Sônge – I Come From Pain

Dans « I Come From Pain », on découvre la jeune SÔNGE en princesse cosmique. Entre émotions électroniques et R&B lunaire, la jeune SÔNGE invite l’auditeur à se perdre dans les brumes de son monde onirique où elle règne en impératrice soul, aidée de ses seules machines. Ses rêveries électroniques façonnent des mondes parallèles avec d’autres têtes couronnées de l’électronica sophistiquée, tel James Blake ou encore Banks.

Réalisé par Zhang + Knight

DATES
19 mai / The Great Escape, Brighton (UK)
20 mai / La Rue Est Vers L’Art, Quimper
8 juin / Péniche Cancale, Dijon
22 juin / Rocher De Palmer, Bordeaux
05 juillet / Days Off, Paris
14 juillet / Les Vieilles Charrues, Carhaix
19 juillet / Mercredis Musicaux, Quimperlé
28 juillet / Cabourg Mon Amour, Cabourg

INTERVIEW – MARK DAUMAIL DE COCOON « WELCOME HOME »

Le troisième album de Cocoon, “Welcome Home”, a été enregistré entre Bordeaux, Berlin et Richmond en Virginie. Il succède à « My Friends All Died In A Plane Crash » et « Where the Oceans End » certifiés platine.

Un nouvel opus qui porte la marque de Matthew E. White, une des figures les plus respectées de l’americana. Dans les studios de son label Spacebomb, il a réalisé quatre titres, de nombreux overdubs et la totalité des arrangements (chœurs, cordes et cuivres) du disque.

Mark Daumail, l’auteur-compositeur interprète, a composé douze titres dans une veine plus soul que les deux albums précédents. Morgane qui assurait la voix féminine sur ces disques ayant décidé de se consacrer à des projets plus personnels, Mark a confié le soin d’exécuter ces parties vocales à plusieurs intervenants. Des choristes gospel sur une poignée de titres, Natalie Prass, une des figures de proue du label Spacebomb, sur deux morceaux et Matthew E. White sur un duo bouleversant.

L’imagerie de l’album est exécutée par une artiste texane Esther Pearl Watson. Elle illustre chacune des chansons par un tableau ayant pour thème, l’abri, la maison… ces œuvres donneront lieu à une expo parisienne autour de la sortie de l’album.

“Welcome Home” sortira le 26 août 2016 et le premier extrait “I Can’t Wait” fait déjà le bonheur des radios. Cocoon sera en tournée dans toute la France dès cet automne.

COCOON-®Yann-Orhan
Interview :

Welcome Home s’annonce, et pour ce qu’on en a déjà entendu, comme un album lumineux, authentique, sincère et généreux, ça fait du bien d’envisager sereinement l’accueil du public ?

Merci pour ces qualificatifs ! C’est exactement ce que je voulais obtenir : un album lumineux et sincère, donc vos mots me touchent beaucoup. Je n’ai jamais chanté les choses aussi simplement que dans cet album en tout cas. J’espère que le public le sentira.

Après un virage solo vous reprenez les rênes de Cocoon, est-ce un disque de groupe ou plutôt d’une famille musicale avec Matthew E. White, Natalie Prass, Trey Pollard ?

C’est exactement l’idée que je me fais de Cocoon : une sorte de grande équipe avec des intervenants qui viennent, qui repartent. Dans ce disque il y a une trentaine de musiciens, huit chanteurs et chanteuses… Cocoon est un projet basé sur les voix et les mélanges de voix donc je veux de plus en plus m’amuser avec ça. C’est pour ça que j’ai voulu partir sur un son plus gospel dans ce disque.

Comment s’est passé l’enregistrement de l’album, pour Where the Oceans End vous étiez entre Londres, Paris et Belle-Ile-En-Mer, cette fois c’est entre Bordeaux, Berlin et Richmond, est-ce que ces lieux apportent une couleur musicale différente ?

Oui bien sûr. Pour Where The Oceans je voulais me rapprocher d’une esthétique anglaise, pluvieuse, très mélancolique et chic à la fois. Pour mon album solo electro, je voulais me rapprocher d’une certaine idée de la french touch donc Paris était la ville idéale. Pour Welcome Home, l’idée était d’obtenir ce son gospel et des arrangements plus cinématographiques, donc les Etats-Unis s’imposaient. Berlin est un peu un hasard mais je voulais enregistrer mes voix ailleurs que chez moi (je suis très mauvais pour enregistrer ma voix) et donc j’ai trouvé quelqu’un qui était ok pour le faire à Berlin.

Après cette nouvelle expérience d’enregistrement, préférez vous la scène ou le studio ?

A chaque fois qu’on me pose cette question je réponds le studio mais je sors des répétitions avec le groupe et je sens que la scène va être très cool !

Vous avez parlé d’une approche organique de la musique, de chaleur analogique pour cet album, la guitare, le piano, les cuivres, la soul, le folk, le gospel, comme un besoin de revenir aux origines ?

Cocoon est mon projet folk, donc j’essaie de privilégier les instruments acoustiques même si parfois j’y intègre une boite à rythme ou un synthé. Mais en effet, même avec des instruments électroniques j’essaie d’utiliser uniquement de l’analogique pour garder une chaleur. Et je sens comme vous dites qu’il y a de plus en plus de soul dans ma musique, et je ne sais pas pourquoi.

Chaque chanson de l’album est emprunt de votre vécu récent et émotionnellement fort, on a coutume de dire qu’il est plus difficile de faire rire que pleurer, est-ce la même chose pour la musique ?

Oui tout à fait. Je voulais que le sentiment global soit joyeux car justement je sortais d’un tunnel de moments difficiles. Je ne me voyais pas faire un disque plombé, j’avais besoin d’un peu de lumière.

Le clip de I can’t Wait est une pure splendeur, pouvez-vous nous parler de Esther Pearl Watson ?

Merci. C’est une artiste de Los Angeles qui peint des tonnes de choses mais plus particulièrement des maisons. Sa peinture est faussement naïve et enfantine, un peu comme la musique de Cocoon donc elle me fascinait. Lorsque j’ai commencé à imaginer l’artwork du disque, à savoir une maison par chanson, je l’ai contactée, et elle a tout de suite accepté !

Est-ce que vous avez un livre, film, disque fétiche au point de ne jamais vous en séparer ?

Non pas vraiment. Quand j’aime quelque chose je peux rester bloqué des mois dessus et d’un coup le laisser de côté pendant quelques temps. L’année dernière c’était l’album de Sufjan Stevens. Cette année je sens que ça va être celui de James Blake !

Souhaitez-vous parler de l’association Les Liens Du Cœur dont vous êtes parrain ?

L’association a été crée par les médecins de l’Hôpital cardiologique Haut-Lévèque de Bordeaux où sont opérés et suivis les enfants atteints de maladies cardiaques congénitales. L’hôpital est l’un des plus pointus d’Europe et il accueille des enfants venant de loin. Nous essayons de réunir les fonds nécessaires à la construction d’une maison des parents qui permettraient d’accueillir les enfants et leurs parents le temps de leur hospitalisation. Vous trouverez toutes les infos ici : www.lesliensducoeur.org

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Le Château Lagrézette rejoint la cave du Plaza Athénée

Une actualité sous le signe de la haute gastronomie pour le Château Lagrézette qui rejoint notamment la cave du Plaza Athénée

Après le Jules Verne à la Tour Eiffel, Le Pigeonnier* blanc 2012 fait son entrée dans la cave du mythique Plaza Athénée, rejoignant ainsi les plus grands Château Cheval Blanc, Château Latour, Château Margaux, Pétrus, Montrachet….Il est présent, depuis mi novembre, sur la carte originale du nouveau « Plaza », où Alain Ducasse a repensé l’ensemble de l’expérience du repas autour du thème de la «naturalité».

Cette haute gastronomie responsable, plus en accord avec la nature, plus saine et plus respectueuse permettra notamment de déguster un triptyque « pêche durable » (pêche de petits bateaux et de pêcheurs conscients de la fragilité des ressources), accompagné de petits légumes en provenance du jardin de la reine à Versailles … et dans le verre, le vin idéal : le Pigeonnier Viognier 2012 !

La Cuvée Dame Honneur 2002 a, quant à elle, été sélectionnée par Joël Robuchon pour figurer à la carte de son Atelier de la rue de Montalembert.

Le Château Chevaliers Lagrézette 2011 accompagnera désormais les viandes du Bistrot français Chez Benoît, d’Alain Ducasse, à New-York, et sera particulièrement mis à l’honneur en janvier prochain, à l’occasion du traditionnel et populaire «Cassoulet Day» !

Avis aux bordelais :  Pour la première fois, le Château Lagrézette a été retenu pour participer, aux côtés des meilleurs crus de Bordeaux et de prestigieux millésimes venus de Reims, de Bourgogne ou d’Alsace, à la 3e édition du « Bordeaux Tasting », organisé par le magazine Terre et Vins. Rendez-vous donc les 13 et 14 décembre au Palais de la Bourse de Bordeaux, où de nombreuses surprises vous attendent, notamment des cours d’initiation à l’oenologie et des Master Class !

Le Pigeonnier tire son nom d’un bâtiment insolite daté du XVIIe siècle et classé monument historique : érigé sur six colonnes, on y abritait et élevait des pigeons. Situé au pied du château, il domine une parcelle 100% malbec exposée est/ouest, située en troisièmes terrasses du Lot et entourée de murs de pierres sèches. Les rendements y sont maintenus autour de 15 à 20 hl/ha. Après récolte, les baies sont minutieusement triées par des mains expertes. La cuvée est alors vinifiée en foudre de chêne, puis élevée pendant 28 mois en barriques de chêne neuf avant d’être embouteillée au château. Réservée uniquement aux grands millésimes, la production est limitée entre 4.000 et 6.500 bouteilles.

Angus & Julia Stone – Nouvel album Angus & Julia Stone

Makes me wanna tick them wakes to my arms
She’s got this way
She’s got this way
Or wrap her little heart around mine

« Je veux qu’il batte entre mes mains, Elle est comme ça, Elle est comme ça, Ou envelopper son petit cœur autour du mien… » C’est une sensation que l’on ressent à l’écoute de cet album particulièrement authentique, sincère, abouti. Une bande son de la vie, qui révèle une palette d’émotions large et contrastée. Ne boudons pas notre plaisir, mainstream – underground – intellos – écolos… on s’en contrefout, l’important c’est cette musique qui nous transporte et ces voix qui franchissent aisément les frontières de la superficialité pour toucher l’Etre.

L’histoire de ce duo familial est déjà bien connue. Elevés sur les côtes qui longent le nord de Sydney, révélés par un bouche à oreille intense suite à la sortie de leurs premiers EP en 2007 (Chocolates and Cigarettes et Heart Full of Wine), les australiens sortent leur premier album A Book Like This en 2008 réalisé à Londres par le chanteur de Travis, Fran Healy. Leur second album Down the Way, est l’énorme succès que l’on connaît. Emmené par l’hymne de velours « Big Jet Plane », il est disque de platine en France (plus de 150.000 albums vendus), meilleur album et titre de l’année aux Grammys australiens. Le groupe vit sur la route pendant trois ans, en tournée entre l’Europe, les Etats-Unis et l’Australie. Ils sont de tous les festivals et joueront devant plus de 10 000 spectateurs lors de leur tournée en France avec notamment trois Trianon d’affilés complets à Paris.

Mais leur succès en duo soulevait quelques interrogations. Angus et Julia ont toujours écrit et composé séparément, leur association en duo n’avait été qu’un heureux accident et ils avaient désormais besoin d’évoluer. Une fois les tournées terminées, Julia commence l’enregistrement de son deuxième album solo By The Horns entre New York et Los Angeles alors qu’Angus, entre deux sessions de surf aux quatre coins du monde, verse son énergie créatrice dans l’album Broken Brights. Cette nouvelle liberté laisse éclater le talent et la vision singulière de chacun. Chaque album répondant à leurs attentes réciproques, Julia confesse qu’ils n’avaient alors absolument aucune intention de reformer le duo. C’est en passant quelques moments mémorables avec Rick que l’idée fit son chemin : « Ce n’était pas encore bien défini, Rick pensait que c’était le bon moment mais nous n’étions pas encore convaincus. Ensuite nous avons été programmés chacun de notre côté sur le même festival et avons joué quelques morceaux ensemble ce qui ne nous était pas arrivé depuis près de deux ans. Ce fut vraiment magique… C’est en sortant de scène que nous nous sommes décidés à tenter l’aventure d’un nouvel album avec Rick »

Textures satinées, rêveries en poussières d’étoiles et mélodies dorées… c’est peu dire que cet album est la proposition la plus accomplie qu’ils aient pu donner à ce jour. L’album est du pur Angus & Julia Stone, mais il y a une qualité inédite ici, une richesse et une délicatesse évidentes, les titres reflètent un état d’esprit et une esthétique à la fois doux et affirmés. L’union créative d’Angus et Julia leur a permis d’arriver à leur oeuvre la plus aboutie. C’est un album empli de sentiments, mais aussi d’une nouvelle sensation de liberté et de confiance perceptible de bout en bout.

De «Other Things», titre garage au riff lascif, à la ligne droite martelée de «A Heartbreak», en passant par le magnétisme hypnotique et langoureux de «Main Street» ou la guitare couleur West Coast de «Grizzly Bear», l’album évolue au gré des humeurs, vous aspirant au passage. Si «Heart Beats Slow» est un baiser d’adieu à un amant de longue date, «Little Whiskey», lui, brûle d’un feu attisé par une énergie électrique qu’on ne soupçonnait pas chez Angus et Julia. Des titres comme «Get Home» enregistrés en version démo à New York, ont fait leur chemin sur la version finale de l’album. Pour Rick, il s’agissait avant tout de capturer l’instant : « il y a définitivement une âme à ce disque » («a swagger» comme il dit). Angus confirme l’élan pris par le groupe : « Nous n’avions jamais vraiment échangé sur nos chansons respectives avant cet album, il y a désormais des points communs qui nous animent. Cela provient certainement de la façon dont nous avons été appelés à collaborer de nouveau, de manière impromptue. Ce fut un vrai dépoussiérage, nous nous sommes sentis revigorés par nos retrouvailles musicales. C’était complètement inattendu mais au final ça valait le coup… ».

En tournée en décembre 2014 :

Dec 01 – Le Silo @ Marseille
Dec 02 – Le Rocher De Palmer @ Bordeaux
Dec 03 – Stereoluxe @ Nantes
Dec 04 – Aeronef @ Lille
Dec 06 – Radiant Bellevue @ Lyon (Caluire-et-Cuire)
Dec 07 – Bikini @ Toulouse (Ramonville)
Dec 09 – Casino de Paris @ Paris
Dec 10 – Casino de Paris @ Paris

www.angusandjuliastone.fr

Angus & Julia Stone :

1. A Heartbreak
2. My Word For It
3. Grizzly Bear
4. Heart Beats Slow
5. Wherever You Are
6. Get Home
7. Death Defying Acts
8. Little Whiskey
9. From The Stalls
10. Other Things
11. Please You
12. Main Street
13. Crash And Burn

Pendentif – La Nuit Dernière

Après le festif « Jerricane » et l’espiègle « Embrasse Moi », les cinq bordelais de Pendentif se font de nouveau clipper par Steven Monteau avec « La Nuit Dernière », un morceau de disco froide construit sur une ligne de basse qui nous emmène dans une longue nuit d’ivresse aux côtés de Pendentif.

Le clip commence par un plan de voiture, soulevée par une grue, qui vient se poser sur le bitume comme un diamant sur le sillon d’un vinyle. Les rues de Bordeaux seront le terrain de jeu musical d’une soirée faite d’excès, et pas que de vitesse. Un motard vient jouer les trouble-fête, il sera soufflé comme un grain de poussière. Il fait jour, le groupe est dispersé, que s’est-il passé ? La soirée revient par à-coups entre flashback et hallucinations : du beach volley en bikini avec une balle géante, des ballons de foot taguant les notes d’une partition murale, un toit de la voiture devenu planche de surf, un clin d’oeil aux Zéros de Bordeaux qui éteignent la nuit les enseignes lumineuses publicitaires, et beaucoup beaucoup de bouteilles. Autant de délires à l’image d’un groupe qui aimer jouer et faire la fête.

L'homme Invisible

63, rue de La Rousselle, 33 000 Bordeaux.Anem, Matthieu aka Crewer, Noksi. Description salon de tatouage, 63 rue de la Rousselle à Bordeaux. Anem, Matthieu aka Crewer et Noksi.. facebook.com
Un joli dessin un peu comme ça… c’est possible chez vous ?

Edmond Pure Burger

Actuellement le meilleur de Bordeaux dans la catégorie Burger ! A découvrir si ce n’est pas encore fait. Surveillez la page facebook, le dernier concours instagram a fait un carton. facebook.com

158, cours Victor Hugo, Bordeaux 05 56 77 59 45 Sur place ou a emporter.

LE VIN RUE NEUVE

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Fermé le Samedi midi Dimanche et Lundi. Tel : 05 56 43 17 49

23 Rue Neuve – 33000 Bordeaux