Lorsque j’aborde ces sujets à caractère provocateur j’ai traditionnellement l’habitude de démarrer mes billets par : « En ces temps de« . En l’occurrence il ne me parait pas opportun de dater celui-ci, cette réalité étant aussi éculée que l’argent lui même.

« Le fric c’est comme la culture mieux vaut en avoir pour bien l’étaler ! » tout est dit et surtout tout est fait immuablement et en permanence par nos congénères en humanité (ensemble dans lequel nous nous incluons) pour l’attester. Peu importe l’état effectif des finances ou du savoir, les signes extérieurs continuent d’agir magiquement sur l’opinion, à l’instar des retouches numériques, on a beau dire que c’est falsifié ça marche à chaque fois. Il est néanmoins avéré que ceux qui ont les moyens de donner le change sont plus facilement acceptés dans leur extrapolation…

Triste mais vrai ? Victime consentante ? Coupable mais non responsable ? La liste est longue des griefs que l’on peut reprocher à soi même et à l’autre. La vraie question serait plutôt pourquoi ? Pourquoi ne peut-on pas accepter la si simple réalité: nous allons tous mourir un jour. Le reste n’est que littérature et (dé)confiture.