Event : D'UN FILM A L'AUTRE, de Claude Lelouch par Liza

« Alors hier j’arrive à 19h50 dans les studio film 13. Une fille me demande mon nom. Le bar  qui précède la salle de projection est déjà bien rempli. A 20h précise nous nous installons dans la salle qui accueille moins de 100 personnes. Vraiment agréable. Style petit ciné privé. Sièges en cuir bien confortable. »

D’emblée le film commence par une scène extraite d’un de ses courts métrage : Paris 6h30 du matin. La caméra placée sur le devant de la voiture fonce à très vive allure, traverse la capitale des années 60-70 . Claude Lelouch nous met dans le bain. Explique que son parcours ressemble sensiblement à cette traversée folle. Prises de  risques / passage au rouge / beauté / adrénaline / frayeur … Alors, comment fêter un tel anniversaire ? En réalisant tout simplement un autre film qui résumerait tous les précédents.

D’un film à l’autre est donc une sorte d’anthologie des films produits par Les Films 13 depuis les années 60 (des courts et longs métrages écrits et réalisés pour l’essentiel par Claude Lelouch), un best of montage qui va du Propre de l’homme à Roman de gare, une sorte de biographie en image d’un cinéaste aussi admiré que critiqué. d’un demi siècle de cinéma : Un film. En réalité D’un film à l’autre est plus qu’une suite d’extraits de films, d’interviews et de making of (dont certains ont une indéniable valeur historique, comme le making of d’Un homme et une femme ou des derniers instants de Patrick Dewaere).

C’est aussi et surtout la confession d’un auteur qui commente pendant deux heures durant, son œuvre et sa vie en toute objectivité (je confirme ! car il explique ses flop, ses erreurs , ses traversées du désert …!). Claude Lelouch nous parle des uns, des autres, des hommes, des femmes, de ses succès aussi retentissants que ses échecs, de sa vie privée (notons l’hommage à Annie Girardot avec qui il a eu une passion) si étroitement liée à sa vie professionnelle .

Ce film de montage est donc plus une œuvre de référence à l’usage des cinéphiles, c’est le témoignage, ô combien précieux, d’un créateur qui se penche lucidement sur lui-même et rend un hommage vibrant à tous ceux (acteurs, auteurs, compositeurs de musique, co-producteurs) qui l’ont accompagné pendant un demi siècle. Donc un document unique. Un film-somme si particulier… qu’il en est forcément universel.

Suite à cela C. Lelouch est venu répondre en toute simplicité aux questions (peu nombreuses finalement…)  Pensez – vous que le cinéma a un avenir ? Oui d’autant qu’aujourd’hui nous sommes tous un peu réalisateur avec nos appareils numériques… Qu’avez vous retenu de votre parcours ?  Mes échecs m’ont plus appris que mes succès . Je me suis toujours plus investi pour me relever de mes nombreux échecs que lorsque tout roulait . Partisan de l’école buissonnière / autodidacte j’ai toujours appris et j’apprends encore .  Comment expliquez vous l’acharnement de la presse contre vous ? Je n’ai pas voulu suivre la nouvelles vagues citant une anecdote : lorsque Truffaut veut lui rendre hommage il lui dit « en voyant ce que vous avez fait j’ai appris tout ce que je ne voulais pas faire » le lendemain « Un homme et une femme était critiqué dans la presse ».

D’UN FILM A L’AUTRE Une histoire de Claude Lelouch Au cinéma le 13 avril 2011

 

Google, Facebook et Twitter : Dons en ligne

Au lendemain des catastrophes ayant frappé le Japon, Google, Facebook et Twitter ont offert la possibilité aux internautes de faire des dons en ligne pour soutenir les sinistrés. Par ailleurs, Google a utilisé sa technologie pour mettre en place plusieurs outils, dont l’un permet de collecter des informations sur les personnes injoignables dans les zones où le téléphone est coupé. Le 13h de la com

1 minute de silence

Prenez juste le temps… d’une minute de silence pour ceux qui souffrent, où qu’ils soient dans le monde.

Johnny Boy "Modern Idol" EP maintenant sur iTunes

“Vous rappelez-vous cette scène délicieuse de Mean Streets tournée dans une salle de billard où Johnny Boy campé par Robert de Niro pète les plombs ? La spontanéité, la folie, l’énergie et le kitsch de l’acteur américain crevaient l’écran… Vous retrouverez toutes ces qualités dans le Modern Idol des dandys français qui ont emprunté le nom du héros du film de Scorsese. » – Hartzine « Une résurrection des Sex Pistols en mode électro » – Discordance JOHNNY BOY electronically informed rock band / Paris L’Histoire ne retient souvent que deux noms dans un groupe, généralement ceux qui composent (Jagger/Richards, Strummer/Jones, Barat/Doherty …). C’est donc sans doute pour ne laisser personne dans l’anonymat que Nicky Larsen et Salo JR ont préféré fomenter leur complot en duo. Léger comme l’albatros, évinçant les contraintes d’un line-up traditionnel, Johnny Boy abandonne l’idée de groupe au profit d’un binôme soudé et complémentaire. Quel que soit le costume qu’on veuille leur faire endosser, ils s’y sentent toujours trop à l’étroit. Eux préfèrent l’aventure sonore. Armés de boites à rythmes et de synthés, tirant d’une Télécaster des sonorités tour à tour cinglantes, grumeleuses ou noisy, ils retiennent l’insolence et l’énergie du punk rock, les associent à des mélodies pop et des tapis d’électro primaire, pour donner jour à un post-punk désenchanté et conquérant, révélant des influences telles que Suicide, Buzzcocks, P.I.L. ou The Hives.

Aussi à l’aise dans un squat berlinois que face au public d’un gros festival, offrant un live généreux, énergique parfois même jusqu’à l’épuisement, Johnny Boy compte près de 200 concerts en France, Belgique, Allemagne, Angleterre, Suisse et Russie, des scènes les plus officielles aux plus underground, partageant l’affiche avec les Shy Child (US), The Death Set (US),The Rakes (UK), Dead Kids (UK), Hushpuppies, Les Thugs, Sexy Sushi, Cheveu, Minitel Rose… Après le EP Dialectik Noise en 2008 suivi dans la foulée d’un split LP vinyle avec le groupe Anes et Bateaux, Johnny Boy renoue avec le studio en 2010 et donne naissance au EP Modern Idol, accompagné de remixes. Déjà disponible en vinyle LP via Anywave Records, Modern Idol est enfin disponible en digital via Laitdbac Records et Module. Site officiel de Johnny Boy : http://johnnyboy.band.free.fr Johnny Boy sur Facebook : http://www.facebook.com/pages/Johnny-Boy/206709024576?v=wall Johnny Boy sur Twitter : http://www.twitter.com/johnnyboyband

The Guests Only !

THE GUESTS ONLY est un trio breton qui combine énergie du rock et mélodies pops inspirées.  Sous forte influence californienne, leur musique se prête aussi très bien aux dancefloors grâce à un solide sens du groove ! David, Pierre et Sam réinventent au fil des chansons leur propre vision d’un Saint Malos-Angeles fantasmé. A retrouver en concert le 11 mars à la Java (event Facebook) Séance de rattrapage le 08 avril à l’Espace B Et le 19 mai au Divan du Monde (avec Secret Maker) theguestsonly

"CIVILIZATION" nouveau single de JUSTICE

Un Extrait du prochain single de JUSTICE dans une vide?o signe?e Romain Gavras, pour la nouvelle campagne ADIDAS. Apre?s A CROSS THE UNIVERSE, Justice et Romain GAVRAS s’unissent a? nouveau. A l’origine, Romain Gavras est contacte? par ADIDAS pour re?aliser le film de leur prochaine campagne publicitaire. C’est plus tard et apre?s avoir e?coute? avec JUSTICE une partie de leur prochain album, que Romain propose a? Gaspard Auge? & Xavier de Rosnay d’utiliser des extraits d’un de leurs nouveaux titres “CIVILIZATION”, pour cre?er la bande son du film. Pour ADIDAS, cette date est le lancement de la campagne de communication la plus importante jamais re?alise?e par la marque. Une campagne d’advertainment me?lant Sport & Musique. †

BLACK DEVIL DISCO CLUB Nouvel Album "Circus"

Ladies and Gentlemen préparez-vous à entrer dans l’univers toujours plus étrange et intense de Bernard  Fèvre alias BLACK DEVIL DISCO CLUB. Pop mais ténébreux, son nouvel album « Circus », qui sort le 11 Avril 2011 est électronique mais avant tout électrique :  entre Joy Division et Giorgio Moroder, c’est également son disque le plus ‘rock’.  On y retrouve les visions disco-wave demoniaques du maitre de cérémonie accompagné d’invités prestigieux au chant :  Nancy Fortune, Aja Emma (Cosmetics), Faris Badwan (The Horrors), Claire Evans des new-yorkais de YACHT (DFA), CocknBullkid, Nicolas Ker (Poni Hoax), mais aussi les légendes Nancy Sinatra, Afrika Bambaataa ou Jon Spencer. Le diable est magnétique! Créateur en 1978 d’un des plus influents chapitres du disco électronique, Black Devil Disco Club, dont la réputation n’a cessé de grandir au fil des décennies, Bernard Fèvre est régulièrement cité comme une référence majeure par Aphex Twin, Metro Area, Andrew Weatherall ou les Chemical Brothers. De retour en 2006 après une absence spatio-temporelle de 28 ans avec l’album ’28 After’ acclamé par les critiques du monde entier, il livre aujourd’hui son disque le plus ambitieux, et probablement le dernier sous ce nom. Tracklisting:  1. Fuzzy Dream ft Jon Spencer.  2. Pavement opposite ft Nancy Fortune / Bernard Fevre.  3. X Paradise ft Cosmetics.  4. Distrust ft Faris Badwan (The Horrors).  5. Stay Insane ft Ycht.  6. To Ardent ft Nancy Sinatra.  7. In Doubt ft Cocknbullkid.  8. My Screen ft Nicolas Kerr (Poni Hoax).  9. She Flees the Silence ft Bernard Fevre / Michael Lovett.  10. Magnetic Devil ft Afrika Bambaataa. « In Doubt » EP extrait de l’album, déjà disponible. Avec les remixes de Danger, Eckman, Mondkopf, et Mousepad Egalement la Tournée Mondiale de Bernard Fèvre alias Black Devil Disco Club, bientôt en France: 12 Mars @ Bloc Weekend Festival – Minehead – UK 9 Avril @ Dazed And Confused Festival – London – UK 16 Avril @ Festsaal Kreuzberg- Berlin – Germany 22 Avril @ Babel – Malmö – Sweden 7 Mai @ La Fabrica – Bruxelles – Be 20 Mai @ Be Cool – Barcelona – Spain 3 Juin @ Nuits Sonores – Lyon – France 18 Juin @ Temps Machine – Tours – France 17 Jul @ Lovebox Festival – London – UK

 

 

Trois Couleurs HORS SERIE Stanley Kubrick

Après la contre-culture américaine, les Doors, Sofia Coppola et le photographe JR, le mensuel culturel Trois Couleurs consacre son cinquième hors-série à un cinéaste total, Stanley Kubrick. Numéro spécial de 132 pages en kiosque et en librairie depuis le 9 mars  au prix de 9,90 euros Ce numéro collector constituera le guide de l’exposition Kubrick présentée à la Cinémathèque française du 23 mars au 31 juillet 2011. Le magazine reviendra sur la vie et la carrière du cinéaste américain à travers une biographie et une filmographie exhaustive, ainsi qu’une analyse des motifs clés de son œuvre (dérèglements, dédoublements, détournements). Ce tour d’horizon sera complété par un panorama de ses principaux héritiers (de Steven Spielberg à James Cameron), des articles sur son utilisation visionnaire de la technique, du son ou des visages, un reportage à Londres dans son manoir de Childwickbury, et des interviews de ses proches : sa femme Christiane, son beau-frère et producteur Jan Harlan, son monteur Nigel Galt, son décorateur Ken Adam, l’inventeur du Steadicam Garrett Brown… Tout en donnant la parole à des spécialistes de son cinéma (Michel Ciment, Michel Chion, Philippe Fraisse, etc.), le magazine s’efforcera de mêler approches sérieuses et plongées plus irrévérencieuses, dévoilant par exemple la récurrence de scènes de toilettes dans l’oeuvre de Kubrick, ses principaux projets avortés, la réception mouvementée de ses films, ou encore les diverses théories du complot qui lui ont été associées. Last but not least, un épais portfolio reviendra sur les rapports féconds du cinéaste à la photographie (qu’il a pratiquée, jeune), aux arts plastiques et au design, mettant des œuvres de Georges de La Tour, Saul Bass, Mark Rothko ou Invader en regard des films de l’auteur immortel d’Eyes Wide Shut.

Nova x Owni «Big Foutoir»

La radio Nova et Owni, site spécialisé dans les cultures numériques, se sont associés dans le cadre d’une nouvelle émission, diffusée le mardi 22 mars à partir de 20 heures sur les deux médias. L’objectif est de créer un espace de débat, de réflexion et d’anticipation pendant six heures de diffusion sur le thème: «Dégage!» Spécialistes des projets expérimentaux, Nova et Owni proposeront un «Big Foutoir» numérique et radiophonique sur la mise en réseau du monde. Le 13h de la com