n’admet pas d’autre substance que la matière : il s’oppose notamment à la religion et à la notion d’âme immatérielle. Selon le sensualisme, toutes nos connaissances et nos idées découlent des sensations, dont elles ne sont que la combinaison de plus en plus complexe. Le sensualisme s’oppose à l’activité spontanée de l’esprit.

Le Dropping

Ecrivains, paroliers, journalistes, politiques, individus lambda et plus si affinité ont définitivement intégrés marques et logos dans leur vocabulaire pour donner plus de corps, plus de poids à leurs propos souvent vides de sens. Lolita Pille avec son roman « Hell » fait dorénavant figure de « précurseuse ». Morceau choisi : « J’enfile un jean Chloé délavé, des Nike argentées, un pull en maille blanc Paule Ka et mes lunettes Gucci, je prends mon cabas Vuitton monogrammé dans lequel je glisse des médocs, « Voici », du maquillage et mon étui à lunettes (…) Vivre d’amour ; d’Evian et de Marlboro Light. ». Qui prendra le relais ?

Store Cupboard Sundae

Pour 4 Store Cupboard Sundaes: 4 bâtonnets Häagen-Dazs® parfum au choix 6 à 8 biscuits (secs, aux fruits, au chocolat, les boudoirs pour les gencives du bébé, ce qui est dans votre placard) De la chantilly en bombe (ou faite maison si vous avez de la crème fleurette fraîche ou UHT) Amandes effilées ou noisettes hachées. Vous les connaissez, les livres de recettes où tout serait déjà dans votre placard. Soit ils sont très optimistes, pensant que vous aurez stocké naturellement l’ingrédient phare (style gingembre confit à la vanille) soit les recettes contiennent à 99% du thon en boite. Cette recette sera TOUJOURS là pour vous, et toujours délicieuse car ici l’ingrédient phare, ce sont les bâtonnets Häagen-Dazs®. Et ceux-là, vous les achetez aussi régulièrement que vos coquillettes et votre huile d’olive bio, n’est-ce pas ? La présentation est très importante. N’oubliez pas les paroles du grand prêtre du congélateur, « Ce n’est pas parce que vous n’avez rien à faire… » etc, etc. Dans une jolie coupe, soit classique, soit kitsch, soit plus droite, style verrine, en tout cas transparente, écrasez les biscuits en faisant une couche dans le fond de la coupe. Ecrasez ensuite le bâtonnet Häagen-Dazs®, mais pas trop, puis coiffez de chantilly. Décorez de noisettes hachées ou d’amandes effilées grillées. Source: http://www.haagen-dazs.fr A découvrir également l’innénarable Haaagen Dazs gout pina colada.

CLUB RIVIERA : Skrillex, Paul Kalkbrenner, 2manydjs, Brodinski, Gesaffelstein, Birdy Nam Nam, Foreign Beggars, Kavinsky …

Le CLUB RIVIERA FESTIVAL 2012 (Nous Productions & Savoir Faire), aura lieu du 28 juin au 29 juillet 2012 à Nice, Carpentras et Juan Les Pins. CLUB RIVIERA FESTIVAL crée un véritable parcours musical en s’associant aux promoteurs locaux.
Sur 5 dates, le festival met à la portée de tous les plus grands noms de l’électro
avec une programmation aussi pointue qu’attractive lors d’événements spécialement créés pour l’occasion. Skrillex, 2manydjs (dj set), Paul Kalkbrenner (live), Brodinski, Gesaffelstein (live), A-Trak, Kavinsky, Birdy Nam Nam (live), Club Cheval, Foreign Beggars (live), Dirtyphonics (live), Julian Jeweil, Worakls (live), Joris Delacroix (live), Greg Delon, Autoreverse, Reflex, Efix vs Nick Holson, Super Nacho & Irish Steph Decks & Fx et Spiky The Machinist

PARA ONE was en Dj set @ la Villa Schweppes à Cannes

PARA ONE was en Dj set @ la Villa Schweppes à Cannes mardi 22 mai de 17h à 19h pour présenter son deuxième album solo « Passion » sortie le 18 juin (Marble/ Because) et son Premier EP « Lean On Me » (Feat. TEKI LATEX) Disponible sur les plateformes digitales. Avec « Passion », Para One a su rassembler ses références hip-hop, notons les nombreux clins d’oeil aux grands classiques du rap 90s, son groove pernicieux et son goût prononcé pour la soul. Il délaisse le formatage dance-floor pour ne garder que la déstructuration chirurgicale des rythmes et une élégance des plus synthétiques. Para One nous montre ici qu’il est un artiste libre et qu’il tient à nous faire partager cette liberté. En tournée française: 25 mai, Toulouse (Festival des Curiosités) 27 mai, Paris (Social Club) 31 mai, Lyon (DVI)

« Safer Drinking Scenes » @ Bordeaux Prévention alcool : Bordeaux engagée dans le projet « Safer Drinking Scenes »

Depuis plusieurs années, la Ville de Bordeaux se mobilise contre la consommation excessive d’alcool, notamment chez les jeunes. De nombreuses actions de sensibilisation sont menées toute l’année sur les lieux festifs avec un objectif ambitieux : responsabiliser chacun quant à sa consommation et son comportement, pour que la fête à Bordeaux rime avec modération, convivialité et respect des autres.

La Ville a participé à la fondation en 1992 du Forum Français pour la Sécurité Urbaine qui regroupe aujourd’hui 130 collectivités. Bordeaux a décidé dans ce cadre, avec 9 autres villes françaises et européennes, de participer au projet Safer Drinking Scenes, co-financé par la Commission européenne. Les 10 villes se reçoivent à tour de rôle pour échanger leurs expériences et élaborer des préconisations politiques sur ce thème sensible. Bordeaux accueille la dernière visite d’étude jeudi 24 et vendredi 25 mai.

Keel’s Simple Diary™

Un support à ceux qui n’ont pas le temps de se poser des questions, pour consigner facilement les petits et grands moments de leur vie. Cela procure le plaisir d’une réponse rapide et le sentiment de faire, si ce n’est tout juste, au moins un peu plus juste qu’avant.
Ce livre déjà culte déborde de philosophie rafraîchissante et de sagesse originale. Keel’s Simple Diary™ amuse, aide à se concentrer et tient compagnie.

« Une présentation qui agit comme une drogue, et des textes curieux qui offrent au lecteur des outils simples pour rendre compte quotidiennement de votre vie, de façon originale et mémorable, sans subir l’angoisse de la page blanche. » —Publishers Weekly, New York

Reebok x Mike Posner pour son nouveau modèle RealFlex Classic

Reebok vient de lancer un nouveau classique moderne de la mode, la RealFlex Classic. disponible seulement chez Foot Locker. Ces nouvelles chaussures sont équipées de la technologie Reebok « barefoot ».  Le dispositif : » It takes a lot to make a classic », est réalisé en collaboration avec de nombreux artistes, musiciens et autres personnalités entièrement dévoués à élaborer une paire de chaussures prête à rentrer dans l’histoire. Le premier de cette longue liste est le chanteur, compositeur, producteur – et collaborateur de Lil Wayne – Mike Posner. Pour l’occasion, Vice a réalisé un court interview de Mike:

22 mai, un jour comme un autre ? Pas depuis 1848

Le 22 mai 1848, quelques 60 000 esclaves de la Martinique se sont défaits de leurs chaînes, et de la servitude. En souvenir ce jour, le 22 mai, est devenu à la Martinique le jour de la commémoration de l’abolition de l’esclavage. Cette date commémorative est fériée en Martinique, suite à la promulgation de la « loi commémorant l’abolition de l’esclavage dans les DOM « , du 24 novembre 1983. » http://www.bellemartinique.com
“Si, comme le disent les colons, on ne peut cultiver les Antilles qu’avec des esclaves, il faut renoncer aux Antilles. La raison d’utilité de la servitude pour la conservation des colonies
est de la politique de brigands. Une chose criminelle ne doit pas être nécessaire. Périssent les colonies, plutôt qu’un principe.” Victor Schœlcher, Des colonies françaises, 1842
“Et ce pays cria pendant des siècles que nous sommes des bêtes brutes ; que les pulsations de l’humanité s’arrêtent aux portes de la nègrerie ; que nous sommes un fumier ambulant hideusement prometteur de cannes tendres et de cotons soyeux et l’on nous marquait au fer rouge et nous dormions dans nos excréments et l’on nous vendait sur les places et l’aune de drap anglais et la viande salée d’Irlande coûtaient moins cher que nous, et ce pays était calme, tranquille, disant que l’esprit de Dieu était dans ses actes. (…) J’entends de la cale monter les malédictions enchaînées, les hoquettements des mourants, le bruit d’un qu’on jette à la mer… les abois d’une femme en gésine… des raclements d’ongles cherchant des gorges… des ricanements de fouet… des farfouillis de vermine parmi des lassitudes…”
Aimé Césaire, Cahier d’un retour au pays natal, 1939 (Martinique)

Le formidable destin de God Save My Shoes

God Save My Shoes est disponible a la TV dans plus de 100 million de foyers aux USA et au Canada. God Save My Shoes a également remporté son premier prix dans un festival américain cette semaine. The Indie Fest (ou Festival du Film Indépendant de Los Angeles) a en effet décerné le Prix d’Excellence a God Save My Shoes et a sa réalisatrice Julie Benasra dans la catégorie Long Métrage Documentaire. Au niveau international, God Save My Shoes va sortir en salles de cinéma en Italie, Allemagne, Russie, Turquie et en Corée du Sud, a partir de Septembre. Tandis que les télévisions en Finlande, Espagne, Israël et Brésil proposent le film à partir de ce mois ci. À suivre

HUGO BOSS @ Pékin

HUGO BOSS a présenté à Pékin sa collection BOSS Black et BOSS Selection Automne-Hiver 2012 au sein de l’imposant Centre d’exposition National d’Agriculture avec la présence exceptionnelle de Tilda Swinton, Georgia May Jagger, Ryan Phillippe et Matthew Goode.

Jace et son Gouzou @ galerie Mathgoth

Après avoir investi les supports extérieurs – affiches publicitaires, murs et béton des villes, chantiers, bâtiments à l’abandon… – le Gouzou se retrouve aussi désormais sur des toiles, des tôles émaillées, d’anciennes cartes de géographie scolaires. Et Jace lui a tout dernièrement offert la 3D en réalisant des sculptures : c’est tout ce travail et son évolution que la galerie Mathgoth met en valeur lors de cette exposition solo.
20 piges
Galerie MathGoth
103, rue Saint-Maur – 75011 Paris
Du 9 au 21 juin 2012
Vernissage en présence de l’artiste le 9 juin à partir de 18 heures

RAPATTITUDE @ Nouveau Casino

MPC Prod, Le Nouveau Casino & EMI présentent la soirée RAPATTITUDE avec :
ASSASSIN | EJM &DJ FAB
DEE NASTY | DJ JAMES (NTM)
DJ KOZI | ROCCA
TONTON DAVID
Il y a plus de 20 ans sortait RAPATTITUDE, la toute première compilation de Rap Français. Pour beaucoup, ce chef d’oeuvre restera à jamais l’acte fondateur du rap pro Made in France. A l’occasion de la sortie de la compilation RAPATTITUDE 3CDS (le 6 avril dernier chez EMI) réunissant les meilleurs titres du rap français agrémenté d’un livre collector, MPC Prod et le Nouveau Casino ont élaboré une soirée RAPATTITUDE unique, le samedi 26 Mai, 22 ans jour pour jour après la première sortie de ce monument de la musique française.

JUSTICE Live

TOUTES LES DATES :
23-MAI PARIS, ZENITH
24-MAI PARIS, ZENITH
25-MAI LYON, HALLE TONY GARNIER
31-MAI TOULOUSE, ZÉNITH
02-JUIN BARCELONE, PRIMAVERA SOUND FESTIVAL
07-JUIN CORK, LIVE AT THE MARQUEE
09-JUIN ROCKNESS, INVERNESS
10-JUIN MANCHESTER, PARKLIFE
14-JUIN HULSTFRED, HULTSFREDSFESTIVALEN
15-JUIN ADALEN AARHUS, NORTHSIDE FESTIVAL
17-JUIN SEINÄJOKI PROVINSSI ROCK FESTIVAL
22-JUIN SCHEEßEL, HURRICANE FESTIVAL
23-JUIN NEUHAUSEN OB ECK, SOUTHSIDE FESTVAL
24-JUIN LUXEMBOURG, ROCK A FIELD
28-JUIN WERCHTER, ROCK WERCHTER
29-JUIN ARRAS, MAIN SQUARE FESTIVAL
30-JUIN BELFORT, LES EUROCKÉENNES
05-JUIL GDYNIA, OPEN’ER FESTIVAL
07-JUIL VIENNA, URBAN ART FORMS FESTIVAL
08-JUIL ROMA, ROCK IN ROMA
13-JUIL LISBONNE, OPTIMUS ALIVE
15-JUIL LEIPZIG, MELT FESTIVAL
18-JUIL PALEO FESTIVAL
19-JUIL NIMES, LES ARENES DE NIMES
21-JUIL CARHAIX, LES VIEILLES CHARRUES
28-JUIL NAEBA, FUJI ROCK
03-AUG MONTREAL, OSHEAGA FESTIVAL
04-AUG TORONTO, HARD TORONTO
07-AUG DENVER, RED ROCKS
24-AUG LEEDS FESTIVAL
26-AUG READING FESTIVAL
08-SEPT BESTIVAL, ISLE OF WIGHT

Nage de Saint-Jacques

8 noix de Saint-Jacques avec corail – 1 cube de bouillon de volaille – 1 cm de gingembre frais – 2 tiges de ciboulette – 1 cuillère à soupe d’huile d’olive – sel, poivre. Nettoyez les noix de Saint-Jacques. Epluchez le morceau de gingembre frais et râpez-le très finement. Lavez, séchez et ciselez la ciboulette. Versez 20 cl d’eau dans une casserole, ajoutez le cube de bouillon de volaille et le gingembre râpé. Portez à ébullition et laissez bouillir pendant 10 min. Pendant ce temps, faites chauffer l’huile dans une poêle. Quand elle est très chaude, saisissez-y les noix de Saint-Jacques 30 secondes de chaque côté. Salez et poivrez. Répartissez les noix dans deux assiettes creuses et arrosez-les d’une louche de bouillon. Parsemez de ciboulette et servez aussitôt.

Matambre

Thym 1 oignon 3 œufs 200 grammes de carottes Poivre 300 grammes d’épinards Sel 1 gousse d’ail Bouillon de volaille 5 cl de vinaigre de vin Persil 400 grammes de bavette en tranches fines Arroser les tranches de boeuf avec le vinaigre, et ajouter l’ail pilé, le thym et le poivre. Laisser mariner la viande pendant 6 heures en la retournant 1 fois. Faites cuire les oeufs 10 minutes dans de l’eau et les couper en rondelles. Emincer l’oignon et les carottes. Hacher le persil. Sortez les tranches de viande et les éponger, les disposer bout à bout en les chevauchant un peu. Les aplatir avec un rouleau à pâtisserie. Etaler les épinards sur la viande, disposer dessus les carottes puis les rondelles d’oeufs, l’oignon, le persil, puis saler le tout. Rouler la préparation dans la longueur. Ficeler et mettre dans un plat. Arroser de bouillon de volaille (500 ml), puis couvrez hermétiquement. Mettre au four déjà chaud (thermostat 7) pendant 1 heure. Retourner à mi-cuisson. Pour servir, enlevez la ficelle et couper le matambre en tranches épaisses. Source : www.americas-fr.com

Nouvelle Jet Set

Certains mangeurs de fenouil ont encore voulu nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Etre un gros porc plein de thune ou une petite salope anorexique ne confère pas obligatoirement le statut de nouveau jetsetteur ! Non, Il faut aussi savoir s’arroser de Cristal, passer ses journées à ne rien branler sur un yacht à Portofino et frasquer à mort à Dubaï. La nouvelle jetsociety est composée de gens 100 % authentiques, diversifiés et ambitieux. N’en déplaise à ces connards de médias.

THE ROOTS en concert exceptionnel au Zénith de Paris

Le groupe emblématique de Philadelphie, se produira le samedi 23 juin au Zénith de Paris, dans le cadre de Paris Hip Hop 2012. En première partie, VICELOW interprétera son dernier projet fraichement sorti la Blue Tape 2.

Eh mec, elle est où ma caisse ?

Réalisé par Danny Leiner Avec Ashton Kutcher, Seann William Scott, Jennifer Garner Jesse et Chester, deux fêtards d’une vingtaine d’années, ont passé une nuit incroyable. Malheureusement, à leur réveil, ils ne se rappellent plus de rien, y compris de l’endroit où ils ont garé leur voiture. Or, celle-ci contenait les précieux cadeaux d’anniversaire qu’ils avaient achetés pour leurs petites amies jumelles, Wanda et Wilma. Jesse et Chester ont beau leur expliquer que le véhicule, où se trouvaient les cadeaux, a disparu, elles ne veulent rien entendre. Une seule solution s’offre à eux : retourner sur leurs pas afin d’enquêter sur les événements de la veille et la disparition de leur voiture. Il s’est forcément passé quelque chose de spécial pour qu’ils n’aient plus souvenir de quoi que ce soit. Et comment se fait-il qu’ils soient devenus les coqueluches de toutes les filles ? www.allocine.fr

DO IT YOURSELF @ W Lounge

Depuis le 22 mai, le W Paris-Opéra propose, une fois par mois, de 19h à 2h, un nouveau concept : les soirées Do It Yourself. L’équipe du bar, dirigée par la jeune et passionnée barmaid Aurélie Panhelleux, propose une sélection de cocktails à réaliser soi-même, directement au bar ou à table. Après avoir choisi la base du cocktail, un barman vous invite à passer derrière le comptoir et vous coach sur la réalisation de votre cocktail. Le French Martini, le Smash it ou la Fizzy Margarita n’auront plus aucun secret pour vous. Vous pourrez également profitez de cette occasion pour admirer la dextérité des barmen durant leurs démonstrations de flair au rythme de l’ambiance électrique et élégante menée par le DJ résident du W Paris-Opera. W Lounge – W Paris Opera
4 rue Meyerbeer – 75009 Paris wparisopera.fr Renseignements & Réservations 01 77 48 94 94

La loi du moins fort

Pourquoi les journalistes s’évertuent-ils continuellement à flatter les grandes réussites établies à coup de milliards d’euros hors de notre pays et à critiquer inlassablement toutes tentatives locales ? Évidemment je parle de Football. Reconnaître la valeur d’une équipe de moindre standing n’est pas faire offense à son supérieur financier, le meilleur gagne c’est ainsi que ca « fonctionne » dans le grand cycle de la hierarchie, mais d’où vient cette nécessité de toujours les opposer ? Syndrome de Robin des Bois ? France historiquement pays d’une exemplaire probité qui doit continuer à défendre ses valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité où le dopage n’existe pas et la triche non plus ? Le doute m’habite. Flatter le petit pour faire du nombre est une stratégie d’inenvergure qui n’a jamais donné de bons résultats sur le long terme. Faire vivre le rêve est une chose, dénigrer une réalité communément acceptée pour les autres d’une part et la rejeter en bloc d’autre part est selon moi purement schizophrène. Mais je me trompe sans doute, impossible ! Je suis Français !

After Party

Cannes… Pour celles et ceux qui ont le privilège d’en être, il est encore temps de faire une offrande à Notre Dame de la Bocca (si tant est qu’elle existe) et de prier tres fort pour, peut etre, obtenir auprès du microcosme de précieuses invits, non pas pour les sempiternelles et surannées soirées pseudo caritatives de la croisette, mais pour ces fameuses After Killer Parties, fréquentées par la crème de la crème, événements supra mondains vecteurs d’image, flatteurs d’ego, flamboyante démonstration d’une capacité à masteriser le truc. Comme le dit si bien qui tu sais, « Même Roman s’est fait tricard de sa propre after sur son yacht, c’est dire ! »

Bain d'obsidienne

La nuit est d’un noir de jais et plutôt que de prosaïquement regarder mes pieds ou le bout incandescent d’une cigarette suspendue au bout des lèvres, bien que je ne fume pas, je lève les yeux au ciel, en toute humilité et je m’incline face à spectacle si bouleversant. La nuit est un tout dans lequel faune, flore et éléments se mettent à vibrer à l’unisson. Perdu pour ma part dans cet abîme éclairé par des astres bienveillants, je réalise ma folie d’homme de croire que tout est analysable, quantifiable, explicable. Je me fous des protons, des neutrons, des particules ou de tout autre phénomène physique qui pourrait rationnellement définir ce que je vois, ce que je vis, ce que je fais. Le luxe de l’ignorant est parfois sans commune mesure avec le savoir du savant. Le cherchant erre sans but à la recherche d’une identité sans nom, sans forme, sans histoire, sans déterminisme. Creuser un puit à côté d’une rivière, prendre à contre sens une route que l’on connaît par cœur, la machine à remonter le temps est au cœur de l’être, de l’extrémité de l’ongle du pied au cheveu sur le sommet du crâne. La nuit est noire, je prends un bain d’obsidienne.

Croire en son étoile

Il n’est jamais aisé d’imaginer la vie autrement qu’en préjugeant du déterminisme qui agglomère pourtant l’homme dans le sol bétonné de l’insipide (sur)vie.
Croire en son étoile est une lubie d’équilibriste, perché à 700 mètre du sol, sans filet, à tout moment le vide, à tout moment la fin.
La peine d’être vécu ? Qui suis-je pour le dire ?
A l’instar de Nietszche qui offrait au mauvais goût une valeur universelle supérieure ou égale à celle du bon, je ne crois pas qu’il soit juste de condamner celles et ceux qui choisissent de rester dans les clous d’une existence rangée et pourtant dramatiquement pauvre. Le choix, voilà ce à quoi l’homme est tenu d’obéir. Esclave ou pro actif d’une graduation ou d’une stagnation, il n’est jamais exclu de croire en un idéal, même sans aller jusqu’à ce firmament inatteignable.
Funambule tu veux être ? Alors assume et va là où ton cœur te guide.
Tu chutes ? Relèves-toi, même seul contre tous et reprends ta quête, la finitude sera identique mais dès lors que tu as entrepris le chemin vers les méandres de l’incertain tu dois en accepter les conséquences, croire en ton étoile et avancer sans la perspective ni la certitude de ceux qui sont dans leur « concret ». Écarté du chemin le plus large, éloigné des perspectives les plus certaines: Mouton à 5 pattes, cygne noir, paria, tu es l’autre qui n’a pas vocation à être comme le reste du troupeau, dénigré, rejeté, moqué, toi et ton étoile reliés par un fil d’Ariane indéfectible, inaliénable, sans compromis. La lèpre sociale te guette, mais TU ES. Va, vis et deviens, c’est tout ce que je te souhaite.

@ Kerry, Abdal et tous les autres

Trop facile de se gosser lorsqu’on est blanc, beau et bien né ! Ces Hommes comme tant d’autres avant eux, ont découvert un jour par la Religion ( il n’y a selon moi, rien a dire sur leur motivation) une véritable raison d’exister. Alors bien sûr certains critiqueront. Bien sûr certains ignoreront. Evidemment ils dénigreront, s’alarmeront, mais la Religion « bien pratiquée » c’est à dire avec l’esprit de l’Homme (divin ?)… en acceptation et non en rejet, sans prosélytisme, mais en volonté de tendre vers l’ineffable en toute humilité, est la primeur de l’ensemble de l’humanité.

Mourrons, nous ferons, comme dirait Yoda (petit bonhomme vert à forte valeur ajoutée) mais c’est ainsi, cette realité assumée, qu’il faut bâtir l’humanité, en âme et conscience. Ces messages passés par le biais du slam ou du rap pour la plupart sont en Fait amour et acceptation de l’autre. Entendez le sans préjugés. L’Amour, n’a ni race, ni religion, ni couleur, ni odeur, ni saveur, ni rien qui puisse être critiquable ou quantifiable, il n’y a qu’une chose qui importe : l’autre ! Méfiez vous des prejugés, des biens pensants et surtout des gourous, confiscateurs de pensée. L’amour inconditionnel, la fraternité, la lutte contre le matérialisme qui prédomine, faire le nécessaire pour ÊTRE. Tel est notamment ce que Kerry, Abdal et d’autres chantent, déclament. Écoutons sans préjuger l’air de la Vie. L’air de l’amour, l’air de la compassion. Notre AIR à tous. Notre vivace testament.

@ Salon Grand Large : Corsairfly

En attendant le vol qui m’emmenera vers cette délicieuse et pleine de promesses contrée martiniquaise, j’apprécie le confort du salon grand large mis à disposition pour les « grands voyageurs » par Corsairfly. Confortablement installé à Orly Sud, c’est dans le calme la serenité et une coupe de champagne juste devant moi que j’écris ces lignes empreintes d’émotion satisfait de m’évader, me rasséréner avant les 8 heures de vol qui se profilent à l’horizon. Sobre, bien conçu, le salon offre les prestations que l’on est en droit d’attendre pour ce type de lieux. Le calme avant la tempête ? Non pas, le plaisir avant le rêve.

Vivre l'impossible !

La vie est ainsi faite pour beaucoup: Barrières, frontières, blocages de toutes sortes et d’un coup tout se limite à un cloisonnement dont on ne s’échappe pas. Faire vivre l’impossible n’est pas une doctrine, une lubie de philosophe mal dégrossi, une fuite du réel. Il s’agit selon moi d’une preuve ontologique de l’existence de l’homme, sans l’envie d’aller au delà du possible, sans la hargne de dépasser les clivages, les cadres et les restrictions, rien de positif n’arriverait, le conformisme pour seule destination, autant dire la banale mort. Faire vivre l’impossible, en dehors de tout argument marketing usé à mauvais escient mérite d’être entrepris à bras le corps et avec la détermination et l’énergie requise. Dont acte

Take my breath away

Sortez les wayfarer, le style Top Gun est de rigueur cet été. Fly Jacket, pantalon cigarette, boots et cigare au bec, vous franchirez cette nouvelle saison chaudement mais avec classe. As usual !

Joris-Karl Huysmans

Joris-Karl Huysmans est un écrivain français, critique d’art, né à Paris le 5 février 1848 et mort dans la même ville le 12 mai 1907. Joris-Karl Huysmans descend d’une longue lignée d’artistes peintres flamands. Il est inscrit à l’état civil sous la forme francisée de son nom : Georges-Charles Huysmans. La plupart de ses œuvres ont été éditées — et continuent de l’être — sous la forme abrégée de J-K. Huysmans. Après une « jeunesse d’humiliation et de panne » (le remariage de sa mère avec l’homme d’affaires protestant Jules Og ; son père étant mort le 24 juin 1856), il poursuit une carrière de fonctionnaire pendant trente ans. Il publie à compte d’auteur en 1874 un recueil de poèmes intitulé Le Drageoir à épices qui est réédité et rebaptisé l’année suivante Le drageoir aux épices. Un article sur L’Assommoir et un roman, Les Sœurs Vatard (1879), lui valent l’amitié d’Émile Zola et l’amènent à participer à la publication en 1880 d’un recueil collectif intitulé Les Soirées de Médan, véritable manifeste en acte du naturalisme, où il insère Sac au dos. Ses œuvres peignent alors des existences ternes et une vie quotidienne fade dans En Ménage (1881) et À vau-l’eau (publié à part en 1882). Déjà apparaissent son pessimisme et son dégoût pour un monde moderne composé « de sacripants et d’imbéciles ». À rebours (1884) rompt nettement avec l’esthétique naturaliste ; les « tendances vers l’artifice » du héros, Des Esseintes, sont, « au fond, des élans vers un idéal ». Un autre personnage, Durtal (Là-bas, 1891), exprime aussi l’évolution que connaît Huysmans ; cette étape satanique, où se mêlent occultisme et sensualité, précède sa conversion à la foi chrétienne (La Cathédrale, 1898 et L’Oblat, 1903) à laquelle l’ont amené des préoccupations esthétiques : l’écrivain, en effet, en vient au catholicisme, attiré par l’art qu’il avait fondé, comme il avait été séduit par le talent des impressionnistes (Degas, Monet, Pissarro, Odilon Redon) dont il se fait le défenseur dans L’Art moderne (1883). Au terme d’une difficile évolution, Huysmans cherche à « atteindre les en deçà et les après », à faire un « naturalisme spiritualiste » tout en gardant son goût du détail cru, des termes rares et de la brutalité véhémente du style, « la langue étoffée et nerveuse du réalisme ». Il se retire chez les bénédictines à Paris. On lui découvre un cancer de la machoire en 1905. Conformément à ses convictions religieuses, il décide d’accepter la douleur et de ne rien faire pour la soulager. Il meurt deux ans plus tard, le 12 mai 1907 dans des conditions de douleurs physiques atroces. Il est enterré au cimetière du Montparnasse à Paris. Son exécuteur testamentaire fut son ami Lucien Descaves.