Edition limitée Varius Peter Marino pour Caran d’Ache

L’édition limitée Varius Peter Marino, déclinée en deux versions, révèle l’esprit novateur de Caran d’Ache. Pour ces instruments d’écriture d’exception, la Maison genevoise explore les codes de l’art, du design et de la mode. Elégance racée, perfection du trait, créativité sans limite et confort intemporel subliment ces modèles sur-mesure. Quand le monde de la Haute Ecriture rencontre celui de la Haute Couture : Les Varius de Caran d’Ache font intrinsèquement partie de la vie de Peter Marino. Depuis toujours, il utilise les instruments d’écriture de cette collection emblématique et les place au coeur de son processus créatif.

« I use the Varius pens to sketch architecture. »

La manufacture genevoise a donné carte blanche à l’architecte star pour concevoir des Varius à son image. Comme pour les plus grandes Maisons de mode pour lesquelles il réalise des écrins architecturaux, Peter Marino signe avec cette édition limitée une création à la fois moderne, surprenante et fashion. Peter Marino revisite le Varius avec son univers rock.

« The pen, inspired by a combination of high performance motorcycle aesthetics with my own personal style. »

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Kanye West Black Jesus par Karim Madani

Karim Madani est un orfèvre, sa biographie consacrée à Spike Lee m’avait littéralement happé. Il en est de même avec Kanye West et pourtant, je dois avoué que j’ai tourné quelques temps autour du livre… que pouvais-je apprendre de plus que les tabloïds n’avaient pas encore dévoilé ? Allait-il me redonner l’envie d’écouter sa musique ? Quelles leçons de vie pouvais-je m’approprier à travers ses propos ? Force est de constater que Madani a réussi son coup. La vie de Kanye n’est pas un long fleuve tranquille et au delà de l’homme il y a également l’époque, le style, les twists, les coups de génie et les folies. Une oeuvre fascinante à bien des égards…

Tout le monde connaît les frasques de la rock star pourrie gâtée, ses coups de gueule plus ou moins justifiés. Il vire une fan en plein concert parce qu’elle a eu l’audace de se faire remarquer : « Je suis venu ici pour ouvrir une put*** de montagne, et vous essayez de me dicter mon art. Ne m’interrompez pas ! Je suis Kanye West, put*** ! » Après l’ouragan Katrina, il déclare sans filtre : « George Bush n’en a rien à faire des Noirs », puis clashe Barack Obama : « On ne change pas le monde en restant à la Maison Blanche. »

En août 2015, l’époux fantasque et mégalo de la grande prêtresse de téléréalité Kim Kardashian confirme son intérêt pour la chose publique au terme d’un discours de 12 minutes aux MTV Awards (« certains vont se demander si j’ai fumé avant de venir, la réponse est oui ») et annonce sa candidature à l’élection présidentielle…

L’auteur retrace l’enfance atypique de ce gamin de la classe moyenne, fils d’une professeur de littérature et d’un ex-Black Panther, ses débuts dans la musique, le deal fondateur avec Jay Z, dont il relance la carrière.

Producteur le plus important de sa génération, il réalise en 2004 son premier album, The College Drop Out. Conçu juste après un terrible accident de voiture qui manque de lui coûter la vie et marque le début de sa crise mystique du « Black Jesus » – il révolutionne le rap game. Suivront Late Registration, 808’s and Heartbreak, et Yeezus. Au sommet de sa gloire, l’artiste tyrannique et torturé a rendu obsolète le look et l’imagerie gangsta, il tente d’intégrer le monde de la haute couture et ne cesse d’ailleurs de remettre en cause certaines normes, prenant position pour les droits des homosexuels dans un univers où cela n’est pas évident : « On se bat durement pour qu’un Blanc ne nous lance pas à la figure le mot “nègre”. Mais nous faisons pareil avec les gays. » À travers une série de chapitres ultra-documentés, nourris d’anecdotes, de faits historiques, d’analyses sociologiques et d’interviews inédites en France, Kanye West reconstitue les pieces of a man de celui qui a profondément influencé et remodelé la culture pop du 21e siècle.

Broché: 192 pages
Editeur : DON QUICHOTTE (12 mai 2016)
Collection : NON FICTION
Langue : Français
ISBN-10: 2359495356
ISBN-13: 978-2359495355
Dimensions du produit: 20,5 x 1,1 x 14,1 cm

INTERVIEW EXCLUSIVE – THE LUMINEERS PAR JETSOCIETY

INTERVIEW EXCLUSIVE – THE LUMINEERS PAR JETSOCIETY

The Lumineers possède un don infaillible de la mélodie intemporelle et des paroles qui vous remuent les tripes. Mélange de rock acoustique, de pop classique et de folk dépouillée. En 2011, la sortie d’un EP éponyme autoproduit est suivie d’une tournée mise sur pied par le groupe. Très vite, The Lumineers attirent des fans dévoués, d’abord dans l’Ouest des Etats-Unis, puis sur leur ancien terrain de chasse sur la côte Est. Leur public, composé de jeunes et de moins jeunes, est attiré par des chansons comme « Ho Hey » et « Stubborn Love », des titres d’Americana qui ont cassé la baraque, parus sur leur premier album éponyme sorti en 2012. The Lumineers sont nés du chagrin. Nourris par la passion. Arrivés à maturité à force de travail. Wesley Schultz, Neyla Pekarek, Jeremiah Fraites ont trouvé leur son à un moment où le monde en a bien besoin.

Cleopatra disponible depuis le 8 avril 2016 est leur deuxième album, à cette occasion, j’ai eu le plaisir de poser quelques questions à Wesley, voici ses réponses :

Pensez-vous comme Platon que La musique donne une âme à nos coeurs et des ailes à la pensée ?
Je pense surtout que la musique est un bon moyen de créer une connexion, de toucher le coeur du public et des fans.

Vous êtes en tournée actuellement, comment vous sentez-vous ?
Eh bien, la sensation est incroyable ! Nous sommes aux Etats-Unis en ce moment. Nous avons commencé la tournée en Europe, puis au Royaume-Uni. Lors de notre concert à Paris, tout était flambant neuf. Nous venions de finir l’enregistrement du nouvel album et même si les sensations étaient bonnes, chaque spectacle permet d’exprimer avec plus de fluidité les nouvelles chansons. Nous avons toujours un superbe accueil, le public est fantastique.

Est-ce que c’est dur de composer la setlist d’un concert, au risque de priver le public d’une de leur chanson favorite ?
(Rires) Avec deux albums nous avons la chance de pouvoir pratiquement tout jouer sans frustration pour le public ! Non sincèrement ce n’est pas si dur de composer la setlist de nos concerts !

Pouvez-vous nous raconter une anecdote de tournée ?
Voyons voir… Il y a quelques années nous étions en tourné avec nos amis de Langhorne Slim and The Law d’abord en Europe puis aux États-Unis. Une fois, notre camionnette est tombée en panne. Une vraie galère ! Il a fallu ramasser tout le matériel à la hâte, avec les risques de casse et se dépêcher pour ne pas arriver en retard au festival. Finalement nous avons réussi in extremis, après un sacré périple… mais au final on a tous pu assurer le show !

Le nouvel album Cleopatra est sorti le 8 Avril et c’est à la fois un succès critique et populaire, êtes vous heureux ou rassuré ?
Il faut rappeler que nous avons d’abord joué pendant un certain temps avant de réaliser notre premier album. Réaliser un disque est une expérience très spéciale, très intense. Evidemment, beaucoup de gens nous attendaient au tournant après quatre ans d’attente, mais nous sommes très fiers de Cleopatra. Ce disque correspond vraiment à ce que nous voulions faire et le retour du public est super positif ! On a eu beaucoup de chance de pouvoir prendre notre temps pour faire cet album et le résultat est à la hauteur de nos espérances.

A travers vos interviews on comprend que vos chansons ont une histoire et une construction précise, mais une fois qu’elles sont transmises au public il se les approprient, avez-vous l’impression qu’elles sont toujours à vous ou un peu à eux aussi ?
Je pense que vous avez raison. Le travail de l’artiste est de créer et de provoquer, que ce soit à travers l’écriture, la peinture, le cinéma ou la musique. Il est impossible de dicter la façon dont vous souhaitez que soit perçue votre oeuvre. Le travail est d’interagir avec le public. Parfois vous écrivez une chanson, vous lui donnez un sens et en fait elle est comprise complètement différemment. Ce qui est tout à fait intéressant ! Oh Hey par exemple a pris une autre tournure par rapport à ce que je pensais initialement. C’est une histoire de rupture avec une ville, à propos de quelqu’un de triste qui abandonne ses rêves… j’étais dans un moment de souffrance et pourtant aujourd’hui on l’entend dans les mariages, certains tombent amoureux dessus. C’est beau cette façon de s’approprier la chanson pour qu’elle devienne sienne !

Avez-vous un titre, un film ou un livre fétiche au point de ne jamais vous en séparer ?
J’écoute beaucoup d’albums avec lesquels j’ai grandi (NDLR vous pouvez écouter les inspirations des Lumineers sur Spotify). La perle de John Steinbeck est un roman qui me touche beaucoup maintenant, mais que je détestais lorsque j’étais à l’école car j’étais forcé de le lire. Il y a aussi du même auteur L’hiver de notre mécontentement. Je crois que c’est son dernier livre et il a reçu un accueil plus que mitigé à l’époque, certains ont aimé mais d’autres l’on vraiment détesté et il a reçu pour cela énormément de critiques qui lui ont fait mal. C’est un peu comme lorsque vous sortez un disque, c’est un moment où vous êtes très vulnérable, d’autant plus aujourd’hui avec les réseaux sociaux et la vitesse à laquelle peuvent se propager des critiques, ce qui est très à la mode. Avec le temps j’ai réalisé que Steinbeck était une source d’inspiration pour moi et qu’il est important de pondérer ses critiques.

Propos de l’interview recueillis par téléphone, merci à Virginie, Aurélie, Sophia et Emma pour leur aide et collaboration.

The Lumineers have an infallible gift of timeless melody and lyrics that move your guts, enthusiastic mix of acoustic rock, classic pop and folk stripped. In 2011, the output of a self-produced self-titled EP is followed by a tour set up by the group. Soon, The Lumineers attract devoted fans, first in the western United States, then their old hunting grounds on the East Coast. Their audience of young and old, is attracted to songs like « Ho Hey » and « Stubborn Love » published on their first album « The Lumineers » The Lumineers are born of sorrow, fed by passion, mature by work. Wesley Schultz, Neyla Pekarek, Jeremiah Fraites found their sound at a time when the world really needs. Cleopatra, their second album was released April 8 2016, at this occasion, we had the chance to ask some questions to Wesley, Here the answers :

Do you think like Plato that Music gives a soul to our hearts and wings to the mind ?
I think above all that music is a good way to create a connection, touching the hearts of audience and fans.

You are currently on tour , how do you feel ?
Well, the feeling is incredible! We are in the US right now. We started the tour in Europe and the UK. At our concert in Paris, everything was brand new. We had just finished recording the new album and even if the sensations were good, each show can express more smoothly the new songs. The public is fantastic. (Find the Tour Dates at the end of this interview)

Is it hard to compose the set list for a concert at the risk of depriving the public of their favorite song ?
(Laughs) With two albums we have the chance to play the major part of our songs without frustration for the public ! No honestly it’s not so hard to compose the setlist of our concerts !

Can you tell us a good or funny tour story ?
Well … Some years ago we were on tour with our friends Langhorne Slim & The Law in Europe and after the United States. Once the van broke down… It was terrible ! We had to pick up all the equipment in haste and hurry not to be late for the festival, we finally arrived after a lot of adventures, but everyone was able to make the show !

The new Cleopatra album was released on April 8 and it is both a critical and popular success , are you happy or reassured ?
We were playing for a while before our debut album. If you are lucky to write an album, that’s a very very special thing to do. A lot of people were waiting for us in 4 years but we are really proud of Cleopatra. We were lucky to make an album that matters to us while the world was watching. We are very thankfull for the positive reception.

Through your interviews we understand that your songs have a history and a precise construction, but once they are transmitted to the public it appropriate them, do you feel that the songs ares still yours or for a part their too ?
I think you are right. When you make art, writing, painting, film and music, your job as an artist is to create and provoke, but i think that you can’t dictate how that is interpreted. It’s the job to interact with them.
Sometimes you write a song you think it’s about something completely different from that. It’s quite interesting. It’s really not expected. I mean on our first album, Oh Hey, it’s about a break up basically to a city that we don’t below, and then everybody falling in love and use it for wedding, it was a painfull moment in my life, but everybody enjoy the song ! I think it’s beautiful what people take from your song and make it their !

Do you have a song, a movie or a favorite book to the point of never to part with ?
I listen to a lot of albums with whom i grew up (you can listen to the Lumineers Inspiration on spotify) but i would say John Steinbeck. I remember that when i was at school i didn’t like the Pearl because i was forced to read it, but now Steinbeck is one of my favourite author. The winter and our discontent, i think that’s his last book is really incredible. Some people said it was the worst, some other it was great. The book was heavily criticized when it was released. He was really wounded by that. It’s the same when you release an album, it’s a very vulnerable thing to do. We live in such a critical world, and with the social media it could be very quick to criticize but it can hurt. Steinbeck is really an inspiration to me.

Infos :
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INTERVIEW JULIETTE ARMANET : CAVALIER SEULE

INTERVIEW JULIETTE ARMANET : CAVALIER SEULE

Après une finale des Inrocks Lab en 2014. Deux albums piano-voix baroque. Une résidence à la Villa Médicis, elle se tourne désormais vers la pop à la française. Juliette Armanet nous invite à faire Cavalier Seule, chevaucher dans des contrés d’amour des mots. Des sonorités qui touchent le coeur. Des mélodies qui appellent les corps. Au rythme de sa voix et de son piano…

Après avoir écouté attentivement les 4 titres de Cavalier Seule (voir le track par track) et réécouté l’amour en solitaire, je me suis demandé si vous étiez d’accord avec cette citation de William Shakespeare dans la nuit des Rois : « La musique est l’aliment de l’amour ? »

Oui, dans mon cas, l’amour est le thème principal de beaucoup de chansons. On chante pour se consoler, pour séduire, par nostalgie, pour l’être aimé… effectivement je suis d’accord avec Shakespeare !

Compte tenu du titre de l’e.p « Cavalier Seule » et de sa remarquable pochette : Etes vous, indomptable ? fougueuse ? sauvage ? ou indépendante ?

Je suis tout cela à la fois… sauf sauvage ! Mais je suis très indépendante, une vraie tête brulée, par la force des choses et mon histoire. Assez instinctive. En fait, je n’en fait souvent qu’à ma tête ! Le titre Cavalier Seule, j’y tenais énormément. Il a un côté à la fois masculin, féminin, une grande dualité et en même temps conquérant, qui suggère une fin de parcours, très poor lonesome cowboy.

Vous êtes invitée du Festival international de Mode et de photographie de Hyères, après la villa medicis, le centre pompidou avec Saycet, les collaborations avec Théo Mercier notamment, est-ce que vous êtes dans une forme d’exposition musicale ou de fusion des genres ?

J’essaye ! Je viens du théâtre. J’aime mélanger les arts, les genres. Je rêve un jour de faire des concerts hybrides avec des danses et des lectures par exemple. Je n’ai pas envie de me priver de l’aspect visuel qui est très important pour moi. Je suis une collectionneuse dans l’âme, très attachée à l’esthétique. Je cherche encore mes marques. Pour le clip de Manque d’Amour, le réalisateur a eu carte banche, mais j’adorerai réaliser mes vidéos !

Les français adorent les comparaisons et les révélations : Une femme au piano c’est la nouvelle Véronique Sanson. C’est français et bien tourné : William Scheller, Michel Jonasz, Polnareff ou Berger mais en réalité d’où viennent vos influences ? (Je dois vous avouer que j’ai eu des flashbacks de l’effrontée de Claude Miller en vous écoutant !) Au passage… Est-ce que vous militez pour le retour du slow avec Manque d’amour ?

A fond !!! La ballade c’est une danse pré nuptiale dans laquelle on s’abandonne, comme dans le film la Boum. Ce slow langoureux et chargé d’électricité qui finit par des pelles, yeux humides et cheveux mélangés… Je dois confesser que mon rêve serait de passer sur radio Nostalgie. Je n’ai aucun problème à faire de la variété et de ne pas faire partie d’une niche « Indé ». J’aime l’idée du grand public, de 7 à 77 ans, tous réunis, de toucher ces coeurs en même temps. Je suis ultra attentive à la mélodie, au sens de l’harmonie. Jeune j’ai été bercée par la musique classique, le baroque ou Chet Baker mais j’ai ressenti l’appel de la pop, des Bee Gees à Patrick Juvet, de Bashung à celles et ceux que vous avez cités. Hors des modes, hors du temps, juste des belles chansons pour tous. C’était déjà mon ressenti dans l’Amour en solitaire.

Quand on voit les finalistes sosh aime les inrocks lab 2014 : Vous, Camp Claude, Feu Chatterton mais également Christine & The Queens à Coachella, Brigitte, sans compter des groupes comme Grand Blanc, Bagarre. Est ce que vous ressentez un changement dans le paysage musical français ?

J’ai l’impression que ça bouge, il y a eu une période un peu plus creuse il y a 4 – 5 ans mais aujourd’hui, une nouvelle vague est en train de s’installer, même si les télé- crochets perturbent le paysage avec leur soif de performance vocales !

Vous avez fait les premières partie de Julien Doré, Sébastien Tellier, Bryan Ferry, Juliette Gréco, en duo avec Saycet, qui est d’ailleurs présent sur le titre « La Carte Postale ». Remixée par Yuksek dans le cadre de Colette French Kiss, c’est sans doute délicat comme question, mais à brule pourpoint qu’elle fut l’expérience la plus marquante ?

J’ai été totalement bluffée par Juliette Gréco au printemps de Bourges. Un de mes plus beaux souvenirs de concert, elle était éblouissante, drôle, sensuelle. Les expériences de scène sont toutes particulières, Brigitte c’était charmant, très girly. Avec Julien Doré on a fait une trentaine de dates, le public était si chaleureux. On apprend tellement et puis il y a des émotions folles : Il faut y aller ! je ne vous cache pas que pour mon premier Olympia je me suis servi un petit whisky avant de monter sur scène !

Sur Cavalier Seule, j’ai noté la présence de Raoul Chichin à la guitare. La plupart des musiciens ont bossé avec Sébastien Tellier, je pense à Jerome Arrighi ou avec la fine fleur de la scène française actuelle comme Marlon B, comment s’est passé l’enregistrement ?

Pour la chanson « Manque d’Amour » par exemple, on a fait une prise live : Piano – Voix et ce fut la bonne. Après j’ai ajouté mes arrangements. Mais tout s’est fait naturellement, en pleine confiance et intelligence. Je suis très old school alors je serai ravie si l’album à venir pouvait sortir en vinyle, je ne suis pas du tout playlist, je préfère écouter toutes les chansons à la suite et puis il y a le plaisir de l’objet.

Chanter sans piano, ce serait possible pour vous ?

J’y travaille, d’autant plus que j’adore danser et certaines de mes chansons peuvent s’interpréter debout, mais le piano c’est un peu mon armure !

Est ce que vous avez un titre, un film ou un livre fétiche au point de ne jamais vous en séparer ?

Ma référence du moment c’est Loulou de Maurice Pialat avec Depardieu et Huppert. Je suis très Loulou !

1. MANQUE D’AMOUR : Rappelez-vous ce moment, fébrile sur la piste de danse, lorsque le ou la cavalier(e) que vous convoitez accepte ce slow qui restera gravé dans votre mémoire, premier baiser, étreinte charnelle. Le ton est donné. Manque d’amour malgré son titre, est-ce un hasard ? vous rappellera à la nostalgie de toutes les premières fois.

2. CAVALIER SEULE : L’amour se consomme, sur un rythme enlevé, oriental et une prosodie mi femme mi cheval. Une piste exaltante qui fleure bon l’univers de John Ford.

3 LA CARTE POSTALE : L’amour se consume, à distance, blues, mélancolie, spleen et souvenirs.

4 Adieu Tchin Tchin : Cette fois c’est sûr, l’amour est mort mais rien de grave, il suffit de tourner la face du 45 tours, pardon, de revenir sur la première track pour se replonger à nouveau dans les méandres du jeu de l’amour et du hasard.

En savoir plus : https://www.facebook.com/JulietteArmanet

INTERVIEW MZ (Mafia Zeutrei) X JETSOCIETY

JOK’AIR, DEHMO, HACHE-P (LA MZ) BIEN ENTOURÉS PAR DAVIDSON ET ZOXEA, GRAVISSENT À FORCE DE SCÈNE ET DE STUDIO LE CHEMIN QUI LES MÈNE VERS LEUR OBJECTIF : FAIRE KIFFER LE PUBLIC DU 16 AU 13, DE PARIS EN PROVINCE SANS DISCRIMINATION, MAIS NON SANS AMBITION.

Merci à Jock’air de s’être prêté au jeu des questions réponses :

Comment se passe la tournée ? Quelles sont les réactions du public à vos derniers titres ?

Une tournée excellente avec un énorme retour des fans. Super accueil du public que ce soit à Paris ou en province. C’est une grosse surprise parce qu’on est en première partie et malgré ça le public présent connait pratiquement tous les morceaux !

Pour rappel : 28 Novembre. La MZ en première partie de Niro au Bataclan.

Vous préférez le studio ou la scène ?

Le studio c’est comme avec ta copine tu sais ou tu vas… par contre la scène c’est un aboutissement, toute la préparation, le travail ça s’exprime sur scène !

Comment viennent les paroles. Qui écrit et surtout comment ça se passe pour la répartition des lyrics ?

On se confronte et on propose. On a 3 personnalités complémentaires, du coup chacun cherche l’inspiration et ensuite on rassemble nos idées… on est une bande de potes avec son style de prédilection, sa personnalité et ses références pour apporter sa touche personnelle au morceau.

Vous avez une fanbase exponentielle, comment ça se gère ? C’est bon de les surprendre, comme avec la chanson « embrasse moi » par exemple ?

C’est du lourd, en plus on a des fans qui nous suivent de partout, un vrai melting pot. On a toujours envie de les surprendre et de les faire kiffer. On veut pas rester dans des cases figées, tu prends « enfermés dehors » ou Bratatata, c’est pas 15 fois le même morceau comme certains rappers.

Vous avez utilisé des sons loin du hop hop Pendentif, Florence and the machine, un peu comme Dj Medhi en son temps qui a su fusionner les genres, mais la puissance du rap va dans toutes les sources de musique. Travailler avec des gens plus rock, électronique ou plus jazz et des vrais instru ça vous intéresserait ?

Grave ! faire des feat avec des rappers c’est bien mais s’ouvrir à tous les styles de musique c’est encore mieux, comme Linkin Park avec Rakim. Ce serait lourd de bosser avec d’autres styles de musique mais en conservant notre univers. Grâce a des sites comme youtube on peut apprendre énormément, ça apporte une grande culture musicale et permet d’ouvrir et de s’ouvrir. D’ailleurs j’adore Marylou de Polnareff par exemple ! On aime le Rap mais surtout on aime la musique.

3.5 à 3.99 euros c’est dur à l’époque du téléchargement de vendre du disque ?

Regarde le succès de Stromae ! En fait acheter un disque aujourd’hui c’est revendiquer, c’est soutenir, quelque part c’est prouver que tu kiffes.

Le futur immédiat ?

Continuer à travailler, à se donner sur scène et en studio, tout en conservant l’esprit et l’authenticité, préparer l’album en prenant des risques pour faire kiffer notre public. On a la chance de bosser en famille avec Zoxea et Davidson, ça nous permet de rester concentrés sur notre Rap.

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INTERVIEW THE AVENER (The Wanderings of the Avener)

INTERVIEW THE AVENER (The Wanderings of the Avener)

The Wanderings of the Avener, l’album tant attendu de The Avener disponible en pré-commande sur ITunes, sort le 19 Janvier 2015. The Avener, une patte délicate et radieuse, qui sonne à l’étranger comme une touche d’élégance so French, tout en s’affirmant comme la redécouverte du chaînon manquant entre l’émotion harmonique et la pulsion de danse. Un véritable prodige de la Deep-House, à l’origine du désormais mythique Fade Out Lines, qui a accepté de répondre à nos questions.

Pour commencer je voudrais reprendre une affirmation des Inrocks : « Prendre le risque de se lancer dans une carrière solo quand on trône confortablement dans son fauteuil de producteur émérite est toujours un pari risqué … » Qu’en penses-tu ?

Ca l’est dans la mesure ou l’on a pas confiance en soi ! Mais là, je suis très content de proposer quelque chose qui m’est si personnel et de ce point de vue là je ne prends pas de risques, à vouloir faire et partager quelque chose que j’aime. Je suis donc à moitié d’accord avec cette phrase là. Je prends ce risque, mais c’est parce que j’aime ce que je fais.

Alors, c’est quoi le plus grand risque ?

Le plus grand risque c’est que ça ne plaise pas du point de vue artistique, mais heureusement il y a toujours quelqu’un pour aimer la musique !

Rythm n’ Blues, Deep House, Soul, Techno… Où se trouve l’inspiration ? Dans les sonorités du passé, du présent, dans les voyages, les rencontres. Dans d’autres domaines comme l’art, la littérature, le cinéma ?

En fait c’est un mix de tout ça. Cela vient de mon activité de D.J, des voyages qui permettent de s’aérer l’esprit, de faire un point sur ce qu’on aime ou moins. Je n’ai pas de chemin particulier, mais l’inspiration c’est surtout le vécu, les voyages, les rencontres, le partage, la musique…

On te compare fatalement à d’autres artistes, c’est dur de prendre sa place dans un paysage musical adepte des carcans et des cases ?

Question intéressante ! La comparaison est nécessaire, parce qu’on a besoin de comparer, c’est le propre de l’homme, mais c’est risqué de comparer parce que dans la musique ou dans l’art, chacun a son propre truc. Il vaut mieux dénicher la différence et c’est là qu’on se rend compte que la comparaison est en fait inutile.

Le bonheur aujourd’hui c’est quoi : Le nombre de vues sur YouTube, la radio, les critiques élogieuses de la presse ou comme Boy George qui Twitte sur son mur, le public enthousiaste lors de tes sets ?

C’est tellement agréable !!! Boy George ! je suis fan de ces années là. La reconnaissance des pairs est très importante. C’est vrai qu’être suivi ou tweeté par des artistes aussi prestigieux, tu prends un screenshot ! ça arrive qu’une fois dans ta vie. Les 7 millions de vue sur youtube c’est un petit rêve, j’en suis très reconnaissant et mon plus grand stress, c’est de pouvoir confirmer avec l’album.

Justement, comment s’est passé l’élaboration de l’album. Est-ce que la sélection des morceaux fut difficile ou au contraire, ça c’est imposé comme une évidence ?

Je n’ai subi aucune pression artistique de la part du Label. J’ai laissé totalement libre court à mon imagination. L’album est un exercice de ReWork comme Moby ou d’autres l’ont fait auparavant. C’est parti d’un amas de coups de coeur pour des morceaux que j’apprécie depuis des années mais que je ne pouvais pas forcément jouer en tant que DJ, parce qu’ils n’étaient pas assez efficaces, ou lumineux. Il manquait quelque chose… et ça a été très simple quand on m’a dit : « Tristan, il faudrait que tu fasses un album« , j’ai simplement répondu : « Laissez moi le temps de le faire, ça va prendre un peu de temps mais je vais aller piocher dans mes coups de coeur !« . Il n’y a pas d’autres mots, c’est un album de « coups de coeur ». Pour moi, tous les morceaux sont tous égaux, il n’y en a pas un que je préfère. J’en suis très fier, très content. Je le dis parce que c’est important. C’est mon petit bébé et je ne me suis posé aucunes limites géographiques musicales, artistiques. J’ai fait quelque chose qui est le prolongement de mes idées et je suis très heureux d’avoir eu le support de mon Label. Ce sont des titres connus ou moins connus, mais ce ne sont pas forcement des morceaux récents et certains vont être totalement redécouverts même par ceux qui connaissent les morceaux originaux. D’ailleurs c’est là où les critiques risquent d’être les plus aiguisées ! mais c’est un album personnel. C’est avant tout, comme pour Fade out lines, le lancement d’un projet que j’avais envie de faire. Il y a de très belles choses. Un voyage, on passe par plusieurs styles et couleurs musicales : La Folk le Blues, la Funk, la Soul, la Chill-Out, tout ça part l’entremise de la Deep House. Parce qu’on accorde tous ces mouvements avec la Deep House, qui est pour moi un mouvement extraordinaire. J’ai mis ma patte, ma touche, je colorie un peu, je rajoute ce que je vois et je donne un peu plus d’énergie, d’efficacité ou de mélancolie, de joie, c’est un album qui s’écoute, certains titres pour danser et d’autres seul, pour soi, comme un médicament, c’est un peu tout ça réuni, The Wanderings of the Avener.

Quelle est la signification de la pochette du Single Fade out lines, un labyrinthe… au milieu on dirait la lettre Bereshit en Hébreu… y a t’il un sens caché dans tout cela ?

Un message d’errance, un labyrinthe, ce sont pleins d’étapes. Il y a une entrée et il faut trouver la sortie… mais la pochette de l’album est bien différente !

Est-ce que tu es attentif aux Remix faits à partir de tes productions ou morceaux ?

Très attentif, j’écoute beaucoup, des indépendants, mais des officiels aussi, parfois je demande a être remixé, parce que je trouve les artistes hyper intéressants, très attentifs, c’est une marque de respect, ça part d’une idée, c’est la même initiative que la mienne et je suis toujours curieux du résultat !

Tu es Dj depuis l’âge de 17 – 18 ans, est ce que tu penses qu’Internet favorise la créativité ou au contraire, de devoir piocher dans les bacs à vinyles pour découvrir un artiste ou un style c’est plus gratifiant ?

Il n’y a pas de meilleurs moyens. En tant que DJ je dirais que c’est cool d’aller dans les bacs à vinyles mais on trouve des trucs sur internet qu’on trouverait pas par ce moyen là et vice-versa. Ce qui est malheureux sur internet c’est le format, le mp3 qui perd un peu en couleur, mais l’oreille qui n’est pas habituée ne va pas forcément s’en rendre compte, il n’y a que les passionnés qui ont du gros matériel qui peuvent noter une différence. Les petites perles se dénichent partout, il y a fatalement, vu le nombre, beaucoup de déchets, mais il sort aussi beaucoup de belles choses, mais c’est un peu plus long de chercher. Dans les magasins tu es limité par le nombre, alors qu’internet c’est sans fin. C’est une manne formidable pour les professionnels comme pour les amateurs. Internet a mis du temps à se développer pour le partage musical. Myspace était précurseur, mais ce n’était pas encore aussi démocratisé, maintenant je m’aperçois qu’il y a des gens de 40 – 50 ans qui écoutent de la musique sur Soundcloud, qui font leur propre playlist sur Spotify, sur Deezer et grâce à ces plateformes de partages, peuvent se faire une culture musicale très diverse, très variée. Je suis très surpris de découvrir des petites perles grâce à des gens qui ne sont pas musiciens ou du métier, je trouve ça formidable. Il y a eu un vrai développement qui s’est fait, c’est sûr que c’est une ambiance différente du shop mais c’est le temps qui veut ça, il faut vivre avec. Dans tous les cas, on peut très bien trouver son bonheur sur internet ou chez les disquaires.

Est ce que tu as un titre, un film ou un livre fétiche au point de ne jamais t’en séparer ?

J’écoute beaucoup de musique des années 70, je ne suis pas très livres mais ça viendra et je commence à aimer ça. Il y a un titre de Al Green I’ll be around – un morceau qui ne me lâche jamais, que j’ai depuis 10 ans dans mes ipods, playlists et que j’adore toujours autant.

Tu préfères la scène où le studio ?

Certains disent 50/50 moi, c’est 60/40 ! La scène, c’est là qu’on ressent les émotions, que le travail se manifeste, s’incarne. La scène, c’est le plus bel endroit au monde pour moi, là où on se sent le plus vivant, petite confidence, je prépare un live pour l’été, c’est vraiment l’endroit le plus génial ! Le studio, j’adore aussi travailler, bidouiller mes morceaux mais je suis ravi quand le vendredi arrive d’aller jouer en Allemagne, en France, les Transmusciales. Scène, studio, c’est complémentaire, mais je préfère quand même la scène.

Avec tous les voyages que tu as pu faire à travers le monde, les scènes que tu as parcouru, tu te sens bien aussi en France ?

Bien sûr ! il y a une vraie ferveur électronique qui ressort, qui revient, elle a toujours été présente, mais un peu enfouie… sans rentrer dans une polémique, je me sens vraiment bien aujourd’hui en France. Tous les DJ confirment qu’il y a une vraie demande qualitative dans les clubs, dans les bars, les festivals, de musiques nouvelles, de musiques contemporaines et de plus en plus forte. En France, c’est une vraie résurrection de la musique électronique , grâce notamment aux sites de partages, les réseaux sociaux. Je ne me sens pas mieux a un endroit qu’un autre, j’ai la chance d’avoir fait 10 ans de DJ avant, je m’adapte un peu au public, à certaines tendances musicales mais je garde mon intégrité. L’Allemagne c’est peut être aussi un des meilleurs publics, très pointu, ouvert à la découverte. Ils viennent dans les clubs pour danser, là bas c’est un principe de dancefloor, pour autant la France a de très bonnes oreilles, une vraie ferveur, des demandes de morceaux hyper underground. Le métier de DJ a complètement changé avec Internet avant le DJ allait une fois ou deux par semaine dans son magasin de disques, il recevait des promos en White Label et il y avait très peu d’infos. Le DJ était précurseur. Aujourd’hui le public est précurseur de la musique que tu vas jouer, il a autant la main-mise sur la découverte musicale que le DJ, du coup toi tu dois être constamment a la recherche de la nouveauté. Tout le monde a les mêmes outils, certains clients de clubs sont avant-gardistes, ils connaissent déjà les morceaux alors qu’avant c’était en flux moins tendu, Ces amateurs éclairés de musique te font parfois découvrir de superbes choses.

En partant de la nouveauté, il est aussi possible d’aller puiser dans les racines comme tu l’as fait : John Lee Hooker, Al Green …

La Deep House permet cette recherche, la techno ne le permet pas c’est un format pré-fabriqué avec des règles stricte. J’avais une passion pour la Deep House que je n’osais pas mettre à jour, une passion pour le blues que je n’osais pas mettre à jour, mais grâce à ces deux outils fusionnés au sein de la Deep House, j’ai réussi avec Fade Out Lines à sortir quelque chose de différent, qui sort du lot, c’est le bonheur de cette musique et j’espère que ça va durer le plus longtemps possible !

La sortie de ton album c’est un aboutissement, une suite logique ou un commencement ?

C’est un aboutissement sur ce projet, mais c’est le commencement de ma maturité musicale, j’avais vraiment envie de proposer quelque chose de vintage, avec de vrais instruments, de vrais sentiments et en même temps de mélanger avec de l’électronique. C’est donc un commencement et un aboutissement après le succès de Fade out Lines.

Manifeste d’un média libre

Un média libre c’est ce gosse insolent, né des amours illégitimes d’un tract et d’une radio pirate, qui n’atteindra jamais la majorité… Rien de plus fierot que ce morveux, qui jacasse et couine comme s’il était lu ou écouté, travaille sa virgule pour une nonchalante poignée d’initiés, se tient toujours prêt à déclencher autre chose que quelques sourires entendus. Dans ses nippes de gueux, il y a toujours un média libre pour couvrir en grand reporter la Commune en 1870 ou la contre-culture en 1970, vivre d’eau fraîche et d’amour, vider son fric, ses tripes, sa bile. Arrogant, subjectif, cynique, il ricane quand sourient les médias officiels, grince quand ils sont graves, rue quand ils sont lâches. Il est libre parce qu’il n’a rien à perdre et rien à vendre. Libre de toute pression, libre pour ses passions. Non formaté. Non conforme. Parfois informe. Parfois informatif. Il peut adorer. Et brûler. Libre comme un amour libre. Rien de plus teigneux que ce cancre qui provoque le passant de ses apostrophes, sans diplômes ni autorisations, sans cartes de presse ni renommée tamponnée.

Sans personne à ménager, sans comptes à rendre, sans sponsors. S’il règne c’est à la cour des miracles. A lui seul il ne touche peut être que cent ou trois cent personnes. Mais avec tous ses frères naturels il représente peut-être le plus gros média du pays.

Combien de radios, de fanzines, de sites internet ?

Toutes ces ramifications peuvent-elles constituer un réseau, tisser une toile ? Peut-on trinquer ensemble à la santé de Louise Attaque, passant dans les petites salles et radios associatives pour fêter leur deuxième album avec ceux qui ont permis qu’il voit le jour ? Peut-on rire sardoniquement de lire dans Rock and Folk que l’espoir pour les petits labels viendra « des nouvelles technologies, des fanzines, et, beaucoup plus modestement, de (leur) rubrique  » ?  Y a-t-il moyen de se serrer les coudes de média libre à média libre, mais aussi avec les lieux, les militants, les artistes d’une mouvance proche ? Le premier média libre s’appelle bouche à oreille. Que peut-on contre ça ? Rien de plus libre que cet avorton qui refuse la publicité dans ses émissions de radio ou sites internet, la dictature de l’actualité ou des célébrités et peut faire des pieds de nez à n’importe qui et n’importe quoi. Ou alors il se marie avec la publicité, une tendance politique ou une maison de disques et peut vieillir heureux. Mais il n’est plus libre. Il prend le nom de son époux. La liberté c’est bien à condition de savoir y rester.

SOURCE : Alias 15-05-2001 interdits.net

Savile Row : Les maîtres tailleurs du sur-mesure britannique

Les maîtres tailleurs de Savile Row, dans le quartier londonien de Mayfair, habillent les rois, les présidents, les acteurs de cinéma, les légendes du rock et les milliardaires. Un costume de Savile Row représente le comble de l’élégance masculine.

À l origine réservée à l’aristocratie et aux militaires, Savile Row est devenue une destination internationale  notamment grâce à Hollywood -, animée aujourd’hui par une nouvelle génération de tailleurs qui a redonné à une clientèle illustre le goût du sur-mesure et de la pièce unique faite à la main. Ce livre rend hommage à cet épicentre de l’élégance à travers l histoire de ses tailleurs et des célébrités qui ont fait et font sa réputation.

Des documents d’archives rares, des photographies de mode et de stars, ainsi qu’un reportage photographique inédit, rendent compte des petites et des grandes histoires de ce monde exceptionnel dédié au raffinement des coupes et des finitions, à la perfection de la ligne, au chic masculin absolu.

Ce parcours exceptionnel nous plonge dans une ambiance typiquement londonienne, à la rencontre de ces artisans de la façon qui font de la tradition de la coupe et du savoir-faire le secret de leur modernité. Biographie de l’auteur Auteur : James Sherwood, journaliste londonien, écrit depuis quinze ans pour Financial Times, Independant, et International Herald Tribune. Il a mené son enquête sur de nombreuses années auprès des tailleurs de Savile Row et organisé plusieurs expositions sur le « London Cut », au Palais Pitti à Florence et dans les résidences des Ambassadeurs de Grande Bretagne à Paris (2007) et à Tokyo (2008).

Son livre fera date comme un véritable ouvrage de référence sur l’élégance masculine. Cet ouvrage a été traduit en Français par Elisabeth Guillot.  James Sherwood Préface de Tom Ford.

This is Spinal Tap

États-Unis, début des années 80: le groupe de heavy metal Spinal Tap part en tournée, qui de triomphale se transformera bien vite en infernale, les déboires s’ajoutant les uns aux autres sous l’œil de la caméra d’un réalisateur de documentaires… Bien avant Le Projet Blair Witch ou Forgotten Silver et dans la lignée de Zelig, Rob Reiner avait réalisé en 1984 un vrai-faux documentaire sur le groupe Spinal Tap, inventé de toutes pièces pour l’occasion en compagnie de Christopher Guest. Une manière brillante de critiquer avec force et humour le milieu de la musique, des tournées et du heavy metal qui sortait alors de son heure de gloire et entamait son déclin. Enchaînant les situations les plus drôles avec entrain, peignant le portrait au vitriol d’une société du spectacle particulièrement détestable, Reiner a réalisé un véritable chef-d’œuvre d’humour époustouflant de réalisme. À tel point que le réalisateur a été dépassé par sa création, puisque le groupe devint réellement culte et fit une série de concerts après la sortie du film en salle, allant jusqu’à se reformer en 1992 pour enregistrer un nouvel album, Break like the wind ! Ce dernier accompagne les deux DVD bourrés de suppléments (dont deux sujets tournés par l’expert en rock’n’roll, Philippe Manœuvre) et le CD de la musique du film dans ce très beau coffret en forme d’ampli de guitare, qui devrait logiquement trouver sa place dans toute vidéothèque digne de ce nom… –David Rault  Rob Reiner a donné naissance en 1984 au premier Rockumentaire parodique, une satire sans faille des groupes de Heavy Metal. Spinal Tap, grand frère de Wayne’s Word, est devenu le film culte de plusieurs générations de fans. David Rault

Titre original This Is Spinal Tap
Réalisation Rob Reiner
Scénario Christopher Guest
Michael McKean
Harry Shearer
Rob Reiner
Acteurs principaux
Pays d’origine États-Unis / Royaume-Uni
Sortie 1984
Durée 82 minutes

Monsters of Grok : Le T-Shirt qui rend intelligent !

Des T-Shirt de groupes de Rock… Au premier abord ! En réalité les noms originels ont été remplacés par des penseurs. Encore une super idée pour briller en société, CQFD !!!! monstersofgrok.com
 

Don DeLillo

Enfant du Bronx, fils d’immigrés italiens, Don DeLillo naît à New York en 1936. Après avoir reçu une éducation catholique, il étudie la communication à l’université, puis travaille comme rédacteur dans une célèbre agence de publicité américaine. Il rompt ensuite radicalement avec ce début de carrière pour se lancer dans la littérature, à laquelle il se consacre comme un ascète. Il fuit désormais toute mondanité, refuse toute compromission avec le marché, se donne surtout une ligne de travail et de conduite qui le range parmi les grands résistants de la culture contemporaine. Selon Don DeLillo, l’écrivain doit travailler contre l’air du temps. Dans son cas, c’est surtout l’esprit de l’Amérique, son pays, qu’il combat inlassablement. Dès son premier roman, Americana, il n’a de cesse de décortiquer la réalité américaine et de mettre ses valeurs sous la lampe de l’enquêteur. Depuis l’assassinat du président Kennedy en 1963, Don DeLillo développe une vision du monde selon laquelle la réalité visible du monde contemporain ne montre pas la vérité. Le pouvoir ment, les médias déforment le monde, les décideurs et les puissants mènent la société humaine vers une la déréliction. Fils spirituel de Borgès, Don DeLillo a influencé des romanciers américains majeurs comme Breat Easton Ellis et James Ellroy. Après avoir publié ses six premiers romans dans une relative indifférence, il est aujourd’hui considéré comme l’un des plus grands écrivains américains vivants, et comme une figure centrale de la littérature postmoderne. Cousin de Dos Passos et de Kerouac, il façonne une écriture complexe et exigeante qui déjoue les structures conventionnelles. Souvent labyrinthiques, ses quatorze romans sont pleins de golden boys, de terroristes, de sectes, de rockers, de footballeurs. Ils se rangent dans plusieurs genres littéraires : polar, science-fiction, thriller. Principalement connu comme romancier, Don DeLillo a également écrit des pièces de théâtre, dont Valparaiso.

Make The Girl Dance – Dancing In Nowhere

Si 2014 sera pour les chinois l’année du cheval, elle sera aussi, l’année du retour au galop, sur le devant de la scène, de Make The girl Dance. Le duo électro français renoue avec la pop éclatante et un premier extrait issu de leur prochain album à paraitre dans l’année. « Dancing in nowhere » est le fruit d’une nouvelle collaboration avec leur égérie suisse porte bonheur, Solange la Frange. De leur union nait aujourd’hui un titre électro-pop hors norme, dans lequel s’entrechoquent des boucles entêtantes et la voix éthérée de la princesse du rock helvète. Un titre enthousiasmant. Frais et mélancolique. Envoutant et virevoltant. Un track pour danser bien sûr, et faire tourner les jupes et les têtes des filles. Make The girl Dance signe ici un de ses meilleur single. Comme un coup de canon avant l’orage électro magnétique de ce très attendu 2ème album.

Julia Palombe présente Palombe & Créatures

Palombe&Créatures EPK 2014 Un power trio guitare, basse, batterie, un rock sensuel. Au chant une Julia Palombe décomplexée et sans limites… + d’info : http://www.palombe-creatures.com
Sortie album « NUE ». A partir du 22 Janvier 2014 sur les plateformes légales de téléchargement (Itunes, Deezer, Virgin…)
palombe-creatures.com facebook.com/Palombe.Creat…

Divergente

Tris vit dans un monde post apocalyptique où la société est divisée en cinq clans (Audacieux, Erudits, Altruistes, Sincères, Fraternels). A 16 ans, elle doit choisir son appartenance pour le reste de sa vie. Cas rarissime, son test d’aptitudes n’est pas concluant ; elle est Divergente. Les Divergents sont des individus rares n’appartenant à aucun clan et sont traqués par le gouvernement. Dissimulant son secret, elle intègre l’univers brutal des Audacieux dont l’entrainement est basé sur la maitrise de nos peurs les plus intimes.

A$AP Rocky x In Distress Ft. Gesaffelstein

St.Lô "Room 415"

Le combo franco-américain St.Lô, révélation scène 2013, sort enfin son 1er Opus « Room 415 » réalisé par Earl Blaize (Antipop consortium.) L’année dernière, St.Lô a écumé les festivals et parmi eux, les Trans, le Printemps de Bourges, Artrock, Rock en Seine, Sakifo, Marsatatc. St.Lô est une expérience musicale intense et rare, portée par la charismatique Hanifah Walidah, par ailleurs voix de Brooklyn Funk Essentials. Entre Blues-rock futuriste, électro rageuse, et hip hop habité, St.Lô redonne ses lettres de noblesse à la fusion des éléments. Pour les découvrir, rien de mieux que Reach, premier clip du groupe St.Lô.

Disponible le 10 mars 2014 Au Nouveau Casino le 20/03/02014

Chuck Inglish (feat. Chromeo) – "Legs"

Chuck Inglish, co fondateur de The Cool Kids, lancera son tant attendu LP Convertibles le 8 avril. Co produit par Inglish et Mike Einziger (Avicii, Franck Ocean) l’album comprend des collaborations avec Mac Miller, Chromeo, Chance the Rapper, Action Bronson, Ab-Soul, l’autre moitié de The Cool Kids : Sir Michael Rocks, et d’autres.

Les louanges pour la sortie de Convertibles ne se sont pas faites attendre et ont même été anticipées puisque les médias américains ont déjà élus le rappeur comme un des talents de l’année 2014, nous conseillant de le «surveiller de près».

Inglish avait déjà lancé en novembre l’encensé Easily feat. Ab-Soul et Mac Miller à découvrir ici. Extrait de son dernier EP, en octobre dernier qui avait donné à ses fans un aperçu de son album avec la sortie de Swervin (feat. Sir Michael Rocks.

Middlesex

À quarante et un ans, Cal aborde une autre étape de sa vie : intrigué par l’histoire de sa famille, une famille au fort degré de consanguinité, il a décidé de consigner une fois pour toutes l’errance mouvementée à travers le temps de ses lointains parents, et du gène à l’origine de sa « double » nature. Tout a commencé à Smyrne en 1922. Desdémone élève des vers à soie, elle vit avec son frère Lefty qui va les vendre sur le marché. Lorsque les Turcs mettent le feu à la ville, ils fuient et s’embarquent sur un paquebot. C’est l’occasion de « reconstruire » leur vie sur la seule chose finalement qu’ils n’ont pas perdue, leur désir. Durant le long voyage qui les mènera à Detroit, ils se marient, tout en gardant le silence sur la nature incestueuse de leur union. À Detroit, Lefty ouvre un bar. Leur fils, Milton, le reprend dans les années 50, après avoir épousé sa cousine Tessie. Il le fait prospérer au point de rêver à une autre affaire. Les émeutes sociales de Detroit en juillet 1967 précipitent son projet : le bar brûle et Milton investit dans une fabrique de hot dogs. Il fait fortune et peut enfin s’installer dans les beaux quartiers : il achète la maison la plus excentrique de Grosse Pointe, la banlieue résidentielle de Detroit, une maison « moderne », rue Middlesex. Et il envoie sa fille, Calliope, dans une école pour jeunes filles de bonne famille, jusqu’au jour où elle se lie avec l’une d’elles, une « rousse originaire de Grosse Pointe » qu’elle surnomme « L’Objet Obscur »… Ce livre extraordinaire est ce qui se rapproche le plus du “Great American novel” rêvé par tous les écrivains d’outre-Atlantique : c’est un récit épique, une comédie post-moderne, une histoire de la littérature (de L’Odyssée à Lolita), une farce, une élégie. Et un roman irrésistible. Mi-épopée, mi-roman d’apprentissage, ce livre est un hybride. Tout comme son héros/héroïne, qui connaît la joie – et la douleur – d’appartenir aux deux sexes, avant d’opter définitivement pour celui qui lui convient. Des collines d’Asie Mineure aux villas cossues de Grosse Pointe, du fracas des canonnières dans le Bosphore aux explosions des grenades lacrymogènes dans les rues de Detroit, du ragtime au rock’n’roll, un demi-siècle d’Histoire se déroule sous nos yeux. Pour aboutir à ce conte de fées moderne la transformation d’une teenager en un personnage mythologique. Dix ans après Virgin Suicides, Jeffrey Eugenides est de retour avec ce livre qui transcende tous les genres : c’est une idylle, une comédie postmoderne, une histoire de la littérature, un récit érotique, une confession, une élégie. Bref, un roman irrésistible.  De Jeffrey Eugenides Source : www.amazon.fr

Misshapes (Hardcover) by Geordon Nicol

The MisShapes are Greg Krelenstein (25), Leigh Lezark (21), and Geordon Nicol (21), the promoters and DJs behind an eponymous Saturday night party as well as fashion —and music—world staples in their own right. The MisShapes phenomenon began in February 2004 when the club night, which many now consider the best in hipster Manhattan, opened its doors for the first time. It’s a teenage rock’n’roll dance party for kids in their twenties, and it’s been going strong ever since, capturing a raucous, raw spirit that is the ruling aesthetic for today’s creative types. The trio has been heralded in publications ranging from People to Paper, Nylon to The New York Times. Blender had them on their Hot 100 list and Leigh Lezark was one of New York magazine’s « Most Influential New Yorkers » in 2006 as well as one of Spin magazine’s « Top 25 Under 25. »  amazon.com

Missill – TARGETS

« Targets » est un concentré des tous les styles de sonorités qu’elle joue et triture en live, un condensé ultra efficace de sons  electro , hip-hop, ragga, breakbeat, grime, dubstep et rock  avec le plein d’énergie et de dynamisme. Des sons « urbains » taillés pour le dancefloor ! Party style !

LE BAL DU GRAND FUCK #4

Au lendemain de la journée de la femme, c’est une spéciale WOMEN ON FIRE que Les Ginettes Armées proposent pour cette quatrième édition du Bal du Grand Fuck… Des LIVES, des DJETTES et des FILLES DÉCHAINÉES pour une Bodega Rock’n Roll ! LE BAL DU GRAND FUCK C’EST LA SOIRÉE POUR DANSER EN POUSSANT DES CRIS !
°°°°LINE UP°°°°
LIVES
MELL
Mz SUNDAY LUV – Berlin
DJETTES SET
DEMI MONDAINE/
PAJAK VS AOKKY
BIG MORELLO VS YOYO DE LA TOUR
HAPPENING
RACHEL GARDNER SMITH

SAMEDI 9 MARS 2013 de 22h à 5h à LA SCÈNE BASTILLE

« ALAN VEGA, CONVERSATION AVEC UN INDIEN »

A paraître le 28 février 2013 sur letextevivant.fr. Le premier livre numérique enrichi entièrement dédié à un artiste : « ALAN VEGA, CONVERSATION AVEC UN INDIEN » d’Alexandre Breton inaugure la collection FUSION des éditions LE TEXTE VIVANT, éditeur numérique multimédia.

Il s’agit d’un rock book intimiste qui mêle texte, photos, son et vidéo. Une monographie qui s’étire sous la forme d’un abécédaire où parcours de vie et carrière artistique tissent des liens étroits Après une première rencontre en 2011, lors du concert à la Machine de la Loco, puis à la galerie du jour agnès b. pour l’exposition « Musique Plastique », Alexandre Breton retrouve Alan Vega à New York en juillet 2012. Ces quatre jours à New York croisent notamment Bob Gruen, le photographe de la scène new-yorkaise des années 70 et 80, Perkin Barnes, le fidèle inénieur du son de Vega, Alex Zhang-Huntai, des Dirty Beaches…  Dans l’atelier de Manhattan, chez lui, et, dans son studio pendant l’enregistrement de son prochain album; « Alan Vega, conversation avec un indien », le livre numérique enrichi prend forme. Une interview exclusive en forme d’abécédaire aborde, tout en digressions, les expériences, inspirations, rencontres, et influences de cet artiste majeur. Puis, l’auteur et l’artiste se revoient à nouveau à Paris, au concert à la Gaîté Lyrique, et pour l’exposition solo « Holy Shit » à la Galerie Laurent Godin, continuant ainsi la conversation. EVENEMENT  | La galerie du jour agnès b. accueillera, mercredi 27 mars à partir de 18 h, Alan Vega et Alexandre Breton pour une signature.  Jusqu’au 6 avril 2013, les images tournées par LE TEXTE VIVANT à New York seront diffusées dans la project room lors d’une exposition des photos de Pierre René-Worms.  galeriedujour.com.

Swing At The Top par Grolsch

Ce 14 mars, Grolsch via sa Swing At The Top s’installe à la Machine du Moulin Rouge pour une nouvelle expérience artistique. Cette fois-ci la saison 5 présente le thème The Rock’N’Roll Circus, un concept qui puise ses couleurs dans  le célèbre show TV du même nom créé en 1968 par les légendaires Rolling Stones.

Une soirée avec 7h de live rock, portées par un ambassadeur de choix : l’excentrique Nicolas Ullmann. Une pléiade d’artistes sera présente pour interpréter les plus grands titres rock dans ce cabaret qu’est La Machine Du Moulin Rouge, réinventé en cirque pour l’occasion. Le décor sera complété par les oeuvres d’Alexandra Bruel et Paulina Leonor qui prendra vie autour d’une fresque géante créée par les deux plasticiennes et le grand public. Rendez vous Jeudi 14 Mars à partir de 21:00, à la Machine du Moulin Rouge, 90 boulevard de Clichy 75018 PARIS (M2 arrêt « Blanche » ou M13 arrêt « Place de Clichy ») (entrée 25€)

BE THERE OR BE SQUARE

PRINCIPLES OF GEOMETRY

Lazare (Tigersushi/Discograph) Le duo electronica remarque en 2005 sur Tigersushi revient avec un nouvel album qui est aussi un coup de maitre, quelque part entre musique de film a la Carpenter, atmosphere pop a la Air, krautrock, psychedelisme et electronica.  Le single « A Montain For President » chante par Sebastien Tellier est en passe de devenir un des titres cultes de 2007.  www.myspace.com/principlesofgeometry

Public Enemy – Don't Believe The Hype

Back Caught you lookin’ for the same thing It’s a new thing check out this I bring Uh Oh the roll below the level ‘Cause I’m livin’ low next to the bass C’mon Turn up the radio They claim that I’m a criminal By now I wonder how Some people never know The enemy could be their friend guardian I’m not a hooligan I rock the party and Clear all the madness, I’m not a racist Preach to teach to all ‘Cause some they never had this Number one, not born to run About the gun… (…) The minute they see me, fear me I’m the epitome – a public enemy Used, abused without clues I refused to blow a fuse They even had it on the news Don’t believe the hype… (…) I’m negative But they’re not positive But what I got to give… The media says this…

Theyskens' Theory

Après Rochas et Nina Ricci, Olivier Theykens reprend les reines de Theory (label américain fondé par Andrew Rosen). Le projet est très personnel et on retrouve la « patte » Theyskens, une fille « urbaine, moderne, rock et cool » et une androgynie revendiquée. Les accessoires seront chez colette en exclusivité pour la France, ainsi qu’un tshirt en série limitée pour colette

GROLSCH PRESENTE : SWING AT THE TOP #4 – "Yacht Club" avec GREMS, THE NAME, MC LUVIN ET TRIPTIK

Swing at the Top revient avec un nouvel épisode intitulé « Yacht Club » qui accostera sur les bords du Canal de l’Ourcq au coeur du XIXème arrondissement de Paris ! À quelques mètres de l’eau, les invités sont immergés dans une ambiance arty très décalée, et naviguent entre ciel et toits emportés par une musique flottante… Sur la tapisserie d’origine, les oeuvres et installations présentées mélangent les courants et les époques. Une soirée entre deux eaux, à la personnalité bien trempée, qui ne craint pas de se mouiller pour satisfaire ses invités. Au programme des live de Mcluvin, The Name ou encore Son of Kick, dans un décor unique entièrement redessiné par
Grems.

**GREMS**
Grems, graphiste, graffeur et rappeur conceptuel, est aujourd’hui plébiscité dans le monde entier. Il est l’artiste visuel
derrière la campagne Imagine’R (RATP, SNCF, Transilien). En 2012 il redessine la couverture du magazine TSUGI
avec ses  meilleurs ennemis et présente sa nouvelle mixtape en collaboration avec LeFto.
Il prendra en charge la direction artistique de cet évènement en transfigurant cette maison du XIXème siècle avec le concours de la jeune garde du tag, invitée par ses soins.  Au total 6 salles seront investies ainsi que la pièce principale où trônera le DJ.
** Mcluvin **
Produit par Drixxxé, producteur attitré du mythique Triptik, avec d’un côté Gystere, « singer, compositeur, pianiste,
motherfucker ».   Une musique est dédiée à l’alcool, aux adultères, aux PIAGGIO VESPA LX50, à eBay, à Valérie Bègue, Emule, Youporn,  à Windows Live Messenger, aux Noctiliens, aux fast food et à toute la génération Yoga Fire.
http://www.mcluvin.fr/
** The Name **
Derrière The Name se cache le duo élctronique connu pour avoir fait la musique de la série “BREF” et leurs 2 eps avec
la collaboration de We are enfant terrible.  Un vertigineux cocktail de sonorités électroniques, de beats frénétiques, de rock et 8bit, oscillant entre noirceur et fièvre  dansante. http://thename.fr/
** Triptik **
A l’occasion de la sortie de leur nouvel EP “Le début”, Dabaaz, Drixxxé et Greg’Frite gardent la passion intacte et le cahier des charges immuable : un rap élégant et vivace et des productions classieuses, touffues, ouvertes aux quatre vents. Chemin faisant, Triptik ne dit, certes, pas les mêmes choses aujourd’hui mais l’énergie injectée et l’authenticité demeurent inaliénables,
le rap, dans tout ce qu’il a de plus noble et jouissif à offrir, est toujours au cœur du débat.
Triptik à regarder en live sur Canal Street : http://tiny.cc/tpcxgw
** Son of Kick **
Aucune restriction musicale, hybride a toujours été son blason et quelque fois son fardeau ; aujourd’hui c’est sa signature. Ses productions détonnantes (à grands coups d’acapellas de Method Man ou de Violent Femmes) et ses live sets explosifs entre dubstep, heavy bass & électro qui lui auront permis de marquer définitivement les dancefloors dans de nombreux clubs et festivals (Gilles Peterson Worldwide Festival, O2 Wireless, Yoyo, Notting Hill Arts Club). http://soundcloud.com/sonofkick
DJs :
** Lefto **
http://lefto.be/
** Drixxxé **
http://www.myspace.com/drixxxe
** Blackenpouperz **
** KM3 **
http://flavors.me/km3#_

CHICHA LIBRE – Canibalismo

La Chicha est une sorte de pop psychédélique, dérivée de la cumbia, gorgée de guitares surf, qui connut son heure de gloire au Pérou vers la fin des sixties. Sur ce nouvel album, le bien nommé CANIBALISMO, CHICHA LIBRE mélange allègrement sons rock vintage, rythmes latins, envolées psychédéliques, percussions irrépressibles, riffs de pedal steel, cavalcades de mellotrons, textes étranges et même, par-ci par-là, une guitare guinéenne.. On se régale toujours autant à l’écoute de la guitare surfabilly de Vincent Douglas, de l’Electravox wah-wah de Joshua Camp (modèle vintage d’accordéon électronique), et de leurs arrangements raffinés. Il est évident qu’Olivier Conan et ses complices ont écouté beaucoup de musiques sud-américaines (notamment celles du mouvement Tropicalia brésilien, à la devise  duquel – le cannibalisme culturel- le titre fait allusion) et beaucoup de pop 60s américaine et française. On décèle également des clins d’oeils à l’Afrobeat et à la musique des films indiens (ils sont des fans inconditionnels du grand Rahul Dev Burman, le John Williams de Bollywood…). Parmi les 11 compositions originales et les 3 reprises qui composent CANIBALISMO, on remarquera notamment la chanson L’Age d’or (interprétée –en français- par Olivier Conan avec sa diction rétro caractéristique), The Ride of the Valkyries (Wagner dans les Andes), ou des cumbias luxuriantes et planantes telles que « La Danza del Milionario ». Signalons aussi que Chicha Libre y rend hommage au génie des mathématiques du 19e siècle Carl Friedrich Gauss (“Number Seventeen”) ainsi qu’à l’inventeur d’une certaine drogue psychédélique (“Lupita en la Selva y el Doctor”).
EN CONCERT LE SAMEDI 30 JUIN AU NEW MORNING (20h00)

Steve Aoki

Steve Aoki, connu également sous le nom de scène de DJ Steve Aoki Kid Millionaire (né le 30 novembre 1977), est un DJ américain, producteur musical ainsi que fondateur et PDG du label Dim Mak Records. Steve Aoki est né à Miami et a grandi à Newport Beach en Californie. Il est le troisième enfant de Rocky Aoki et de Chizuru Kobayashi. Son père Rocky Aoki est un ancien champion japonais de lutte et le fondateur de la chaîne de restauration américaine de cuisine japonaise Benihana. Steve Aoki a plusieurs frères et sœurs célèbres: une grande sœur, Kanaa (qui s’appelle désormais Grace), un grand frère, Kevin (patron du restaurant Doraku Sushi), un demi-frère et un demi-sœur plus jeunes, Kyle et Echo. Il a enfin pour autre demi-sœur l’actrice et top-model Devon Aoki. Enfant, Steve a vécu en compagnie de son grand-père, de sa mère ainsi que de son frère Kevin et sa soeur Kanaa. Son père, un homme d’affaires que Steve ne voyait que pendant les vacances, vivait à l’autre bout des États-Unis. Steve Aoki étudia à l’Université de Californie à Santa Barbara (USCB) et en sortit muni de deux diplômes de premier cycle, l’un en Etudes Féminines (Women’s Studies) et l’autre en Sociologie. C’est à l’université qu’Aoki enregistra des productions réalisées entièrement tout seul et qu’il lança une série de concerts undergrounds qui avaient lieu dans le salon de son appartement à Isla Vista qu’il renomma avec ses colocataires The Pickle Patch, une parcelle de terrain résidentielle adjacente à l’UCSB. Âgé d’à peine plus de 20 ans, il lança son propre label musical qu’il nomma Dim Mak en honneur à l’art martial éponyme pratiqué par Bruce Lee, son héros d’enfance. A cette époque, il était également actif dans de nombreux groupes musicaux tels que This Machine Kills (qui sortit un album chez Ebullition Records), Esperanza et The Fire Next Time. Son père a un jour déclaré qu’il avait eu « trois enfants de trois femmes différentes exactement au même moment ». En 2005, Rocky poursuivit en justice quatre de ses six enfants (Grace, Kevin, Kyle et Echo) au motif qu’ils auraient tenté abusivement de prendre le contrôle de la société qu’il avait fondé et dont la valeur serait estimée entre 60 et 100 millions de dollars. Steve et Devon n’ont, eux, pas été poursuivis. Rocky a déclaré à propos de Devon qu’il ne lui en voulait pas parce « qu'[elle] ne participe pas aux affaires d’argent de la famille et qu'[elle] est [sa] préférée, qu'[elle] est très intelligente et qu'[il] est fier d'[elle] »

Exposition au Pied de Biche : Ciou, Fräneck et Malojo 4 juin- 29 juillet

Ciou, née en 1981, s’est aménagé une place à part sur la scène artistique pop et lowbrow. Ce mouvement underground, également appelé Pop surréalisme, est né à la fin des années 70 aux États-Unis et s’inspire de la culture punk et rock, du tatouage, des comics, des films d’horreur et de séries B… Les œuvres de Ciou mêlent le merveilleux, l’onirique, le cauchemardesque. Une galerie de portraits et une succession de saynètes dévoilant au spectateur des personnages aux caractères amusants, burlesques, inquiétants. Femmes ou nymphes côtoyées par des yokai – créatures surnaturelles, monstres et esprits légendaires du folklore japonais – évoluent dans une sphère hostile, violente rehaussée de couleurs vives et acidulées. Le miroir d’une génération hantée par la mort, rêvant de nature et de douceur. Sa carrière a démarré aux Etats-Unis avec une exposition en 2004 à la Flux Factory de New York. Elle a ensuite exposé à Amsterdam, Paris, Barcelona, Brussels, California, Portland, Rome, Berlin, Seattle.
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Les dessins de Fräneck fonctionnent comme des séries, des mises en scènes où personnages et paysages se côtoient dans un huis-clos où règne une atmosphère à la fois bon enfant et menaçante. Ce basculement du rêve au cauchemar, de l’harmonie à la discorde, entraîne les personnages et les différents éléments du décor dans une confrontation parfois violente, humoristique, toujours sur fond de couleurs vives et d’attention portée au détail. Diplômé des Beaux-arts de Toulouse, Fräneck évolue aujourd’hui dans l’édition, l’auto-édition, les fanzines et revues collectives. Il a intégré il y a deux ans le Collectif Indélébile, basé à Toulouse, où ils organisent tous les ans un festival de petites éditions et de narrations graphiques. Les dessins présentés pour l’exposition sont issus de son dernier livre «Les Maisons», paru aux éditions Ion et disponible courant juin 2012.

86 rue de Charonne, 75011 Paris tél. : 09 81 71 32 09 mail : contact@lepieddebiche.com Horaires d’ouverture : Du mardi au samedi de 11 à 20h, le dimanche de 14h à 19h.


RED BULL MUSIC ACADEMY SESSION

avec Jean Michel Jarre (en entretien avec Patrick Thévenin) Mercredi 16 mai 2012 – Lyon (Nuits Sonores) Compte rendu En ouverture du festival Nuits Sonores, la Red Bull Music Academy a accueilli Jean Michel Jarre à l’Hôtel de Ville de Lyon. Le pionnier de l’électro s’est confié durant deux heures, entre anecdotes, techniques secrètes et visions musicales. Bluffant.
Jarre est ici pour se livrer, pour raconter les petites et les grandes histoires d’une carrière larger than life. Et c’est ce qu’il fait : « Ma rencontre avec Pierre Schaeffer a été fondamentale. On enregistrait des matières, on manipulait des bandes. Mais on ne parlait pas de musique électronique, le terme n’existait même pas ». Lorsque Jean Michel Jarre débute, la musique électronique est encore une science obscure, chasse gardée du Groupe de Recherche Musical (GRM) réuni autour de Schaeffer. « Happyness is a sad song », une de ses créations résonne alors entre les baffles et désarçonne les fans du premier rang, habitués aux mélodies marquantes qu’il n’a pas encore inventé : « A l’époque, je n’avais pas d’argent pour acheter un Theremin, donc ce qu’on entend c’est de la scie musicale, l’instrument des clowns…, sourit-il, avant de préciser : Sur le moment, ce morceau était un ovni. Les labels n’y comprenaient rien, c’était un truc de spécialistes ».
Dans ce contexte, son départ du GRM provoque un séisme. Sur les disques de Christophe ou de Patrick Juvet, il bouscule la variété française en la passant à la moulinette de ses rêves électro. Quelques mois plus tard, Oxygène est un choc : ce disque synthétique et hors formats (titres longs, absence de chant, visuel étrange…) dresse un pont entre les chercheurs du GRM et la musique populaire. « Ce disque m’a permis de connecter mon amour du son et celui de la mélodie ». Jarre invente alors le futur : « Ceux qui faisaient de la musique classique avaient des siècles d’histoire musicale derrière eux, ceux qui faisaient du rock avaient quelques décennies. Mais pour la musique électronique, il n’y avait rien, c’était nouveau ». Le soleil cogne sur la place de l’Hôtel de ville, mais Jean Michel Jarre tient l’audience en otage. Passionné et ouvert à la discussion, il explique tout. Un intérêt ravivé par Patrick Thévenin qui mène l’interview, qui connaît l’animal et sonde ses secrets.
ll y a 40 ans, Jean Michel Jarre a été un des premiers a inventer et populariser le langage électro. En un sens, ceux qui partagent aujourd’hui les scènes des Nuits Sonores (Etienne Jaumet, Theo Parrish…) lui doivent beaucoup. Après avoir répondu aux questions du public, il salue, remercie, signe quelques autographes et disparaît dans les rues de sa ville natale. Ce soir, il arpentera les scènes du festival pour voir à quoi ressemble le futur de cette musique électronique qu’il a contribué à créer. Mais seuls les chanceux réunis cet après-midi savent combien il en a rêvé, dès 1970, dans son petit studio.
Comme un avant-goût de la Red Bull Music Academy 2012 qui se tiendra dans quelques mois à New York, cette session exceptionnelle aura été l’occasion de pénétrer l’univers d’un artiste singulier. De lire entre les lignes, de lever le voile sur une carrière démesurée et de réduire la distance entre l’artiste et son public. L’histoire de la musique, version confidentielle.

JUSTICE Live

TOUTES LES DATES :
23-MAI PARIS, ZENITH
24-MAI PARIS, ZENITH
25-MAI LYON, HALLE TONY GARNIER
31-MAI TOULOUSE, ZÉNITH
02-JUIN BARCELONE, PRIMAVERA SOUND FESTIVAL
07-JUIN CORK, LIVE AT THE MARQUEE
09-JUIN ROCKNESS, INVERNESS
10-JUIN MANCHESTER, PARKLIFE
14-JUIN HULSTFRED, HULTSFREDSFESTIVALEN
15-JUIN ADALEN AARHUS, NORTHSIDE FESTIVAL
17-JUIN SEINÄJOKI PROVINSSI ROCK FESTIVAL
22-JUIN SCHEEßEL, HURRICANE FESTIVAL
23-JUIN NEUHAUSEN OB ECK, SOUTHSIDE FESTVAL
24-JUIN LUXEMBOURG, ROCK A FIELD
28-JUIN WERCHTER, ROCK WERCHTER
29-JUIN ARRAS, MAIN SQUARE FESTIVAL
30-JUIN BELFORT, LES EUROCKÉENNES
05-JUIL GDYNIA, OPEN’ER FESTIVAL
07-JUIL VIENNA, URBAN ART FORMS FESTIVAL
08-JUIL ROMA, ROCK IN ROMA
13-JUIL LISBONNE, OPTIMUS ALIVE
15-JUIL LEIPZIG, MELT FESTIVAL
18-JUIL PALEO FESTIVAL
19-JUIL NIMES, LES ARENES DE NIMES
21-JUIL CARHAIX, LES VIEILLES CHARRUES
28-JUIL NAEBA, FUJI ROCK
03-AUG MONTREAL, OSHEAGA FESTIVAL
04-AUG TORONTO, HARD TORONTO
07-AUG DENVER, RED ROCKS
24-AUG LEEDS FESTIVAL
26-AUG READING FESTIVAL
08-SEPT BESTIVAL, ISLE OF WIGHT

Le Revival

La grande roue de la mode a décidé, Dieu lui rende grâce, cette fois encore de s’arrêter sur la mythique période des Early 80’s et de mettre à nouveau, bientôt pour le GP (Grand Public), au devant de l’actualité les acteurs et les styles de la scène Glam Rock US. Ôtez un instant à cette petite slavinette mannequin anorexique qui patiente pour son shooting, le casque beats de son Ix vissez sur ses oreilles photoshopables, et vous constaterez, non sans une certaine dubitativité légitime, qu’elle écoute le plus naturellement du monde, Eruption des sieurs Van Halen. Waouh, ça calme. D’autant plus que la gourgandine n’est pas la seule dans le genre, toute ses consoeurs osseuses s’éclatent sur les riffs immortels de Slash, se gargarisent de la voix de Vince Neil, s’amourachent fiévreusement du beau Jon Bon Jovi. Que dire de plus sinon que d’ici peu nous aurons tous des pantalons en cuir ultra moulant rentrés dans des Reebok montantes Old School, que les cheveux se porteront longs et bouclés et qu’il sera temps de se repencher sur le Reggae qui est, décidement, beaucoup plus Cool.

Bagues Limelight, la collection Inspiration Cocktails Piaget

Ces bagues Piaget sont inspirées par l’univers des cocktails. Siroter la rubellite rougeoyante d’un Cosmopolitan, savourer le nectar d’une topaze Blue Ocean ou lui préférer le feu d’une citrine servie on the rocks… Les nouvelles créations joaillières de Piaget se savourent des yeux avec gourmandise. La tourmaline verte joue la fraîcheur mentholée du Mojito, l’améthyste métamorphose le Blueberry Daiquiri en un nectar étincelant, le péridot en forme d’olive s’abandonne à la légèreté savoureuse d’un Blanc Tonic diamanté. Six bagues composent cette collection dont la bague inspiration Mojito 18 carats sertie de 182 diamants taille brillant avec une tourmaline verte taille coussin, une citrine sculptée en forme de citron, seize tsavorites taille ronde, 120 émeraudes taille ronde et huit émeraudes taille marquise. La bague inspiration Whisky on The Rocks est une bague en or jaune 18 carats sertie de 100 diamants taille brillant, d’une citrine taille coussin et de deux quartz taillés en forme de glaçons. La bague inspiration Blanc Tonic est en or blanc 18 carats, sertie de 44 diamants taille brillant et d’un péridot taille ronde rappelant la forme d’une olive. La bague inspiration Blue Ocean est une bague en or blanc 18 carats, sertie de 122 diamants taille brillant, et composée d’une topaze bleue taille coussin et d’une cornaline taille ronde. La bague inspiration Blueberry Daiquiri est en or 18 carats, sertie de 121 diamants taille brillant et composée d’une améthyste taille coussin, de trente saphirs roses taille brillant et d’un rubis taille cabochon. piaget.com

Stereofunk – Radio Robotic

‘Radio Robotic’, newest album from Dresden Germany’s Stereofunk on NYC’s Coco Machete Records. The album is filled with late night electro disco monsters from start to finish, a whole night out packed into 50 minutes. Stereofunk – Senseless – DOWNLOAD/STREAM HERE Stereofunk, The guy from Dresden, is back with his second attack ‘Radio Robotic’, on New York City’s Coco Machete Records. ‘Radio Robotic’, features a colorful cast of guest features from TelevisionRecords’ Maral Salmassi, Coco Machete’s D’ Secret SVC & Razor Cain as well as StereoFunk’s own discovery Miu. Combine that with StereoFunk’s reverence for 80s disco, original electro, retro lounge and club rockin’ house music this new album takes you on a shimmering tour of synthetic nightlife through the ages.

Diner Chic

Si vous souhaitez faire de l’effet lors d’un repas entre amis, surtout gardez en tête que le chic se nourrit de naturel, de spontanéité et de sobriété. Profusion et débordements ne sont l’apanage que des émirs et des rock stars. Pour bien réussir, avant tout, recueillez le maximum d’informations disponibles sur le lieu de la soirée, les forces en présence, l’heure, l’environnement… Adaptez vous en fonction de ces critères. Inutile de venir en robe de bal au buffalo grill, ça craint. Ne vous lancez pas non plus dans des tentatives vestimentaires pseudo novatrices ou dans des maquillages extravagants soyez, sobre et classe, il n’est pas question de camoufler une bagnole mais de diner en bonne compagnie… Créez vous une cible, est-ce pour vous même ? vos amis ? Le restaurant que vous vous préparez ainsi ? Car vous pouvez très bien être parfaitement adapté(e) à vos amis mais détonner dans le cadre ou inversement. Restez en toutes circonstances léger(e) et nature, ainsi vous ferez passer à vous même, ainsi qu’aux autres convives une soirée mémorable.

Kiss

Kiss est un groupe de hard rock américain, précurseur du glam metal, fondé dans le Queens à New York en 1973 par le guitariste Paul Stanley (de son vrai nom Stanley Harvey Eisen né en 1952) et le bassiste Gene Simmons (Chaim Witz né en 1949). Très populaire à travers le monde, notamment grâce à leurs maquillages, leurs costumes extravagants et la célèbre très grande langue de Gene Simmons, Kiss a vendu plus de 20 millions d’albums aux États-Unis[1] et 80 millions de plus à l’échelle mondiale[2], pour un total de plus de 100 millions d’albums vendus. Les enregistrements du groupe et de ses membres en solo leur ont permis de récolter 24 disques d’or, 9 disques de platine et 10 disques multi-platine pour les seuls États-Unis. On reconnaît aussi souvent Kiss pour leurs 2 500 produits dérivés qui se vendent en quantité industrielle, si bien que la « marque » Kiss a été évaluée à 1 milliard de dollars américains.

Guns N’ Roses Past and Present Plan Appetite Anniversary Celebrations

Et pendant ce temps là, le hall of fame:

A l’attention de : Rock And Roll Hall of Fame, les fans de Guns N’ Roses et toute personne que cela pourrait concerner.

Quand les nominations pour le Rock And Roll Hall of Fame ont été annoncées pour la première fois, j’avais des sentiments mitigés, mais, dans un effort d’être positif, désirant en tirer le meilleur pour les fans et avec leur enthousiasme, j’étais honoré, excité et j’espérais que ce serait une bonne chose. Bien sûr, je comprenais bien que toutes choses égales par ailleurs, si Guns N’ Roses devait être intronisé, cela aurait été une situation un peu compliquée ou du moins un peu bizarre.

Depuis lors, nous avons écouté nos fans, parlé aux membres du directoire du Hall of Fame, communiqué avec et lu différents commentaires dans la presse ou des attaques d’anciens membres de Guns N’ Roses, avons discuté avec le président du Hall of Fame, lu différents articles (certains légitimes, d’autres artificiels) et lu des commentaires provenant d’autres artistes voulant peser sur les Guns et le Hall avec leurs pensées.

Etant données les circonstances, il me semble que nous avons été polis, courtois, et ouvert à une solution à l’amiable avec nos efforts pour trouver un arrangement. En prenant en compte l’histoire de Guns N’ Roses, ceux qui prévoient d’y assister mais également ceux que le Hall a choisi de leur propre chef d’inclure dans « notre » intronisation (à noter que ce sont des décisions avec lesquelles je suis en désaccord, ne soutient pas ni ai l’impression que le Hall a le droit de prendre), et la façon par laquelle (même si ce n’est pas facile) ceux impliqués dans le Hall ont géré les choses… sans vouloir blesser personne, la Cérémonie d’Intronisation du Hall of Fame me paraît être un endroit où je ne suis ni désiré ni respecté.

A noter que je ne retirerai à quiconque dans Guns leur travail our la reconnaissance qui leur est dûe. Moi-même ni personne de mon entourage n’a fait aucune demande ou requête au Hall of Fame. C’est leur spectacle, pas le mien.

Cela étant dit, je ne serai pas présent à la Cérémonie d’Intronisationdu Rock And Roll Hall of Fame 2012 et je décline respectueusement mon intronisation en tant que membre de Guns N’ Roses au Rock And Roll Hall of Fame.

Je demande fermement à ne pas être intronisé en mon absence, et veuillez savoir que personne n’est autorisé ou ne pourra être autorisé à accepter aucune intronisation de ma part ou à parler à ma place. Aucun ancien membre du groupe, représentant de label ni le Rock And Roll Hall of Fame ne devront sous-entendre de façon directe, indirecte ou par omission que je suis inclus dans l’intronisation de « Guns N’ Roses. »

Cette décision est personnelle. Cette lettre est destinée à aider à clarifier les choses de ma perspective et de celle de mon entourage. Elle n’est pas faite pour offenser, attaquer ou condamner qui que ce soit. Même si malheureusement, je suis sûr que certains la prendront mal (Dieu seul sait combien de temps je vais avoir à en gérer les retombées), je ne veux en aucun cas décevoir quiconque, surtout les fans, avec cette décision. Depuis l’annonce de la nomination, nous avons activement recherché une solution à ce qui, toutes choses considérées, apparait comme une impasse, du moins pour moi : un scénario du genre « blâmé si je le fais, blâmé si je ne le fais pas ». En ce qui concerne une quelconque reformation des line-ups d’Appetite ou des Illusions, j’ai dit publiquement et très clairement ce que j’en pensais. Rien n’a changé.

La seule raison à l’heure actuelle, étant données les circonstances, et à mon avis sous le prétexte du « pour les fans » ou autre justification du moment, pour que quiconque continue à demander ou suggérer une reformation ne sont que des tentatives mal pensées afin de détourner les gens de nos efforts avec notre line-up actuel comprenant moi-même, Dizzy Reed, Tommy Stinson, Frank Ferrer, Richard Fortus, Chris Pitman, Ron « Bumblefoot » Thal et DJ Ashba.

Izzy est venue jouer avec nous quelques fois en 2006 et je l’ai invité à nous rejoindre lors de notre concert au L.A Forum l’année dernière. Steven était présent à notre concert au Hard Rock, puis plus tard en 2006 à Las Vegas, lorsque je l’ai invité à notre after-party et j’ai été récompensé par des interviews qui ont suivi, remplies de mensonges concernant une reformation. J’ai appris la leçon. Duff nous a rejoint en 2010 puis en 2011 avec son groupe, Loaded, pour faire notre première partie à Seattle et Vancouver. Selon moi, à l’exception d’Izzy ou Duff qui pourraient nous rejoindre sur scène, s’ils en ont envie bien sûr, pour jouer une chanson ou deux, ça se résume à cela.

Il y a d’une manière générale beaucoup de révisionisme et de fantasmes qui servent des personnes pour leur propre promotion et des opportunités de contrats, qui cachent les réalités. Tant que toutes les personnes qui sont originaires des précédents line-ups n’auront pas été dévoilées au grand jour, il n’y aura aucune conversation et encore moins de reformation.

Peut-être que si c’était vous, vous feriez différemment. Vous le feriez peut-être, pour telle ou telle raison. Peace, comme vous voulez. J’adore notre groupe actuel. On est tous là pour se soutenir quand il le faut. Nous adorons nos fans et nous travaillons pour leur donner toute notre énergie et notre coeur.

Donc ne réveillons pas le chat qui dort, ou ne laissons pas le chat endormi se réveiller de son mensonge (NDT : traduction difficile d’une expression anglaise jouant sur les mots avec « lie » qui peut vouloir dire « s’allonger », « dormir », mais aussi « mentir »). Il est temps d’aller de l’avant. Les gens divorcent parfois. La vie ne vous doit pas votre petit happy ending surtout quand c’est aux dépens de quelqu’un d’autre, ou dans ce cas de quelques autres.

Mais bon, si vous devez le faire, alors passons tout de suite aux : « oh il s’est pas pointé, il se la pète, c’est juste un coup de pub, il est vraiment irrespectueux, il s’en fout des fans », et passons à autre chose. Personne n’en sort gagnant. N’inversez pas les rôles. Pendant plus d’une décennie et demie, nous avons dû endurer les deux poids, deux mesures, l’avidité de cette industrie et l’éternelle cargaison de parvenus et de personnes des médias sans scrupule et irresponsables. Je ne veux pas sous entendre quoi que ce soit en l’occurrence, mais de mon point de vue en ce qui concerne à la fois le Hall et une reformation, la balle n’a jamais été dans notre camp.

En conclusion, en dépit de cette décision et même si cela peut sembler dur à croire ou ironique, j’aimerais sincèrement remercier le directoire pour leur nomination et pour leur votes concernant l’intronisation des Guns. Et de façon encore plus importante, j’aimerais remercier les fans pour être là au fil des années, rendant possible tous nos succès et merci aussi pour apprécier et soutenir la musique de Guns N’ Roses.

Je souhaite au Hall un super show, bravo à tous les autres artistes qui sont intronisés et à nos fans, nous sommes impatients de vous voir sur la tournée !!

Cordialement,
Axl Rose

P.S. : R.I.P Armand, et vive le ABC III

Remember : Looking for a way to celebrate the twentieth anniversary of Guns N’ Roses classic Appetite for Destruction? So are the rest of the current lineup and an assortment of former members. Onetime Gun Steven Adler plus former L.A. Gun Tracii Guns will play a show on July 28 at Hollywood’s Key Club with their own bands, Adler’s Appetite and L.A. Guns, to “pay tribute” to the 1987 release. The “new” GN’R will be performing on the actual date of Appetite’s release, July 21, in Osaka, Japan. And of course you could start lining up two weeks early for Velvet Revolver’s August 6 tour date at Verona, New York’s Turning Stone Resort Casino. And if you want to know what Gilby Clarke, Josh Freese, Paul Tobias or Buckethead are doing to commemorate this special anniversary, you’re on your own. www.rollingstone.com

MIDNIGHT JUGGERNAUTS – Dystopia

Leur nom est sur les lèvres de tous ceux qui voient le talent arriver de loin. Bientôt, leur électro libre sera partout. Pourtant, on ne sait pas grand-chose d’eux hormis qu’ils veulent en dire le moins possible. Ce qui, en marketing moderne, est déjà beaucoup. Fidèles à la tradition d’anonymat (relatif) qui prévaut sur la scène dance, ces trois Australiens estiment, à juste titre, que leurs chansons sont plus importantes qu’eux et préférables aux longs discours biographiques. On se contentera donc de signaler qu’ils se prénomment Vincent, Andy et Daniel, mais ont décidé, comme les Ramones (avec qui ils partagent un goût prononcé pour les plaisirs immédiats), de tous s’appeler Juggernaut. Vincent et Andy Juggernaut se sont rencontrés à l’école, à Melbourne, et ont commencé par sévir dans un groupe de rock basique avant d’évoluer vers une dance pop qui, depuis quelques maxis et remixes, fait se pâmer leurs pairs et les amateurs du genre. Depuis plusieurs mois, les Midnight Juggernauts ont attiré l’attention en remixant des titres pour !!! (Chk Chk Chk), The Presets, Dragonette, Electric Six et Damn Arms. Ils figurent aussi en bonne place sur de nombreuses compilations et ont déjà tourné avec Scissor Sisters ou Bloc Party. Bien inspirés, les Midnight Juggernauts ont récemment abandonné les tenues de scène de leurs débuts (des costumes de dictateur…) pour s’habiller comme leur public, jeune, bigarré et très porté sur la fête. Vincent et Andy ont également fini par trouver le batteur dont ils rêvaient en la personne de Daniel Stricker, devenu Daniel… Juggernaut ! Paru l’été dernier en Australie sur leur propre label, “Dystopia”, le premier album des Midnight Juggernauts, réunit une douzaine de chansons pop flamboyantes très inspirées par Electric Light Orchestra mais pas seulement. Au détour d’un refrain, dans un coin d’arrangement, au creux de la voix de Vincent, on constate la présence d’influences diverses et variées : Air, M83, le Bowie de “Low”, Can, Bauhaus, New Order, Giorgio Moroder, etc. Mais au-delà des allusions, c’est la réelle personnalité musicale du trio, qui se dit investi d’une mission galactique (?), qui fait surtout on charme : “Dystopia” auquel, en signant avec EMI France, les Midnight Juggernauts entendent bien donner une exposition mondiale, brille par la qualité intrinsèque de ses mélodies entêtantes, son éclectisme de ton, ses vocaux angéliques et ses ambiances sonores proches, parfois, de celles des films de John Carpenter. A des kilomètres des bidouillages mesquins de certains, ces explorateurs sonores voient grand et osent des suites d’accords en relief, des décharges éclectiques, et des retours vers le paradis. Appréciés par Justice ou Daft Punk, ils en ont la puissance et la grâce. “Into The Galaxy”, “Road To Recovery” ou “So Many Frequencies”, même si elles risquent de faire un malheur sur les pistes de danse européennes, raviront également les amateurs de pop et de rock sans œillères qui apprécieront certainement de surfer sur ces vagues bien plus hautes que la moyenne, la tête dans cette disco d’ailleurs un brin nostalgique.

50's Mods are BACK !

Situated on London’s North Circular, Ace Café has been a mecca for petrolheads since its doors opened in 1938. A place to talk mechanics, listen to rockabilly, and drink a beer, the café has reverberated with the sound of revving engines for over a generation. Today, whether you’re riding a Harley or a scooter, Ace Café is the place to go. It could be your point of origin for a long road trip, or a place to refuel after a long night ride.

Blending in with this iconic setting, our STYLED brings together a mixture of mod and rocker influences, as rugged denim pieces meet more tailored shirting and outerwear. Like some of the patrons of Ace Café today, the looks are more eclectic and less tribal, while still having an element of the rebellious spirit that defined the 50s.

STYLED is fully shoppable and available now – oki-ni.com

J'en ai revé… Bret l'a fait ! Bateman reprend du service

Une suite d’American Psycho, en partie partagée, élaborée sur Twitter ? Ben ouais ça semble si logique, si naturel, si génial ! L’auteur et sa muse déséquilibrée Patrick Bateman s’emparent du réseau des réseaux pour mettre le feu sacré notamment au star system.

Extraits (traduction Eric Vernay pour fluctuat.premiere.fr)

@breteastonellis : Une heure du matin à LA, assis à mon bureau pour finir un script et soudain je me mets à prendre des notes sur Patrick Bateman, sur là où il se trouve maintenant et peut-être qu’il pourrait…

@breteastonellis : Flashback: Patrick en adolescent, il va au lycée, avant d’aller à New York, et comment il est forcé par son père à…

@breteastonellis : Hmmm… Peut-être que je devais appeler mes éditeurs Lundi…Mais je dois encore trouver la structure…Il y aura certainement des meurtres en classes prépa et…

@breteastonellis : Bon, si ces idées de séquelle pour American Psycho donnent quelque chose, j’en parlerais à mon agent mais d’abord il faudra que je passe le week-end à voir si ça fonctionne…

@breteastonellis : Patrick à Harvard en train d’écouter The Nylon Curtain…peut-être Nebraska..peut-être Don Henley…

@breteastonellis : J’adorerais Patrick en train de disséquer « Building the Perfect Beast” de Don Henley…

@breteastonellis : Le premier meurtre de Patrick n’aurait pas été à Harvard. Il aurait été auparavant … Cela aurait été la maîtresse de son père…

@breteastonellis : Patrick détesterait Obama et par exemple et entrerait dans les détails au sujet de la fraude du blaireau #Kony2012 et il adorerait Kim Kardashian.

@breteastonellis : Que penserait Patrick Bateman de la notion de transparence? Ou bien a-t-il déjà pensé à la question dans l’original ? Des pensées qui me viennent en prenant des notes…

@breteastonellis : Patrick posterait des photos des filles qu’il a assassinées sur Facebook et personne ne le remarquerait ou posterait “Fuck Yeah” et voilà ce à quoi je pense.

@breteastonellis : Patrick parlerait d’Adele et Kanye et KATY PERRY parce que « Firework » est son morceau favori…Et ensuite il tue l’entraîneur de Katy Perry…

@breteastonellis : L’iPad de Patrick commencerait à lui parler…Lui disant que la reprise de The Cure par Adele l’a conduit au meurtre, eh bien, de tout le monde…

@breteastonellis : J’ai 3 pages de notes sur là où habite Patrick Bateman maintenant et d’où il vient. La scène la plus violente se déroule dans un club féminin où Patrick Bateman viole/tue 12…

@breteastonellis : Patrick partirait dans une longue dissertation sur l’oeuvre de Coldplay…

Sa chanson préférée étant « Fix You »…

@breteastonellis : Patrick se plaindrait de Spotify et de Cloud et Tumblr…Mais il pourrait trouver ses victimes via Blendr en écoutant Beyonce et O.A.R [groupe de rock américain né au milieu des années 1990s, ndlr]

@breteastonellis : L’autre roman auquel je pense serait sur Sean Bateman comme gros pédé dans le West Hollywood, où il contracte le Sida dans les pavillons locaux…

@breteastonellis  : Une scène avec Chris Martin et Patrick Bateman mangeant des gaufres et parlant du degré de coolitude de St Vincent….Et ensuite Patrick lui coupe lui fend la gorge. Notes.

@breteastonellis  : Le héros de Patrick Bateman était Michael Hutchence…

@breteastonellis : Ces pavillons sont si gay qu’ils ont des tests HIV gratuits dans l’allée 5…

@breteastonellis : Patrick Bateman serait si obsédé par « Stop and Stare » et tout ce qu’a pondu le mec qui a écrit « Halo »…[référence à Ryan Tedder, le chanteur du groupe de rock OneRepublic et auteur de chansons pour Beyonce et Adele, ndlr]

@breteastonellis : Patrick Bateman courant autour de Central Park en écoutant « Destination Unknown » de Missing Person…Les notes continuent d’affluer…

@breteastonellis : Le plan à trois préféré de Patrick : Rihanna et cette fille de Sleigh Bells…

@breteastonellis : Rencontre effrayante de Patrick avec un homo : Kris Humphries au STK [Humphries est un joueur de basket américain de l’équipe des Nets et ex-mari éphémère de Kim Kardashian, STK est une fameuse steakhouse de Manhattan, ndlr]

@breteastonellis : Le premier meurtre est le mec du #Kony2012 que Patrick découvre amant du petit copain d’Andy Dick…  [Andy Dick est un célèbre humoriste américain, très provocant]

@breteastonellis : Patrick traînant avec Scott Disick et Rob Kardashian…[célèbres mannequins américains, ndlr]

@breteastonellis : Patrick veut se taper toutes les soeurs Kardashian…Page 4…Et après…Attendez, comment Channing Tatum entre en scène?

@breteastonellis : Le plan à trois idéal selon Patrick : Chris Brown et Rihanna…

@breteastonellis : Hmm…Page 5… Tuer David Beckham dans un ascenseur à Manchester…

@breteastonellis : Courir après Gavin Rossdale dans un Bristol Farm à West Hollywood… [Bristol Farm est une chaîne de restaurants, Rossdale est le frontman du groupe de rock Bush]

@breteastonellis : L’obsession de Patrick : Rihanna…

@breteastonellis : Le film préféré de Patrick : La couleur des sentiments…

@breteastonellis : Patrick était à des soirées il y a des semaines quand Lindsay Lohan a juré qu’elle allait coucher avec Beckham. Patrick à L.A avec son frère gay Sean ? Paul ?

@breteastonellis : Patrick et Gavin Rossdale ont eu leur moment Luis Carruthers dans la salle de bain de Bristol Farms. [Luis Carruthers est un personnage homo qui révulse Bateman dans American Psycho]

@breteastonellis : Griffonnage de notes sur Patrick Bateman comme directeur de fonds spéculatifs à LA…

@breteastonellis : Patrick traînant avec Mumford and Son’s… Que pourrait-il se passer…[ Mumford and Son’s est un jeune groupe de folk rock anglais]

@breteastonellis : Oui, Sean Bateman est gay. Y a-t-il quelqu’un qui ne s’en soit pas aperçu ?

@breteastonellis : Patrick a regardé Vendredi 13 quand il avait 16 ans mais…Page 7 et notes pour un sequel…

@breteastonellis : OK donc Sean est gay et vit dans le West Hollywood et Patrick va à L.A avec l’idée de tuer qui ? Une actrice célèbre ? Quelqu’un de “Hunger Games” ?

@breteastonellis : Oui, Patrick Bateman se servira de Blendr…

@breteastonellis : 12 pages de notes…

@breteastonellis : Patrick est d’abord obsédé par Rihanna et ensuite par les nombreuses partenaires de James Deen …[James Deen est un célèbre hardeur US]

@breteastonellis : Bon pour 14 pages de notes…

@breteastonellis : Patrick adore Celebrity Apprentice et Chopped and the Kardashian’s. Je pense…Housewives of Beverly Hills?… NCIS?… Quoi d’autre?…

@breteastonellis : Il déteste Dexter parce qu’ils lui ont volé son nom…

@breteastonellis : Patrick est bizarrement sympathique avec Kirk Cameron…[acteur américain et chrétien évangélique influent]

@breteastonellis : Les films préférés de Patrick sont Hostel 2 et Chicago…

@breteastonellis : Ecriture de nouvelle notes. Aller au lit. Du mal à croire à ce qui m’arrive. Est-ce que je vais réellement commencer à faire ça ? Patrick Bateman dit oui…

@breteastonellis : S’il vous plait continuez à m’envoyer des idées…Vous ne serez pas crédités…Mais elles aident…

@breteastonellis : Je garde ce qui pourrait être le nouveau livre sous des enveloppes pour le moment, après l’inspiration des dernières nuits. Mais je suis toujours intéressé par vos suggestions et conseils…

La suite, bientôt sur le Twitter de Bret Easton Ellis.

Across the universe

Réalisé par Julie Taymor Avec Evan Rachel Wood, James Urbaniak, Jim Sturgess Une histoire d’amour qui se déroule au milieu des années 60 et des manifestations anti-guerre, de la lutte pour la liberté d’expression et les droits civiques, l’exploration des esprits et le rock’n roll. Le film nous fait voyager des Universités du Massachussetts et de l’Ohio, aux émeutes de Détroit et aux champs de batailles du Vietnam, en passant par les docks de Liverpool.

Smashing Pumpkins Zeitgeist

The best thing about Zeitgeist is that Corgan is back to what he does best: hard-rock architecture. His wall-of-guitars overdubs are exhilarating in their details: the harmonized squeals in « 7 Shades of Black »; the creeping buzz of « Tarantula »; the long, howling solo, sinking in echo, in « United States. » The Pumpkins were never more exciting in the Nineties than when Corgan unleashed his inner Tony Iommi all over his inner Robert Smith. That is what happens on Zeitgeist, which makes it a strong new start for Corgan and Chamberlin, no matter what they call themselves. DAVID FRICKE

Edition limitée: KIDROBOT MIX MASTER HEADPHONES + 3-INCH DUNNY

Après la collaboration avec Swatch voici un nouveau cotoyzartbranding à vocation auditive cette fois ! Rock your ‘bot in style with the new Kidrobot x Skullcandy Mix Master headphones. Beautiful plastic in black and chrome, accompanied by an exclusive « jacked up » chrome plated 3-inch Dunny. kidrobot.com

Le 114 By PUMA Social

PUMA propose un nouveau terrain de jeux à ses “Athlètes de la Nuit” et apporte encore de l’irrévérence à la sphère sportive en poursuivant sa campagne “PUMA SOCIAL”. Débutée à l’automne 2010 par le biais de campagnes médias, poursuivie au printemps 2011 via des clubs sociaux PUMA dans les grandes villes du monde entier, PUMA continue de faire la fête en mettant à l’honneur tous les sports sociaux joués entre amis et rendant hommage aux “Athlètes de la Nuit”.

Après avoir été l’un des partenaires officiels du bar “Le 114” et omniprésent dans la construction de ce bar rock, PUMA annonce aujourd’hui qu’il reprend les commandes du lieu De janvier 2012 à la fin des Jeux Olympiques, (août 2012), “le 114 By PUMA Social”, devient le rendez-vous incontournable des Athlètes de la Nuit.

Flyersmag

Le concept : C’est un nouveau concept de magazine mensuel, ayant pour but la promotion D’événements, en usant du moyen de communication le plus simple et surtout le plus efficace auprès des jeunes: le flyer. Flyersmag a débuté comme magazine à Bruxelles. Depuis, le concept a évolué dans une direction plus multi-média avec une grande présence sur Internet, des campagnes mensuelles en Radio et maintenant une émission de Télévision. Contrairement au papier volant, un magazine n est jamais jeté dans la rue… on le conserve, on 1’oublie dans sa voiture, on se le donne. Flyersmag au format A5 ne comporte ni rédaction, ni reportage, que du flyer, le souci premier est donc d’offrir un espace pleine page assurant aux événements une excellente visibilité a un prix raisonnable. La personnalité du public cible de Flyersmag se définit par le style de musique qu’ils écoutent. ELECTRO MUSIC (la dance, l’electro, la house, la techno, la drum & bass, la trans, le lounge, etc.) URBAN MUSIC ( R’nB, le hip hop, la soûl, le funk, le reggae,le rai, etc.) ROCK MUSIC (la pop, le rock, punk, métal, hardrock, garage, etc.) EVENTS (les expos, les défilés, le cinéma, la danse, etc.) Un modèle de communication spécifique a été défini pour chaque style. (…) En savoir plus : www.flyersmag.com

Croquez cette p… de pomme !!

Cette semaine, j’ai eu à répondre à une question qu’on m’a posée une bonne dizaine de fois en peu de temps, ce qui m’amène ce soir à y arrêter ma réflexion. « Quand tu joues sur scène (au théâtre, je joue dans une troupe composée d’amateurs qui interprète un registre comique), tu n’as pas peur de te louper ?… qu’on se moque de toi, là, devant tout le monde ? ». La réponse est évidemment « oui ». Bien sûr que j’y pense, avant chaque représentation. Mais voilà, dans ce domaine, comme dans tout ce que j’entreprends en général, je lutte en permanence contre moi-même. Cette atonie insupportable qui pourrait m’empêcher d’avancer. Vous savez : ces coups de chaud, ces papillons dans le ventre et cette petite voix qui répète : « T’es folle ! Tu n’y arriveras jamais ! ». Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu envie de repousser mes limites. A ce titre, j’adore cette citation de Sénèque : « Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous ne les faisons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles ».

Attention, je suis comme tout le monde. J’ai des périodes de doutes. Dans ces moments-là, les questions qui reviennent le plus souvent sont : est-ce que j’ai bien fait de quitter Paris ? Ma famille ? Mon job intéressant au 20ème étage de la Tour Cœur Défense ? Mes amies ? Est-ce que ça en valait la peine ? Sur l’échelle du bonheur, cela m’a-t-il comblée ? Franchement, je ne sais pas y répondre. Une chose, une seule, dont je suis certaine : c’est qu’aujourd’hui, je trouve mon bonheur uniquement dans le présent, et plus en faisant sans arrêt des projets pour l’avenir. Bonheur : nom masculin ; état de complète satisfaction -d’après le Dictionnaire Larousse-  . A ce jour, ce qui m’apporte complète satisfaction, c’est jouer avec mes pairs dans des petites salles de provinces, et trouver des plaisirs furtifs mais délicieux dans des petites choses de la vie comme partager un bon repas en famille ou entre amis, sentir un morceau de chocolat fondre sous la langue, avoir une brève conversation avec un super bloggeur passionnant (ndb: ménage mon voeux d’humilité !) sur le pavé bordelais entre deux tableaux croisés dynamiques, admirer un beau coucher de soleil sur la plage, et à chaque instant, me sentir vivante ! Mon Dieu que notre société est lisse ! Etre discrète, ne pas faire vagues, être raisonnable…ce sont des notions indispensables pour réussir une insertion professionnelle ou sociétale en général, mais ces principes, croyez-moi, vous rendent essentiellement ternes, tristes, aussi monotones qu’une élégie! Personnellement, je me considère comme quelqu’un de vive : du coup,  il m’arrive souvent de rire fort, de me fâcher, de me contredire et d’en rire encore, de pleurer…  La vie, c’est ça. C’est cyclothymique. Les gens constants sont emmerdants comme la pluie. Alors, oui, mes bonheurs, je les trouve comme ça : je me suis essayée à plein de choses dans la vie. Le patinage artistique, le volley-ball, j’ai même chanté deux ans dans un groupe de rock quand j’étais jeune et à présent, je fais du théâtre. Et qu’importe que j’y excelle, ou pas. Pierre Arditi, qui est un homme de théâtre avant tout, a dit : « les gens ne viennent pas pour vous voir vous ; ils viennent s’amuser avec vous ».  Si vous prenez du plaisir à faire ce que vous faîtes, les gens le ressentiront, et vous leur transmettrez un peu de ce bonheur. Alors, « oui », j’ai peur. Tous les jours. Mais j’ai encore plus peur de passer à côté de toutes ces activités qui me font vibrer, et qui me transcendent au plus profond de moi-même dans une infinie sincérité.

* Comme dirait Nas: I know I can (I know I can)  Be what I wanna be (be what I wanna be)  If I work hard at it (If I work hard at it) I’ll be where I wanna be (I’ll be where I wanna be) et ce depuis la nuit des temps !

Contribution réalisée par la « John Keating » de l’écriture: Claire Amadieu
Son 1er livre: Jeune diplomée recherche premier emploi (désespérément) est à découvrir ICI ou Encore Là

Exposition FORCE NOIRE (Fela Kuti)

« La musique est l’arme du Futur » – Fela Kuti Force Noire est une exposition en hommage au Roi de l’Afro-Beat Fela Kuti. Un Hommage aux Héros Noirs Icône de la contre culture Africaine, Fela est une Force Noire, une force de la nature. L’exposition Parisienne FORCE NOIRE présentera pour la première fois en France sous un angle éclectique le parcours de Lemi Ghariokwu, allant de ses débuts d’illustrateur de pochettes de disque et de son travail pour la presse au Nigéria, jusqu’à ses travaux récents. Cet événement consacrera le talent de l’artiste de l’AfroPopArt en explorant les nombreux aspects de son travail visionnaire. (…) La vie de Fela est exceptionnelle. Il représente ce symbole de Force de la nature, cette Force Noire. Leader en lutte contre la tyrannie et l’injustice, il consacrera sa vie pour la liberté d’expression et la dignité humaine. Icone moderne de la contre culture africaine, sa forte personnalité, son audace et son énergie justifieront la puissance de son originalité musicale. Son charisme et sa créativité l’ont conduit au succès international. A sa mort, plus d’un million de personnes assisteront à son enterrement.

Pierre Terrasson a rencontré a le roi de l’Afro-Beat à Paris. Pierre a passé cette décennie à prendre des photos « par curiosité, un âge d’or, celui des années 80, où être photographe ne s’improvisait pas. » Il s’est embarqué par pure passion dans l’univers excentrique du hard-rock, du rock et du punk. L’hétérogénéité de son travail est surtout motivée par une curiosité sans borne pour tout ce qui peut sembler atypique, ce qui ne rentre pas dans les cadres. Ses archives sont dès lors pleines de personnalités énigmatiques, excentriques, hors-norme. Il a eu le privilège de photographier Fela lors de ses concerts et de festivals en France avec ses danseuses affichant fièrement leurs maquillages Yoruba et leurs parures aux perles flamboyantes. Ces photos sont inédites et n’ont jamais fait l’objet d’une exposition en France ou dans le monde.

Exposition FORCE NOIRE Du mardi 3 janvier 2012 au samedi 4 février 2012 – Entrée libre @ 59 RIVOLI – 59 rue de Rivoli 75001 Paris – Metro Chatelet Ouvert tous les jours de 14h à 20h fermé le lundi Vernissage privé : janvier 2012  Samedi  ou Dimanche Atelier enfants by Lemi Ghariokwu –  Dinah Douieb Partenariat : Cie Arik Air, Modupé Otesanya Sanya Films  59Rivoli, Mairie de Paris, Fraap. Fair Fibers. Commissaire d’exposition Dinah Douieb

MONA FROM JAZZ TO TECHNO

Samedi 12 Novembre 2011 RAINER TRUEBY – Compost / Rootdown : Allemagne NICKV – résident Décidément, Mona sort vraiment des sentiers battus cette saison en vous proposant de beaux plateaux musicaux pointus, alternatifs et toujours dans l’esprit deep et soulful. Après l’exploration du garage sound de NY et de Londres, c’est cette fois encore une programmation audacieuse que Mona a imaginé en invitant RAINER TRUEBY à jouer aux côtés de NICK V. Ce producteur allemand signé sur le célèbre label Munichois COMPOST RECORDS, est également un dj hors pair qui sait distiller ses influences variées dans ses mixes alliant electronica, techno, deep house, soul et latin jazz. Sa fameuse collection de vinyles est connue dans le monde entier et sollicitée en long et en large par de nombreux producteurs et labels savants tels que TALKIN LOUD ou COMPOST … et même PLAYBOY MAGAZINE. On peut écouter ses mixes tous les mois à sa résidence ROOT DOWN à Freiburg aux côtés d’invités tels que Carl Craig, Theo Parrish, Gilles Peterson, Laurent Garnier … get the picture ? Il se produit souvent autour du monde, mais rarement à Paris, et on peut parier que le public infatigable de Mona, danseurs, fêtards et créatures de nuit réunis, devrait parler longtemps de la venue de ce very well dressed trend setter dj . Paris is burning again and again at Mona every month! En début de soirée comme toujours une dance class spécial jazz dance, jazz funk/jazz rock vous sera offerte.