La Veyron s’habille en Hermès pour le salon de Genève. Le projet fait revivre une relation entre Molsheim et Paris qui avait commencé avant la Première Guerre mondiale, lorsque Ettore Bugatti commanda ses selles d’équitation à l’atelier d’Emile Hermès. Dans les années 1920, les cuirs Hermès apparurent dans les habitacles des Bugatti, marquant le début d’une longue collaboration entre le constructeur français et la marque de la rue de Faubourg Saint-Honoré à Paris. Cette édition spéciale se caractéristique par une peinture deux tons noir et sable. En hommage à la légendaire Bugatti Type 35 de 1924, la Veyron arbore des jantes en aluminium poli à huit rayons, dont le moyeu central à papillon est frappé d’un  » H « . De même, la calandre en forme de fer à cheval est les ouies d’aération sont grillagés de  » H  » entrelacés. À l’intérieur, la touche d’Hermès est omniprésente : les poignées de porte rappellent celles des valises du malletier, le tableau de bord est recouvert de veau, plutôt que d’aluminium brossé. Un cuir à deux tons recouvre élégamment la boîte à gants, ainsi que le panneau séparant l’habitacle du compartiment moteur, habituellement en fibres de carbone. Le coffre est également bordé de cuir, à l’intérieur duquel on trouve bien évidemment des bagages Hermès réalisés sur mesure. Le tout pour la modique somme de 1,55 millions d’euros… hors taxes ! F. Grimpret http://fr.cars.yahoo.com