« Si les salariés se ‘révoltaient’, le choc inflationniste, et donc de taux d’intérêt, qui en résulterait aurait des effets très négatifs sur les détenteurs d’obligations, sur les États et les entreprises ». Car une telle révolte occasionnerait selon Patrick Artus, auteur de l’étude et directeur de la recherche et des études de Natixis: « une hausse rapide des salaires » qui « conduirait à de graves déséquilibres financiers ». À savoir donc, « une chute des marchés et une hausse des taux d’intérêt et de l’inflation ». Certes les ménages en « bénéficieraient », mais pas les actionnaires, les finances publiques et les grands groupes. Source : www.challenges.fr

Ayant à coeur de satisfaire au mieux les actionnaires, les finances publiques et les grands groupes, je vais exercer mon droit de réserve, qui ne coute heureusement rien à personne. Juste pour info, la fin du monde est prévue pour quand ?