Ne serait-ce pas comme se priver de parler de sa famille ? Aujourd’hui qui peut ignorer (dans un pays riche et de surcroit occidental) ce que font au quotidien (ou présupposé tel) ces prescripteurs sociétaux, comportementaux, qui s’unissent, se désunissent, s’affichent, pour mieux s’offenser, se mettent à nu (in)volontairement, com’uniquent jusqu’à l’usure. Décréter que nous ne pouvons pas vivre sans eux est aussi absurde que de dire qu’on ne peut pas vivre sans télé (mais si c’est possible), ou sans Internet (là ça craint vraiment). Peu importe la vérité, la nécessité demeure l’occupation de l’espace; de même que nous recevons en moyenne 600 messages publicitaires par jour, combien de stars bouffons nous au quotidien… quant à l’obsession de l’actu chaude c’est un autre problème dont on peut aussi sans doute se passer même si ça me semble tout de même bien tendu du slip !