Slash ft. Myles Kennedy and The Conspirators – April Fool (Extrait de 4)

Slash ft. Myles Kennedy and The Conspirators – April Fool (Extrait de 4)

SLASH FT. MYLES KENNEDY & THE CONSPIRATORS, (SMKC) ont récemment terminé leur tournée nationale « The River Is Rising » aux États-Unis avec des concerts à guichets fermés en soutien à leur nouvel album 4 disponible partout maintenant via Gibson Records/BMG. Aujourd’hui, le groupe a dévoilé la vidéo officielle de son deuxième single, « April Fool ».

Slash ft. Myles Kennedy and The Conspirators - April Fool (Official Music Video)

J’ai beaucoup d’enregistrements de nous en train de jouer « April Fool » lors des balances sans savoir où cela nous mènerait, et bien que cela ait pris du temps à se mettre en place, c’est un riff cool », dit SLASH. « La chanson a vraiment pris forme lorsque nous sommes entrés en studio, et c’est l’une des chansons sur laquelle Dave Cobb a eu un impact certain. Certains éléments clés manquaient dans la démo, au niveau de l’arrangement, et il a dit : « On va connecter ça juste là… » Et j’ai dit : « Oh, oui, c’est une bonne idée ! ». [rires] Parfois vous avez juste besoin de cette autre personne en qui vous pouvez avoir confiance musicalement. Et s’ils ont une idée, on ne peut pas être trop précieux pour l’essayer. »

MYLES KENNEDY ajoute à propos de la chanson : « C’est l’une de mes préférées. Un morceau vraiment amusant. Lyricalement, il s’agit de se faire jouer, et finalement, vous réalisez que vous en avez assez, et vous décidez que vous allez avoir le dernier rire à la fin. C’est là que la phrase « I guess the jokes’ on you, » entre en jeu. Et Dave s’est sali les mains sur ce coup-là. Il a fait quelques retouches et soudain, on s’est dit : « C’est beaucoup mieux ! On était vraiment, vraiment, heureux de ce que ça donnait. »

SLASH FT. MYLES KENNEDY & THE CONSPIRATORS (L-R): TODD KERNS (bass & vocals), SLASH (guitar), MYLES KENNEDY (vocals), FRANK SIDORIS (guitar & vocals), and BRENT FITZ (drums). Photo credit : Ross Halfin

Lujipeka, Les Montagnes Russes (Réalisé par Benjamin Montel & Antonin Boutinard Rouelle) – France TV Slash

Lujipeka, Les Montagnes Russes (Réalisé par Benjamin Montel & Antonin Boutinard Rouelle) – France TV Slash

Le 23 aout 2019, les « Columbine » se séparent. Lujipeka, le leader du groupe décide de continuer l’aventure seul, pour le meilleur et pour le pire. Ce documentaire suit pendant deux ans ses premiers pas en solo, de son dernier concert avec Columbine jusqu’à son premier show.

DOCUMENTAIRE : "LES MONTAGNES RUSSES" (TEASER)

Nous sommes invités dans l’intimité de l’artiste ou se mèlent doutes, écriture, ambition, solitude, création.. mais nous affrontons surtout avec lui un obstacle imprévisible et redoutable : le COVID qui vient fortement perturber la période et renforcer les doutes de Lujipeka. Ce documentaire est un film d’initiation. C’est le récit du passage de la jeunesse à l’âge adulte. https://www.france.tv/slash/jump/saison-1/2934105-lujipeka-les-montagnes-russes.html

La collection de portraits documentaires « Jump » suit le parcours de plusieurs stars montantes de la musique française, à un point de bascule de leurs jeunes carrières. Chaque épisode explore les étapes clef du processus de création des artistes: écriture et enregistrement d’album, préparation de son spectacle, premières grandes scènes, relations avec le label… mais aussi la personnalité intime de nos personnages: leur histoire, les sources de leur inspiration et les sentiments qui les poussent à entreprendre cette aventure grisante. A travers ces portraits d’artistes engagés et audacieux, cette collection est une plongée au cœur d’une jeunesse bouillonnante prête à entrer dans l’âge adulte mais surtout une photographie de génération.

Slash and Zakk Wylde guitar duel

A tous les pisseux qui pensent que le rock est né avec les BB Brunes. Un hommage des grands pour le très Grand James Marshall Hendrix


WHAT DRIVES US par Dave Grohl, le 30 avril sur Amazon Prime Video.

WHAT DRIVES US par Dave Grohl, le 30 avril sur Amazon Prime Video.

Réalisé par Dave Grohl, «What Drives Us» témoigne de la vie du musicien. Ce long métrage documentaire est une lettre d’amour au rare club de rock and roll, ainsi qu’une inspiration pour chaque jeune enfant qui rêve d’une vie en jouant de la musique.

WHAT DRIVES US | Official Trailer (2021)

Le film explore la logistique de ce qu’il faut pour transformer une camionnette en maison et comment les astuces de ce métier se sont transmises au fil des décennies. Vous chargez vos instruments, votre talent et votre courage, et portez votre musique au monde. Peu importe que vous soyez les Beatles ou Billie Eilish, ou tout autre artiste connu ou inconnu entre les deux, c’est le rite de passage rock’n’roll.

“This film is my love letter to every musician that has ever jumped in an old van with their friends and left it all behind for the simple reward of playing music. What started as a project to pull back the curtain on the DIY logistics of stuffing all of your friends and equipment into a small space for months on end eventually turned into an exploration of “why?” What drives us?” – Dave

Montez dans le van en compagnie de Ringo Starr, Slash, The Edge, Ben Harper, Brian Johnson, Steven Tyler…. Et bien sûr les Foo Fighters le 30 avril sur Amazon Prime Video.

inspiré.byzmirov #1

inspiré.byzmirov #1

Parce que l’inspiration est l’essence même du métier de Zmirov, ils donnent la parole à des personnalités inspirantes d’horizons multiples comme ceux de la mode, de la beauté, du sport ou encore de la culture… Ils reviennent sur leur parcours pour comprendre ce qui stimule leur créativité et qu’ils racontent à leur tour ce qui les inspire. Pour ce 1er épisode le premier invité est Thomas Lélu, slasher invétéré à l’esprit critique qui aime confronter les univers. Une personnalité bien dans son temps qui nous faire rire autant qu’il nous interroge sur notre société. C’est au micro de Caroline Hamelle que cet artiste multi-casquettes confie ses inspirations d’hier à aujourd’hui, et notamment celles qui nourrissent son compte Instagram au quotidien. https://www.zmirov.com/podcast/

RETRO GAMING : ULTIMA, GAUNTLET, DRAGON’S LAIR, GHOST N’ GOBLINS …

RETRO GAMING : ULTIMA, GAUNTLET, DRAGON’S LAIR, GHOST N’ GOBLINS …

Entre Player One et Stranger Things, le retro gaming et en particulier l’Heroic-Fantasy version arcade ou vieilles machines, a le vent en poupe ! l’occasion de se replonger, avec nostalgie, dans quelques classiques qui marquèrent les esprits et les portes monnaies !

Ultima VI : Je déteste le terme galvaudé de « madeleine de Proust », mais je dois avouer que ce jeu sorti en 1990 conserve une place particulière dans mon coeur de « gamer » old school.

Let's Play "Ultima VI" Part 01 - A Return to Britannia

Gauntlet (1985) n’est pas vraiment un jeu de réflexion, c’est un hack n’ slash dont la particularité est d’être jouable à 4 simultanément en arcade, ultra addictif et défoulant à souhait !

Gauntlet (Arcade) - Wizard Play

Dragon’s Lair fut une grande révolution en 1983 car sorti en arcade sur Laser Disc, des graphismes somptueux digne d’un dessin animé mais un niveau de difficulté beaucoup trop relevé pour la majorité des joueurs de l’époque`;

Ghost n’ Goblins (1985), Un must play qui reste pour beaucoup la référence du genre (à égalité avec sa suite tout aussi mythique Ghouls n’ Ghost)

Ghosts 'n Goblins Longplay (Arcade) [60 FPS]

Illustration, source: juicygamereview

30 ans et toujours mordant… LES EUROCKEENNES 2019

30 ans et toujours mordant… LES EUROCKEENNES 2019

Le festival niché sur la presqu’île du Malsaucy s’illustre une nouvelle fois comme le miroir de son époque, réunissant au cœur d’une programmation bouillonnante : prochaines révélations internationales et artistes les plus influents du moment.

Les premiers noms de la programmation sont annoncés :
THE CHAINSMOKERS
SLASH
SUPREME NTM
CHRISTINE AND THE QUEENS
JAIN
STRAY CATS
WEEZER
PARKWAY DRIVE
INTERPOL
JOHN BUTLER TRIO
$UICIDE BOY$
ANGELE
PETIT BISCUIT
ROMEO ELVIS
COLUMBINE
IDLES
JEANNE ADDED

Accueil 2019

Guns n’ Roses – Not in This Lifetime Tour 2017

Tu connais le célèbre adage de Tom Jones ? Au début de ta carrière les fans déchainées jettent leurs petites culottes ou leurs strings sur scène, à la fin, les mêmes t’envoient leurs gaines … Depuis 2016 et l’annonce de la « re formation » du groupe, les Guns font le plein de culottes XXL. Déjà 230 millions de dollars engrangés par Axl et sa moitié de gang originel (Duff et Slash) et des dates sold out aux quatre coins du monde. En Juillet 2017 ils seront au Stade de France. Nous aussi.

Les Guns ? C’est grosso modo l’histoire d’un groupe de cowboys white trash, étiquetés dans un genre, dans une époque : Le « hard rock », qui incarnent à la perfection le fantasme des chroniqueurs et autres journalistes musicaux. A la réputation parfois prétendument sulfureuse, parfois vraiment hardcore. Au succès façonné par MTV. Punks par intermittence, qui reprennent – sans faux col – Mc Cartney, Dylan, les Who ou encore les Misfits, vouent un culte à Johnny Thunders, pompent allègrement depuis le début de leur carrière, les usages des Toxic Twins D’Aerosmith.

Un combo électrique nerveux et gras en formation à cinq, genre, vrais voyous, fils de fer prêt à tataner à la santiag le mec qui s’endort au premier rang, capables du twist ultime, à savoir se compromettre à peine dix ans plus tard dans un barnum façon cirque Gruss ; Choristes habillées en filles de mauvais genre, claviers, section de cuivres, dans des stades surbondés, chanteur en cycliste et bandana sur la tête. Gratteux en chef doté d’un pantalon en cuir moule teub et chapeau haut de forme, qui égrène invariablement les notes à la verticale, homme- sandwich pour Marshall et Gibson, tandis que le bassiste dissimulait avec peine sous ses cheveux dégueu et peroxydés une peau digne de figurer sur doctissimo dans la rubrique furoncles cradingues. C.f Vincennes 92. Ajoutez à cela des changements de Line up dignes de mercato footballistiques et vous comprendrez aisément pourquoi les « pistolets et les roses » ont explosés à la fin des 90’s … comme le genre musical d’ailleurs.

Tout aurait pu vraiment s’arrêter à ce moment là. C’était sans compter sur le chanteur, sournois et malin comme un chacal qui fort des mots de Winston Churchill « Ce n’est pas la fin. Ce n’est même pas le commencement de la fin. Mais, c’est peut-être la fin du commencement. » s’est octroyé sans vergogne le nom du groupe, laissant en carafe les musiciens qui devaient quand même un peu flipper à l’idée de finir en Paul Personne de Michael Jackson ou pire à faire des concerts au Plan à Ris Orangis en deuxième partie de soirée.

Axl Rose c’est toujours mieux que William Bailley son vrai nom, preuve vivante que le blaze c’est 50% de la carrière, a voulu poursuivre en solo, recrutant deci delà la fine fleur des shredders et des mercenaires de studios. Résultat après la plus longue attente pour un album, et s’être taillé une jolie réputation dans le métier, il a sorti, l’air de rien un L.P avec entre autres remplaçants musiciens, un mec qui porte une boîte en carton KFC sur la tête et un masque genre halloween… Pour la petite histoire on se doute bien de la destination des wings, vu que le beau gosse roukmoute Axl est passé de la taille XS au triple XL façon Carlos époque papayou. En aparté, je trouve que Chinese Democracy est un bon album, comme le reste d’ailleurs. Ne m’en voulez pas, le propre d’un fan c’est d’être en tout point partial et jamais objectif. Le rock est une affaire de sentiments. Peu importe les coups de pute, on marche ou crève avec le groupe. Alors, oui, il a fallu supporter les humeurs, les atermoiements, la traversée du désert, les side projects comme ce Velvet Revolver monté par les révoltés du Bounty : Slash, Duff, Matt, un peu Izzy et Gilby, avec pour lead singer le regretté Scott Weiland, camé notoire tandis que les autres avaient tous décroché. Des paradoxes temporels et des embrouilles de télé-réalité. La réconciliation réchauffée façon Page – Plant ou Jagger – Richards pour cette tournée.

Des bios à n’en plus finir nous expliquent leurs vérités. Au fond, on s’en fout, il suffit de prendre Appetite for Destruction, de le fourrer à sa place, c’est à dire dans une platine laser, vinyle, cassette, mp3 et de pousser le potard jusqu’à 11. Se délecter de chaque note, de chaque octave, se complaire dans la nostalgie la plus crasse et oublier leur âge, leur apparence ou leur ego tant qu’ils jouent. La mémoire d’un fan de rock est sélective, noyée dans la bière chaude et la transpi du perfecto. Toujours en quête d’une vibration, d’un riff ou d’un pogo. Le rock n’ roll is dead disait l’autre ? Fais gaffe, tu vas prendre un coup de Weston, foi de bobo défroqué !

NOUVEAU CASINO Vendredi 28 Février De minuit à l'aube

Vendredi 28 Février, le Nouveau Casino se transforme et ouvre un second espace pour accueillir comme il se doit deux légendes de la techno mondiale et un label français émergent.
Dans la salle principale, le Nouveau Casino aura l’honneur d’accueillir DAVE CLARKE, « The Baron of Techno » comme le surnommait le mythique John Peel de la BBC, à la dexterité exceptionelle aux platines ; et MARCEL FENGLER, gardien du Berghain et protégé de l’écurie allemande Ostgut Ton, réunis pour la première fois ensemble à Paris.
Le deuxième espace quant à lui ouvert exceptionellement, donnera les rênes au label français TABLON RECORDS qui invite ses artistes JOHN MERRICK aka BATO, fondateur du trio techno Antishlash, Dolibox qui a également fait ses preuves chez KARAT Records et Paul Pehr, fondateur du label TABLON
ROOM 1: 
DAVE CLARKE
(Dave Clarke – Fuse Replay 2013 – Exclusive)

MARCEL FENGLER
(Podcast RA Marcel Fengler)
ROOM 2:
BATO
(Antislash – Toxic Dreamers – tablon 004)
DOLIBOX
(Mixx Janv.2014)
PAUL PLEHR
(Input Selector / Episode 115)

Le Revival

La grande roue de la mode a décidé, Dieu lui rende grâce, cette fois encore de s’arrêter sur la mythique période des Early 80’s et de mettre à nouveau, bientôt pour le GP (Grand Public), au devant de l’actualité les acteurs et les styles de la scène Glam Rock US. Ôtez un instant à cette petite slavinette mannequin anorexique qui patiente pour son shooting, le casque beats de son Ix vissez sur ses oreilles photoshopables, et vous constaterez, non sans une certaine dubitativité légitime, qu’elle écoute le plus naturellement du monde, Eruption des sieurs Van Halen. Waouh, ça calme. D’autant plus que la gourgandine n’est pas la seule dans le genre, toute ses consoeurs osseuses s’éclatent sur les riffs immortels de Slash, se gargarisent de la voix de Vince Neil, s’amourachent fiévreusement du beau Jon Bon Jovi. Que dire de plus sinon que d’ici peu nous aurons tous des pantalons en cuir ultra moulant rentrés dans des Reebok montantes Old School, que les cheveux se porteront longs et bouclés et qu’il sera temps de se repencher sur le Reggae qui est, décidement, beaucoup plus Cool.

I need a Fuckin’ Side Man

Que serait Starsky sans Hutch, Ricardo Tubs sans Sonny Crockett, Axl sans Slash ? Rien, un putain d’anonyme. Le Side Man n’est pas un faire valoir mais un alter ego. Une association idéale innée ou provoquée capable de porter au pinacle ceux qui en on compris l’utilité.