Il est devenu de plus en plus difficile de réussir à toucher les fans de sa page Facebook sans payer. Un comble pour des marques qui avaient dû dépenser plusieurs dizaines voire centaines de milliers d’euros pour construire de telles communautés. Les annonceurs ont en effet vu le reach de leurs pages passer en moyenne de 16 à 5% du jour au lendemain. Pour Facebook, la faute est à mettre du côté des fans : «l’internaute a de plus en plus d’amis et «aime» de plus en plus de pages, il nous incombe de faire le tri et sélectionner les publications les plus pertinentes.» Mais pour les marques, cela a un prix. Aujourd’hui, Facebook est donc moins un réseau social, qu’un site média. Une tendance qui s’affirme depuis son introduction en bourse en mai 2012 et son obligation de monétiser toujours plus sa plateforme. Un constat qui vaut également pour Twitter depuis décembre dernier. Source: journaldunet.com
Moralité : Mais qu’il sont méchants les petits moutons de ne pas respecter la règle n°1 : consomme du 3w comme de la télé ! Et si la solution provenait de la façon de communiquer, impliquer plutôt qu’imposer, le totalitarisme même virtuel conduit inéluctablement à terme à la révolution… tu peux t’ériger en grand ponte des médias, si t’as pas compris ça, ta rolex de mec qui a réussi sa vie, tu devras la revendre aux enchères quelques années plus tard ! A mon avis c’est le mot social qui choque, média ça va :
Dans une définition large de la notion du social, on peut l’entendre comme étant l’expression de l’existence de relations entre les vivants. Certains animaux non-humains, tels que la plupart des mammifères par exemple, sont qualifiés d’espèces sociales. Il en va de même pour certains insectes. Au sens commun, le terme social renvoie généralement vers le nom commun : société.