Du 19 Janvier au 09 Mars 2019, la galerie Perrotin présentera une exposition « solo » de l’artiste Mr. intitulée Mr.’s Melancholy Walk Around the Town.
People misunderstand me and the contents of my paintings. They just think they are nostalgic, cute, and look like Japanese anime. That may be true, but really, I paint daily in order to escape the devil that haunts my soul. The said devil also resides in my blood, and I cannot escape from it no matter how I wish. So I paint in resignation. Mr. (Perrotin Hong Kong 2018)
Courtesy @ 2018 Mr./Kaikai Kiki Co., Ltd. All Rights Reserved.
Galerie Perrotin
76 RUE DE TURENNE 75003 PARIS
Samedi 9 février 2019, la ville de Montfermeil, en partenariat avec LVMH, organise la 14ème édition de son Défilé Cultures & Création. Un événement très attendu qui attire chaque année à guichet fermé plus d’un millier de spectateurs. Cette année, le défilé qui se tiendra au Gymnase Colette Besson à Montfermeil aura pour thème : « L’Art et la Mode». Les créateurs, issus d’une vingtaine de nationalités différentes, pourront laisser libre cours à leur imagination et à leur créativité. Un belle leçon d’union et de partage des cultures !
Une édition, un thème. L’art et la mode seront à l’honneur de ce 14ème opus. Tous les participants plancheront sur ce même thème. Le cubisme prône la simplification de la réalité pour ne garder que les formes et abandonne la perspective classique. Le surréalisme rompt avec la conception traditionnelle de l’art comme imitation de la nature. Le pop art puise son inspiration dans la culture populaire et privilégie les couleurs vives et primaires. L’abstraction rejette la représentation du réel tangible et ne cherche pas à exprimer une ressemblance, mais une forme, une idée ou une sensation. Le street art ou l’art développé sous une multitude de formes : graffiti, trompe-l’oeil, peinture, autocollants…
Le défilé Cultures & Création comporte trois catégories :
Catégorie amateurs
Catégorie Jeune Talent, réservée aux créateurs de moins de 26 ans
Catégorie d’honneur, qui rassemble les anciens lauréats du défilé et des professionnels de la mode
À l’issue du défilé, 3 prix sont attribués dans chaque catégorie par un jury composé de professionnels de la mode (travaillant pour les maisons du groupe LVMH).
Samedi 9 février 2018 à 20h30
Gymnase Colette Besson
1, boulevard de l’Europe – 93 370 Montfermeil
Durée: 3h15
Tarif : 5€ (Billetterie unique samedi 26 janvier de 9h30 à 13h au Domaine Formigé – 1, boulevard Hardy)
Jusqu’au 3 mars 2019, l’Hôtel des Postes de Strasbourg accueille sa 1ère Biennale d’art contemporain. Une première édition intitulée TOUCH ME, qui éveille les consciences autour de la « Citoyenneté à l’ère du numérique ». Comment Internet et les réseaux sociaux impactent notre quotidien, nos comportements, nos libertés, nos responsabilités ? … Autant de questionnements qui sont soulignés par 18 artistes internationaux de 9 nationalités, au travers de plus de 40 œuvres uniques.
À l’Hôtel des Postes
Rue Wencker 67000 Strasbourg
Lundi et Mardi Fermé
Mercredi 11h-18h
Jeudi 14h-21h
Vendredi 12h-20h
Samedi 11h-19h
Dimanche 11h-18h
https://biennale-strasbourg.eu/touch-me/artistes
Du 23 janvier au 6 mai 2019, la Tate Modern présente la première grande exposition consacrée à Pierre Bonnard au Royaume-Uni depuis 20 ans. Souhaitant apporter un regard inédit sur l’œuvre novatrice du célèbre peintre, Pierre Bonnard : La couleur de la mémoire réunit une sélection d’une centaine de ses meilleures œuvres issues d’institutions publiques et de collections privées du monde entier. L’exposition vise à mettre particulièrement en lumière la façon dont les couleurs intenses et la modernité des compositions de Bonnard transformèrent la peinture de la première moitié du XXe siècle. Elle vient rappeler la capacité inégalée de Bonnard à capturer la fugacité du temps, des souvenirs et des émotions sur la toile.
The C C Land Exhibition – Pierre Bonnard : La couleur de la mémoire a pour commissaire à la Tate Modern Matthew Gale, Head of Displays, en collaboration avec Helen O’Malley et Juliette Rizzi, commissaires assistantes. L’exposition est organisée par Tate Modern en partenariat avec la Ny Carlsberg Glyptotek de Copenhague et le Kunstforum de Vienne.
THE C C LAND EXHIBITION
PIERRE BONNARD: LA COULEUR DE LA MÉMOIRE
TATE MODERN
23 JANVIER – 6 MAI 2019
Illustration: Window open onto the Seine (Vernon) 1911-12, Musée des Beaux-Arts, Nice
Exposé pour la première fois à Paris, l’artiste autrichien Erwin Redl installe au coeur des 400m2 de la Fondation EDF son oeuvre lumineuse monumentale: Light Matters. Un oeuvre à dimension quasi-architecturale sur deux étages, composée de milliers de LED programmables de couleur bleu et rouge, qui traduisent les états émotionnels des visiteurs qui la traverse. Conçu comme un labyrinthe, Light Matters invite à pénétrer et expérimenter un univers numérique sensible, jouant entre la matière et la lumière, le réel et virtuel. Avec cette installation qui s’inscrit dans la série MATRIX (États-Unis, Autriche, Italie, Allemagne, Corée du sud…) Erwin Redl traduit dans l’espace physique le langage esthétique abstrait de la réalité virtuelle et de la modélisation 3D, structurant un environnement architectural par de grandes installations lumineuses.
Erwin Redl est dejà à l’origine d’installations aux proportions quasi architecturales et notamment au Madison Square Park à New-York avec une immense installation lumineuse « Whiteout » . L’œuvre incorporait des centaines de sphères blanches en suspensions formant un tapis blanc lumineux sur toute la pelouse centrale du parc.
Jusqu’au 3 février 2019
Fondation Groupe EDF
6, rue Récamier – 75007 Paris
M° Sèvres-Babylone
Entrée libre du mardi au dimanche
12h-19h (sauf jours fériés)
Tél. : 01 40 42 35 35
fondation.edf.com
#LightMatters
Shakespeare, Hamlet, Acte III scène 1, Le monologue d’Hamlet
Être ou ne pas être : telle est la question
Y a-t-il plus de noblesse d’âme à subir la fronde et les flèches de la fortune outrageante, ou bien à s’armer contre une mer de douleurs et à l’arrêter par une révolte ?
Mourir… dormir, rien de plus ;… et dire que par ce sommeil nous mettons fin aux maux du coeur et aux mille tortures naturelles qui sont le legs de la chair : c’est là un dénouement qu’on doit souhaiter avec ferveur.
Mourir… dormir, dormir ! peut-être rêver ! Oui, là est l’embarras. Car quels rêves peut-il nous venir dans ce sommeil de la mort, quand nous sommes débarrassés de l’étreinte de cette vie ?Voilà qui doit nous arrêter. C’est cette réflexion-là qui nous vaut la calamité d’une si longue existence.
Qui, en effet, voudrait supporter les flagellations, et les dédains du monde, l’injure de l’oppresseur, l’humiliation de la pauvreté, les angoisses de l’amour méprisé, les lenteurs de la loi, l’insolence du pouvoir, et les rebuffades que le mérite résigné reçoit d’hommes indignes, s’il pouvait en être quitte avec un simple poinçon ?
Qui voudrait porter ces fardeaux, grogner et suer sous une vie accablante, si la crainte de quelque chose après la mort, de cette région inexplorée, d’où nul voyageur ne revient, ne troublait la volonté, et ne nous faisait supporter les maux que nous avons par peur de nous lancer dans ceux que nous ne connaissons pas ?
Ainsi la conscience fait de nous tous des lâches ; ainsi les couleurs natives de la résolution blêmissent sous les pâles reflets de la pensée ; ainsi les entreprises les plus énergiques et les plus importantes se détournent de leur cours, à cette idée, et perdent le nom d’action…
Mais voilà Ophélie … Tout doux … N’oublie aucun de mes péchés, Nymphe, dans tes prières …
La galerie Perrotin présente une exposition personnelle de Sophie Calle, la quinzième depuis le début de la collaboration avec l’artiste en 2001. À cette occasion, Sophie Calle présente deux nouveaux projets Parce que et Souris Calle, avec la collaboration d’une quarantaine de musiciens.
L’exposition ouvre sur une série de photographies inédites, de la série Parce que masquées par des rideaux brodés d’un texte que le visiteur peut lire avant de les soulever pour découvrir l’image. Le texte qui débute par « Parce que » explique la raison pour laquelle cette image existe, pourquoi l’artiste a choisi ce moment ou ce lieu. Ainsi, « Parce que la tentation de la suivre » s’applique à La ligne blanche (2018), photographie d’une ligne de démarcation de route qui s’enfonce sous l’eau, ou « Parce que quoi d’autre après plus rien ? » devance Plurien, sortie (2018), cliché d’un panneau de sortie de ville, face au cimetière de Plurien. La justification de la photographie est ainsi lisible avant l’image, dans un rapport tautologique inédit qui questionne la relation texte – image.
Le vidéo-clip Souris Calle (2018) est projeté dans une salle adjacente: Sophie Calle y raconte les dix-sept années de vie commune avec son chat, sa personnalité, leur habitudes et le vide créé par sa disparition.
Le dispositif de l’exposition est complété par une sélection d’œuvres de la série des Autobiographies, liées au décès de Souris. Juxtaposant des textes encadrés avec des photographies, ces Autobiographies sont une des séries les plus fameuses de l’artiste. Depuis 1991 elles ont été exposées dans le monde entier : Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de la Ville de Paris, Tel Aviv Museum of Art, Sprengel Museum de Hanovre, Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, entre autres.
Illustrations: © Sophie Calle / ADAGP, Paris 2018
Perrotin
Jusqu’au 22 décembre 2018
https://www.perrotin.com
76 RUE DE TURENNE 75003 PARIS FRANCE
Pour la première fois en France, une grande exposition rend hommage à l’art méconnu de la vannerie japonaise en bambou. L’occasion de découvrir près de 200 oeuvres anciennes et contemporaines à la beauté poétique, destinées à l’origine à la décoration florale de la cérémonie du thé.
L’histoire de cet art typiquement japonais est mal connue en Occident : si plusieurs musées américains présentent de façon permanente quelques exemples de ces oeuvres spectaculaires, les collections publiques sont limitées en Europe comme au Japon. Le musée du quai Branly – Jacques Chirac est fier d’avoir pu rassembler dans une exposition inédite, le plus grand ensemble de pièces jamais montré en Europe, à l’occasion d’une année culturelle où les arts japonais sont particulièrement célébrés en France.
Exposition jusqu’au 7 avril 2019
Mezzanine Est
Commissariat : Stéphane Martin, président du musée du quai Branly – Jacques Chirac
37 Quai Branly, 75007 Paris
www.quaibranly.fr
Illustration: Vannerie pour l’ikebana, MORIGAMI Jin (né en 1955), © musée du quai Branly – Jacques Chirac, photo Tadayuki Minamoto
L’artiste M. Chat nous propose, dans cette nouvelle exposition (jusqu’au 12 janvier 2019), de découvrir l’influence et l’importante de la culture classique dans son œuvre.
La profondeur de la réflexion qui sous-tend son travail est révélée grâce à la transfiguration de ses modèles privilégiés, chats volants ou souriants, en les mettant en scène dans des environnements inspirés et hérités de l’iconographie médiévale. Le support de ses nouvelles œuvres, résolument urbain, imite les murs parisiens et les éléments qui les habitent (tuyaux, bouches d’aération, compteurs électriques…).
LaGalerie Brugier-Rigail (40 rue Volta – 75003 Paris) est ouverte du mardi au samedi de 11h à 19h30 et sera exceptionnellement fermée du 24 décembre au 2 janvier 2019 www.galerie-brugier-rigail.com
La Fondation Louis Vuitton organise une nouvelle Nocturne le 14 décembre pour raviver les liens entretenus par Basquiat à « l’atelier de la rue », notamment le hip-hop naissant dans le New-York des années 80.
Au programme : Barney Artist, le maestro d’un rap décontracté à la plume trempée dans le béton et un Karaoké concocté par Yard. La playlist du karaoké proposée par YARD s’inspire des influences hip-hop majeures de Jean-Michel Basquiat, mais aussi des artistes qu’il a lui aussi directement inspirés. fondationlouisvuitton.fr
Qui n’a jamais rêvé de découvrir les œuvres des plus grands artistes modernes et contemporains en tout petit comité ? C’est désormais possible avec cette visite privée du Centre Pompidou, alors que le musée est encore fermé…
Le Centre Pompidou continue d’innover pour attirer les touristes étrangers. En même temps que sa campagne digitale mondiale #SouvenirsDeParis, il propose une visite inédite de ses collections d’art moderne et contemporain (une des deux plus grandes au monde), en compagnie d’une artiste avant l’ouverture au public ! Une expérience de 2h au coeur du Centre Pompidou, réservable uniquement sur Airbnb.
« This visit was totally one-of-a-kind! Allison allowed me to see the Centre Pompidou collection in a whole new light. It’s incredibly exceptional to be able to visit a museum before it opens with a local expert. Allison made contemporary art very accessible to people with all different levels of art knowledge, and really heightened the experience with her own personal point-of-view and experience as an artist. I learned so much in under two hours (even a few secrets) and am itching to come back to engage with some of the pieces in a new way given Allison’s advice. This is easily some of the best two hours you can spend in Paris! » Felix
« Art explained by an artist. What else? I just loved that experience. Being alone in the museum. And I loved the fact Alisson gave her opinions about the artworks, from an artistic point of view. I now love contemporary art! 😉 » Philippe
Réservations sur Airbnb.fr
Tarif : 65€ par personne
Durée totale : 2 heures – Entre 3 et 4 dates disponibles par semaine
Capacité : 6 personnes maximum
Expérience proposée en français et anglais
Sont fournis : café (ou autre boisson chaude) et ticket d’entrée au musée
Pour leur troisième collaboration avec la Secret Gallery, The French Art Dealeuses nous invite à découvrir l’exposition WONDERLAND jusqu’au 12 Janvier 2019, qui puise sa narration dans la fantaisie, les souvenirs de notre imaginaire d’enfant, les super héros et personnages de fiction .
Orchestrée par Audrey Hatchikian, art curator, elle met en scène l’exposition dans une atmosphère colorée, ingénue et joyeuse . WONDERLAND, ou le pays des merveilles interprété par des artistes d’art contemporain et de design. A l’approche de Noël, cette exposition inspire un tendre sentiment de nostalgie, une bouffée de gaieté et une douce atmosphère poétique.
L’exposition WONDERLAND, présente les oeuvres émouvantes et éclatantes de Jaouad Bentama, artiste installé à New York depuis 6 ans. Il travaille la peinture mixée à des compositions d’objets que l’artiste collecte au fil des de ses rencontres. Des tableaux flamboyants et colorés, à l’apparente légèreté, qui racontent l’utopie de l’enfance et l’espoir. Issu du monde du Graffiti des années 80, Sade One évolue aux côtés des plus grands avant de suivre son propre chemin. De l’hardcore bombing au fresques murales, ils présentent aujourd’hui des oeuvres ludiques et aux mille et une facettes. WONDERLAND, c’est aussi les tableaux de lumières quasi hypnotiques d’Emmanuelle Rybojad, véritable fée de la couleur.
Secret Gallery
19 Rue de Varenne, 75007 Paris
T. 06 80 38 90 14
contact@thefrenchartdealeuses.com
facebook.com/thefrenchartdealeuses
Du mardi au samedi de 11h à 19h
les lundis et dimanches sur rendez-vous
Métro Ligne 10 ou 12 – Rue du Bac ou Sèvres
Babylone Parking Le Bon Marché
TheArtpark est un nouveau lieu d’expression artistique dédié à la scène internationale, mais totalement enracinée dans le sol floridien. Il vise à combiner cette esthétique, cette diversité et cette curiosité qui est une caractéristique prégnante de cette ville, Miami, terrain propice à l’expérimentation, qui est également l’une des ambitions principales de TheArtpark. L’exposition inaugurale ouvrira ainsi un dialogue entre les stars du marché de l’art et des noms plus confidentiels, ouvrant de nouvelles voies à tout amateur, collectionneur ou découvreur de talents, partout dans le monde, d’une mobilité sans relâche… que ce soit que ce soit physique ou intellectuel.
Hyper Mobility, a group exhibition featuring works by the artists: Iván Argote, Daniel Arsham, Coco Capitán, Mathieu Cesar, Blair Chivers, Wim Delvoye, Gregor Hildebrandt, Richard Jackson, Martin Kersels, Arielle Pytka, Ami Sioux, Frances Wilks, Skylar Williams, Pharrell Williams, and a project Trinidad with Adel Abdessemed, Gianni Motti and Frank Perrin.
TheArtpark, 4141 NE 2nd Ave, Miami.
Exhibition: December 7-31, 2018
https://theartpark-miami.com
@theartparkmiami #theartparkmiami
Clin d’oeil côté pile, sourire côté face, bras grands ouverts, l’Ours Jayet©, la sculpture XXL qui s’installe en exclusivité pour Noël au Popstore Etam est la première d’une série limitée Or, bientôt disponible à travers le monde. Imprégné de popculture, l’artiste Jayet s’inspire du Pop-art afin de créer des oeuvres ludiques et contemporaines. Cette oeuvre sera présentée le 6 décembre prochain, par la marraine de l’opération Caroline Vigneaux*, humoriste engagée, et par son créateur Jayet lors d’une soirée qui se déroulera au flagship store Etam des Champs-Elysées. Cette date marquera le coup d’envoi de la vente aux enchères organisée par la maison de vente Art Valorem avec le concours de Drouot qui met à disposition sa plateforme www.drouotonline.com L’oeuvre sera mise aux enchères par Myrtille Dumonteil, commissaire priseur au prix fixé de 20.000€. Les enchères seront accessibles jusqu’au 16 décembre 2018
*Caroline Vigneaux plaide désormais la cause des femmes dans son deuxième one-woman-show Croque la pomme. L’humoriste y dénonce par le rire les inégalités hommes / femmes et la condition féminine en France au XXIe siècle.
Engagée depuis plus de 40 ans aux côtés des femmes pour leur droit à la liberté, l’égalité, leur intégrité et leur autonomie, Solidarité Femmes est une fédération de 67 associations féministes et engagées contre les violences faites aux femmes. La Fédération Nationale Solidarité Femmes (FNSF) est labellisée Grande Cause Nationale 2018 qui a pour thème la lutte contre les violences sexistes et sexuelles. http://www.solidaritefemmes.org Etam, pour sa part, propose depuis plus de 100 ans une lingerie qui a suivi de près les évolutions sociétales et a accompagné les femmes vers plus de liberté dans leur corps et dans leurs têtes. Parce que leur émancipation reste au coeur de sa mission, la marque poursuit cet engagement en collaborant avec des associations qui travaillent pour offrir un monde meilleur à toutes les femmes.
L’exposition « Michael Jackson : On the Wall » du 23 novembre 2018 au 4 février 2019 au Grand Palais à Paris rassemble les œuvres de plus de 40 artistes, issues de collections publiques et privées du monde entier mais également réalisées spécialement pour l’occasion. Cette exposition ne met pas seulement en lumière les raisons pour lesquelles tant d’artistes ont été inspirés par Michael Jackson, mais également l’influence que le roi de la pop continue d’exercer dans l’imaginaire collectif en tant que figure culturelle majeure.
La sélection comprend des œuvres des artistes contemporains les plus importants ainsi que d’artistes émergents. Rita Ackerman, Dara Birnbaum, Candice Breitz, Mark Flood, Isa Genzken, Gary Hume, David LaChapelle, Paul MacCarthy, Catherine Opie, Andy Warhol ….
Grand Palais
https://www.grandpalais.fr/fr
3 Avenue du Général Eisenhower
75008 Paris
Considérant que nous sommes en quelque sorte coincés dans une bulle temporelle si je me réfère à la mode, la musique, les jeux vidéos, le cinéma etc. et compte tenu du succès des Guns en 2018 (ils ont généré des tonnes de cash avec leur tournée planétaire, un fait qui en général parle à nos contemporains), il ne me semble pas complètement absurde de revenir sur les accointances du groupe avec l’art. Tout d’abord en 1987, avec la pochette originale d’Appetite for Destruction qui est une œuvre de Robert Williams peinte en 1977, tellement controversée qu’elle fut cachée dans le booklet de l’album.
En 1988, la pochette de Lies s’avère être un hommage à l’album Some Time in New York City de John Lennon
1991, c’est Mark Kostabi qui est chargé des pochettes du double album Use Your Illusion
1993, The Spaghetti Incident? la magnifique photo des pates est l’oeuvre de Dennis Keeley, à noter au bas de la pochette, un code écrit à la manière du tueur du Zodiac et qui signifie fuck’em all
Dernier album en date estampillé GNR, Chinese Democracy (2008), la photo figurant sur la pochette officielle a été shootée par Terry Hardin dans la Citadelle de Kowloon tandis que la couverture alternative est à mettre au crédit de Shi Lifeng – Controlling No. 3
Au delà des pochettes d’album qui démontrent donc une certaine appétence pour l’art contemporain, les Guns sont au coeur d’une trilogie clipesque réalisée par Andy Morahan, débutée en 1991 Don’t Cry, poursuivit 1992 November Rain, achevée en 1993 Estranged. Et qui reste à ce jour une énigme pour un certain nombre de fans (Il était question initialement d’interconnexions entre les différentes vidéos mais les querelles au sein du groupe et du couple mythique formé par Axl et Stéphanie ont changé la donne). En tout état de cause ces clips conservent encore aujourd’hui une aura mystique, onirique, surréaliste. Comme le dit Man Ray et qui pourrait s’appliquer à chacune de ces vidéos : Pour moi, il n’y a pas de différence entre le rêve et la réalité. Je ne sais jamais si ce que je fais est le produit du rêve ou de l’éveil ..
Don’t Cry
If we could see tomorrow, what of your plans?
No one can live in sorrow, ask all your friends
Times that you took in stride, they’re back in demand
I was the one who was washing blood off your hands
Don’t you cry tonight
I still love you, baby
Don’t you cry tonight
Don’t you cry tonight
There’s a heaven above you baby
And don’t you cry tonight
I know the things you wanted, they’re not what you have
With all the people talking, it’s driving you mad
If I was standing by you, how would you feel
Knowing your love’s decided, and all love is real?
Don’t you cry tonight
I still love you, baby
Don’t you cry tonight
Don’t you cry tonight
There’s a heaven above you baby
And don’t you cry tonight
I thought I could live in your world
As years all went by, with all the voices I’ve heard
Something has died
And when you’re in need of someone, my heart won’t deny you
So many seem so lonely with no one left to cry to, baby
Don’t you cry tonight
I still love you, baby
Don’t you cry tonight
Don’t you cry tonight
There’s a heaven above you baby
And don’t you cry tonight
Don’t you cry tonight
I still love you, baby
Don’t you cry tonight
Don’t you cry tonight
There’s a heaven above you baby
And don’t you cry tonight
When I look into your eyes
I can see a love restrained
But darlin’ when I hold you
Don’t you know I feel the same
Nothin’ lasts forever
And we both know hearts can change
And it’s hard to hold a candle
In the cold November rain
We’ve been through this such a long long time
Just tryin’ to kill the pain, oo yeah
But love is always coming and love is always going
And no one’s really sure who’s lettin’ go today
Walking away
If we could take the time
To lay it on the line
I could rest my head
Just knowin’ that you were mine
All mine
So if you want to love me
Then darlin’ don’t refrain
Or I’ll just end up walkin’
In the cold November rain
Do you need some time on your own
Do you need some time all alone
Everybody needs some time
On their own
Don’t you know you need some time all alone
I know it’s hard to keep an open heart
When even friends seem out to harm you
But if you could heal a broken heart
Wouldn’t time be out to charm you
Sometimes I need some time on my
Own
Sometimes I need some time all alone
Everybody needs some time
On their own
Don’t you know you need some time all alone
And when your fears subside
And shadows still remain, oh yeah
I know that you can love me
When there’s no one left to blame
So never mind the darkness
We still can find a way
‘Cause nothin’ lasts forever
Even cold November rain
Don’t ya think that you need somebody
Don’t ya think that you need someone
Everybody needs somebody
You’re not the only one
You’re not the only one
Don’t ya think that you need somebody
Don’t ya think that you need someone
Everybody needs somebody
You’re not the only one
You’re not the only one
Don’t ya think that you need somebody
Don’t ya think that you need someone
Everybody needs somebody
You’re not the only one
You’re not the only one
Don’t ya think that you need somebody
Don’t ya think that you need someone
Everybody needs somebody
Estranged
When you’re talkin’ to yourself
And nobody’s home
You can fool yourself
You came in this world alone
(Alone)
So nobody ever told you baby
How it was gonna be
So what’ll happen to you baby
Guess we’ll have to wait and see
One, two
Old at heart but I’m only twenty eight
And I’m much too young
To let love break my heart
Young at heart but it’s getting much too late
To find ourselves so far apart
I don’t know how you’re s’posed to find me lately
An what more could you ask from me
How could you say that I never needed you
When you took everything
Said you took everything from me
Young at heart an it gets so hard to wait
When no one I know can seem to help me now
Old at heart but I musn’t hesitate
If I’m to find my own way out
Still talkin’ to myself
And nobody’s home
(Alone)
So nobody ever told us baby
How it was gonna be
So what’ll happen to us baby
Guess we’ll have to wait and see
When I find out all the reasons
Maybe I’ll find another way
Find another day
With all the changing seasons of my life
Maybe I’ll get it right next time
An now that you’ve been broken down
Got your head out of the clouds
You’re back down on the ground
And you don’t talk so loud
An you don’t walk so proud
Any more, and what for
Well I jumped into the river
Too many times to make it home
I’m out here on my own, an drifting all alone
If it doesn’t show give it time
To read between the lines
‘Cause I see the storm getting closer
And the waves they get so high
Seems everything we’ve ever known’s here
Why must it drift away and die
I’ll never find anyone to replace you
Guess I’ll have to make it through, this time – oh this time
Without you
I knew the storm was getting closer
And all my friends said I was high
But everything we’ve ever known’s here
I never wanted it to die
Music video by Guns N’ Roses (C) Guns N’ Roses under exclusive license to Geffen Record
L’artiste américain Bruce Nauman est l’une des figures majeures de l’art contemporain. Célébré comme l’un des plus grands artistes vivants selon le magazine ArtNews et parmi les 100 personnalités les plus influentes au monde par les magazines Esquire et Time, Bruce Nauman exerce depuis plus de quarante ans une influence considérable sur des générations d’artistes. (…) L’œuvre entière de Bruce Nauman soulève de façon percutante des questions existentielles liées à la vie et à la mort, à l’amour et à la haine, au plaisir et à la douleur.
Ce sont les mots mêmes de l’artiste tirés de son œuvre lumineuse Life, Death, Love, Hate, Pleasure, Pain. (…) Notions de corps et d’identité, rôle du langage, phénomènes de perception de l’espace, processus artistique et participation du spectateur sont des thèmes qui reviennent constamment dans l’œuvre de l’artiste. Nauman explore de manière rigoureuse et innovatrice plusieurs moyens d’expression néon, sculpture, film, vidéo, performance, dessin et il est considéré comme l’un des pionniers de l’installation.
Diane Arbus, de son vrai nom Diane Nemerov (1923, New York – 26 juillet 1971) est une photographe américaine. Elle concentre son activité à New York et ses alentours, photographiant des inconnus dans la rue. Fascinée par les personnages hors-normes elle photographie également des travestis, des malades mentaux, des jumeaux etc. En mélangeant le familier avec le bizarre, Diane Arbus dresse un portrait troublant de l’Amérique des années soixante. En 1967, elle participe à l’exposition « New Documents » qui se tient au Musée d’art moderne de New York avec des portraits qui côtoient les vues urbaines de Lee Friedlander et Garry Winogrand. Là encore son travail apparaît comme un événement qui contribue à imposer la photographie documentaire comme un genre artistique propre se distinguant du reportage. Dépressive, elle se suicidera le 26 juillet 1971. Son influence sur la photographie américaine est considérable. Elle a contribué à imposer l’idée que la photographie est un art à part entière. Elle travaillait en noir et blanc et développait elle-même ses travaux afin de maîtriser complètement le résultat de ses œuvres.
The hobo nickel is a sculptural art form involving the creative modification of small-denomination coins, essentially resulting in miniature bas reliefs. The nickel, because of its size, thickness, and relative softness, was a favored coin for this purpose. However, the term hobo nickel is generic, as carvings have been made from many different denominations. Due to its low cost and portability, this medium was particularly popular among hobos, hence the name. mrthehobonickels.com
Jusqu’au Dimanche 02 Février 2014
Goupil et l’Italie participe au projet scientifique et culturel du musée des Beaux-Arts, d’une part, en exposant au public Le Portrait de Cecilia Madrazo Fortuny (1882) de Giovanni Boldini (1842-1931) et, d’autre part, en affirmant davantage une coopération avec les institutions culturelles italiennes. Cette exposition est co-organisée avec la Pinacothèque du Palazzo Roverella de Rovigo (palazzoroverella.com), et la Fondazione Cassa di Risparmio di Padova e Rovigo.
Galerie des Beaux-Arts
Place du Colonel Raynal
05 56 96 51 60
Jim Dine est un artiste né aux États-Unis représentant du pop art américain. On le considère parfois comme faisant partie du mouvement Néo-Dada . Souvent très colorées, les toiles de Dine utilisent la technique du fondu (contours estompés) et des séries, avec une infinité de variations notamment dans les nuances chromatiques. Le motif du crâne, présent comme un rappel dans les toiles au milieu de nombreux objets banals et usuels du monde contemporain, renoue avec la tradition de la nature morte. A still life with a red pepper as October changes our valley de 1977, montre ainsi deux rangs de fruits qui alternent avec des bouteilles vides derrière la transparence desquelles se profile un crâne ; des assemblages comme Wheatfields, sorte de charrue surmontée d’un crâne en bronze, reprennent cette technique. Les cœurs de Dine, motif récurrent, ont été comparés à une signature de l’artiste.
George Bernard Shaw (26 juillet 1856 à Dublin – 2 novembre 1950 à Ayot Saint Lawrence) fut un critique musical et dramatique irlandais, essayiste, scénariste, et auteur célèbre de pièces de théâtre. Un Irlandais acerbe et provocateur, pacifiste et anticonformiste, il obtint le prix Nobel de littérature en 1925. Le comique de ses pièces va de pair avec la rigueur logique des idées qu’il développe. Ses préfaces parfois volumineuses sont de véritables essais où il développe ses thèmes favoris (art, pacifisme, idées politiques, conceptions philosophiques et religieuses) et propose des solutions pour remédier aux maux qu’il dénonce dans ses pièces. Son œuvre est celle d’un révolutionnaire et d’un réformateur visant à détruire le capitalisme pour lui substituer un socialisme éclairé et plus élevé. « Pygmalion » (1912) et « Sainte Jeanne » (1923), œuvres de sa maturité, sont souvent considérées comme ses chefs-d’œuvre. Ayant voyagé en Union soviétique, il en nie les travers et se fait un ardent promoteur du stalinisme. Provocateur et anticonformiste, George Bernard Shaw dénonce le puritanisme étroit, la hiérarchie religieuse et l’hypocrisie des conventions de la religion (« Disciple du diable », 1896 et « Le Vrai Blanco Posnet », 1909). Dans « Androclès et le lion » (1912), il étudie les motivations religieuses et spirituelles de l’homme. S’inspirant des enseignements de Charles Darwin, il fonde sa philosophie sur l’évolution, force encore mystérieuse, qu’il appelle « Force de la vie », puissance imparfaite qui cherche à atteindre la perfection (préface de « En remontant à Mathusalem », 1920). Il s’oppose avec vigueur à la personnification de toute divinité. Sa correspondance inspira une pièce de théâtre que l’on nomma Cher menteur (Dear Liar)
Arman, né Armand Pierre Fernandez le 17 novembre 1928 à Nice et mort à New York le 22 octobre 2005, est un artiste français, peintre, sculpteur et plasticien, célèbre pour ses « accumulations ». Sa première rencontre avec l’art se fait dans la boutique d’antiquités de son père. Il commence à peindre à 10 ans. Il étudie à l’École des Arts décoratifs de Nice où il rencontre Yves Klein, puis à l’École du Louvre. En 1958, à l’occasion d’une exposition chez Iris Clert, Arman authentifie une erreur d’impression dans le carton d’invitation (Armand était écrit sans « d ») et transforme sa signature. Il est membre du groupe des Nouveaux Réalistes aux côtés notamment de CésarYves Klein et Gerard Deschamps . Il est décédé le 22 octobre 2005. Il possédait la double nationalité française et américaine, acquise en 1970.
L’artiste new-yorkais KAWS profite de la licence Disney de Medicom pour créer sa version de Pinocchio et son inséparable acolyte Jiminy Cricket, imaginés par Carlo Collodi au XIXè siècle.
Goteborg Classic Tattooing in Sweden
La galerie Cortex Athletico est un espace expérimental comprenant deux lieux : l’un est dévolu à des ateliers accueillant des artistes sous forme de résidence, et l’autre est dédié aux expositions au sens large. Cette plate-forme permets de comprendre et d’accompagner des projets d’une envergure européenne en invitant artistes, commissaires, critiques, à penser le lieu de la galerie et son fonctionnement comme le topos d’une utopie artistique. […] Cortex Athletico Galerie – Art Contemporain 1, rue des Etables 33000 Bordeaux France Source: artfacts.net A voir également: arretsurlimage.com
Courtesy galerie Cortex Athletico. Photo : Patrice Goasduff.
Giuseppe Balsamo (Joseph Balsamo), dit Alessandro, comte de Cagliostro, fut un aventurier italien né à (Palerme, en 1743 et mort dans la prison pontificale de San Leo, près de Urbino en 1795). Personnage mystérieux qui s’est rendu fameux au XVIIIe siècle, il naquit d’une famille obscure. Son véritable nom était Joseph Balsamo. Au cours de sa vie, il adopta divers pseudonymes (notamment Comte Pellegrini, Mélissa, Fenice, Hérat ou encore chevalier de la Sainte Croix) mais le nom qui à fait sa renommée est celui de Comte de Cagliostro, inspiré par le nom de sa marraine.
La Panthère Noire (Black Panther, un temps connu en France sous le nom de Pantherman) est un super-héros créé par Stan Lee et Jack Kirby dans les pages des Quatre Fantastiques en juillet 1966. De son vrai nom T’challa, la Panthère Noire était le prince héritier du Wakanda. Ce royaume situé en Afrique centrale, très avancé technologiquement, est le seul endroit au monde où des mines de vibranium existent. Ce pays garde par ailleurs un mode de vie traditionnel et reste coupé du monde extérieur. À la mort de son père T’chaka (simple homonyme du roi zoulou Chaka), T’challa devient à son tour roi et endossa le costume de la Panthère Noire. Il brise l’isolationnisme de son pays en demandant l’aide des Quatre Fantastiques pour vaincre le super-vilain Klaw. Par la suite, la Panthère Noire intégre l’équipe des Vengeurs, dont il restera un membre de réserve. Il assure la représentation du Wakanda aux Nations unies. Actuellement il a repris sa liberté pour assumer pleinement ses prérogatives royales. Stan Lee s’inspire du nom d’une bataillon de tank de la seconde guerre mondial « 761st Tank Battalion (United States) ». Apparu dans les pages des Quatre Fantastiques au début des années 1960, la Panthère Noire assure les seconds rôles dans des aventures de Captain America puis régulièrement dans celles des Vengeurs. Le personnage a marqué les esprits d’abord parce qu’il était noir, ce qui était inédit dans le monde des comics, et assez révélateur de l’ancrage sociétal des histoires de la Marvel, ici en référence au mouvement pour les droits civiques alors en pleine actualité. Stan Lee et Jack Kirby (en juillet 1966) ont de plus fait de la Panthère Noire non un Américain mais un authentique Africain dont le royaume était à la pointe de la science. Ce héros inhabituellement en 1966 valorisante des Africains a marqué les jeunes lecteurs noirs de l’époque. Il n’est pas interdit de penser que l’aura du roi du Wakanda a une part dans la dénomination de l’organisation Black Panther Party crée en octobre 1966. D’ailleurs l’ascension de ce mouvement radical a contraint Marvel à renommer un temps son personnage « Black Leopard » (le Léopard Noir). Le personnage a par la suite repris son nom original de Panthère Noire. En 2000-2001, le scénariste Christopher Priest et les dessinateurs Sal Velluto et Bob Almond ont réalisé une série mensuelle sur ce super-héros (le recueil de cette série pour l’année 2001 est intitulé séduction de l’innocent pour la version française). La Panthère Noire a commencé, depuis février 2005, de nouvelles aventures orchestrées par Reginald Hudlin et John Romita Junior, censées redéfinir le personnage. wikipedia.org
FAME PAINTINGS. Les peintures de Jeremy Kost, à la façon d’un tirage en négatif, sont issues de ses propres Polaroïds, agrandis, transposés et sérigraphiés sur de larges toiles. Des photographies de célébrités, ou plutôt de la célébrité comme fait de société et catalyseur de fiction sociale, au moment où communication de masse et communion émotionnelle des foules se rejoignent. Avec, en filigrane, l’ombre double de la société du spectacle et du panoptique.
Vertiges et inversions : le monde est un théâtre qui mime à son tour la comédie du monde; le sujet regardant devient l’objet regardé, jouant lui-même à maîtriser le regard qui le saisit et s’oublie alors dans cette course au paraître.
Les stars; quête et fascination… Des vies spéculaires qui semblent n’être que validées et complétées par leur reflet médiatique. Face à elles, des existences ne se ressaisissant dans aucune image publique ou fiction partagée mais laissant celles-ci définir les contours de leur contenu émotionnel et en déterminer les pics d’intensité. Une foule consommatrice affectée par des affects, parfois sincères, souvent, lorsque tenus en lumière, construits ou exacerbés.
Dans la série des Fame Paintings, on aperçoit et on croît reconnaitre tel ou tel personnage public; mais au fond, si on voit bien quelque chose, que s’y manifeste-t-il? Une apparition? De star sublimée ou banalisée. Ou plutôt un rêve de disparition, un désir d’absence à l’image? D’un être encerclé essayant d’échapper à l’oeil de la caméra médiatique envahissante. En général qu’offrent aujourd’hui les innombrables et répétitives images de célébrités? Ces clichés du déjà vu ne révèlent plus rien. Trop souvent, la pulsion de reconnaissance a suppléé au plaisir de la surprise. Chez Kost, la lecture immédiate de la reconnaissance est troublée par le passage au négatif, qui protége ainsi un instant l’identité de la figure et la déplace sur un terrain poétique ou mystérieux, mais accentue paradoxalement aussitôt le jeu de démasquage du « voyeur ». La dynamique de l’étonnement et de l’attirance fascinée est alors réactivée. Fascination mais aussi parfois répulsion; pour le corps qui s’exhibe, de la démonstration à la monstruosité, il peut n’y avoir qu’un pas. Jeremy Kost poursuit dans la série des Fame Paintings son exploration de la relation à la célébrité, au corps médiatique, à la vie mise en scène, avec une vision personnelle mêlant dramatisation et intimité, excès et fine sensibilité. Une démarche qui fait écho à celle d’Andy Warhol, lui aussi acteur et voyeur dans ce monde restreint du paraître et de l’avant-scène, et surtout transmutateur de valeurs.
« Quand je me sais photographié, je me transforme en image… » Roland Barthes
La Galerie Nuke présente une nouvelle série de peintures, inaugurée lors d’une récente exposition de Jeremy Kost au Musée Andy Warhol, à New York, ainsi que la vidéo « What You Need Is In The Limo », pour la première fois montrée dans une galerie.
JEREMY KOST
ALWAYS THE CENTER OF ATTENTION
VERNISSAGE: SAMEDI 20 OCTOBRE, 18H-21H
EXPOSITION DU 18 OCTOBRE AU 18 NOVEMBRE 2012
Un grand Bravo aux brillants lecteurs de JetSociety qui ont remporté les laissez-passer et l’album « Daniel Buren Monumenta 2012 » offerts par « Le Nouveau Paris Ile-de-France » et qui ainsi ont pu assister à cette remarquable exposition au grand palais de Paris. Pour rappel: Après l’Allemand Anselm Kiefer, l’Américain Richard Serra, le Français Christian Boltanski et le Britannique d’origine indienne Anish Kapoor, c’est au tour de Daniel Buren, auteur des célèbres « Colonnes de Buren » de transformer la Nef du Grand Palais ! grandpalais.fr Tous les jours (sauf le mardi) : de 10h à 19h le lundi et le mercredi, de 10h à minuit du jeudi au dimanche. Jusqu’au 21 Juin 2012
Monumenta 2012 – Interview de Daniel Buren par Rmn-Grand_Palais
Photographies d’Hervé PLUMET 20 octobre 2012 – 14 avril 2013 Moirans-en-Montagne, JURA Du 20 octobre 2012 au 14 avril 2013, au musée du Jouet de Moirans-en-Montagne, l’exposition photographique « mon jouet préféré » questionne la relation unique et privilégiée qui unit un individu à son jouet favori.
Cinquante et une personnes, enfants, femmes et hommes de tout âge, vivant dans l’une des dix-sept communes du Pays de l’Enfant, ont accepté de prendre la pose avec un jouet, un jouet qui compte dans leur quotidien ou qui est profondément ancré dans leur mémoire. Cette commande au photographe Hervé PLUMET prend tout son sens dans le cadre de la première exposition temporaire du musée rénové. Elle fait entrer dans ses espaces les habitants de JURA SUD, un territoire marqué, depuis des générations, par l’artisanat du jouet et son essor industriel.
AUTOUR DE L’EXPOSITION (vacances de la Toussaint)
Atelier « Magie de la photographie », dès 8 ans, 2 séances d’1h30
Séance 1 : Fabrique un appareil photo (boîte à sténopé) et apprend à capturer une image sur un papier photo.
Séance 2 : Réalise un portrait avec ton sténopé et découvre les secrets du développement photo.
Dates : lundi 5 novembre, 14h00 (séance 1) – mercredi 7 novembre, 10h30 (séance 2) – tarif : 7 € / séance inclus la visite du musée Atelier «Photo cubes », dès 4 ans, 1h30
Deux coups de ciseaux, quelques pliages, un peu de colle et des photos. Viens fabriquer un jeu de cube et joue avec les images. Dates : lundi 29 octobre 14h00 – lundi 5 novembre, 14h00 – tarif : 7 € / séance inclus la visite du musée
MUSEE DU JOUET
5, rue du Murgin – 39260 MOIRANS-EN-MONTAGNE Tel : 03 84 42 38 64
www.musee-du-jouet.com
Jours et Horaires d’ouverture : Ouvert lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h30, samedi 10h00-12h00 et 14h30-18h30 , dimanche 14h30-18h30 – Fermeture hebdomadaire le mardi – Fermeture le 1er janvier, 1er novembre, 25 décembre.
Tarif Visite libre Expo permanente + temporaire : Adulte = 7€ / Enfant > 7 ans = 5 € / Enfant < 7 ans = gratuit / Tarif réduit adulte = 5 € / Tarif réduit enfant = 4 €
DU 17 OCTOBRE AU 7 NOVEMBRE 2012 Dans le cadre du parcours OFF7 organisé par la Galerie 208 Chicheportiche, Emmanuelle Legavre expose La Clé de mon Ego sur l’esplanade des Invalides pendant la FIAC. Du 18 Octobre au 07 novembre 2012. Issue du concept My Crazy World, cette œuvre monumentale a été présentée lors de la fashion Week printemps été 2012 à L’Hôtel LE MEURICE à Paris, puis à Milan lors du Ventura Lambrate en avril 2012. Elle sera, ici, exposée dans une version très « Street Art », Place des Invalides.
General Idea était un collectif de trois artistes canadiens (Felix Partz, Jorge Zontal et AA Bronson), actif de 1967 à 1994. En tant que pionniers de l’art conceptuel et utilisant les médias, leur collaboration devint un modèle pour les activités initiées par des artistes et continue d’avoir une influence majeure sur les générations suivantes d’artistes. Travaillant au départ à Toronto, de 1986 à 1993, ils partagèrent leur temps entre Toronto et New York avant de retourner à Toronto pour leurs derniers mois de vie commune. L’œuvre de General Idea habite et subvertit les formes de culture populaire et médiatique, y compris les concours de beauté, les boutiques, les émissions de télévision, les pavillons de foire et les médias de masse.
Leur travail était souvent présenté sous des formes non conventionnelles telle que des cartes postales, des impressions, des posters, du papier peint, des ballons et des pins. De 1987 à 1994, leur travail aborde la crise du Sida, sous la forme de quelques 75 projets temporaires d’art publique. Leur installation majeure, « One Year of AZT/One day of AZT » fut présenté en tant que projet au Muséum d’Art Moderne et fait maintenant partie des collections de la National Gallery of Canada. En 2006, les 3 pilules gonflables géantes, issues de leur œuvre « PLA©EBO » (1991) furent exposée durant la Nuit Blanche de Toronto.
Après avoir publié le magazine FILE pendant 2 ans et avoir amassé une grande collection de livres d’artistes, General Idea fonda le Art Metropole en 1974, un espace à but non-lucratif dédié à l’art contemporain sous tous ses formats : livres d’artistes, médias vidéos, audios et électroniques. Les rétrospectives de l’œuvre de General Idea contiuent de voyager en Europe et en Amérique du Nord. « General Idea Editions : 1967-1995 » fut exposé au Centro Andaluz de Arte Contemporaneo de Séville en Espagne du 30 janvier au 1er avril 2007 et comprenait une re-création de leurs installations « Magic Bullet » et « Magic Carpet », ainsi que leur installation majeure « Fin de Siècle ». Avant cela, « General Idea Editions : 1967-1995 » fut exposée au Andy Warhol Museum à Pittsburgh, au Munich Kunstverein, au Kunstwerke de Berlin et à la Kunsthalle de Zurich en Suisse. General Idea a été exposé aux biennales de Paris, Sydnez, Sao Paulo et Venise, ainsi qu’à la Documenta 10 de Kassel en Allemagne. Partz et Zontal sont tous les deux morts du SIDA en 1994. Bronson continue de travailler et d’exposer en tant qu’artiste indépendant et est actuellement le directeur de Printed Matter, Inc. à New York. Les archive de General Idea résident à présent à la bibliothèque de la National Gallery of Canada.
Anna-Lou (Annie) Leibovitz (née le 2 octobre 1949 à Westport, Connecticut, États-Unis) est une photographe américaine. Elle est spécialisée dans les portraits de célébrités. Son style est caractérisé par une collaboration étroite entre le sujet et le photographe. Annie Leibovitz est devenue célèbre alors qu’elle travaillait pour le magazine Rolling Stone de 1970 à 1983. En 1975 elle suit la tournée des Rolling Stones. Depuis 1983, elle est photographe au magazine Vanity Fair. En 1991 elle expose à la National Portrait Gallery de Washington. Sa puissance d’invention créative lié à un sens inné d’une mise en scène sans faille, mettant toujours en avant un détail lié à la vie propre du personnage ou à son actualité publique du moment, fait d’elle la femme photographe la plus cotée…
Julien Earl Cadou expose au Pied de Biche ses Super Héros. Toute la gent héroïque des comics est présente, armée de monstres moqueurs voisinant avec des idoles rock gonflées par les excès ou des lapinozores grotesques et effrayants directement sortis de l’imaginaire de l’artiste. Issu d’une culture graffiti dont il se refuse aujourd’hui à revendiquer l’influence exclusive, Julien Earl Cadou développe un univers bien à lui, fait d’un humour féroce et d’une énergie brute qui habite ses figurines de terre. Super Héros de Julien Earl Cadou, du 17 février au 13 mars, vernissage le 17 février 2011, de 18h30 à 22h30. À l’occasion de l’exposition Super Héros, Classic présente en exclusivité LAPINOZORE, le nouvel ouvrage signé Julien Earl Cadou. Dédicace le 17 février.
FROM JANUARY 15TH TO MARCH 14TH 2011 THE MUSEUM OF CONTEMPORARY ART, SHANGHAI WILL HOST THE EXHIBITION « CULTURE CHANEL » This exhibition is organized by the Museum of Contemporary Art, Shanghai with the support of the House of CHANEL and is curated by Jean-Louis Froment, a well-known figure in the contemporary art and design worlds. « CULTURE CHANEL » highlights the historical and creative dimensions of the House of CHANEL… click to see more detail
Jusqu’au 09/01/2011 Henry Miller, alive again in Paris En plus d’être l’un des plus controversés et adulés écrivains de notre siècle, Henry Miller était aussi un peintre passionné. L’écrivain américain a entretenu une histoire d’amour avec la peinture de 1928 jusqu’à deux jours avant sa mort, en 1980. dorothy’s gallery a l’honneur de présenter une vingtaine d’oeuvres d’art inédites de Henry Miller directement rapportées de la Californie par son fils. La famille de l’écrivain et dorothy’s gallery ferons revivre sa mémoire à travers ses peintures dans le Paris qu’il a tant aimé et où il a publié ses premiers romans, aujourd’hui mondialement célèbres ,Tropique du Cancer, Tropique du Capricorne, Black Spring… Ses oeuvres sont mises en valeur dans un espace qui lui est consacré à dorothy’s gallery jusqu’au 9 janvier 2011. Seront présentées aquarelles originales, lithographies, sérigraphies, photographies de sa vie, catalogues et livres. En dialogue avec Henry Miller, deux jeunes peintres contemporains : Thomas Lévy-Lasne et Mariano Angelotti. Des oeuvres de trois artistes surréalistes : peintures cosmiques de Benjamin Marquès, dessins hybrides d’Artur Do Cruzeiro-Seixas et sculptures poétiques d’Isabel Meyrelles. Dorothy’s gallery 27 rue Keller 75011 Paris FRANCE Tél. +33 1 43 57 08 51 dorothysgallery.com
De nouvelles cabines Photomaton feront leur apparition dans les lieux publics à partir du début de l’année 2011. Relookées par le designer Philippe Starck, d’une sobre couleur grise, elles arboreront des lignes épurées et un siège lumineux. Mais la principale innovation réside dans l’équipement nouvelle génération: un écran tactile, une caméra à capteurs pour effectuer automatiquement les réglages et une connexion 3G qui permettra de partager instantanément les photos réalisées par courriel ou sur les réseaux sociaux.
Vous avez toujours rêvé de vous offrir une Bunny pour noël ? Aujourd’hui ce rêve peut devenir réalité, mais il a un coût… Christie’s organise une vente : The Year of The Rabbit composée de photos originales parues dans le magazine au Lapin. Pour info les mises à prix les moins élevées sont aux alentours de 400 $… christies.com
Ce qu’ils en disent : La Galerie D.X, galerie d’Art Contemporain, est située au centre de Bordeaux, dans l’hémicycle des Quinconces entre le Grand Théâtre et le CAPC. La Galerie D.X propose une sélection d’artistes contemporains, peintres, et/ou sculpteurs. Depuis son ouverture en janvier 2009, la galerie a déjà organisé 8 expositions : Richard Texier, Claude Viallat/Jean-Charles Blais/Alain Ballereau, Cédric Bouteiller, Lydie Arickx, Bernard Ouvrard, Chérif & Geza, Cyril Olanier et Kjeld Ulrich. Notre choix est volontairement éclectique pour répondre à l’intérêt et à la curiosité des Bordelais et des visiteurs : nous présentons alternativement des artistes de renommée nationale et internationale ainsi que de nouveaux talents à découvrir. Parallèlement à ces expositions personnelles, la Galerie dispose en permanence d’œuvres des artistes déjà cités ainsi que de Robert Combas, Godwin Hoffmann, Ernest Pignon-Ernest, Rancinan, Tony Soulié, Anton Tàpies, Kimiko Yoshida qui sont présentées à la demande. La Galerie D.X souhaite aussi être un lieu de rencontre, trait d’union entre les artistes, magiciens qui donnent à voir et à penser et les amateurs toujours en quête d’émotions artistiques. http://galeriedx.com Pour moi : Un espace qui encourage la saine curiosité, celle qui donne envie de découvrir autre chose et d’aller plus loin… 10, place des Quinconces 33000 Bordeaux du lundi au samedi 14h00 – 19h00tél 05 56 23 35 20 contact@galeriedx.com
Ne restez pas inactifs, soyez inspirés. Regardez ce qui arrive lorsqu’on invite un collectif d’artistes de rues à créer des oeuvres de Street Art inspirées par la nouvelle collection hiver Converse exclusive à Foot Locker.
EXPOSITION PIERRE TERRASSON A LA GALERIE BLUMANN Du 15 novembre 2010 au 15 janvier 2011 4 place des Vosges – 75004 PARIS – Ouvert tous les jours de 12h à 20h00 Métro : Bastille/ Chemin Vert Curator : Dinah Douïeb – +33(0)6 07 59 98 85 lagalerieblumann.com
VANESSA PARADIS : Vanessssss devant l’entrée de la Chapelle d’Houllefort. Au milieu des docks de Boulogne, les bords de mer, Rock & Roll et vieille usine désaffectée. Cette photo est inédite, Vanessa avait 15 ans, elle ne devait pas traîner entre les tombes; ni dessus, dixit Boris Vian … Pierre Terasson 2010
COLUCHE : J’avais rendez vous chez lui rue Gazan . La rue des artistes près de chez Higelin and co…J’ai commencé à le shooter à l’intérieur, mais il n’y tenait pas plus que ça … Donc nous avons été dehors dans son Américaine garée nonchalamment devant chez lui. Il a écrasé son pétard et viré ses lunettes noires…et voilà… Un vrai Coluche l’œil un peu triste mais véridique ! Pierre Terrasson 2010
BIO: Pierre Terrasson photographie les personnalités excentriques, les artistes et les rockers, le monde d’où il vient… sur leurs lieux de concerts, dans la rue ou dans leurs hôtels de passage. C’est à Aubervilliers que se déroule en partie la mise en scène de ses photos, dans son espace de travail à la Maladerie où se trouve son lieu de « shooting », c’est aussi là qu’il photographie les stars, les icônes du rock international ou les personnages cachés à qui il offre une empreinte imagée d’une rencontre inattendue d’un jour ou d’une nuit. Des artistes, des acteurs et des personnages aperçus au fil du temps ont croisé son regard :Vanessa Paradis, Serge Gainsbourg, Jane Birkin, Alain Bashung, Coluche, Jacques Higelin, Bambou, Chloé Mons, Izia Higelin, Shazzula, Daniel Darc, les Rita Mitsouko, Bartabas, Pacadis, Mick Jaggaer, Klaus Naomi, les Cramps, les Ramones, les Stranglers, Boy Georges, Billy Idol, Joe Cocker,U2, Motörhead, James Brown, Tina Turner, Lou Reed, les Clash, Fela Kuti, Chic, Mandy Smith……
L O L Un projet artistique participatif et gratuit ouvert à tous. COMMENT PARTICIPER ? 1-Etre inscrit sur Facebook 2-Devenir FAN 3-vous INSCRIRE, en envoyant vos coordonnées téléphoniques à info@lolproject.com, nous vous contacterons directement par téléphone pour participer au LOL Project….soyez patient. twitter.com/LOLProject, davidken.com vimeo.com/groups/lolproject facebook.com/L-O-L