Pulsion Phantom

Pulsion Phantom est un voyage à travers le cinéma fantastique et de science-fiction des années 70 et 80. Période d’une intense création visuelle et sonore. Ce cinéma a radiographié son époque et ses angoisses tout en imaginant des futurs pour l’humanité. Que ce soit dans les thèmes abordés (le corps, la mutation, la folie, la télépathie, les pulsions, la résistance à un ordre établi ou aux forces du mal…) ou dans sa bande-son (abandon en partie de l’orchestre classique au profit des synthétiseurs) il a expérimenté de nouvelles formes à l’intérieur d’un cadre commercial. Un cinéma expérimental accessible ou, si on préfère, un cinéma populaire ambitieux.  On peut citer ici quelques films encore présents dans nos esprits : Scanners (80), Videodrome (82), La Mouche (86), de David Cronenberg ; Halloween (78), New York 1997 (81), The Thing (82), Invasion Los Angeles (88), de John Carpenter ; Alien (79), Blade Runner (82), de Ridley Scott ; Terminator (84), de James Cameron, et peut-être le film étalon de cette période, le trip halluciné de Stanley Kubrick : 2001, l’ Odyssée de l’espace (68). Une longue liste à laquelle on pourrait ajouter les cinéastes qui se sont intéressés au genre le temps d’un film ou deux : Jean-Luc Godard, Chris Marker, Andreï Tarkovski, Brian De Palma ainsi que George Romero et Dario Argento qui ont œuvré dans un genre différent, mais ont toujours baigné leurs films dans une ambiance violente et fantastique. Pulsion Phantom est évidemment un hommage à tous ces cinéastes, mais aussi aux compositeurs qui ont accompagné ces films. Ennio Morricone, John Carpenter, Edward Artemiev, Jerry Goldsmith, Howard Shore, ont tous utilisé l’électronique pour créer des ambiances inédites. A cette époque, l’apport le plus marquant de cette « nouvelle lutherie » est sans doute la séquence. On pouvait, à l’aide d’un séquenceur, confier à la machine le soin de dérouler des séquences implacables et hypnotiques. Ce qui nous a réuni sur ce projet avec Marc Collin, qui en est le producteur, outre la passion pour le cinéma et sa musique, c’est le goût pour les séquences dont nous nous sommes délectés durant notre adolescence. Aspect musical intéressant à plus d’un titre puisqu’on peut y voir les prémices de toute la culture techno à venir… Nous avons utilisé ces machines mythiques (Moog, ARP, Jupiter, Solina…) au grain inimitable, pour retrouver un esprit, une couleur, et les mixer à des éléments plus contemporains. Le cinéma, c’est aussi la voix. Nous avons invité des personnalités, dont nous aimons le travail, à dire des textes qui abordent les thèmes évoqués dans ces films. Les voix-off de ce projet en quelque sorte.. myspace.com/pulsionphantom

LA Story

L’un des auteurs les plus célèbres et controversés des Etats-Unis nous livre ici son premier roman : une chronique audacieuse du Los Angeles contemporain. Des dizaines de personnages défilent sous les yeux du lecteur – certains ne font qu’une unique apparition – tandis que James Frey s’attache à narrer les vies dramatiques d’une poignée d’âmes perdues de Los Angeles : une jeune Latino-Américaine brillante et ambitieuse qui voit s’écrouler ses espérances dans un moment d’humiliation cuisante ; un acteur de films d’action narcissique à l’excès que la poursuite d’une passion impossible risque de détruire; deux jeunes gens de dix-neuf ans qui fuient l’atmosphère étouffante de leur ville natale et se battent pour survivre aux marges de la grande ville ; un vieil alcoolique de Venice Beach dont la vie est bouleversée par l’irruption d’une adolescente toxicomane à demi morte devant les toilettes où il a élu domicile. Ce roman puissant résonne des millions d’autres vies qui, mises ensemble, décrivent une ville, une culture et une époque. L.A. Story, en un tour de force ébouriffant, déroule les joies, horreurs et hasards inattendus de la vie et de la mort dans la cité des Anges.  James Frey est originaire de Cleveland, Ohio. Il est l’auteur de Mille morceaux (Belfond, 2004) et Mon ami Leonard (Belfond, 2006). Il vit à New York.  De James Frey (Auteur), Constance de Saint-Mont (Traduction)

BIOGRAPHIE : Orson Welles

Orson Welles est un réalisateur, acteur, producteur et scénariste américain. Né le 6 mai 1915 à Kenosha dans le Wisconsin (États-Unis), il est mort le 10 octobre 1985 à Hollywood, Los Angeles en Californie d’une crise cardiaque. Conformément à sa dernière volonté, ses cendres ont été enterrées en Espagne. Il a été parfois crédité sous les noms de O.W. Jeeves ou G.O. Spelvin. Orson Welles est une figure incontournable du cinéma comme réalisateur avec Citizen Kane, considéré comme l’un des plus grands films de l’histoire du cinéma alors que c’était son premier film. Il a également laissé sa trace en tant qu’acteur, assura de nombreuses narrations dans près d’une centaine de films. Malgré une filmographie de seulement quinze films, il a exercé une grande influence sur différents réalisateurs, en particulier sur Stanley Kubrick dont il se sentait artistiquement très proche. Artiste précoce, il s’est pris de passion pour Shakespeare très jeune ainsi que pour Montaigne, et a également laissé sa marque à la radio avec ses adaptations d’œuvres littéraires, plus particulièrement celle de La Guerre des mondes de HG Wells, le 30 octobre 1938, où la véracité de la mise en scène et des propos a laissé croire à ses auditeurs à l’invasion des États-Unis par des Martiens.

Crossover hype et underground Stüssy et Nike x Colette

Stüssy et Nike continuent de nous surprendre, au rythme des voyages du désormais célèbre Stüssy World Tour.

Après un premier stop à Los Angeles en octobre, voici la dernière étape, Tokyo. Et comme pour chaque ville, voici deux nouvelles Dunk High et Free Trail 5.0, en exclusivité chez colette le samerdi 2 décembre. Afin de célébrer cette dernière étape, La MJC et colette vous convient à la soirée « Les Sneaks c’est chic » où un jury de 10 filles récompensera les 10 garçons portant les plus belles baskets. A partir de 23h au Paris-Paris, entrée gratuite, 5 avenue de l’Opéra, Paris 1er.