Trentenaires de tous pays notre point commun irréductible n’est pas le chômage, le sida ou la pop culture, c’est le jeu vidéo et la forme la plus aboutie de cette réalité est la salle d’arcade. Endroit dans lequel nous entretenions notre capacité à accepter un principe formel même game over nous pouvons survivre… avec des crédits ! Aujourd’hui les consoles de salon ont totalement supplanté ces lieux de pré débauche mais le souvenir vif et grisant de ces moments passés à suer sang et eau sur les joysticks conduit les plus téméraires à l’achat de jeux de café pour une utilisation à la maison. Je ne peux que comprendre cette démarche que je trouve parfaitement régressive, nostalgique et chronophage. Bref, j’adore. Geek ta mère, on existait avant vous jeunes cons !