Dandy

Le dandysme, considéré comme la pratique d’un raffinement et d’une élégance dans l’habit, les manières et l’esprit, surgit comme un style de vie des élites hommes– car il s’agit d’un monde d’hommes– de la société anglaise à l’aube du XIXe siècle. Son arrivée en France coïncide avec la Restauration et le retour des émigrés monarchistes après 1815.

Dès 1816, le roi des dandys anglais George Brummell vit à Caen où il devient pour un temps consul. Le dandy veut creuser des écarts avec le reste de la société. Sa dimension pittoresque autant que sa présence dans les endroits à la mode l’inscrivent rapidement comme centre d’intérêt. (…)

Du Dandysme et de George Brummel

Publié pour la première fois en 1845, ce livre est à la fois une biographie et un essai philosophique. Barbey, l’auteur sulfureux des Diaboliques, définit, avant Baudelaire, le dandysme. Mêlant références historiques et détails anecdotiques, il dresse le portrait d’un homme qui soumit à son goût, pendant vingt ans, la « high class » londonienne. Brummell (1778-1840), « arbitre suprême de l’élégance », fut admiré tant par le futur roi Georges IV que par le poète Lord Byron. Jusqu’au jour où, criblé de dettes, il dut s’exiler en France. Loin de sa cour, Brummell connut vite la déchéance. Ruiné, malade, il séjourna en prison, puis à l’hospice où il mourut dément. (…) www.payot-rivages.fr

Le Dandysme

« Dandy. Ce mot est encore une importation de la langue anglaise dans la nôtre. Le dandy britannique est au-dessus du fashionable (terme que nous avons aussi emprunté à nos voisons d’outre-mer). Ce dernier suit la mode, le premier la crée ou la brave; le fashionable pénètre tout au plus aux bals d’Almark, et dans quelques routs de l’aristocratie; le dandy y donne le ton, et a sa place partout, jusque sur les sièges du parlement. Les dandies anglais réclament comme un des leurs le célèbre poète Byron, dont les bizarreries un peu affectées lui donnaient quelques droits à ce titre; le héros de son poème original, Don Juan, est aussi, dans plus d’un passage, le représentant du dandysme de Londres. – Le dandy français ne s’est pas encore élevé à la hauteur de ses modèles; sa physionomie est moins tranchée, moins spéciale; c’est souvent, sous un autre nom, le petit-maître de nos aïeux, l’élégant du dernier siècle, l’incroyable d’une époque plus récente. Le dandy ne doit point se borner à ces imitations; et s’il ne peut trouver en lui-même tout ce que promet cette désignation ambitieuse, nous lui conseillons d’aller dans la Grande-Bretagne étudier les oracles et les lois du dandysme. » Ourry, article « Dandy », dans: M. W. Duckett (dir.), Dictionnaire de la conversation et de la lecture. Tome XIX, [D-Délibéra]. Paris, Belin-Mandar, 1835, p. 90 http://agora.qc.ca

Le Dandy

L’homme riche, oisif, et qui, même blasé, n’a pas d’autre occupation que de courir à la piste du bonheur; l’homme élevé dans le luxe et accoutumé dès sa jeunesse à l’obéissance des autres hommes, celui enfin qui n’a pas d’autre profession que l’élégance, jouira toujours, dans tous les temps, d’une physionomie distincte, tout à fait à part. Le dandysme est une institution vague, aussi bizarre que le duel; très ancienne, puisque César, Catilina, Alcibiade nous en fournissent des types éclatants; très générale, puisque Chateaubriand l’a trouvée dans le forêts et au bord des lacs du Nouveau-Monde. Le dandysme, qui est une institution en dehors des lois, a des lois rigoureuses auxquelles sont strictement soumis tous ses sujets, quelles que soient d’ailleurs la fougue et l’indépendance de leur caractère. Les romanciers anglais ont, plus que les autres, cultivé le roman de high life, et les Français qui, comme M. de Custine, ont voulu spécialement écrire des romans d’amour, ont d’abord pris soin, et très judicieusement, de doter leurs personnages de fortunes assez vastes pour payer sans hésitation toutes leurs fantaisies; ensuite ils les ont dispensés de toute profession. Ces êtres n’ont pas d’autre état que de cultiver l’idée du beau dans leur personne, de satisfaire leurs passions, de sentir et de penser. Ils possèdent ainsi, à leur gré et dans une vaste mesure, le temps et l’argent, sans lesquels la fantaisie, réduite à l’état de rêverie passagère, ne peut guère se traduire en action. Il est malheureusement bien vrai que, sans le loisir et l’argent, l’amour ne peut être qu’une orgie de roturier ou l’accomplissement d’un devoir conjugal. Au lieu du caprice brûlant ou rêveur, il devient une répugnante utilité. Si je parle de l’amour à propos du dandysme, c’est que l’amour est l’occupation naturelle des oisifs. Mais le dandy ne vise pas à l’amour comme but spécial. Si j’ai parlé d’argent, c’est parce que l’argent est indispensable aux gens qui se font un culte de leurs passions; mais le dandy n’aspire pas à l’argent comme à une chose essentielle; un crédit indéfini pourrait lui suffire; il abandonne cette grossière passion aux mortels vulgaires. Le dandysme n’est même pas, comme beaucoup de personnes peu réfléchies paraissent le croire, un goût immodéré de la toilette et de l’élégance matérielle. Ces choses ne sont pour le parfait dandy qu’un symbole de la supériorité aristocratique de son esprit. Aussi, à ses yeux, épris avant tout de distinction, la perfection de la toilette consiste-t-elle dans la simplicité absolue, qui est en effet la meilleure manière de se distinguer. Qu’est-ce donc que cette passion qui, devenue doctrine, a fait des adeptes dominateurs, cette institution non écrite qui a formé une caste si hautaine? C’est avant tout le besoin ardent de se faire une originalité, contenu dans les limites extérieures des convenances. C’est une espèce de culte de soi-même, qui peut survivre à la recherche du bonheur à trouver dans autrui, dans la femme, par exemple; qui peut survivre même à tout ce qu’on appelle les illusions. C’est le plaisir d’étonner et la satisfaction orgueilleuse de ne jamais être étonné. Un dandy peut être un homme blasé, peut être un homme souffrant; mais, dans ce dernier cas, il sourira comme le Lacédémonien sous la morsure du renard. On voit que, par de certains côtés, le dandysme confine au spiritualisme et au stoïcisme. Mais un dandy ne peut jamais être un homme vulgaire. S’il commettait un crime, il ne serait pas déchu peut-être; mais si ce crime naissait d’une source triviale, le déshonneur serait irréparable. Que le lecteur ne se scandalise pas de cette gravité dans le frivole, et qu’il se souvienne qu’il y a une grandeur dans toutes les folies, une force dans tous les excès. Etrange spiritualisme! Pour ceux qui en sont à la fois les prêtres et les victimes, toutes les conditions matérielles compliquées auxquelles ils se soumettent, depuis la toilette irréprochable à toute heure du jour et de la nuit jusqu’aux tours les plus périlleux du sport, ne sont qu’une gymnastique propre à fortifier la volonté et à discipliner l’âme. En vérité, je n’avais pas tout à fait tort de considérer le dandysme comme une espèce de religion. La règle monastique la plus rigoureuse, l’ordre irrésistible du Vieux de la Montagne, qui commandait le suicide à ses disciples enivrés, n’étaient pas plus despotiques ni plus obéis que cette doctrine de l’élégance et de l’originalité, qui impose, elle aussi, à ses ambitieux et humbles sectaires, hommes souvent pleins de fougue, de passion, de courage, d’énergie contenue, la terrible formule: Perindè ac cadaver! Que ces hommes se fassent nommer raffinés, incroyables, beaux, lions ou dandies, tous sont issus d’une même origine; tous participent du même caractère d’opposition et de révolte; tous sont des représentants de ce qu’il y a de meilleur dans l’orgueil humain, de ce besoin, trop rare chez ceux d’aujourd’hui, de combattre et de détruire la trivialité. De là naît, chez les dandies, cette attitude hautaine de caste provoquante, même dans sa froideur: Le dandysme apparaît surtout aux époques transitoires où la démocratie n’est pas encore toute-puissante, où l’aristocratie n’est que partiellement chancelante et avilie. Dans le trouble de ces époques quelques hommes déclassés, dégoûtés, désoeuvrés, mais tous riches de force native, peuvent concevoir le projet de fonder une espèce nouvelle d’aristocratie, d’autant plus difficile à rompre qu’elle sera basée sur les facultés les plus précieuses, les plus indestructibles, et sur les dons célestes que le travail et l’argent ne peuvent conférer. Le dandysme est le dernier éclat d’héroïsme dans les décadences; et le type du dandy retrouvé par le voyageur dans l’Amérique du Nord n’infirme en aucune façon cette idée: car rien n’empêche de supposer que les tribus que nous nommons sauvages soient les débris de grandes civilisations disparues. Le dandysme est un soleil couchant; comme l’astre qui décline, il est superbe, sans chaleur et plein de mélancolie. Mais, hélas! la marée montante de la démocratie, qui envahit tout et qui nivelle tout, noie jour à jour ces derniers représentants de l’orgueil humain et verse des flots d’oubli sur les traces de ces prodigieux mirmidons. Les dandies se font chez nous de plus en plus rares, tandis que chez nos voisins, en Angleterre, l’état social et la constitution (la vraie constitution, celle qui s’exprime par les moeurs) laisseront longtemps encore une place aux héritiers de Sheridan, de Brummel et de Byron, si toutefois il s’en présente qui en soient dignes. Ce qui a pu paraître au lecteur une digression n’en est pas une, en vérité. Les considérations et les rêveries morales qui surgissent des dessins d’un artiste sont, dans beaucoup de cas, la meilleure traduction que le critique en puisse faire; les suggestions font partie d’une idée mère, et, en les montrant successivement, on peut la faire deviner. Ai-je besoin de dire que M. G., quand il crayonne un de ses dandies sur le papier, lui donne toujours son caractère historique, légendaire même, oserais-je dire, s’il n’était pas question du temps présent et de choses considérées généralement comme folâtres? C’est bien là cette légèreté d’allures, cette certitude de manières, cette simplicité dans l’air de domination, cette façon de porter un habit et de diriger un cheval, ces attitudes toujours calmes mais révélant la force, qui nous font penser, quand notre regard découvre un de ces êtres privilégiés en qui le joli et le redoutable se confondent si mystérieusement: « Voilà peut-être un homme riche, mais plus certainement un Hercule sans emploi. » Le caractère de beauté du dandy consiste surtout dans l’air froid qui vient de l’inébranlable résolution de ne pas être ému; on dirait un feu latent qui se fait deviner, qui pourrait mais qui ne veut pas rayonner. C’est ce qui est, dans ces images,
parfaitement exprimé.

Dandy x Lounges Air France

Depuis le 1er avril, Dandy est présent dans tous les lounges Air France dans les salons classes affaires et première classe des plus grands aéroports internationaux. Ce bimestriel lifestyle haut de gamme s’adresse plus particulièrement à des hommes CSP++, actifs, âgés de 30 à 55 ans. Source: Tarifmedia

ARTYDANDY

Sublimes, kitsch, baroques, graphiques ou politiques, les objets ne sont ni des outils définis par des fonctions, ni des contingences nécessaires de la vie moderne. Ils sont, comme le dit Ettore Sottsass à propos du design, “une métaphore sociale”. Sublime, Kitsch, Baroque, graphic or political, the objects are neither tools defined by their function nor necessities of modern life. They are as Ettore Sotssas says about design, “a social metaphor”. Dans la production de notre époque, émergent des objets qui surprennent par leur audace, leur poésie ou leur humour. Ce sont ces témoins iconoclastes – et tellement tentateurs – qu’ARTYDANDY ambitionne de réunir dans un lieu singulier. Pièces uniques, éditions limitées, articles rares mais toujours contemporains, composent une offre étonnante et exigeante. ARTYDANDY est un carrefour entre le design, l’art contemporain et la mode en perpétuel renouvellement. Among the products of our era are objects which surprise by their audacity, their poetry or their humor. It is these iconoclast and tempting witnesses of our time that ARTYDANDY aims to unite in an exclusive location. Always contemporary unique pieces, limited edition and exceptional items, gather an un-expecting and hard to please offer. ARTYDANDY is a crossroad between design, contemporary art and fashion. artydandy.com

Le dandy britannique est au-dessus du fashionable

Les dandies anglais réclament comme un des leurs, le célèbre poète Byron, dont les bizarreries un peu affectées lui donnaient quelques droits à ce titre; le héros de son poème original, Don Juan, est aussi, dans plus d’un passage, le représentant du dandysme de Londres.

Le dandy français ne s’est pas encore élevé à la hauteur de ses modèles; sa physionomie est moins tranchée, moins spéciale; c’est souvent, sous un autre nom, le petit-maître de nos aïeux, l’élégant du dernier siècle, l’incroyable d’une époque plus récente.

Le dandy ne doit point se borner à ces imitations; et s’il ne peut trouver en lui-même tout ce que promet cette désignation ambitieuse, nous lui conseillons d’aller dans la Grande-Bretagne étudier les oracles et les lois du dandysme.

Article « Dandy » – M.W. Duckett (dir.), Dictionnaire de la conversation et de la lecture, inventaire raisonné des notions générales les plus indispensables à tous, par une société de savants et de gens de lettres, Tome XIX. Paris, Belin-Mandar, 1835, p. 90

Fred Perry x Casely-Hayford

Fred Perry x Casely-Hayford

Je crée quelque chose de nouveau à partir de quelque chose d’ancien, en célébrant les vêtements chéris transmis de génération en génération déclare Charlie Casely-Hayford, directeur artistique de la marque de menswear londonienne Casely Hayford, fondé par son dont père, Joe.

Joe Casely Hayford fut aussi un célèbre tailleur de Savile Row et a notamment été le styliste attitré de Bono, Oasis et The Clash. Avec cette collaboration, Charlie continue de s’appuyer sur l’héritage et la signature dandy impulsé par son père.

Le sens de la modernité se ressent dans les formes décontractées et dans des détails subtils. La collection Fred Perry x Casely-Hayford est disponible à partir du Jeudi 29 Juillet.

Exposition Hilton Mc Connico à la Rupture House (Paris)

Exposition Hilton Mc Connico à la Rupture House (Paris)

Initié par Thomas Erber, cette exposition hommage présente le travail inédit de trois designers (Vincent Darré, Pierre Gonalons et Atelier Baptiste et Jaïna) qui mettent en scène, chacun dans un espace dédié, leurs interprétations de l’univers d’Hilton McConnico.

Designer, décorateur, scénographe, photographe, peintre, dandy césarisé et décorateur de cinéma (pour, entre autres, le film Diva de Jean Jacques Beineix), Hilton McConnico fut, durant sa longue carrière internationale, ce touche-à-tout parfaitement génial qui collabora avec les plus grandes maisons (Daum, Hermès, Compagnie des Cristalleries de Saint Louis…).

Pensée comme une «villa Médicis» moderne pour mieux connecter les marques aux artistes et à la culture, cette maison est un appartement de collectionneur, une galerie privée, un lieu de rencontre et d’influence. Son ouverture au public permet au plus grand nombre de profiter des œuvres et du travail des nombreux artistes, créateurs et marques avec qui la maison collabore.

Rupture House, 1 place André Malraux, 75001 Paris
Du 4 juin au 31 juillet
Les vendredis et samedis de 10h à 18h

Le Calendrier 2019 de Wyylde

Le Calendrier 2019 de Wyylde

En ces temps de puritanisme exacerbé et de retour à un ordre prétendument moral, mais surtout liberticide, on avait à coeur de trouver un prétexte pour remettre en avant ces artisans du plaisir, c’est chose faite avec ce calendrier 2019 !

Pour rappel, créé en 2001 sous le nom de netechangisme.com, le site s’est mué depuis 2016 en réseau social, appelé Wyylde (union de “wild” (sauvage en anglais) suggérant la transgression et la liberté sous toutes ses formes, et d’Oscar Wilde, dandy célèbre pour ses aphorismes sur le désir et le plaisir). Le crédo de Wyylde ? la liberté de jouir sans entrave. Royaume d’une sexualité libérée et débridée, Wyylde est surtout un espace formidable de liberté et de rencontres pour tous, où tout est possible… Avec plus de 2 millions de membres et 300 000 visites par jour, Wyylde est le 1er site de rencontre libertine en France.

Le Calendrier 2019 est disponible sur le store (store.wyylde.com) ou offert pour tout pour tout nouvel abonnement  d’un an.

Hendrick's Gin à boire dans une tasse à thé, le nouveau snobisme de l'été

La légende raconte que la reine Victoria consommait son Gin en toute discrétion dans sa tasse à thé… La Maison écossaise, connue pour son anticonformisme et la grande qualité de son produit, revisite ce fameux « tea time » dans un service en porcelaine pour y servir son cocktail Hendrick’s Cucumber & Tonic ainsi que 4 nouveaux Cocktails, où subtilité et originalité se marient pour le plus grand plaisir des Dandys un peu Snob. Ces Cocktails sont à réaliser chez soi et à Shaker avec une bonne dose d’impertinence…

Dissertation #1 La panacée des senteurs

INGRÉDIENTS:
• 5 cl de Gin Hendrick’s
• 2 cl citron vert pressé
• 1,5 cl de sirop de sucre simple
• 4 feuilles de menthe poivrée fraîche
• 2 cl jus de kiwi
POUR SERVIR : une tranche kiwi et une tranche de concombre frais
Mettre le citron vert pressé, le sirop de sucre, les feuilles de menthe poivrée fraîche et le jus de kiwi frais dans un shaker. Ajouter ensuite le gin Hendrick’s et shaker vigoureusement pendant 10 secondes. Double filtrer dans une tasse à thé. Ajouter un glaçon dans la tasse pour la fraîcheur. Disposer une tranche de kiwi et tranche de concombre frais pour la décoration.
Dissertation #2 La dithyrambe de L’olfactif

INGRÉDIENTS:
• 2 cl de sirop de mandarine
• 2 cl de citron vert pressé
• 5 cl de Gin Hendrick’s
• 1 Tonic

POUR SERVIR : dés d’orange confite et une tige de romarin.

Dans un verre tumbler, incorporer (sur des glaçons fraîchement déposés jusqu’au 2/3 du verre), le sirop de mandarine fraiche, le citron vert pressé et le gin Hendrick’s. Ajouter le tonic jusqu’à 9/10 du verre. Mélanger le tout avec une bar-spoon pour lier les arômes. Ajouter de la glace pilée pour donner du volume au cocktail et servir dans une tasse à thé avec les dés d’orange confite et la tige de romarin.

Dissertation #3 Le soupir des roses qui se fanent

INGRÉDIENTS:
• 2 cl de citron jaune
• 2 cl de sirop de boutons de rose
• 4 cl de Gin Hendrick’s
• Bitter Aphrodite
• Top tonic

POUR SERVIR : boutons de rose et tige de lavande séchées

Dans un shaker, verser le citron jaune, le sirop de boutons de rose, le gin Hendrick’s et un trait de Bitter Aphrodite. Shaker vigoureusement. Servir dans une tasse Hendrick’s, Toper à l’aide du Soda water. Mélanger avec une bar spoon pour lier les arômes. Ajouter de la glace pilée pour donner du volume au cocktail et servir dans une tasse à thé, avec les boutons de roses et la tige de lavande séchée.

Dissertation #4 Fleur de Sureau et Verveine

INGRÉDIENTS:
• 2 cl citron vert
• 2 cl cordial fleur de sureau
• 5 cl de Gin Hendrick’s
• Verveine poudre
POUR SERVIR : grains de genièvre et brins de lavande

Dans un shaker, mettre le citron vert, le cordial fleur de sureau et le gin Hendrick’s. Saupoudrer de verveine pilée. Shaker vigoureusement. Double filtrer dans une tasse à thé. Ajouter de la glace pilée pour donner du volume au cocktail et y déposer les grains de genièvre.

L’insolite version cocktail

INGRÉDIENTS:
• 5 cl de Gin Hendrick’s
• Tonic water

POUR SERVIR : 2 tranches de concombre

Dans une tasse Hendrick’s, mettre des glaçons (3/5 de la tasse) puis verser le gin Hendrick’s. Ajouter le tonic water. Mélanger les arômes à l’aide d’une bar spoon et servir avec 2 tranches de concombre et une paille.

En découvrir plus sur l’univers Hendrick’s: twitter.com/hendricksgin – facebook.com/hendricksgin – us.hendricksgin.com

L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ. À CONSOMMER AVEC MODÉRATION.

SNOB SOCIETY: SEXE, DROGUE ET JET SOCIETY

Chanel, Gloria Swanson, Greta Garbo, Marie-Laure de Noailles, la duchesse de Windsor, Visconti, Ali Khan, Rita Hayworth, Truman Capote, Gianni Agnelli, la princesse Grace, la Callas, Onassis, Jackie Kennedy, Andy Warhol, Jacques Chazot, Elizabeth Taylor… Qui peut se targuer d’un tel générique ? Ce livre n’est pas une étude sociologique sur le snobisme, mais un livre avec des snobs comme personnages. Des snobs qui se croisent. Plus de snobs qu’aucun autre livre n’en a jamais réuni.

Des snobs, des dandys, des noctambules, des esthètes, des égéries, des stars, dès couturiers, des décoratrices, des écrivains, des hommes à femmes et des femmes à hommes (mais aussi des hommes à hommes et des femmes à femmes) réunis par des histoires d’amour, des romances, des coucheries, des coups de foudre, des coups fourrés… Presque une centaine d’acteurs, sans compter les seconds couteaux. Que du beau monde, mais quel monde! Un monde à des années lumière du nôtre.

Un monde qui appartenait encore aux hommes et aux femmes qui se couchaient tard, qui buvaient comme des trous, qui fumaient comme des pompiers et se droguaient à l’occasion. Grâce à une foule d’anecdotes et une écriture qui emprunte au romanesque, Francis Dorléans, ancien chroniqueur pour Vogue, a l’art de convertir la nostalgie d’une époque en un feuilleton acide et coloré dont on ne voudrait rater aucun épisode. De Francis Dorleans (Auteur)

Candle in the Wind

Le Dandy, créature romantique par excellence et butineur de vie par essence ne se préoccupe de la mort qu’à la lueur d’une bougie True Grace ;

Concerné non pas par l’aspect bassement morbide de la chose mais plutôt par la façon la plus élégante de quitter ses contemporains. Même si il n’imagine sa disparition qu’au terme d’une vie longue et merveilleuse, pleine d’attraits et d’aventures sulfureuses, le Gentleman sait déjà que l’on entendra résonner dans une cathédrale l’Etude in C minor Op. 10.12 – Revolution de Chopin en sa mémoire, qu’il sera habillé d’un costume pourpre en velours sur mesure et de Berluti en crocos, des milliers de fleurs exotiques encercleront son ultime demeure tandis que ses multiples veuves pleureront des effluves de Joy de Jean Patou… Si chic So dead like a Candle in the Wind.

(suite…)

Get in the "Ring"

« Un carnage pur et simple dans les gencives du café de Flore ne nous a jamais effleuré l’esprit. Au profond de la séparation des mondes, il fallait opposer à ces salopes la force pure du Grand incendie, d’un cyclone dont chaque vortex serait un écrivain. Frapper. Disparaître. Rendre publique une liste de noms, d’affranchis. Dandys sanguinaires, folles de Dieu, solitaires fascinants, collectionneurs d’orgasmes et nihilistes sculpteurs d’eux-mêmes : voici les monstres, cher lecteur, qui hantent les pages de Ring. » David Kersan www.surlering.com

Jules Amédée Barbey d'Aurevilly

«Le public a été deux fois injuste envers lui: d’abord en ne lui accordant pas la considérable place à laquelle il avait certainement droit; ensuite en grossissant sa légende de dandy ridicule, au détriment de son singulier génie. Quoi qu’on ait raconté sur ses origines, Barbey d’Aurevilly, au temps de Lemerre, avait une héroïque noblesse, une allure, un ton et des mots inoubliables. Pauvre et fier comme Artaban, illusionné de la Manche française comme l’autre de la Manche espagnole, mais d’un à-pic extraordinaire dans quelques-uns de ses jugements, ferme en ses opinions et croyances, à une époque où tout vacillait dans l’épaisse sottise démocratique, éloquent et spirituel à la façon d’un Rivarol, aéré comme Chateaubriand, bien plus logique que lui, visionnaire des paysages de son Cotentin comme un vieil aigle, le maître du Chevalier Destouches et de Une vieille maîtresse inspirait au gamin que j’étais une profonde admiration. Il avait la tête dans les cieux. Il ne ressemblait pas aux autres hommes de lettres. Ses aphorismes, ses condamnations, ses éloges tombaient de haut. Un jour d’hiver, par un froid sec, mon père l’emmena, de chez Lemerre, jusqu’à un restaurant des Champs-Élysées, encore ouvert et bien chauffé, dont je ne me rappelle plus le nom. Tous deux parlaient vivement de Flaubert, que défendait avec passion Alphonse Daudet, qu’attaquait avec passion Barbey D’Aurevilly. Je marchais à côté d’eux très attentif et intéressé, car Flaubert, chez nous, était roi. Une fois installés: “Que prenez-vous?… — Du champagne”, répondit d’Aurevilly comme il aurait dit: “De l’hydromel.” Vieux guerrier édenté, au verbe sifflant et irrésistible, il avala coup sur coup quatre, cinq verres de cet argent liquide et mousseux. Puis il se mit à parler, si fort et si bien, que la caissière émue ne le quittait pas du regard. Mon père lui donnait la réplique. Le soir venait. On alluma le gaz et, au bout d’une heure environ, étant derechef altéré, ce démon de Barbey redemanda: “Une seconde bouteille de champagne, madame, je vous prie.” J’étais émerveillé. Il portait ce jour-là, pour cette prouesse improvisée, un grand manteau noir flottant, doublé de blanc, et le fond de son chapeau haut de forme était de satin écarlate. Mais qui donc aurait eu envie de rire en entendant de pareils accents! Sa voix ajoutait au prestige. Il l’enflait, puis la baissait harmonieusement. Il eût fait un orateur consommé. Perpétuellement tourné vers ce qui est grand, généreux et original, il possédait un répertoire d’exploits galants et militaires, où le farouche le disputait au précieux dans un excellent dosage très français. Imaginez une interpolation des Vies des dames galantes de Brantôme avec les Vies des grands capitaines. Son horreur de la vulgarité s’affirmait, quand il disait à mon père: “Votre Zôla”, comme s’il y avait eu sur l’o plusieurs accents circonflexes et dépréciateurs. Je l’ai montré grand et beau buveur. Un soir à Champrosay, le domestique, se trompant, versa à la ronde, au lieu de vin blanc, une antique eau-de-vie de prunes, dépouillée certes, mais encore vigoureuse. D’Aurevilly se faisait toujours servir au ras bord. Avant qu’on n’eût eu temps de l’avertir de la méprise, il avait déjà tout englouti d’une lampée, sans nul émoi, comme si cette rasade eût été naturelle. Il avait en horreur certains contemporains, pour la mollesse de leur style ou la vulgarité de leurs idées. D’où son mot célèbre, au sujet du plus prolixe d’entre eux: “Ses parents, mossieur, vendaient de la porcelaine. Lui, c’est un plat.” Mais il était tout indulgence et bonté envers les petits confrères laborieux et miteux, qui font péniblement leur chemin dans le journalisme. Il citait volontiers Byron et les lakistes, Shakespeare, les Pères de l’Église et les grands classiques. Somme toute, une admirable personnalité, un diamant que rien ne pouvait rayer, sinon un autre diamant de même taille et de même clivage. On l’eût vainement cherché parmi ceux de sa génération.» http://agora.qc.ca

Dictionnaire de littérature à l'usage des snobs…

Et (surtout) de ceux qui ne le sont pas. Comment ai-je pu penser que le Club des Longues Moustaches était une association de gays pileux ? Où est situé ce restaurant de l’Algonquin dont on me répète qu’il était le centre du monde au début du XXe siècle ? D’où sortent ce baron Corvo et ce Zo d’Axa ? Suis-je tenu de relire l’intégrale des colloques de Cerisy, de me mettre à la post-poésie et à la littérature agénérique ? Pourquoi les Crosby sont-ils jugés beaucoup plus importants que les Fitzgerald ? Dois-je lire ce mystérieux B. Traven dont on m’assure qu’il surpasse Conrad et London ? Suis-je vraiment un idiot de croire que la Paris Review est un guide touristique consacré à la Ville Lumière ? Jean de La Ville de Miremont est-il le plus grand écrivain français du XXe siècle, comme on me l’affirme dans les dîners ? Qui est cet André Blanchard, de Vesoul, qui provoque crises de spasmophilie à la seule évocation de son nom ? Quel est le prix littéraire le plus déjanté ? Pourquoi devrais-je prêter attention aux journaux du défunt Matthieu Galey ? Suis-je obligé d’aller acheter mes livres à Tours, place Grand-Marché ? Ce lexique indispensable de connaissance littéraire pointue s’adresse à tous ceux qui soupçonnent l’existence d’un autre monde derrière les grandes figures imposées. Entre seconds couteaux ignorés ou oubliés, figures de dandy vénérées, personnages pittoresques, us et coutumes d’une secte étrange, ce dictionnaire d’un genre inédit est un remarquable voyage à travers la littérature. Et confirme le mot de Schnitzler selon lequel le snob a en général raison. Fabrice Gaignault (Auteur), Alberto Vejarano (Illustrations) www.amazon.fr

[R].I.C.H.E

Afin de lutter contre le Diktat petit bourgeois et l’ingérence du commun dans les affaires des riches, des puissants et des notables, certains radicalistes chics préconisent de ne plus réserver les ‘bonnes bouteilles’ pour des invités de marque ou lors d’occasions particulières, mais au contraire de se faire plaisir et de déguster ses meilleurs crus sans raisons particulières (mais avec modération). Par exemple, un Beychevelles 1989 un dimanche après – midi devant Drucker, ou un verre de Condrieu avant de se coucher, ou encore une coupe de Cristal rosé dans son bain… D’après cette frange élitiste du microcosme, le moment n’a pas d’importance, seule la satisfaction de réaliser sa pulsion hédoniste doit animer le nanti dandy pour le distinguer du plébéien.

Mauvaise étoile par Virginie Despentes…

Sous titré : Le clip interdit de Patrick Eudeline. Il serait trop facile de dire que le clip a été interdit par la brigade du bon goût… Patrick Eudeline pour bon nombre de style setters en herbe c’est l’éternel dandy punk, le génial cyber auteur, l’ultime représentant d’un monde de fantômes. Bref, un monument gothique et underground a savourer sans modération.

George Sand

« Femme de lettres vivant de sa plume, féministe dénonçant le joug subi par le deuxième sexe, socialiste dialoguant avec le révolutionnaire Pierre Leroux, amoureuse aux liaisons célèbres et scandaleuses (Musset, Chopin …), idéaliste engagée aux côtés du ‘Peuple’, provocatrice fumant le cigare dans ses habits d’homme, ‘bonne Dame de Nohant’ jouant à la châtelaine paternaliste, romantique au bons sens paysan, thuriféraire des vertus de la campagne, dandy urbaine et délurée, friande d’ésotérisme, écrivain discutant style avec Flaubert … tous ces aspects parfois contradictoires, George Sand les a incarnés agora.qc.ca

Pierre Hermé Paris @ Paris Ladies Dandies

Pierre Hermé Paris s’invite chez Paris Ladies Dandies
Time to celebrate…aujourd’hui Paris Ladies Dandies fête son premier anniversaire. Mais vous nous connaissez, chez Paris Ladies Dandies on n’aime que le meilleur, le chic, le glam et qui mieux que « le Pâtissier d’avant-garde et magicien des saveurs » Pierre Hermé pour nous accompagner en ce jour si particulier. Mais non vous ne rêvez pas, c’est avec le plus grand bonheur que nous vous proposons une offre EXCLUSIVE en série limitée Pierre Hermé Paris juste sur le site de Paris Ladies Dandies.
On vous propose un assortiment de bonbons de chocolat défini par Pierre Hermé himself dans les termes suivants “pour moi, un bonbon de chocolat doit avoir juste ce qu’il faut d’épaisseur pour éprouver le plaisir du contraste de textures et l’enrobage et le moelleux des ganaches.
« J’entretiens une relation particulière, à la fois physique et passionnelle, avec le chocolat. ” La promesse ? 200g de plaisir intense. Voilà pour le contenu. »
Mais comme le contenant est aussi important que le contenu, nous avons craqué pour la boite en édition limitée LOVE dessinée par la talentueuse Marianne Guély. Mais si, vous avez déjà vu ses créations chez Cartier, Baccarat, Roger Vivier ou encore chez Hermès…Bref le luxe in & out.
On est complètement fan: la livraison à domicile…plus la peine de faire la queue dans le froid…on like 🙂 !
Le pitch : Un assortiment de bonbons de chocolat Pierre Hermé Paris La boîte LOVE, une exclusivité en série limitée pour Paris Ladies Dandies 200g de bonbons de chocolat Boite LOVE dessinée par la célèbre Marianne Guély Livraison à domicile en chronopost Livraison avant Noël garantie

Paris Ladies Dandies est un site internet qui propose des offres à prix coup de cœur. Créé par une lady et un dandy, tous deux passionnés de mode, toujours à la recherche des nouveaux endroits branchés, des dernières tendances, mais aussi adeptes des produits de luxe et des adresses confidentielles, ils ont décidé de vous faire découvrir le Paris trendy, le Paris chic, le Paris glam en vous proposant des prestations à tarifs préférentiels.

e-magazine Blake sur la toile – Blake magazine masculin en kiosque

Fort du succès de sa version e-magazine lancée il y a quatre ans, Blake magazine masculin, sortira en kiosque courant novembre. Ce magazine consumériste donne une large place à la mode, aux accessoires, au bien-être… avec des pages sorties cinéma, vidéo, fooding… La commercialisation des espaces publicitaires est assurée par la régie WPP, qui commercialise déjà dans l’univers des masculins, Dandy, Friendly, Entrevue et Choc. Tarifmedia.com

MacKeene, Gentlemen Beachstyle

La marque MK est le fruit d’une passion commune pour l’univers du nautique et des sports qui en sont lie?s, ainsi que pour l’univers de la mode et celui de l’e?le?gance masculine. Cette anne?e l’attention se porte sur le costume de bain SWELL, la ligne retravaille?e du mode?le YACHTING avec plus de de?tails et de nouveaux tissus gaufre?s pour l’e?te? 2011.

Style et performance re?sument la philosophie de la marque. En essentiel, les produits sont « des maillots pour naviguer ou pour se rendre a? un cocktail sur la plage ». Le maillot de bain Adulte se de?cline en deux mode?les : Court et Long. Le maillot Enfant, type short Un maillot pour le parfait petit gentleman ! Les aimants, toujours pre?sents dans les fermetures, ont e?te? retravaille?s pour un maintien optimal.

Avec une vingtaine de couleurs acidule?es et 2 longueurs, la collection SWELL est parfaitement adapte?e aux besoins de l’homme, qu’il soit urbain ou nature. L’e?le?gance et la sobrie?te? des maillots de bain permettent aussi de les porter en bermuda.

France : Paris – L’Eclaireur « Champs-Elyse?es 8e?me »  Paris – L’Eclaireur « Boissy d’Anglas 8e?me » – Paris – Dandy Parisien « 6e?me » – Paris – The?ofil – Paris – Alain Martinie?re « 8e?me » –    Paris – Menlook –    Lille – Nouvelle Vague – Saint Tropez – Le Cha?teau de la Messardie?re – Saint Tropez – Othello « Place des Lices » – Saint Tropez – Victoire « Centre » –    Saint Tropez – La Voile Rouge « Ramatuelle » –    Saint Tropez – Le Club 55 « Ramatuelle » – Marseille – Ketoff « Centre » –    Cannes – Mondo Uomo « Centre » – Monaco – Monte Carlo Beach « Plage » – Lyon – Smart « Centre » – Fortbach – Barrymore –    Saint Jean de Luz – YD pour Homme – Corse – Les Baigneuses « Saint Florent » – Corse – Michel & Noel « Bastia » – Corse – Petite Gaminerie « Bastia » – Corse – Cariocca « Bonifaccio »  Corse – Cariocca « Porto Vecchio » – Saint Barthe?le?my – Le Guanahani « Grand Cul de Sac » – Saint Barthe?le?my – Sun Barth « Le Port » – Brussels – Hotel du Conrad Aspria « Avenue Louise » – Brussels – Privejoke « Centre »  Gent – Belgrado « Centre » Pays-Bas : – Bilthoven – Bodyfashion I?le Maurice : – Terre Rouge – Longbeach Espagne : – Marbella – Ocean Club Menlook – menlook.com –    La Nouvelle Vague – lanouvellevague.com MK Online Store : mackeene.com

Sarah Burton’s ALEXANDER McQUEEN sur OKI-NI

Un style très anglais, pur, très sérieusement dandy.

Sarah Burton’s first runway show included naval-influenced pieces, such as the chevron officer’s coat, complemented by complex layering. A naval colour palette was interrupted by bright reds, rich oranges and bold prints.  Shearling has been a recurring theme across-the-board this season, but for me the best example of this was the McQueen cropped leather jacket with a thick shearling collar. oki-ni.com

"Bee my Love" Chaumet

Une ligne de 9 bagues en or gris, or jaune et or rose, pavées de diamants. Les 9 bagues « alvéolées » s’emboîtent parfaitement, selon une infinité de combinaisons pour créer une bague unique : la vôtre ! Prix : à partir de 590€  Téléphone lecteur : 01 44 77 26 26

Johnny Boy "Modern Idol" EP maintenant sur iTunes

“Vous rappelez-vous cette scène délicieuse de Mean Streets tournée dans une salle de billard où Johnny Boy campé par Robert de Niro pète les plombs ? La spontanéité, la folie, l’énergie et le kitsch de l’acteur américain crevaient l’écran… Vous retrouverez toutes ces qualités dans le Modern Idol des dandys français qui ont emprunté le nom du héros du film de Scorsese. » – Hartzine « Une résurrection des Sex Pistols en mode électro » – Discordance JOHNNY BOY electronically informed rock band / Paris L’Histoire ne retient souvent que deux noms dans un groupe, généralement ceux qui composent (Jagger/Richards, Strummer/Jones, Barat/Doherty …). C’est donc sans doute pour ne laisser personne dans l’anonymat que Nicky Larsen et Salo JR ont préféré fomenter leur complot en duo. Léger comme l’albatros, évinçant les contraintes d’un line-up traditionnel, Johnny Boy abandonne l’idée de groupe au profit d’un binôme soudé et complémentaire. Quel que soit le costume qu’on veuille leur faire endosser, ils s’y sentent toujours trop à l’étroit. Eux préfèrent l’aventure sonore. Armés de boites à rythmes et de synthés, tirant d’une Télécaster des sonorités tour à tour cinglantes, grumeleuses ou noisy, ils retiennent l’insolence et l’énergie du punk rock, les associent à des mélodies pop et des tapis d’électro primaire, pour donner jour à un post-punk désenchanté et conquérant, révélant des influences telles que Suicide, Buzzcocks, P.I.L. ou The Hives.

Aussi à l’aise dans un squat berlinois que face au public d’un gros festival, offrant un live généreux, énergique parfois même jusqu’à l’épuisement, Johnny Boy compte près de 200 concerts en France, Belgique, Allemagne, Angleterre, Suisse et Russie, des scènes les plus officielles aux plus underground, partageant l’affiche avec les Shy Child (US), The Death Set (US),The Rakes (UK), Dead Kids (UK), Hushpuppies, Les Thugs, Sexy Sushi, Cheveu, Minitel Rose… Après le EP Dialectik Noise en 2008 suivi dans la foulée d’un split LP vinyle avec le groupe Anes et Bateaux, Johnny Boy renoue avec le studio en 2010 et donne naissance au EP Modern Idol, accompagné de remixes. Déjà disponible en vinyle LP via Anywave Records, Modern Idol est enfin disponible en digital via Laitdbac Records et Module. Site officiel de Johnny Boy : http://johnnyboy.band.free.fr Johnny Boy sur Facebook : http://www.facebook.com/pages/Johnny-Boy/206709024576?v=wall Johnny Boy sur Twitter : http://www.twitter.com/johnnyboyband

LIVE REPORT: Lisa de JetSociety @ Alex Winston

LIVE REPORT: « Je suis arrivée à 19h30 comme prévu. Il y avait une bonne petite attente à l’entrée, ce qui en général laisse présager d’un event sympa. La « star » du soir c’était Alex Winston, étant programmée en 2 ème partie de soirée les gens sont arrivés tranquillement, de fil en aiguille. 1er groupe (19h30-20h15)  :

GROUPLOVE : Résidant depuis peu à Los Angeles leur premier EP éponyme est un joyeux mélange de folk arty, de rock indé cinématographique et d’énergie débordante. Les chansons étaient assez variées. Il ont réussi à mettre une ambiance assez sympa. La nana portait un grand t-shirt à la grunge avec écrit en gros LOVE dessus. Les gars aussi assez à l’arrache, avec petite coupe normale, en fait assez grunge-dandy new wave…

Puis vint le clou du spectacle pour ma part, avec l’arrivée de la délicieuse Alex Winston. Salle pleine. Public éclectique mais tendance bobo. Geek et Dandy Rock. A.W est arrivée dans une petite robe noire largement décolletée et ses longs cheveux lâchés avec lesquelles elle aime jouer. Regard malicieux et cette manière typique de dodeliner, héritée des rockeurs envoûtés (You know Janice Joplin). Tout est bon dans A.W ! Aucune chanson n’est à jeter ! La salle écoutait religieusement chacune de ses chansons, à la fois pétillantes, entraînantes (pop espiègle, folk rieur et electro onirique dixit les INROCKs) c’est tout à fait ça… difficile à décrire mais ensorcelante .

Un peu court, 45 minutes et la demoiselle s’en est allée, laissant la dure tache à We are enfant terrible de lui succéder…  Une excellente soirée sous le charme de l’ultra réjouissante Alex Winston…