[…] « Livre divin, écrivait Hoffmann, qui a porté à l’art de manger le flambeau du génie.» Et Balzac lui-même de ratifier ce jugement. Quand au public, il ne s’y est pas trompé; il a gardé toute sa faveur à cet écrivain dont l’expression a tant de saveur et de spontanéité. […] Les aphorismes, comme les maximes, comme les proverbes, s’appliquent à des réalités qui sont aussi vieilles que l’humanité; ils n’inventent rien, mais condensent en une formule définitive une sagesse millénaire, c’est pourquoi Brillat-Savarin a pris sa place parmi les grands classiques. […] » http://www.walloniebruxelles.org