Guru's Jazzmatazz

Guru’s Jazzmatazz en concert a la Scene Bastille le 17 Mars 2008 Keith Edward Elam plus connu sous le nom de Guru naît le 17 Juillet 1966 à Boston (USA). Il officie d’abord dans le groupe de Hip-Hop Gang Starr avec Dj Premier avec qui il enregistre Step In the Arena (1991). En 1993, Guru part en solo et monte le projet Jazzmatazz sur lequel il invite de nombreux rappeurs et jazzmen dont MC Solaar, The Brand New Heavies … En savoir Plus http://www.gurusjazzmatazz.net A propos de guru’s Jazzmatazz III Streetsoul : Troisème volet des expériences hip hop-jazz de Guru, où il invite une pléaïde d’artistes soul du moment.Lorsque Guru décide en 1993 de produire son propre projet solo, cela donne « Jazzmatazz… An Experimental Fusion of Hip Hop ». Le rappeur de « Gangstarr » rappelle que le hip hop possède quelques racines dans le jazz, deux genres musicaux initiés par les afros-américains. Sept ans plus tard (avec entre temps un deuxième volume plus anecdotique) Guru sort un troisième volume bien dans son époque, où il fait se croiser hip hop et soul.  Source : Thierry PRAS / www.infoconcert.com

Lunettes de soleil « bijoux » par Chanel

Vues sur le podium de la couture hiver 2007-08, les lunettes de soleil « bijoux » seront disponibles dès le mois de janvier dans les boutiques Chanel exclusivement. Plumes, broderies Lesage, organza de la maison Lemarié, perles, sequins ou camélias s’invitent sur les montures imaginées par Karl Lagerfeld. Vert d’eau, gris, lilas ou bleu nuit constituent la palette de l’accessoire.J.DLR. http://www.vogue.fr

Maison Martin Margiela

20 Dec. 2008 – 01 Oct. 2009 Pour la deuxième année consécutive, la Cité de l’architecture & du patrimoine accueille le magazine ELLE DECORATION pour faire revivre l’ancien appartement de Jacques Carlu, architecte du Palais de Chaillot dans les années 30. Après Christian Lacroix, c’est à Maison Martin Margiela que la Cité et Elle Décoration ont donné « carte blanche » pour l’aménagement de cet appartement d’exception, situé face à la Tour Eiffel et surplombant tout Paris depuis sa terrasse. L’intervention de Maison Martin Margiela dans la Suite entend dépasser la simple idée de décor pour faire vivre le lieu, dans l’espace comme dans le temps. Le temps qui s’arrête après une fête et laisse ses stigmates de désordre. Pour que cet espace raconte une histoire, attise la curiosité et stimule l’imagination des visiteurs, qui deviennent témoins d’une scène de vie et des traces laissées par le temps et le mouvement. S’y mêlent les codes, les thèmes et l’univers de la Maison (le(s) blanc(s), l’argent, le trompe l’œil, les housses de coton, les traces du temps). S’y traduisent également ses valeurs (l’ironie, le détournement, la déconstruction) que la Maison ne cesse d’interprèter dans ses expressions créatives, que ce soit à travers les vêtements ou les univers qu’elle conçoit. L’entrée se fait par un long couloir argent du sol au plafond, prémisse de la fête qui a eu lieu dans le reste de l’appartement. Les murs sont recouverts de rideaux argentés, un plafond miroité s’étend sur toute la longueur et reflète le sol en plastique à effet miroir. La première salle expose les préparatifs d’une fête : on retire les tableaux précieux qui laissent apparaître leurs traces sur les murs, on pousse les meubles – mais cette fois, au centre de la pièce – et on les recouvre d’une housse de coton pour les protéger. La salle des fêtes a été quittée en l’état : les télévisions sont restées allumées, les cadavres de bouteilles et les verres vides s’entassent sur les tables de bistrot, les chaises sont encore empilées, la musique hante le piano qui continue de jouer… La perspective créée par l’effet trompe l’oeil de la moquette imprimée parquet, des coffrages des garde-corps et des photocopies noir&blanc des murs et plafond donne une dimension anamorphique à l’espace. La terrasse adjacente est recouverte d’un gazon blanc, les tabourets « pied-d’éléphants » ont accueilli ceux qui ont profité de la vue. Une petite salle capitonnée propose comme seul élément de décor une paire de chaussures Tabi en glace présentée dans un réfrigérateur vitré. Cette salle pourrait permettre d’accueillir des expositions temporaires d’artistes débutants invités par la Maison. Enfin, la visite de termine par la salle du festin, elle aussi laissée telle quelle, où l’écho des conversations résonne inlassablement. Les confetti recouvrent le sol, la table des convives est encore dressée : les vaisselles, candélabres et girandoles sont figés, le buffet offre toujours ses sceaux à champagne, glaçons et plats. Les murs et plafond sont recouverts de photocopies trompe-l’œil d’un ancien appartement Haussmannien orné de moulures et pâtisseries. Ici, la fête est finie. Elle continue ailleurs… Palais de Chaillot 1, place du Trocadero et du 11 novembre 75016 Paris www.citechaillot.fr