Mais oui… Le petit marronnier de l’été, avec l’attitude post New Age qui va bien, genre je flâne sur mon jet ski, je sieste dans le hamac le verre plein d’un sublime nectar servi par une délicieuse naïade. Éphémère prise de conscience que la vie vaut la peine d’être vécue surtout quand je constate béat, subjugué, que le ciel est constellé d’étoiles. Ouais, j’adore surtout le moment de charger les sacs de voyage Vuitton et de reprendre le chemin du quotidien chargé de cette si douce sensation d’apaisement et de paix intérieure. Les quelques jours pendant lesquels sont encore présentes dans ma mémoire, les frasques vécues dans les clubs les plus fermés de la planète, réservés comme il se doit au Happy Few seul à même de comprendre comment et pourquoi le débordement est une nécessité. Jet Society or not ?