Big Brother

Big Brother (qui signifie Grand Frère) est un personnage de fiction du roman 1984 de George Orwell. L’expression « Big Brother » est désormais utilisée largement pour qualifier toutes les institutions ou pratiques portant atteinte aux libertés fondamentales et à la vie privée des populations ou des individus. Dans 1984, Big Brother est le chef du « Parti », donc de l’État d’ « Océania », et il est aussi le grand surveillant, omniprésent par les affiches et les « télécrans » des domiciles privés, ce que rappelle la maxime officielle Big brother is watching you (Grand Frère vous surveille).

Il est l’objet d’un culte de la personnalité. Il n’apparait jamais en personne. Il est représenté par le visage d’un homme d’environ 45 ans, moustachu, fixant les gens dans les yeux, dans une expression qui se veut à la fois rassurante et sévère. La biographie officielle de Big Brother est incompatible avec une vie humaine normale ; selon cette biographie il est notamment le créateur du parti (alors qu’un homme de 45 ans ne serait même pas né à l’époque), ainsi que le héros d’innombrable exploits révolutionnaires ; il est en outre littéralement sans âge et immortel. Mais dans l’univers du roman, la doctrine du parti inclut la doublepensée, et ce genre de paradoxe n’est pas une incohérence, mais presque une obligation.

Le nom de Big Brother lui même est un paradoxe, tout comme les noms des ministères océaniens. L’Angsoc prône en effet une désintégration du noyau familial, en encourageant les enfants à dénoncer leurs parents, ou en inhibant tout amour au sein d’un couple au profit du devoir de procréer pour le Parti. Il est donc paradoxal que son nom soit « Grand Frère », qui est une image destinée normalement à encourager l’amour au sein d’une famille. Ainsi, le lecteur est amené à douter de la réalité (dans l’univers du roman) de ce personnage central. Plusieurs éléments poussent à considérer que, probablement, Big Brother n’est pas un homme (ou au moins n’est plus, ou encore n’est plus le même homme) : le fait qu’on ne le voie jamais en personne, le fait qu’il existe un livre du monde du roman qui explique la nécessité de personnifier le pouvoir pour générer dans les masses un sentiment d’adhésion et de crainte, et même une scène où un dirigeant explique au héros que Big Brother est en fait un groupe de très hauts dirigeants du parti (sans que cette déclaration soit forcément la vérité…). D’une certaine façon, le doute autour de son existence fait aussi partie du personnage. Quoi qu’il en soit, Big Brother est un personnage de propagande et une allégorie, qu’il soit (ou ait été) un homme ou non. Sous cet aspect, Big Brother est l’incarnation du « Parti », et aussi (cela revient au même) l’incarnation du devoir citoyen à Océania.

Angus & Julia Stone – Nouvel album Angus & Julia Stone

Makes me wanna tick them wakes to my arms
She’s got this way
She’s got this way
Or wrap her little heart around mine

« Je veux qu’il batte entre mes mains, Elle est comme ça, Elle est comme ça, Ou envelopper son petit cœur autour du mien… » C’est une sensation que l’on ressent à l’écoute de cet album particulièrement authentique, sincère, abouti. Une bande son de la vie, qui révèle une palette d’émotions large et contrastée. Ne boudons pas notre plaisir, mainstream – underground – intellos – écolos… on s’en contrefout, l’important c’est cette musique qui nous transporte et ces voix qui franchissent aisément les frontières de la superficialité pour toucher l’Etre.

L’histoire de ce duo familial est déjà bien connue. Elevés sur les côtes qui longent le nord de Sydney, révélés par un bouche à oreille intense suite à la sortie de leurs premiers EP en 2007 (Chocolates and Cigarettes et Heart Full of Wine), les australiens sortent leur premier album A Book Like This en 2008 réalisé à Londres par le chanteur de Travis, Fran Healy. Leur second album Down the Way, est l’énorme succès que l’on connaît. Emmené par l’hymne de velours « Big Jet Plane », il est disque de platine en France (plus de 150.000 albums vendus), meilleur album et titre de l’année aux Grammys australiens. Le groupe vit sur la route pendant trois ans, en tournée entre l’Europe, les Etats-Unis et l’Australie. Ils sont de tous les festivals et joueront devant plus de 10 000 spectateurs lors de leur tournée en France avec notamment trois Trianon d’affilés complets à Paris.

Mais leur succès en duo soulevait quelques interrogations. Angus et Julia ont toujours écrit et composé séparément, leur association en duo n’avait été qu’un heureux accident et ils avaient désormais besoin d’évoluer. Une fois les tournées terminées, Julia commence l’enregistrement de son deuxième album solo By The Horns entre New York et Los Angeles alors qu’Angus, entre deux sessions de surf aux quatre coins du monde, verse son énergie créatrice dans l’album Broken Brights. Cette nouvelle liberté laisse éclater le talent et la vision singulière de chacun. Chaque album répondant à leurs attentes réciproques, Julia confesse qu’ils n’avaient alors absolument aucune intention de reformer le duo. C’est en passant quelques moments mémorables avec Rick que l’idée fit son chemin : « Ce n’était pas encore bien défini, Rick pensait que c’était le bon moment mais nous n’étions pas encore convaincus. Ensuite nous avons été programmés chacun de notre côté sur le même festival et avons joué quelques morceaux ensemble ce qui ne nous était pas arrivé depuis près de deux ans. Ce fut vraiment magique… C’est en sortant de scène que nous nous sommes décidés à tenter l’aventure d’un nouvel album avec Rick »

Textures satinées, rêveries en poussières d’étoiles et mélodies dorées… c’est peu dire que cet album est la proposition la plus accomplie qu’ils aient pu donner à ce jour. L’album est du pur Angus & Julia Stone, mais il y a une qualité inédite ici, une richesse et une délicatesse évidentes, les titres reflètent un état d’esprit et une esthétique à la fois doux et affirmés. L’union créative d’Angus et Julia leur a permis d’arriver à leur oeuvre la plus aboutie. C’est un album empli de sentiments, mais aussi d’une nouvelle sensation de liberté et de confiance perceptible de bout en bout.

De «Other Things», titre garage au riff lascif, à la ligne droite martelée de «A Heartbreak», en passant par le magnétisme hypnotique et langoureux de «Main Street» ou la guitare couleur West Coast de «Grizzly Bear», l’album évolue au gré des humeurs, vous aspirant au passage. Si «Heart Beats Slow» est un baiser d’adieu à un amant de longue date, «Little Whiskey», lui, brûle d’un feu attisé par une énergie électrique qu’on ne soupçonnait pas chez Angus et Julia. Des titres comme «Get Home» enregistrés en version démo à New York, ont fait leur chemin sur la version finale de l’album. Pour Rick, il s’agissait avant tout de capturer l’instant : « il y a définitivement une âme à ce disque » («a swagger» comme il dit). Angus confirme l’élan pris par le groupe : « Nous n’avions jamais vraiment échangé sur nos chansons respectives avant cet album, il y a désormais des points communs qui nous animent. Cela provient certainement de la façon dont nous avons été appelés à collaborer de nouveau, de manière impromptue. Ce fut un vrai dépoussiérage, nous nous sommes sentis revigorés par nos retrouvailles musicales. C’était complètement inattendu mais au final ça valait le coup… ».

En tournée en décembre 2014 :

Dec 01 – Le Silo @ Marseille
Dec 02 – Le Rocher De Palmer @ Bordeaux
Dec 03 – Stereoluxe @ Nantes
Dec 04 – Aeronef @ Lille
Dec 06 – Radiant Bellevue @ Lyon (Caluire-et-Cuire)
Dec 07 – Bikini @ Toulouse (Ramonville)
Dec 09 – Casino de Paris @ Paris
Dec 10 – Casino de Paris @ Paris

www.angusandjuliastone.fr

Angus & Julia Stone :

1. A Heartbreak
2. My Word For It
3. Grizzly Bear
4. Heart Beats Slow
5. Wherever You Are
6. Get Home
7. Death Defying Acts
8. Little Whiskey
9. From The Stalls
10. Other Things
11. Please You
12. Main Street
13. Crash And Burn

The Pond-Moonlight

The Pond—Moonlight is a pictorialist photograph by Edward Steichen. The photograph was taken in 1904 in Mamaroneck, New York, and features a forest across a pond, with part of the moon appearing over the horizon in a gap in the trees. The Pond—Moonlight is one of the first color photographs ever taken, and was created using the autochrome process. Only three copies are known to exist. In February 2006, a print of the photograph was sold for US$2.9 million, at the time, the highest price ever paid for a photograph at auction.

Tamara de Lempicka

Tamara de Lempicka, née Maria Gorska le 16 mai 1898, à Varsovie, en Pologne, et décédée le 18 mars 1980 à Cuernavaca, au Mexique. Elle est la peintre polonaise la plus célèbre de la période Art déco.

Brillante, belle et audacieuse, inclassable, mystérieuse et contradictoire, elle a fait de sa vie une succession de mises en scène très élaborées. Elle prône le luxe et la modernité. Elle aimait avant tout les femmes mais elle s’est mariée deux fois. Tamara de Lempicka occupe une place à part dans l’art du XXe siècle : malgré une production peu abondante (à peine 150 tableaux dans sa meilleure période qu’on situe entre 1925 et 1935), ce sont ses peintures qui sont choisies le plus souvent aujourd’hui lorsqu’il s’agit d’illustrer les années folles de l’entre-deux-guerres. Ses modèles se caractérisent par des regards interrogateurs et sensuels, une bouche pulpeuse pour les femmes et pincée pour les hommes, des couleurs vives, mais en nombre limité, mises en valeur par des fonds gris ou noirs. Derrière une stylisation néo-cubiste, qui les situent parfaitement dans leur temps, les portraits de Tamara de Lempicka ne négligent aucune des magistrales recettes de composition qui furent élaborées par ses grands prédécesseurs de la Renaissance italienne.

Osiris : Le Siège de l'Œil

Osiris est le nom grec d’un dieu de la mythologie égyptienne. La traduction de ce nom présente des difficultés et plusieurs hypothèses sont proposées. Ainsi « Ousir », ou « Iousiris », selon une ancienne graphie, a été traduit par « Siège de l’Œil » (du soleil ?), « L’œil puissant », « Celui qui fait son trône » (par allusion à son siège), « Le siège de la puissante » (par référence à la couronne), « Celui qu’elle a remis en fonction » (se rapportant à sa résurrection et à sa nouvelle puissance créatrice, grâce à la magie d’Isis). Son nom égyptien est Ousir ou Asir ; on l’appelait aussi Ounen-Néfer (« L’éternellement beau ») et Khenty-Imentyou (« Celui qui est à la tête des Occidentaux », c’est-à-dire des défunts). Il fait partie de la grande Ennéade d’Iounou (Héliopolis). C’est le dieu des morts et le garant de la survie du défunt dans le monde souterrain. Son symbole est le pilier Djed, ses attributs sont la barbe postiche, la crosse Heka, le flagellum Nekhekh et la couronne Atef. Dans les textes des Pyramides, le roi défunt est identifié à Osiris. Au Moyen Empire, l’immortalité n’est plus le privilège du souverain : chaque défunt pouvait accéder à la vie éternelle, devenant lui-même pareil à Osiris. Il existe plusieurs versions du mythe osirien, dont la plus récente nous fut transmise par Plutarque. Fils de Geb et de Nout, époux d’Isis, Osiris fut roi d’Égypte. En effet, Geb, au soir de sa vie, aurait donné en partage le monde à ses deux fils, Osiris et Seth. À Osiris la Terre Noire d’Égypte, à Seth, le stérile, les Terres Rouges, les déserts qui entourent le Double Pays. La légende fait d’Osiris et d’Isis, son épouse, des souverains bienfaiteurs. Osiris enseigna aux humains les rudiments de l’agriculture et de la pêche, tandis qu’Isis leur apprit le tissage et la médecine. Pendant ce temps, Seth régnait sur les contrées désertiques et hostiles ainsi que sur les terres étrangères. Jaloux de son frère, il projeta son assassinat. Pendant un banquet en l’honneur d’Osiris, Seth offrit à l’assistance un magnifique coffre, jurant de le céder à celui qui l’emplirait parfaitement. Quand vint le tour d’Osiris, qui fut le seul à y parvenir, Seth fit refermer et sceller le coffre, tandis que ses complices chassaient les invités et tenaient Isis à l’écart…

Seth jeta le coffre dans le Nil, qui l’emporta dans la Méditerranée. Osiris mourut noyé[2] et c’est pour cela qu’il est souvent représenté le visage de couleur bleu ou vert. Après l’assassinat de son époux, Isis se mit à la recherche de son corps. Elle le retrouva à Byblos, au Liban, d’où, après maints stratagèmes, elle le ramena en Égypte pour l’enterrer et le pleurer. Seth finit par découvrir le tombeau, sortit le corps du caveau et le dépeça en quatorze morceaux qu’il dispersa dans le Nil. Isis, l’épouse et veuve fidèle, retrouva les lambeaux du corps de son bien-aimé, sauf le phallus, avalé par un poisson. Elle le reconstitua en argile, puis elle entreprit de rassembler le corps meurtri de son défunt mari, avec l’aide de sa sœur Nephtys. Elle embauma le cadavre, assistée par Anubis, lui redonnant une dernière étincelle de vigueur. Lorsqu’il fut ranimé temporairement par Isis, qui lui insuffla la vie, Osiris put la féconder. Elle lui donna un fils, Horus, « Le vengeur de son Père », qui combattit son oncle Seth dans des joutes interminables. Le tribunal des dieux finit par trancher : Horus entra en possession de son héritage et occupa le trône d’Égypte, comme Pharaon après lui. Reconstitué par les rites de l’embaumement, Osiris devint la première momie, Ounen-Néfer (« L’éternellement beau ») car protégé de la putréfaction, et revint à la vie telle la terre d’Égypte elle-même après chaque inondation. Devenu le dieu des morts et le Seigneur de l’Au-delà, il transforma son royaume en champs fertiles, les champs d’Ialou. Depuis, il préside le tribunal divin pendant la pesée du cœur, avec l’aspect que nous lui connaissons, les bras croisés sur la poitrine, portant la couronne Atef, momifié et gainé dans un linceul de lin ne laissant paraître que sa tête et ses mains nues qui tiennent les insignes de sa royauté sur le monde des « Occidentaux ». « Juge suprême des âmes », il accorde aux défunts la vie éternelle ou au contraire la leur refuse et les condamne au néant.

André Le Breton

André Le Breton, né au mois d’août 1708 à Paris où il est mort le 5 octobre 1779, est un éditeur français à l’origine de l’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers de Diderot et D’Alembert. Le Breton était fils d’un conseiller en l’élection de Paris et petit-fils par sa mère de Laurent d’Houry, fondateur de l’Almanach royal. Il devint juge consul, syndic de sa corporation et premier imprimeur du roi. Le succès de la Cyclopaedia anglaise de Chambers avait donné l’idée aux libraires associés de Paris de la faire traduire en français; l’abbé de Gua s’était chargé d’y faire les corrections et additions nécessaires, mais celui-cui ne s’occupant pas de ce travail avec assez de suite, les libraires proposèrent à Diderot et à D’Alembert, qui étaient unis de la plus étroite amitié depuis plusieurs années, de rassembler les matériaux de cet ouvrage, de les ranger dans l’ordre qui leur conviendrait, de retrancher ce qui leur paraîtrait erroné, et d’ajouter ce qui leur semblerait utile, pour compléter l’histoire des sciences et des arts. Les deux amis y consentirent, et tracèrent le plan d’un ouvrage qui, tout en conservant ce qu’il y avait de bon dans celui de Chambers, devait être en même temps un dictionnaire raisonné des sciences, des arts et métiers, un vocabulaire universel de la langue, objet qui n’a pu être rempli qu’en partie. D’Alembert fit le Discours préliminaire, Diderot le prospectus, le tableau des connaissances humaines et l’explication de cette table. Le Breton donna l’article « encre noire à l’usage de l’Imprimerie ». L’Encyclopédie fut commencée en 1751, sept volumes avaient paru lorsque l’impression fut arrêtée, par un arrêt du conseil en 1759. D’Alembert se retira, et tout le poids de l’ouvrage retomba sur Diderot. Tout ce que celui-ci put obtenir de son collègue après une année de peine, ce fut que D’Alembert achèverait la partie mathématique. Voltaire engageait les deux philosophes à aller terminer leur œuvre à l’étranger ; Diderot répondit que les manuscrits appartenaient aux libraires. Enfin, Le Breton obtint de pouvoir continuer l’impression d’une manière clandestine en mettant la rubrique de Neuchâtel sur les volumes. On fit de nouvelles conditions à Diderot, qui compare son nouveau traité avec les libraires à celui du diable et du paysan de La Fontaine : « Les feuilles sont pour moi, écrit-il à Voltaire, les grains pour eux, mais au moins ces feuilles me seront assurées : voilà ce que j’ai gagné à la désertion de mon collègue. » Le Breton, effrayé, revoyait les épreuves de l’Encyclopédie marquées N ou Nb par son contremaitre Brullé avant de les mettre sous presse, supprimait et adoucissait tout ce qui lui paraissait trop fort. Diderot fut quelque temps sans s’en apercevoir ; mais lorsqu’il le sut il écrivit à Le Breton une lettre sévère où il disait : « Vous avez oublié que ce n’est pas aux choses courantes et communes que vous devez vos premiers succès ; qu’il n’y a peut-être pas un homme dans la société qui se soit donné la peine de lire dans l’Encyclopédie un mot de géographie, de mathématiques ou d’arts, et que ce que l’on y recherche c’est la philosophie ferme et hardie de quelques-uns de vos travailleurs. » 

Boujis

Fancy partying with royalty? Or, if not royalty, at least with some Sloaney blonde girls who may once have stood next to Prince Harry at a polo match? Well then, exclusive South Kensington private members club Boujis may be for you. Since opening in 2002, this surprisingly compact venue has established itself as one of London’s most sought after destinations, a popular spot with moneyed locals, celebrities and the occasional heir to the throne. On any night of the week Boujis boasts an impressive guest list (as evidenced by the paparazzi who can be seen loitering around the entrance in the early hours), and the venue prides itself on its elite clientele. Music is crowd-pleasing rather than cutting edge and, as you’d expect, the face control at the door is pretty rigid, but if the drinks prices and the overtly wealthy Euro crowd don’t faze you, then entrance is not impossible. Interior-wise, Boujis is a standard high-end London club, rather smoky and easily out-glammed by the likes of Chinawhite, but arguably it’s the people that make this place what it is.  43 Thurloe Street, South Kensington, London, SW7 2LQ Tel: 020 7584 2000 boujis.com  Source : www.thisisthelife.com

Aristote

La beauté est un appui préférable à toutes les lettres de recommandation. Citation de Aristote  (en grec ancien Aristotélês) est un philosophe grec né à Stagire (actuelle Stavros) en Macédoine (d’où le surnom de « Stagirite »), en -384, et mort à Chalcis, en Eubée, en -322. Sa conception de l’être comme « substance » (ou ontologie) et de la métaphysique comme « science de l’être en tant qu’être » influença l’ensemble de la tradition philosophique occidentale, d’Alexandre d’Aphrodise à Martin Heidegger en passant par Thomas d’Aquin, et orientale, d’Averroès et Maïmonide à Cordoue jusqu’au persan Avicenne en passant par les théologiens médiévaux de Byzance. Véritable encyclopédiste, il s’est beaucoup intéressé aux arts (musique, rhétorique) et aux sciences (physique, biologie) de son époque ; il en théorisa les principes et effectua des recherches empiriques pour les appuyer. Sa conception de l’art poétique s’imposa dans l’esthétique classique. Sa théorie de la valeur influença l’économie de Karl Marx, et sa théorie de l’action (praxis) et de la prudence (phronèsis) marqua la philosophie politique et l’éthique d’Hannah Arendt. Le Stagirite est également considéré, avec les stoïciens[1], comme l’inventeur de la logique : il élabora une théorie du jugement prédicatif, systématisa l’usage des syllogismes et décrivit les rouages des sophismes.

GROLSCH PRESENTE : SWING AT THE TOP #4 – "Yacht Club" avec GREMS, THE NAME, MC LUVIN ET TRIPTIK

Swing at the Top revient avec un nouvel épisode intitulé « Yacht Club » qui accostera sur les bords du Canal de l’Ourcq au coeur du XIXème arrondissement de Paris ! À quelques mètres de l’eau, les invités sont immergés dans une ambiance arty très décalée, et naviguent entre ciel et toits emportés par une musique flottante… Sur la tapisserie d’origine, les oeuvres et installations présentées mélangent les courants et les époques. Une soirée entre deux eaux, à la personnalité bien trempée, qui ne craint pas de se mouiller pour satisfaire ses invités. Au programme des live de Mcluvin, The Name ou encore Son of Kick, dans un décor unique entièrement redessiné par
Grems.

**GREMS**
Grems, graphiste, graffeur et rappeur conceptuel, est aujourd’hui plébiscité dans le monde entier. Il est l’artiste visuel
derrière la campagne Imagine’R (RATP, SNCF, Transilien). En 2012 il redessine la couverture du magazine TSUGI
avec ses  meilleurs ennemis et présente sa nouvelle mixtape en collaboration avec LeFto.
Il prendra en charge la direction artistique de cet évènement en transfigurant cette maison du XIXème siècle avec le concours de la jeune garde du tag, invitée par ses soins.  Au total 6 salles seront investies ainsi que la pièce principale où trônera le DJ.
** Mcluvin **
Produit par Drixxxé, producteur attitré du mythique Triptik, avec d’un côté Gystere, « singer, compositeur, pianiste,
motherfucker ».   Une musique est dédiée à l’alcool, aux adultères, aux PIAGGIO VESPA LX50, à eBay, à Valérie Bègue, Emule, Youporn,  à Windows Live Messenger, aux Noctiliens, aux fast food et à toute la génération Yoga Fire.
http://www.mcluvin.fr/
** The Name **
Derrière The Name se cache le duo élctronique connu pour avoir fait la musique de la série “BREF” et leurs 2 eps avec
la collaboration de We are enfant terrible.  Un vertigineux cocktail de sonorités électroniques, de beats frénétiques, de rock et 8bit, oscillant entre noirceur et fièvre  dansante. http://thename.fr/
** Triptik **
A l’occasion de la sortie de leur nouvel EP “Le début”, Dabaaz, Drixxxé et Greg’Frite gardent la passion intacte et le cahier des charges immuable : un rap élégant et vivace et des productions classieuses, touffues, ouvertes aux quatre vents. Chemin faisant, Triptik ne dit, certes, pas les mêmes choses aujourd’hui mais l’énergie injectée et l’authenticité demeurent inaliénables,
le rap, dans tout ce qu’il a de plus noble et jouissif à offrir, est toujours au cœur du débat.
Triptik à regarder en live sur Canal Street : http://tiny.cc/tpcxgw
** Son of Kick **
Aucune restriction musicale, hybride a toujours été son blason et quelque fois son fardeau ; aujourd’hui c’est sa signature. Ses productions détonnantes (à grands coups d’acapellas de Method Man ou de Violent Femmes) et ses live sets explosifs entre dubstep, heavy bass & électro qui lui auront permis de marquer définitivement les dancefloors dans de nombreux clubs et festivals (Gilles Peterson Worldwide Festival, O2 Wireless, Yoyo, Notting Hill Arts Club). http://soundcloud.com/sonofkick
DJs :
** Lefto **
http://lefto.be/
** Drixxxé **
http://www.myspace.com/drixxxe
** Blackenpouperz **
** KM3 **
http://flavors.me/km3#_

VELOCITY BIRD

Après 3 ans de vie commune et plus de 70 concerts dans des salles comme le Bus Palladium, le Grand Mix, l’Aéronef, le Splendid, Le Truskel avec MEDI, Minitel Rose, Adam Ficek et autres Neïmo, VELOCITY BIRD prend son envol en sortant son 1er EP officiel intitulé « Panorama » aux teintes Pop-Electro. (http://www.soundcloud.com/velocitybird)
Une résidence au Grand Mix (Tourcoing) accompagné du Directeur Artistique (et Ex Curry & Coco) Sylvain Przybylski les a amené à considérer un schéma professionnel pour une prestation scénique pleine d’énergie donnant vie à leurs mélodies ravageuses pour une tournée nationale à partir de Septembre 2012.

Les Promesses de l'ombre

Réalisé par David Cronenberg Avec Viggo Mortensen, Naomi Watts, Vincent Cassel Bouleversée par la mort d’une jeune fille qu’elle aidait à accoucher, Anna tente de retrouver la famille du nouveau-né en s’aidant du journal intime de la disparue, écrit en russe. En remontant la piste de l’ouvrage qu’elle tente de faire décrypter, la sage-femme rencontre Semyon. Elle ignore que ce paisible propriétaire du luxueux restaurant Trans-Siberian est en fait un redoutable chef de gang et que le document qu’elle possède va lui attirer de sérieux problèmes… Pour Nikolai, chauffeur et homme de main de la toute-puissante famille criminelle de l’Est, c’est le début d’une remise en cause. Entre Semyon et son fils Kirill, prêts à tout pour récupérer le journal, et l’innocente Anna, sa loyauté va être mise à rude épreuve. Autour d’un document qui se révèle de plus en plus explosif, plusieurs vies sont en jeu, dont la sienne, alors que se déchaînent les meurtres et les trahisons dans la famille comme dans la ville…

Un certain « nietzschéisme de salon »

Un certain « nietzschéisme de salon »

C’est peu de dire que l’influence de Nietzsche est encore extrêmement sensible chez tous ceux que sa critique radicale de la morale et de la religion a laissé orphelins d’un principe transcendant sur lequel appuyer leur conscience ou leur raison d’être. La virulence et la radicalité de Nietzsche prêtent à toutes les formes de distorsions, dont ce «nietzschéisme de salon» que l’essayiste Jean-Claude Guillebaud, après l’historien François Châtelet, pointe du doigt : «[…] cette forme un peu bêbête de l’égotisme moderne, qui exalte l’instant, prône la jouissance immédiate et affirme, avec un brin de grandiloquence, son refus de tout projet ou croyance. Nous connaissons mille et un exemples de ces récitations avantageuses. Le plus extraordinaire est qu’elles se proclament « subversives » ou « insolentes », alors qu’elles caressent l’époque dans le sens du poil. Leur invocation emphatique de l’éternel retour, du temps cyclique, leur glorification du vitalisme païen concordent parfaitement avec l’idéologie invisible du libéralisme. Ce nietzchéisme-là est à la révolte ce qu’une pantomime de patronage est à l’art dramatique. Une pose dérisoire, une collaboration déguisée en résistance, une puérilité de potache.» JEAN-CLAUDE GUILLEBAUD, La refondation du monde, Paris, Seuil, 1999 http://agora.qc.ca

Minimalisme

(…) Mouvement artistique d’après-guerre. « Le minimalisme prône des formes géométriques simples (primary structures) épurées jusqu’à la disparition de toute expression. Les matériaux sont du registre de l’impersonnel et sont puisés dans les produits industriels ou manufacturés. » «Ce qui caractérise surtout le minimal art, c’est la façon dont le support devient significatif. Il est autoréférentiel car il ne renvoie qu’à lui même et amène à se questionner non pas sur un sujet, un signifié, mais le signifiant. L’œuvre comme signe est remise en cause dans le déplacement de sa relation entre le concept et l’empreinte psychique2 dans ce cas visuelle. Elle peut se définir comme un système quand on sait que les théories du langage et le structuralisme ont largement alimenté le mouvement. (…) agora.qc.ca

Les rues de Bordeaux en fête pour Noël et la fin de l’année

Vendredi 25 novembre 2011 à 18h30 à partir de la place Tourny, Alain Juppé maire de Bordeaux, lancera les animations des Fêtes de fin d’année. Il inaugurera les illuminations de la ville, le marché de Noël des allées de Tourny, après avoir coupé la plus grande buche de France à l’entrée de la rue Fondaudège !

18h30 place Tourny et rue Fondaudège : découpage de la bûche de Noël de 220 mètres réalisée par l’association La Ronde des quartiers de Bordeaux et labellisée « Grande Cause nationale – lutte contre la solitude ». Installée entre les places Tourny et Charles Gruet, la bûche sera offerte aux Bordelais ainsi qu’à des associations caritatives (Restos du cœur, Diaconat, St Vincent de Paul, Maison de Marie, etc.). 19 h 15 place Tourny : lancement des illuminations, avec les chants de Noël de la chorale de l’Assomption. 19 h 30 allées de Tourny : inauguration du marché de Noël.

La place Pey-Berland en fête
Pour la 8ème année consécutive dès le 26 novembre et jusqu’au 2 janvier 2012, les amateurs de glace, petits et grands pourront évoluer sur la patinoire extérieure construite devant le palais Rohan (animations lumineuses et musicales sur la piste). 2 pistes de glace indépendantes sont proposées (27×14,5 m pour les adultes et 6×13 m pour les moins de 8 ans, leur permettant de faire les premières glissades en toute sécurité). Nouveauté cette année, l’installation d’un parcours labyrinthe ludique au centre de la grande piste. Ouverte à tous de 10h à 22h (entrée 3€, location des patins offerte), la patinoire avait accueilli l’an dernier plus de 20 000 patineurs en 1 mois.

Le plus grand marché de Noël de la région
Du 25 novembre au 30 décembre, la 17ème édition du grand marché de Noël de Bordeaux proposera de nombreuses animations autour de ses 150 chalets. Fête, partage, cadeaux et goût des bonnes choses, la Ronde des quartiers de Bordeaux, qui organise l’événement, rendra hommage aux traditions et aux valeurs de Noël. Informations sur le site officiel du marché.
Le quartier du Grand-Parc aura aussi pour la 1ère fois son marché de Noël du 2 au 24 décembre au centre commercial Europe avec une douzaine de stands. Le centre Europe et le centre Counord seront entièrement illuminés.
Des grands sapins dans toute la ville
En plus des arbres existants éclairés de milliers d’ampoules sur les principaux cours, près de 40 sapins de 9 mètres sont disposés dans tous les quartiers (arbres issus de coupes d’éclaircissage et cultivés dans Morvan). Un sapin géant de près de 20 mètres trône place Pey-Berland. Par ailleurs,  150 sapins de 2 mètres décoreront les 97 écoles de Bordeaux. Nouveauté, les associations de quartier et de commerçants sont invitées à décorer les sapins sur les thèmes de la couleur argent et du développement durable.
Le Père Noël s’expose à la bibliothèque
Jusqu’au 4 janvier 2012, la bibliothèque Mériadeck propose une exposition gratuite originale, pour  s’amuser avec ce mythe, en s’initiant à l’histoire de l’art, de la Préhistoire au 21ème siècle. Père Noël cubiste ou surréaliste, il est le personnage central d’un musée imaginaire.

2×2 places à gagner pour LES TERRASSES BLEUES S'INSTALLENT A BORDEAUX LE 28 AVRIL 2011 COUR MABLY

Pour vous aguicher quelque peu, voici un revival vidéo des terrasses bleues en 2010 au Musée Rodin:

Pour notre plus grand plaisir 1664 relance les Terrasses Bleues pour la 2e année consécutive. Le start-up des festivités le 31 mars dernier,  a permis à une centaine de consommateurs de découvrir l’association du chic et du houblon, entre les Brasseries Kronenbourg et Monsieur Christian Lacroix  en avant-première à l’occasion d’un « apéritif à la française » autour des bières 1664.

Le 28 avril prochain, c’est à Bordeaux que ça se passe, la 2e session des « TB » aura lieu Cour Mably, cadre au combien agréable.

Au programme : Un apéritif dînatoire à la française, présentation de la nouvelle bière de dégustation “1664 Millésime” (une bière qui prend tout son sens à Bordeaux) Le tout entrecoupé de DJ set exclusifs du Groupe Something à la Mode.

JetSociety s’associe à cet événement plutôt rafraichissant et vous propose de gagner 2×2 places. Pour faire simple les winners seront désignés par tirage au sort parmi les commentaires. Date limite de participation jeudi 0:00.

L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTE (la votre et celle des autres). A CONSOMMER AVEC MODERATION !

DIFFERENT BEAT, GREEN VOLUME

Different Beat « Green Volume », première compilation d’une série déclinée en couleur,  disponible dès le 4 janvier 2011 sur les plates formes de téléchargement. Sans aucune prétention, Different Beat offrira à un Dj de mixer une selection de titres parmi des nouveaux talents et d’artistes confirmés. Pour ce premier, « Green Volume » c’est le jeune Dj Belge Bartosz Brenes qui réalise le mix continue des 10 titres avec à découvrir Tomy Romera, Matthieu Bouthier, Greg Cerrone, Geyster, ou encore Stephan Evans et Reead. The World is so Beautifull, like a mix of Different BEATs… Tracklist : 1. Reead – Straight In The Eyes (Timofey & Bartosz Brenes 17+44 Mix) 06:04 2. Bartosz Brenes & Nick Mentes feat. Dan’thony – Higher (Dani L. Mebius Remix) 05:00 3. Tony Romera – Thank You [Mlle Mongetasoupe] (Original Mix) 05:37 4. Bicycle Corporation – Take Me To Miami (Pablo Basel Remix) 05:30 5. Greg Cerrone – Schyzo (Original Mix) 04:15 6. Tony Romera – Against The Wall (Original Mix) 05:45 7. Stephan Evans – Don’t Touch (Original Mix) 04:45 8. Livyo feat. Geyster – Why (Pink Computer Remix) 03:00 9. Reead – Reead – Nobody’s Innocent (Stephan Evans Dub) 03:52 10.Mathieu Bouthier – In My Head (Original Mix) 05:01

Inception: Nolan plus fort que Fincher ?

Et si Fincher avait réalisé Inception et Nolan Fight Club ? Et si Nolan avait réalisé The Game et Fincher Memento ? Et si les 2 wonder boys du cinéma, tels des Janus vrais jumeaux du présent, s’unissaient pour réaliser la plus grande histoire de S.F du 7ème art, un Matrix Ultime ? Inception est objectivement un très grand film et parce que c’est un grand film il interpelle, il ne se limite pas à un déluge d’effets visuels comme les critiques les plus négatives (celles qui émanent toujours des mêmes mangeurs de fenouil) se plaisent à laisser croire. Concernant le scénario : Inception est le deuxième long métrage de Nolan où il a été seul à travailler sur le scénario, avec Following. L’élaboration d’Inception a pris dix ans à Christopher Nolan. À l’origine, il l’avait conçu comme un film d’horreur, mais l’a finalement transformé en thriller. Après qu’il eut présenté un projet de quatre-vingts pages à Warner Bros en 2001 et sentant qu’il avait besoin de plus d’expérience sur des films de grande ampleur, le studio l’a d’abord recruté pour réaliser Batman Begins (2005) puis The Dark Knight : Le Chevalier noir (2008). Nolan a travaillé sur le script pendant presque dix ans et a été influencé par des films comme Matrix (1999, Andy et Larry Wachowski), Dark City (1998, Alex Proyas) ou Passé virtuel (1999, Josef Rusnak). On peut même parler du film eXistenZ de David Cronenberg basés sur l’idée que le monde pourrait ne pas être réel. Il passa six mois à peaufiner le scénario avant que Warner Bros n’accepte de l’acheter en février 2009. Pour ma part j’ai l’impression que ce style de films est le substitut actuel de livres tels que 1984 ou le meilleur des mondes, les gens ne lisant plus, les esprits créatifs les plus éclairés se sont tournés vers le cinéma et même si tout laisse à penser qu’il ne s’agit que de divertissement il y a toujours la place pour un autre degré d’appréciation (bien que l’image circonscrive l’imaginaire). En tout état de cause, et pour ceux que ça intéresse, Inception est dorénavant disponible à la vente et à la location, en Blu-ray et en dvd. Pour moi ce fut une magnifique expérience cinématographique. Encore !

Pulsion Phantom

Pulsion Phantom est un voyage à travers le cinéma fantastique et de science-fiction des années 70 et 80. Période d’une intense création visuelle et sonore. Ce cinéma a radiographié son époque et ses angoisses tout en imaginant des futurs pour l’humanité. Que ce soit dans les thèmes abordés (le corps, la mutation, la folie, la télépathie, les pulsions, la résistance à un ordre établi ou aux forces du mal…) ou dans sa bande-son (abandon en partie de l’orchestre classique au profit des synthétiseurs) il a expérimenté de nouvelles formes à l’intérieur d’un cadre commercial. Un cinéma expérimental accessible ou, si on préfère, un cinéma populaire ambitieux.  On peut citer ici quelques films encore présents dans nos esprits : Scanners (80), Videodrome (82), La Mouche (86), de David Cronenberg ; Halloween (78), New York 1997 (81), The Thing (82), Invasion Los Angeles (88), de John Carpenter ; Alien (79), Blade Runner (82), de Ridley Scott ; Terminator (84), de James Cameron, et peut-être le film étalon de cette période, le trip halluciné de Stanley Kubrick : 2001, l’ Odyssée de l’espace (68). Une longue liste à laquelle on pourrait ajouter les cinéastes qui se sont intéressés au genre le temps d’un film ou deux : Jean-Luc Godard, Chris Marker, Andreï Tarkovski, Brian De Palma ainsi que George Romero et Dario Argento qui ont œuvré dans un genre différent, mais ont toujours baigné leurs films dans une ambiance violente et fantastique. Pulsion Phantom est évidemment un hommage à tous ces cinéastes, mais aussi aux compositeurs qui ont accompagné ces films. Ennio Morricone, John Carpenter, Edward Artemiev, Jerry Goldsmith, Howard Shore, ont tous utilisé l’électronique pour créer des ambiances inédites. A cette époque, l’apport le plus marquant de cette « nouvelle lutherie » est sans doute la séquence. On pouvait, à l’aide d’un séquenceur, confier à la machine le soin de dérouler des séquences implacables et hypnotiques. Ce qui nous a réuni sur ce projet avec Marc Collin, qui en est le producteur, outre la passion pour le cinéma et sa musique, c’est le goût pour les séquences dont nous nous sommes délectés durant notre adolescence. Aspect musical intéressant à plus d’un titre puisqu’on peut y voir les prémices de toute la culture techno à venir… Nous avons utilisé ces machines mythiques (Moog, ARP, Jupiter, Solina…) au grain inimitable, pour retrouver un esprit, une couleur, et les mixer à des éléments plus contemporains. Le cinéma, c’est aussi la voix. Nous avons invité des personnalités, dont nous aimons le travail, à dire des textes qui abordent les thèmes évoqués dans ces films. Les voix-off de ce projet en quelque sorte.. myspace.com/pulsionphantom

Eros and Magic in the Renaissance by Ioan P. Culianu

It is a widespread prejudice of modern, scientific society that « magic » is merely a ludicrous amalgam of recipes and methods derived from primitive and erroneous notions about nature. Eros and Magic in the Renaissance challenges this view, providing an in-depth scholarly explanation of the workings of magic and showing that magic continues to exist in an altered form even today.

Style Setter ou Style Leader ? Question de mode existentielle

Un Style Setter est un véritable caméléon urbain. Il se distingue notamment du Style Leader car il n’arbore jamais d’accoutrements trop voyants (parfois dignes de meneuses de revue des folies bergères futuristes), mais il prône au contraire une image de luxe de glamour et de sobriété.

En toutes circonstances le Style Setter se démarque de son « quasi sosie » en retard d’une marque ou d’une couleur parce qu’il a Le Snap.

Le Snap ne se définit pas, c’est un tout. Le port de tête digne de la statue grecque. La coupe de cheveux ou du pantalon qui aura un « je ne sais quoi » qui vous fera inconsciemment vous interroger sur votre propre  style, la  démarche chaloupée qui effleure à peine les pavés, mais qui révèle un modèle unique de chez Berlutti ou de chez Vaneau. Le signe ostensible de la main qui obligera un Uber Skoda ou Hyundai (4×4) à s’arrêter pile devant lui.

Ce sont ces détails infimes mais déterminants qui fondent la différence entre un Setter (pionnier) et un Leader (Chef de meute Hype). Le Setter n’a pas forcément le dernier gadget (mais il sait s’en servir), car la nécessité pour lui, ne réside pas dans la nouveauté à tout prix (Geek), mais dans le « bien maîtriser », du boxer short au socquettes, des ongles aux poils. Comprendre ces différences fondamentales peut vous aider dans votre quête stylistique. Cependant soyez prudents, car outre le Style Leader, il existe une autre catégorie plus  dangereuse encore et qui peut vous laisser croire à des courants ou à des styles déjà  éculés ou trop facilement accessibles : Le Para Setter.