« Pasadena » revient sur les amours d’école, l’insouciance et la dureté des premières histoires sous le regard des autres adolescents. « Septembre » sur le précédent album renvoyait déjà au monde de l’école, ici on a l’impression de retrouver ce même enfant un peu plus tard dans sa vie.

Rempli de références ou situations qui nous ont toutes été un jour familières, « Pasadena » est un peu une madeleine de Proust qui nous renvoie à nos souvenirs adolescents. « Y’a que ton nom que j’écris au Tippex sur mon sac et partout sur les murs. »