Flyersmag

Le concept : C’est un nouveau concept de magazine mensuel, ayant pour but la promotion D’événements, en usant du moyen de communication le plus simple et surtout le plus efficace auprès des jeunes: le flyer. Flyersmag a débuté comme magazine à Bruxelles. Depuis, le concept a évolué dans une direction plus multi-média avec une grande présence sur Internet, des campagnes mensuelles en Radio et maintenant une émission de Télévision. Contrairement au papier volant, un magazine n est jamais jeté dans la rue… on le conserve, on 1’oublie dans sa voiture, on se le donne. Flyersmag au format A5 ne comporte ni rédaction, ni reportage, que du flyer, le souci premier est donc d’offrir un espace pleine page assurant aux événements une excellente visibilité a un prix raisonnable. La personnalité du public cible de Flyersmag se définit par le style de musique qu’ils écoutent. ELECTRO MUSIC (la dance, l’electro, la house, la techno, la drum & bass, la trans, le lounge, etc.) URBAN MUSIC ( R’nB, le hip hop, la soûl, le funk, le reggae,le rai, etc.) ROCK MUSIC (la pop, le rock, punk, métal, hardrock, garage, etc.) EVENTS (les expos, les défilés, le cinéma, la danse, etc.) Un modèle de communication spécifique a été défini pour chaque style. (…) En savoir plus : www.flyersmag.com

Le crépuscule des Icônes

Comme le dit ce bon Platon « Sans l’intervention d’une cause, rien ne peut être engendré. Aussi, chaque fois qu’un démiurge fabrique quelque chose en posant les yeux sur ce qui toujours reste identique et en prenant pour modèle un objet de ce genre, pour en reproduire la forme et les propriétés, tout ce qu’il réalise en procédant ainsi est nécessairement beau. » Idoles pour Nietzsche, Icônes pour nous. Globalement tout le monde s’en fout. Regardez Twitter ou Facebook, aujourd’hui les news les plus populaires sont des news que l’on trouve à la télévision ou à la radio ou concerne des sujets connus de tous. La micro info underground qui faisait le charme et la force de l’Internet est en train de mourir, étouffée par la cruelle stupidité qui auparavant avait liquidé en son temps Jesus, Socrate, Le Caravage, Gandhi, John Lennon, Mozart, Molière, Sade, Oscar Wilde, Orson Welles, Jean Edern Hallier,  liste non exhaustive de personnalités pour certaines déterminantes encore aujourd’hui mortes assassinées, dans le dénuement, jetées à la fosse commune. Comprenne qui pourra.

Incontournable Vintage : Borne d'arcade, Flipper, Baby-Foot ou Juke-Box @ Home

Trentenaires de tous pays notre point commun irréductible n’est pas le chômage, le sida ou la pop culture, c’est le jeu vidéo et la forme la plus aboutie de cette réalité est la salle d’arcade. Endroit dans lequel nous entretenions notre capacité à accepter un principe formel même game over nous pouvons survivre… avec des crédits ! Aujourd’hui les consoles de salon ont totalement supplanté ces lieux de pré débauche mais le souvenir vif et grisant de ces moments passés à suer sang et eau sur les joysticks conduit les plus téméraires à l’achat de jeux de café pour une utilisation à la maison. Je ne peux que comprendre cette démarche que je trouve parfaitement régressive, nostalgique et chronophage. Bref, j’adore. Geek ta mère, on existait avant vous jeunes cons !

Exposition FORCE NOIRE (Fela Kuti)

« La musique est l’arme du Futur » – Fela Kuti Force Noire est une exposition en hommage au Roi de l’Afro-Beat Fela Kuti. Un Hommage aux Héros Noirs Icône de la contre culture Africaine, Fela est une Force Noire, une force de la nature. L’exposition Parisienne FORCE NOIRE présentera pour la première fois en France sous un angle éclectique le parcours de Lemi Ghariokwu, allant de ses débuts d’illustrateur de pochettes de disque et de son travail pour la presse au Nigéria, jusqu’à ses travaux récents. Cet événement consacrera le talent de l’artiste de l’AfroPopArt en explorant les nombreux aspects de son travail visionnaire. (…) La vie de Fela est exceptionnelle. Il représente ce symbole de Force de la nature, cette Force Noire. Leader en lutte contre la tyrannie et l’injustice, il consacrera sa vie pour la liberté d’expression et la dignité humaine. Icone moderne de la contre culture africaine, sa forte personnalité, son audace et son énergie justifieront la puissance de son originalité musicale. Son charisme et sa créativité l’ont conduit au succès international. A sa mort, plus d’un million de personnes assisteront à son enterrement.

Pierre Terrasson a rencontré a le roi de l’Afro-Beat à Paris. Pierre a passé cette décennie à prendre des photos « par curiosité, un âge d’or, celui des années 80, où être photographe ne s’improvisait pas. » Il s’est embarqué par pure passion dans l’univers excentrique du hard-rock, du rock et du punk. L’hétérogénéité de son travail est surtout motivée par une curiosité sans borne pour tout ce qui peut sembler atypique, ce qui ne rentre pas dans les cadres. Ses archives sont dès lors pleines de personnalités énigmatiques, excentriques, hors-norme. Il a eu le privilège de photographier Fela lors de ses concerts et de festivals en France avec ses danseuses affichant fièrement leurs maquillages Yoruba et leurs parures aux perles flamboyantes. Ces photos sont inédites et n’ont jamais fait l’objet d’une exposition en France ou dans le monde.

Exposition FORCE NOIRE Du mardi 3 janvier 2012 au samedi 4 février 2012 – Entrée libre @ 59 RIVOLI – 59 rue de Rivoli 75001 Paris – Metro Chatelet Ouvert tous les jours de 14h à 20h fermé le lundi Vernissage privé : janvier 2012  Samedi  ou Dimanche Atelier enfants by Lemi Ghariokwu –  Dinah Douieb Partenariat : Cie Arik Air, Modupé Otesanya Sanya Films  59Rivoli, Mairie de Paris, Fraap. Fair Fibers. Commissaire d’exposition Dinah Douieb

Arnaud Pagès : ROCK – A Graphic Tribute to Rock Culture @ Galerie Voskel

ROCK – A Graphic Tribute to Rock Culture Jusqu’au 19 novembre 2011 Vernissage le jeudi 13 Octobre de 19h à 21h30. Galerie Voskel 141 rue Amelot / 5 rue JP Timbaud 75011 Paris Métro Oberkampf Une exposition d’Arnaud Pagès. Avec la participation de : Geneviève Gauckler, Mega, Koa, Grems, Niark1, Freddish Papritz, Popay, Chanoir, Marc Sich, Paul Pope, Yaya (Herman Dune), Ondeone Trbdesign, Gabriella Barouch, Shera One, Nanük Design, Viins.

Sac Keren Ann & MySuelly for Japan – édition limitée

La rencontre d’une personnalité et d’une marque autour d’une même cause : Keren Ann, artiste, musicienne et chanteuse de la scène pop-folk internationale et le duo de créatrices de MySuelly, Adelaide et Géraldine. Les bénéfices liés à la vente du sac Keren Ann seront reversés à la Croix-Rouge japonaise. Disponible en avant-première au Bon Marche Rive Gauche à partir du 20 septembre 2011

WE LOVE GREEN

A 5 Minutes de la Porte Maillot en vélo Navettes – metro – bus  (Métro Pont de Neuilly, puis Bus n°43, ou Métro Porte Maillot puis Bus n° 244) welovegreen.fr Premiers Artistes Annoncés :  PETE DOHERTY, METRONOMY, OF MONTREAL, SELAH SUE, SOKO, …  La suite de la programmation à venir… Le temps d’un week-end, à Paris, dans l’écrin du Parc de Bagatelle,  la musique se met au vert et l’engagement écologique & citoyen devient festif.  Un rendez-vous où développement durable rime avec plaisir.

WE LOVE GREEN : c’est quoi ? Festival pionnier, We Love Green est le premier à s’engager à 100% sur la voie éco-responsable.En plein air, dans le plus beau parc de Paris, WLG s’annonce comme un week-end de musique,de jeux, de fêtes, de rencontres, de films et de découvertes artistiques. Une manifestation à la manière d’un laboratoire qui met à profit les avancées technologiques et qui implique l’engagement de tous : production, partenaires, artistes et public. Un festival qui peut accueillir jusqu’à 6000 personnes par jour dans un lieu unique,les jardins de Bagatelle, au cœur du Bois de Boulogne,facile d’accès en transports en commun, à vélo…
WE LOVE GREEN : la production L’ensemble du festival, depuis sa conception jusqu’à sa réalisation en passant par son intégration locale, est produit selon une charte éco-responsable, inspirée du label Green‘n’Clean et fait l’objet d’une réflexion sociale, environnementale et sociétale avec des associations partenaires. WE LOVE GREEN : la programmation musicale Pop extatique, folk excentrique, électro bucolique… un choix délibérément éclectique de musiques qui se dansent, se chantent, se respirent sans modération

Il faut être riche pour acheter bon marché, toujours d'actualité ?

Un dicton populaire parmi les fortunés laisse entendre que l’on s’appauvrit en achetant des produits bon marché parce que la qualité n’étant pas au rendez-vous les biens s’abiment plus vite et donc doivent être renouvelés plus fréquemment.

Aujourd’hui cela semble de moins en moins vrai même si il est évident que certaines marques de luxe continuent de proposer des produits de première qualité qui supportent parfaitement le poids du temps ou encore des lavages répétés par exemple.

Quelques marques plus perfides ne respectent pas vraiment (c’est un euphémisme) l’équilibre entre le prix et la qualité mais bénéficient toujours d’un a priori positif de la part du public. Il en va de même des enseignes à la mode qui ne cachent même pas leur déficiente qualité et misent sur une communication d’orfèvre pour justifier des prix parfois surréalistes.

Now it’s up to you ? Allez – vous continuer à cautionner ce système ou le boycotter pour que le prix s’accorde enfin avec la qualité ?

Loony Wise Men @ Agnès B.

LOONY WISE MEN : Une voix, des machines, une alchimie qui forme le duo Loony Wise Men. Sous ce nom obscur se cachent Hedi et Thomas, 2 personnalités éclairées qui se retrouvent avec un même désir d’exigence et d’émotion. Fidèles à leurs influences pop et électroniques, les 2 lyonnais forgent une production massive dont le timbre inspire une odeur de batcave au détour d’un club fluokidsé. La voix puissante et lancinante, agrémentée d’une électro subtile et martiale, libère une techno-pop qui communique tant avec les jambes qu’avec l’esprit.  Le Duo signé sur le label FTW a récemment remixé les Puppetmastaz, enflammé le Nouveau Casino avec la clique de Citizen Records, et explosé les dernières Nuits Sonores de Lyon auprès de Noob & Huoratron. loonywisemen Warm-up VICE EXPERIENCE AGNES B. Mardi 21 Juin – 18h00/21h00 Boutique Agnès B. 13 rue de Marseille Paris 10 Event Facebook

Critique de clip : Metallica – Whiskey In The Jar

En 1998 Metallica sort Garage Inc. un album de reprises. Whiskey In The Jar en fait parti. C’est une chanson traditionnelle irlandaise popularisée auprès des amateurs de Rock notamment par Thin Lizzy. En 1999 Jonas Akerlund réalise le clip qui va suivre. Que peut on comprendre de ce mini film ? Le groupe joue la chanson, cloisonné dans une des pièces tandis que dans le reste de la maison, des hordes de filles dépravées se torchent sans vergogne la gueule, se livrent à des actes saphiques, détruisent les lieux. Le groupe casse tout ce qui lui passe sous la main… Métaphore de l’époque ? Critique du système ? Réflexe machiste ? Conformisme anti conformiste ? La question que l’on peut légitiment se poser est : Est-il possible qu’on groupe aussi violemment anti gay que Metallica participe au même clip avec des mecs au lieu des filles… Cela me parait malheureusement absolument impossible ! Il n’en demeure pas moins que ce clip est bien conçu et la musique géniale pour ceux qui aiment bien sûr !

Ramzi Adek : Street Art @ NK Galerie

NK Galerie est très heureuse d’accueillir l’exposition personnelle de Ramzi Adek, présentant un ensemble d’œuvres représentatives d’un univers riche, coloré et acerbe. Issu du street art, plus particulièrement du graffiti, Adek a forgé son pseudonyme (abréviation d’ « Adéquat ») ainsi que son style sur les murs de Paris pendant plusieurs années, durant lesquelles sa passion spontanée pour le graff cohabitait avec des activités de DJing et de production musicale.
En 2009, il décide de se consacrer exclusivement à la peinture. Il opte pour une pratique d’atelier et des travaux sur toile lui permettant de déployer en profondeur un vaste imaginaire où se côtoient culture urbaine, icônes pop et références à l’art contemporain, notamment à la cinétique ou au travail de coloriste de Matisse. En faisant appel à une technique mixte (aérosol, acrylique et peinture à l’huile), Adek explore une esthétique à la fois attrayante et profonde où, d’un fond noir, surgissent des couleurs acidulées animant avec intensité les personnages ou les messages qui peuplent ses toiles. Grâce à un procédé spécifique qu’il a lui-même élaboré, ses couleurs s’échappent dans une fluorescence qui varie au gré de l’exposition à la lumière, séduisantes en plein jour, plus intrigantes à mesure que l’obscurité grandit, irradiantes sous un éclairage au néon.
Cette exigence esthétique se développe au service d’un discours critique sur la société : s’infiltrant parmi les grandes figures populaires (superhéros, cartoons, personnages hollywoodiens…) ou les sentences galvaudées, les codes et symboles distillés par Adek visent à interpeler un spectateur d’abord happé par les couleurs vives, les visages familiers, puis livré à un mystère ludique et stimulant. Déjouant les évidences, déconstruisant les mythologies contemporaines, ses œuvres demandent attention et apprivoisement. Au-delà de ce regard aigu porté sur l’actualité ou les travers de l’époque apparaît en filigrane une méditation sur les origines, le parcours et la situation d’un artiste dont le propos n’empiète jamais sur la quête de beauté formelle, mais s’appuie sur elle. 10 Rue Sainte Anastase  75003 Paris  www.nkgalerie.com  Tel: 0628235555  Du Lundi au Samedi de 10H30 à 19H00.

Goom et Buzzmoica la radio x les 24h du buzz !

Pendant 24 heures, en direct à la radio, les deux fondateurs de Buzzmoica, le site où le buzz commence, vont recevoir les internautes qui ont fait le plus de bruit sur la toile cette année. Le top départ de ce marathon est donné vendredi 27 mai à 21 heures.  Anthony et Jeremy accueilleront les stars du web dans ce show filmé par 24 webcams, retransmis en direct sur Goom Radio, Buzzmoica.fr, Facebook, Twitter et Skype. Des bloggeurs les plus influents aux parodieurs et humoristes les plus populaires du net (Guillaume Pley, Gonzague, Jhon Rachid …), mais aussi des personnalités de la Tv réalité. Au total, une cinquantaine d’invités seront là pour cette émission exceptionnelle ! Pour faire preuve de leur maitrise absolu de l’art du buzz, chaque invité préparera une surprise exclusive ! Gonzague par exemple devra répondre aux défis lancés par les auditeurs avec pour objectif de faire… le plus de buzz possible. Des experts dont Willy Liechty, Kevin Vatant du blog Jeanmarcmorandini.com seront aussi présents pour décrypter les mécaniques du buzz. De nombreux artistes (Mikka Mix, Princess Sarah, Allan Théo…) répondront présents pour des sessions live exclusives dans ces 24h de délires et de défis. Et des invités surprise… Les auditeurs, qui pourront intervenir en direct, poser leurs questions et mettre au défi les invités, sauront tout sur la naissance du buzz. C’est sur Goom Radio que ça se passe…

Le titre évoque déjà…

La presse s’inculpe et se disculpe, se tranche et se retranche… Témoignages de toutes sortes, le voyeurisme à son paroxysme ? Mais quelle société pour quelle population. Affaires privées, affaires publiques… Le goût du sang excite les uns, révulse les autres, mais à quelle fin. Vitesse d’exécution au royaume de l’image le présumé coupable est désigné Roi.

C'est décidé, je quitte la blogosphère… pour la Presse Web !

Certains mots (qui à la base n’avaient pas beaucoup de sens) ne veulent désormais plus rien dire. Ou au contraire leurs sens sont devenus si restrictifs, péjoratifs, utilisés à tort et à travers qu’il faut savoir les quitter pour d’autres dénominations moins connotées.

C’est le cas notamment de Blog qui demeure l’apanage de quelques irréductibles à forte influence, mais qui signifie de plus en plus aujourd’hui page internet d’amateur moche et mal rédigée… merci aux médias grâce à eux les rescapés de ce Bounty virtuel s’empare du qualificatif Presse Web ce qui ne manque pas d’ajouter à la confusion et de constater que certains « amateurs » font toujours mieux leur boulot que d’autres…

Il en va de même des mot Geek / Geekette / Nerd / FlashMob etc…

En règle général dès qu’un terme est repris par une population sans rapport avec le sujet c’est qu’il faut l’abandonner (même principe que pour la mode). Dont acte

JEREMIAH JAE // RAPPAYAMATANTRA

« Certains rappeurs me tuent. Parfois je vais écouter de la merde à la radio ou entendre l’album  d’une pointure, et c’est comme si mon esprit se recroquevillait sur lui même. Les beats peuvent être chanmé, et le style incroyable, mais je ne me reconnaît pas dans les messages de ces gars  là. Cet air de défi n’est pas de «haine» contre les nouveaux artistes ou plus anciens qui ont  acquis une telle popularité (commerciale) , je ne peux pas lutter contre ça ou bien même avoir  l’ambition d’atteindre leurs niveau, je construit juste ma musique à partir d’un endroit différent  spirituellement.” Présenté comme l’héritier de feu Jay Dilla, ce jeune producteur de Chicago présente sa première  réalisation chez Brainfeeder : Rappayamatantra, un 8 titres aux accents psyché/ hip hop influencé  par le livre “Be Here Now” du gourou Ram dass. “ He’s one of those artists on a mission for truth, understanding worlds and seeing beyond space  and time through music.” Flying lotus

Jeremiah Jae – $easons from Ounce. Films on Vimeo.

Concours Cité Style

JCDecaux, le groupe Randstad et Bershka (Groupe Inditex), trois entreprises engagées pour l’égalité des chances, organisent la deuxième édition du concours Cité Style en partenariat avec l’école Esmod Paris, le pôle de compétitivité Cap Digital et Le Collectif. Ce concours, dont les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 22 avril, a pour objectif de faire émerger les talents créatifs des quartiers populaires et de les faire bénéficier d’un important réseau dans le secteur de la mode et de la création. Le 13 h de la com

L'opération Xtreme du jour par JetSociety : Modifier le Geek Dress Code

JetSociety est un blog a priori masculin, même si les infos mode débordent parfois. Conscient de la difficulté d’intéresser une certaine  frange de la population netovore (les « geeks ») sur ce domaine, il est néanmoins temps de se lancer à l’abordage et de tenter de les inciter à une opération de relooking extrême. Pourquoi ? Simplement parce que le style Murray Bozinski de Riptide ça craint. Sauf sur un toy boy de première bourre ou un mec pété de thunes. Si vous n’êtes ni l’un ni dans l’autre, sachez que votre accoutrement nuit à l’ensemble de ceux qui pratiquent le world wide web. Le jour où vous débarquez à un rendez-vous pro et qu’on vous dit « il est gentil le minet mais il est où le naze à lunette qui va pisser du code jusqu’à 3 plombes du mat ? » vous vous sentez comme une femme avec une jupe trop courte… un peu mal à l’aise. Donc 3 préco de styles pour aujourd’hui :

1] A la fraîche: Tes baskets sur des sites underground tu achèteras (ex atmos-tokyo ou lerayonfrais.fr Le baggy est banni des vêtements à ta taille tu auras. Si tu ne peux te faire opérer de ta myopie alors des lunettes stylées tu arboreras et enfin pour ton visage barbe de trois jours et cheveux lavées seront ton quotidien… Ajoutez à cela un petit Dukan vite fais pour éliminer les poignets d’amour.

2] Roll Attitude: Au lieu de lire la bio de Stallman ou de Zuckerberg tu t’inspireras de Kanye West, Pharrell Williams, Keith Richards, trendhunter.com ou complex.com seront tes nouveaux sites de chevet.

3] Brett Saint Clair: Souviens toi des pimps des films de blacksploitation, tu peux prendre cette direction mais c’est risqué ! Le style costume noir chemise blanche chaussures cirées à toujours convenu à tout le monde et le parfum n’est pas une option.

Yelle Safari Disco Club

Safari Disco Club oscille ainsi entre le registre de la pop grivoise et les ritournelles synthétiques de lendemains plus difficiles, entre le chaud et le froid, la pop et l’electro, avec un dosage happy / sad qui émeut autant qu’il fait bouger les corps.  Avec plus de profondeur et une plus grande diversité émotionnelle, ce safari s’aventure dans des contrées plus denses et lointaines, mais sans jamais renier ce qui constitue Yelle : l’innocence, le fun et l’audace. ‘Safari Disco Club’ est un album plus solide que notre premier opus ; il te porte du premier au dernier morceau sans que tu t’en rendes compte » raconte GrandMarnier.

Johnny Boy "Modern Idol" EP maintenant sur iTunes

“Vous rappelez-vous cette scène délicieuse de Mean Streets tournée dans une salle de billard où Johnny Boy campé par Robert de Niro pète les plombs ? La spontanéité, la folie, l’énergie et le kitsch de l’acteur américain crevaient l’écran… Vous retrouverez toutes ces qualités dans le Modern Idol des dandys français qui ont emprunté le nom du héros du film de Scorsese. » – Hartzine « Une résurrection des Sex Pistols en mode électro » – Discordance JOHNNY BOY electronically informed rock band / Paris L’Histoire ne retient souvent que deux noms dans un groupe, généralement ceux qui composent (Jagger/Richards, Strummer/Jones, Barat/Doherty …). C’est donc sans doute pour ne laisser personne dans l’anonymat que Nicky Larsen et Salo JR ont préféré fomenter leur complot en duo. Léger comme l’albatros, évinçant les contraintes d’un line-up traditionnel, Johnny Boy abandonne l’idée de groupe au profit d’un binôme soudé et complémentaire. Quel que soit le costume qu’on veuille leur faire endosser, ils s’y sentent toujours trop à l’étroit. Eux préfèrent l’aventure sonore. Armés de boites à rythmes et de synthés, tirant d’une Télécaster des sonorités tour à tour cinglantes, grumeleuses ou noisy, ils retiennent l’insolence et l’énergie du punk rock, les associent à des mélodies pop et des tapis d’électro primaire, pour donner jour à un post-punk désenchanté et conquérant, révélant des influences telles que Suicide, Buzzcocks, P.I.L. ou The Hives.

Aussi à l’aise dans un squat berlinois que face au public d’un gros festival, offrant un live généreux, énergique parfois même jusqu’à l’épuisement, Johnny Boy compte près de 200 concerts en France, Belgique, Allemagne, Angleterre, Suisse et Russie, des scènes les plus officielles aux plus underground, partageant l’affiche avec les Shy Child (US), The Death Set (US),The Rakes (UK), Dead Kids (UK), Hushpuppies, Les Thugs, Sexy Sushi, Cheveu, Minitel Rose… Après le EP Dialectik Noise en 2008 suivi dans la foulée d’un split LP vinyle avec le groupe Anes et Bateaux, Johnny Boy renoue avec le studio en 2010 et donne naissance au EP Modern Idol, accompagné de remixes. Déjà disponible en vinyle LP via Anywave Records, Modern Idol est enfin disponible en digital via Laitdbac Records et Module. Site officiel de Johnny Boy : http://johnnyboy.band.free.fr Johnny Boy sur Facebook : http://www.facebook.com/pages/Johnny-Boy/206709024576?v=wall Johnny Boy sur Twitter : http://www.twitter.com/johnnyboyband

The Guests Only !

THE GUESTS ONLY est un trio breton qui combine énergie du rock et mélodies pops inspirées.  Sous forte influence californienne, leur musique se prête aussi très bien aux dancefloors grâce à un solide sens du groove ! David, Pierre et Sam réinventent au fil des chansons leur propre vision d’un Saint Malos-Angeles fantasmé. A retrouver en concert le 11 mars à la Java (event Facebook) Séance de rattrapage le 08 avril à l’Espace B Et le 19 mai au Divan du Monde (avec Secret Maker) theguestsonly

BLACK DEVIL DISCO CLUB Nouvel Album "Circus"

Ladies and Gentlemen préparez-vous à entrer dans l’univers toujours plus étrange et intense de Bernard  Fèvre alias BLACK DEVIL DISCO CLUB. Pop mais ténébreux, son nouvel album « Circus », qui sort le 11 Avril 2011 est électronique mais avant tout électrique :  entre Joy Division et Giorgio Moroder, c’est également son disque le plus ‘rock’.  On y retrouve les visions disco-wave demoniaques du maitre de cérémonie accompagné d’invités prestigieux au chant :  Nancy Fortune, Aja Emma (Cosmetics), Faris Badwan (The Horrors), Claire Evans des new-yorkais de YACHT (DFA), CocknBullkid, Nicolas Ker (Poni Hoax), mais aussi les légendes Nancy Sinatra, Afrika Bambaataa ou Jon Spencer. Le diable est magnétique! Créateur en 1978 d’un des plus influents chapitres du disco électronique, Black Devil Disco Club, dont la réputation n’a cessé de grandir au fil des décennies, Bernard Fèvre est régulièrement cité comme une référence majeure par Aphex Twin, Metro Area, Andrew Weatherall ou les Chemical Brothers. De retour en 2006 après une absence spatio-temporelle de 28 ans avec l’album ’28 After’ acclamé par les critiques du monde entier, il livre aujourd’hui son disque le plus ambitieux, et probablement le dernier sous ce nom. Tracklisting:  1. Fuzzy Dream ft Jon Spencer.  2. Pavement opposite ft Nancy Fortune / Bernard Fevre.  3. X Paradise ft Cosmetics.  4. Distrust ft Faris Badwan (The Horrors).  5. Stay Insane ft Ycht.  6. To Ardent ft Nancy Sinatra.  7. In Doubt ft Cocknbullkid.  8. My Screen ft Nicolas Kerr (Poni Hoax).  9. She Flees the Silence ft Bernard Fevre / Michael Lovett.  10. Magnetic Devil ft Afrika Bambaataa. « In Doubt » EP extrait de l’album, déjà disponible. Avec les remixes de Danger, Eckman, Mondkopf, et Mousepad Egalement la Tournée Mondiale de Bernard Fèvre alias Black Devil Disco Club, bientôt en France: 12 Mars @ Bloc Weekend Festival – Minehead – UK 9 Avril @ Dazed And Confused Festival – London – UK 16 Avril @ Festsaal Kreuzberg- Berlin – Germany 22 Avril @ Babel – Malmö – Sweden 7 Mai @ La Fabrica – Bruxelles – Be 20 Mai @ Be Cool – Barcelona – Spain 3 Juin @ Nuits Sonores – Lyon – France 18 Juin @ Temps Machine – Tours – France 17 Jul @ Lovebox Festival – London – UK

 

 

EVERYTHING EVERYTHING – Man Alive

L’un des groupes mancuniens les plus aboutis du moment! Coolitude assurée! Everything Everything brave les conventions et mélange sans complexe l’electro, la pop, le math rock pour une musique alambiquée totalement maitrisée. Surtout le chant stylé « rollercoaster » de Jonathan qui oscille entre différents tons, très surprenant et déstabilisant. Everything Everything prennent des risques et c’est gagnant: ce premier album « Man Alive » actuellement disponible chez Geffen-Universal apporte un air frais dans la pampa musicale de Manchester. La production léchée de David Kosten (Bat for Lashes, Joseph Arthur, Curry & Coco) n’y est certainement pas pour rien. Everything Everything seront en concert avec THE RADIO DEPT le samedi 26 mars à la flèche d’Or à Paris. Un très TRES grand groupe! « Une identité musicale du quatuor très prononcée: indée sans être austère, un peu alambiquée sans être chiante et surtout sans obsédée par la mélodie pop idéale dont la recherche permanente se fait dans un entrain tour à tour ludique ou stakhanoviste. A ce trait de caractère quasi génétique qui ne trompe pas, on reconnait bien là un vrai nouveau grand groupe du Nord de l’Angleterre! » VOXPOP ‘One of 2010’s brightest new talents’ **** Q mag ‘This is music a million miles away from lumpen indie; it is mystifying, impenetrable, beautiful’ *****Sunday Times ‘ bow at the feet of pops new Picassos 8/10’ NME

STYLED by Jane Howard @oki-ni.com

Formerly the Fashion Director at POP magazine with Katie Grand, Jane has worked with various design houses including Prada, Miu Miu, Louis Vuitton and Marc Jacobs. Other additions to an impressive CV include; styling shoots for Homme+, Qvest, ZOO, IO Donna, GREY, and Kilimanjaro; plus consulting for Shelley Fox, Stephan Schneider, and Margaret Howell. oki-ni.com

LIVE REPORT: Lisa de JetSociety @ Alex Winston

LIVE REPORT: « Je suis arrivée à 19h30 comme prévu. Il y avait une bonne petite attente à l’entrée, ce qui en général laisse présager d’un event sympa. La « star » du soir c’était Alex Winston, étant programmée en 2 ème partie de soirée les gens sont arrivés tranquillement, de fil en aiguille. 1er groupe (19h30-20h15)  :

GROUPLOVE : Résidant depuis peu à Los Angeles leur premier EP éponyme est un joyeux mélange de folk arty, de rock indé cinématographique et d’énergie débordante. Les chansons étaient assez variées. Il ont réussi à mettre une ambiance assez sympa. La nana portait un grand t-shirt à la grunge avec écrit en gros LOVE dessus. Les gars aussi assez à l’arrache, avec petite coupe normale, en fait assez grunge-dandy new wave…

Puis vint le clou du spectacle pour ma part, avec l’arrivée de la délicieuse Alex Winston. Salle pleine. Public éclectique mais tendance bobo. Geek et Dandy Rock. A.W est arrivée dans une petite robe noire largement décolletée et ses longs cheveux lâchés avec lesquelles elle aime jouer. Regard malicieux et cette manière typique de dodeliner, héritée des rockeurs envoûtés (You know Janice Joplin). Tout est bon dans A.W ! Aucune chanson n’est à jeter ! La salle écoutait religieusement chacune de ses chansons, à la fois pétillantes, entraînantes (pop espiègle, folk rieur et electro onirique dixit les INROCKs) c’est tout à fait ça… difficile à décrire mais ensorcelante .

Un peu court, 45 minutes et la demoiselle s’en est allée, laissant la dure tache à We are enfant terrible de lui succéder…  Une excellente soirée sous le charme de l’ultra réjouissante Alex Winston…

Lucy And Xhin EP

CLR N° 044 features two tracks of Lucy And Xhin, both individually outstanding artists and together at the same time one of the truly interesting production teams of our time. Over the last years, Xhin from Singapore has become known worldwide as one of the most popular Asian Techno artists. At the same time Lucy´s career, which brought him from Italy to Paris and finally to Berlin, has been developing at breakneck-speed since his first releases in 2007. Heavily supported by many renowned artists in the Electronic Music business, their individual productions and collaborations have never failed to thrill their audience. Their music has been described as deep and hypnotic, energetic and gliding, artistic and experimental. CLR is very happy to release two absolutely faultless and haunting tracks of this highly promising production team. Prepare for cutting edge Techno by Lucy And Xhin, somewhere between creative chaos and futuristic genius.

FreQ Nasty – Dread At The Controls

FreQ Nasty Born in Fiji and raised in New Zealand, breakbeat pioneer FreQ Nasty is widely-acknowledged by critics for consistently breaking boundaries with his music, from his classic breaks tunes such as « Boomin Back Atcha » and « Move Back, » to remixes of pop icons like Fatboy Slim, Kelis and KRS-One. At the same time, FreQ is receptive to all that surrounds him; for example, his move to London and immersion in its developing scenes in the 80s resulted in seminal releases on Botchit & Scarper. Forward thinking and progressive, his releases evidenced a sign of the fast- moving times. These days, FreQ Nasty is staying one step ahead of the ongoing, hype-fueled evolution of electronic music with his contributions to the Futurestep sound. The recently released FABRICLIVE.42 mix album is evidence of this shapeshifting sound: with it, FreQ takes on the bass heavy stomp of L-Vis 1990’s UK take on Baltimore house, the blistering shatter of TRG, and several of his own storming productions, including Creator, a co-production with Switch on a Santigold tune released in 2007. FreQ is also well-known in the music scene for his social activism. In early 2008, he launched Giveback.net, a socially-conscious site featuring music campaigns, whereby musicians donate music in support of non-profit « action campaigns ». FreQ_Nasty_-_Dread_At_The_Controls_Radio_EditMuti Music File under: Dubstep / Drumstep / Futurestep / Garage

Liquid Architecture livre la pierre d’une forteresse new disco

C’est comme si le groove de The Gossip copulait amoureusement avec les mélodies d’Abba. Liquid Architecture livre ici la pierre d’une forteresse new disco. Car ce disque regorge de tubes. Pas de ceux qui se révèlent avec le temps, mais bien des petites dragées electro ingurgitables sans prescription. Colorée, sexy et étonnant, à l’image de sa pochette, “Love To Love” est là pour entretenir ton hédonisme d’un soir. De mémoire, peu de singles nous ont autant marqué que “Not For Hire” ou “Shift Your Attitude”.  À l’époque, deux très bonnes raisons de croire en 2006. Et des comme ça, leur premier album en comptait pas moins de treize. Conquérant, ambitieux, on tenait avec “Revolution Is Over” un disque à écouter sous les spotlights. Essai transformé aujourd’hui avec “Love To Love”. Nouvel EP plus dansant, plus aérien. Et osons le dire: plus fun.

Quatre morceaux. Mieux: quatre chansons. Deux originales, et deux reprises qui se jouent du format pop, recomposent dans une alchimie audacieuse de disco, d’electro et de rock. Des titres qui s’enchainent dans une énergie que rien ne semble pouvoir arrêter. “Give Me Something To Love” est un morceau gimmick, malicieux et électrique qui s’immisce instantanément dans votre tête. “Love To Love”, une perle pop groovy, drivée par une basse entraînante, des guitares aériennes  et une voix sensuelle.  L’amateur de disco music y trouvera des mélodies à effet immédiat, un tube sucré des années 80 revisité et rhabillé d’un beat dancefloor imparable (“Banana Split”), et le meilleur morceau jamais enregistré par Nena “99 Luftballons” pris a rebrousse poil de sa crête punk, pour embrasser un sillon plus hip pop. Si Lio et Nena étaient des poupées de cire, Audrey est, elle, définitivement une poupée de son.

Summer is here par General Elektriks

Nouvel album Parker Street le 10/10/2011 Discograph Après le succès tant médiatique que public de l’album ‘Good City for Dreamers‘ paru en 2009 (incluant l’imparable titre ‘Raid the Radio’, + de 200 concerts dont une Cigale, un Bataclan et un Olympia complets en 2009-2010), General Elektriks continue de nous faire rêver. Et de nous faire voyager.  Auteur, compositeur, multi-instrumentiste, GE est aussi un producteur de génie et un dénicheur de talents (Pigeon John, Honeycut, Antonionian…). Avec lui, le hip hop devient pop, le funk glisse vers le rock, la soul se fait électronique…  Découvrez aujourd’hui le teaser du clip « Summer Is Here », le premier extrait de l’album « Parker Street » à paraître le 10 Octobre, où l’harmonie de ses claviers est toujours élastique, le gimmick syncopé est entêtant, imparable.

Dom pérignon hommage à Andy Warhol avec un coffret spécial

Une collection Dom Pérignon va prochainement sortir au Japon, avec la particularité de se présenter sous forme de coffret de trois bouteilles : une rouge, une jaune et une bleue, les bouteilles étant dessinées dans l’esprit Pop-Art d’Andy Warhol. Le petit plus sur ces bouteilles, est le QR code, code barre en 2D, qui peut être lu par un smartphone et contenir des informations comme un numéro de téléphone ou l’adresse d’un site internet. Ces QR code sont de plus en plus utilisés, et pour l’occasion, le code est caché dans le logo de la bouteille. Une fois scanné, ce code renverra au site mobile japonais de Dom Pérignon.

Le Début, cinquième album de Cocosuma

Le Début, le cinquième album de Cocosuma est aussi leur premier. Le premier à avoir été composé entièrement en studio par le groupe en partant de vielles boites à rythme. Le premier à réussir le parfait mélange des goûts et des genres du trio, entre disco, électronique, indie pop et ballade onirique. Le premier à faire appel à un producteur, Joe Watson du groupe Stereolab. Le Début s’appelle Le Début. Mais a failli s’appeler If I Had A Hi Fi, Hi, I’ve Got A Tape I Wanna Play, The Black&White Echo ou encore I Would Dance And Be Merry, Life Would Be A Ding-a-derry Le Début commence par Must Try Harder et se termine par Back To The Start – soit l’éternel recommencement. King Of The West est une chanson pop qui parle d’une fille qui parle d’un garçon. Miracle Man est un bonbon acidulé qui mêle déconne estivale et glossolalie mystique. La voix facétieuse et nacrée d’Amanda y fait des merveilles. Le Début est le dernier album en date d’un groupe qui se cherche et se réinvente sur chaque disque. Amanda est anglaise, Antoine et Michel français. Cocosuma veut dire Cold Cold Summer, soit l’inverse de son contraire.


DRUMS OF DEATH "Generation Hexed"

DRUMS OF DEATH « Generation Hexed » Sortie : 22 Octobre 2010 Maquillé comme un croisement de Kiss et du Rocky Horror Picture Show,  Colin Bailey aka Drums of Death nous propose sa vision d’une pop  a tendance electronique discoide-leftfield retrofuturiste,  à la fois vicieuse, rentre-dedans et attachante. Ses performances hybrides live/DJ chantees et hallucinees sont un must. Drums of Death sera au Social Club, Paris,  ce vendredi 5 Nov 2010


G-SHOCK & TAKASHI MURAKAMI

L’ARTISTE DE RENOMME?E MONDIALE TAKASHI MURAKAMI A REJOINT G-SHOCK, LA MONTRE A? LA POPULARITÉ TRANSGÉNÉRATIONNELLE, POUR RÉALISER UN MODE?LE DE COLLABORATION COMMÉMORANT LE 40e ANNIVERSAIRE DE TOKYO FM, UNE DES PRINCIPALES STATIONS DE RADIO JAPONAISE. INFOS SUR L’ARTISTE : NE? A? TOKYO EN 1962, MURAKAMI EST UNE SUPERSTAR DANS LE MONDE DE L’ART QUI NE NE?CESSITE PRATIQUEMENT PLUS DE PRE?SENTATION. APRE?S AVOIR ACQUIS UNE RECONNAISSANCE MONDIALE POUR SA COLLABORATION AVEC LOUIS VUITTON, IL S’ENGAGEA DANS UNE SE?RIE DE PROJETS DE COLLABORATION AVEC LE DUO FOLK JAPONAIS YUZU, KANYE WEST ET D’AUTRES. CETTE COLLABORATION AVEC CASIO POUR TOKYO FM AJOUTE UNE NOUVELLE PAGE DE SA BIOGRAPHIE. EN VENTE EN NOVEMBRE CHEZ COLETTE

Galerie ESTACE – SLICK 10 & AFTER SLICK

SLICK 10 : du 21 au 24 octobre Stand L.1 Esplanade du palais de Tokyo et du Musée d’Art moderne de la Ville de Paris Benjamin GOZLAN, Germain CAMINADE, Julien COLOMBIER, Jean FAUCHEUR, François MARTINACHE, POPAY, Stephen PEIRCE, Raoul SINIER, Tali GAI

AFTER SLICK : du 19 octobre au 20 novembre Afin d’illustrer le travail mené depuis deux ans, la galerie présente l’exposition After Slick qui réunit de nouvelles oeuvres des artistes présentés à SLICK ESTACE 74 rue Charlot (premier étage) 75003 Paris contact@estace.fr _ www.estace.fr _ tel 00 33 (1) 42 71 31 40 _ 00 33 (0)6 61 19 89 17 la galerie est ouverte du mardi au samedi de 14h00 à 19h00 et sur rendez-vous

MADONNA CRAQUE POUR THIERRY LASRY

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Toutes les stars américaines succombent aux lunettes “made in France” du créateur Thierry Lasry ! Après Paris Hilton, Nicole Richie, Alicia Keys, Anne Hathaway, c’est au tour de Madonna le radar à must have de les adopter. Lors du tournage de son film “W.E” à Central Park le 17 septembre dernier, la reine de la pop en bonne avant-gardiste portait le modèle LIVELY du designer français.

Tsugi présente : SERGE

En kiosque depuis le 21 septembre Né de la rencontre entre Didier Varrod (France Inter) et Patrice Bardot (Tsugi), SERGE est un nouveau magazine bimestriel chic et populaire, dedie a toute la chanson d’expression française, qu’elle soit rock, pop, electro, hip-hop ou chanson evidemment.Au sommaire du premier numero, des histoires de chansons et de chanteurs : Camelia Jordana, une vie apres la Nouvelle Star, quand Justice rencontre Michel Polnareff, une interview au lit avec Alain Chamfort, rencontre avec Zazie, Joe Dassin notre ami americain, plongee dans le frigo de Jeanne Cherhal, le carnet de tournee de Dominique A, un blind-test Jacques Higelin, dialogue entre Claire Diterzi et Florent Marchet, Beth Ditto (Gossip) detaille sa passion pour Edith Piaf, Alex Beaupain raconte comment il fait chanter Catherine Deneuve, Olivier < strong>Ruiz ouvre son carnet a spirales, sa vie en photos : Arnaud Fleurent-Didier, Renaud Letang : regard sur un homme de l’ombre, une enquete sur les rapports amour/haine entre la chanson et le hip hop, Arno : cuisinier pour Marvin Gaye, les lectures de Disiz Peter Punk, et meme un horoscope… + Raphael, Bertrand Belin, Damien Saez, Hangar et bien d’autres choses encore. tous les deux mois en kiosques, 5 euros. SERGEMAGAZINE.FR

Louis Bouvier au Pied de Biche

L’artiste canadien Louis Bouvier a choisi le Pied de Biche pour sa première exposition en France. Son univers pop, sa verve picturale et ses slogans à l’humour féroce se déploient sur les murs de la galerie, terrain de jeu typo et graphique. La reine d’Angleterre y côtoie une équipe de baseballeurs installés grandeur nature dans un coin du Pied de Biche. Avec une joyeuse irrévérence, Louis Bouvier détourne les icônes d’une société qu’il invite ironiquement à se lobotomiser – opération qu’il entame dans ses oeuvres avec un enthousiasme communicatif !  Les sérigraphies, dessins et installations de Louis Bouvier seront présentées au Pied de Biche du 16 septembre au 17 octobre 2010. Vernissage le jeudi 16 septembre de 18h30 à 22h30. photaumnales.frpatrimsf.org annecalas.com lepieddebiche.com

Radiohead met fin le 10 décembre à son expérience en ligne

« Un grand merci à tous ceux qui sont venus télécharger la musique. Ca a été la chose la plus positive que nous ayons faite », indique Radiohead en annonçant que la section téléchargements de leur dernier album In Rainbows serait supprimée le 10 décembre 2007, soit exactement deux mois après le lancement de leur initiative unique pour un groupe aussi populaire. Le 10 octobre dernier, Radiohead sortait en effet sur Internet son dernier album, en laissant les internautes décider eux-mêmes du prix qu’ils sont prêts à investir pour le télécharger – une formule suivie depuis par Saul Williams et Barbara Hendricks. http://www.ratiatum.com

Neo Rauch

Marcher en somnambule dans une étrange réalité parallèle Une monographie d’une ampleur épique Limitée à 1.000 exemplaires, signés par Neo Rauch. Explosion de juxtapositions rayonnantes et troublantes, les peintures de Neo Rauch donnent à voir des mondes d’une force psychologique étonnante, façonnés par des collisions entre les cultures. Ses compositions impliquent le spectateur dans une histoire à la fois mythique, intime et actuelle. À travers une réflexion profonde sur la philosophie, l’histoire de l’art, la littérature et son propre univers onirique, les peintures de Rauch exposent les précipices du progrès et les affres de la communication. Galvanisés par des palettes riches, les paysages fragmentés et les personnages intemporels de Rauch dansent entre pop et baroque, social et psychologique, graphique et pictural.

Grasscut, 1 Inch / 1/2 Mile out today

Le duo Grasscut sort son premier album “1 Inch / 1/2 Mile”. Marcus O’Dair et Andrew Phillips livre l’un des projets les plus éclectiques qui ait été produit depuis longtemps au sein du dojo. Véritable patchwork électro pop aux rythmes acidulés, le paysage cartographié par les compositeurs de musiques de films recèle des trésors enfouis très profondément dans la campagne de Brighton. En témoigne cette piste cachée livrée aujourd’hui en téléchargement libre : “A Lost Village”. Cette production est certainement celle qui nous rappelle le plus pourquoi nous aimons Ninja Tune, ce label qui a porté de tout temps ces sonorités évocatrices d’images et ces ambiances cinématographiques. Un trip hop tout ce qu’il y a de plus actuel, on y trouve des basses envoutantes, des voix hypnotiques, un piano aux envolées lyriques. L’ensemble provoque un sentiment de légèreté et de rêverie incomparable. grasscut

THE AIKIU

« Just Can’t Sleep » (Abracada) The Aikiu est ne de l’alliance entre Alex Aikiu, Julien Vichnievsky et Cedric Pilooski. Le son de The Aikiu a cette brillante touche pop infestee de New Wave. Une voix blanche et noire. Le premier EP de The Aikiu “Just Can’t Sleep” est assorti de remixes plus dancefloor signes par les tres chauds Azari & III, Egyptrixx et Clement Meyer. Qui a dit qu’il ne se passait rien d’excitant pendant l’été? The Aikiu sera en live a Calvi On The Rocks le 6 juillet prochain. Plus d’infos ici / Mix dispo ici phunkster.com

Herbie Hancock – The Imagine Project

Un album d’Herbie est toujours un évènement, même si c’est un album de reprises. Il faut dire que la caractéristique principale de ce pianiste a l’immense talent est d’avoir musicalement « tout fait » (HeadHunters, Rockit, All Apologies de Nirvana version Jazz, liste non exhaustive, mais pour plus d’infos cliquez ici), de fait, à dorénavant 70 ans, la seule chose qui lui reste a faire aujourd’hui, c’est a faire découvrir son art et partager ses airs favoris remaniés par ses soins, une diversité  nécessaire pour les jeunes générations. ? En l’occurrence des chansons du répertoire Pop 🙁Imagine, Don’t Give Up, Tempo de Amor, Space Captain, The Times, They Are A Changin’, La Tierra, Tamatant Tilay – Exodus, Tomorrow Never Knows, A Change Is Gonna Come, The Song Goes On). Cindy Lauper avait su en son temps charmer un autre jazzman, Miles Davies (True Color)… The Imagine Project s’adresse a vous, a nous qui désirez un autre regard sur des compositions marquantes… Accompagné par des chanteurs qu’on n’attendait pas forcément dans ce registre (Pink) et des  meilleurs musiciens internationaux, ils démontrent tous des qualités de cœurs qu’on peut ressentir et un grand talent pour peu que l’on daigne ouvrir les oreilles et leur accorder une pleine écoute (comme l’a fait Herbie). Un album superbement produit, qui peut changer le point de vue de certains réfractaires au Jazz. Ce disque ne révolutionne rien, mais certaines chansons prennent une autre dimension, celle de maître Herbie ! herbiehancock.com/imagine

HEY HEY MY MY – A Sudden Change Of mood

Sortie le 26 Avril 2010 L’époque était au retour du folk, de son (faux) dépouillement et de ses (vraies) prouesses mélodiques :  en 2007, Julien Gaulier et Julien Garnier publient sous le nom de Hey Hey My My un premier album gorgé de « sing-along » aux accroches délicieusement acoustiques et le succès est au rendez-vous.  À l’heure d’enregistrer le deuxième album, le doute n’est plus permis : Hey Hey My My (rejoint par Michel Aubinais à la batterie) n’est pas un simple (énième ?) groupe de folk mais bien un trio hybride, passionnée par la musique dans toute son étendue. Car après la ferveur électrique de la scène, le trio va découvrir  avec émerveillement les possibilités infinies du studio en coréalisant l’album avec Frédéric Soulard (Poni Hoax, Limousine, Viva & the Diva).  Cette véritable prouesse artistique mise en valeur par le mix ébouriffant de l’américain Tony Hoffer (Supergrass, Air, Beck, The Kooks …) va définitivement libérer le « son » Hey Hey My My. Ni folk, ni rock, ni même pop, électro ou punk, les nouvelles chansons  du groupe affichent toutes les couleurs de l’arc-en-ciel musical, tout en gardant l’immédiateté, la fraicheur insolente  et cette écriture à l’ancienne qui faisaient la réussite de leur premier essai. « A Sudden Change Of Mood »  regroupe une douzaine de tubes malins, agités et addictifs que vous pourrez vous procurer dés le 26 Avril prochain.  Le rock’n’roll a décidément de bien beaux jours devant lui. En attendant la sortie physique lundi prochain, « A Sudden Change Of Mood » est disponible sur Itunes – Fnacmusic – Virginmega Et pour les possesseur d’un iphone vous pouvez télécharger gratuitement l’application HeyHeyMyMy ici. Vous pourrez y retrouver : infos – dates de concerts – photos – musique et un teaser exclusif du single « We’re Not Meant To Last »

Pulsion Phantom

Pulsion Phantom est un voyage à travers le cinéma fantastique et de science-fiction des années 70 et 80. Période d’une intense création visuelle et sonore. Ce cinéma a radiographié son époque et ses angoisses tout en imaginant des futurs pour l’humanité. Que ce soit dans les thèmes abordés (le corps, la mutation, la folie, la télépathie, les pulsions, la résistance à un ordre établi ou aux forces du mal…) ou dans sa bande-son (abandon en partie de l’orchestre classique au profit des synthétiseurs) il a expérimenté de nouvelles formes à l’intérieur d’un cadre commercial. Un cinéma expérimental accessible ou, si on préfère, un cinéma populaire ambitieux.  On peut citer ici quelques films encore présents dans nos esprits : Scanners (80), Videodrome (82), La Mouche (86), de David Cronenberg ; Halloween (78), New York 1997 (81), The Thing (82), Invasion Los Angeles (88), de John Carpenter ; Alien (79), Blade Runner (82), de Ridley Scott ; Terminator (84), de James Cameron, et peut-être le film étalon de cette période, le trip halluciné de Stanley Kubrick : 2001, l’ Odyssée de l’espace (68). Une longue liste à laquelle on pourrait ajouter les cinéastes qui se sont intéressés au genre le temps d’un film ou deux : Jean-Luc Godard, Chris Marker, Andreï Tarkovski, Brian De Palma ainsi que George Romero et Dario Argento qui ont œuvré dans un genre différent, mais ont toujours baigné leurs films dans une ambiance violente et fantastique. Pulsion Phantom est évidemment un hommage à tous ces cinéastes, mais aussi aux compositeurs qui ont accompagné ces films. Ennio Morricone, John Carpenter, Edward Artemiev, Jerry Goldsmith, Howard Shore, ont tous utilisé l’électronique pour créer des ambiances inédites. A cette époque, l’apport le plus marquant de cette « nouvelle lutherie » est sans doute la séquence. On pouvait, à l’aide d’un séquenceur, confier à la machine le soin de dérouler des séquences implacables et hypnotiques. Ce qui nous a réuni sur ce projet avec Marc Collin, qui en est le producteur, outre la passion pour le cinéma et sa musique, c’est le goût pour les séquences dont nous nous sommes délectés durant notre adolescence. Aspect musical intéressant à plus d’un titre puisqu’on peut y voir les prémices de toute la culture techno à venir… Nous avons utilisé ces machines mythiques (Moog, ARP, Jupiter, Solina…) au grain inimitable, pour retrouver un esprit, une couleur, et les mixer à des éléments plus contemporains. Le cinéma, c’est aussi la voix. Nous avons invité des personnalités, dont nous aimons le travail, à dire des textes qui abordent les thèmes évoqués dans ces films. Les voix-off de ce projet en quelque sorte.. myspace.com/pulsionphantom

Sommes-nous tous des Hooligans ?

La réponse est bien évidemment non ! Alors comment expliquer les fouilles de plus en plus intrusives qui sont pratiquées à l’entrée des stades de football. Pourquoi sommes-nous (la plupart du temps) accueillis comme des bestiaux par des cerbères qui nous palpent et nous re-palpent les jambes, les bras, le dos, le ventre… à la recherche d’armes que nous ne possédons pas ? Est ce normal d’apparaitre aux yeux de nos enfants comme des suspects bras et jambes écartées. Venez en famille au stade vous serez accueillis comme des dégénérés potentiels, des personnes prêtes à allumer de dangereux engins pyrotechniques, des fauteurs de troubles capables d’envahir le terrain à la moindre occasion. Les habitués des loges et des tribunes présidentielles n’ont sans doute pas droit au même traitement, il est donc temps d’augmenter significativement le prix des billets notamment dans les tribunes populaires pour enfin avoir le droit d’être considéré comme de respectables « supporters ». Un respectable supporter est un être qui s’offusque à la moindre banderole déployée, qui prévient le stadier dès qu’un individu tape trop fort des mains ou encourage son équipe avec trop d’enthousiasme et surtout qui est satisfait même si son équipe favorite se prend un 3 – 0 à domicile. Nos amis les médias apprécieront, ainsi les « mauvais supporters » qui garnissaient les tribunes, trop pauvres pour aller au stade se réuniront devant les grands écrans, écouteront les retransmissions live et alimenteront les forums et autres débats mis en place autour des espaces publicitaires. Le risque zéro dans nos stades et de bons revenus publicitaires pour ceux qui nous divertissent ! Il serait bon d’ailleurs, d’armer les respectables supporters de caméras ou d’appareils photos pour traquer les « mauvais supporters », ainsi toute dénonciation efficace pourrait donner droit à une place gratuite, à un maillot dédicacé. Mais il faudrait finalement pour bien faire parquer les « mauvais supporters » pendant le match afin d’être vraiment tranquilles, éventuellement dans un espace clos avec des gardes et des chiens autour, ainsi les respectables supporters seraient en mesure d’apprécier le  match en toute sécurité et en toute quiétude. Et le pire dans tout ça, c’est que cette extrapolation grotesque pourrait devenir une réalité… Et vous qui n’êtes pas encore tout à fait lobotomisé, qu’en pensez – vous ?

Jamie Lidell – Compass

 Jamie réinitialise sa carte et reprend le cours de ses explorations! Ca rock, ça pop, c’est doux, dur, furieux, empli de soul, toujours furieusement funk. Un album nerveux qui correspond à l’âme de son créateur : libre! Un nouveau live avec son nouveau groupe le vendredi 21 mai 2010 (Alhambra, 21, rue Yves Toudic 75010 Paris). Réservation ici A cette occasion, découvrez en images les coulisses de la création du nouvel album de Jamie Lidell. Des profondes forêts canadiennes aux scènes mystérieuses de New York, ce qui s’est réellement passé ici Nouvel album Compass le 25 mai Quatrième album avec les collaborations de : Beck, Feist, Gonzales, Pat Sansone de Wilco… warp.net

BROKEN BELLS

 « Broken Bells » (Columbia) Sortie le 8 Mars 2010 Broken Bells est le nouveau groupe de James Mercer, chanteur de The Shins, et de Brian Burton, aka Danger Mouse (Gorillaz, Gnarls Barkley…). Entièrement co-écrit et joué par le duo, l’album présente une remarquable collection de pop midtempo, savoureuse et moderne tout en puisant dans d’élégantes références 60s et 70s. Broken Bells sera en 1er concert français ce soir lundi 1 mars au Nouveau Casino, Paris. phunkster.com www.myspace.com/brokenbells www.brokenbells.com

VENOM IN THE GRASS

Ariel Wizman, Nicolas Errera  Feat. Tania Bruna-Rosso La multiplication des années sabbatiques, voilà le vrai miracle qui sépare les deux albums du Grand Popo Football Club. Ariel Wizman ayant augmenté sa pratique de l’hypnose des platines et Nicolas Errera ayant précisé son goût de la composition précise,leur rencontre met un fait en évidence : ces deux là ne s’étaient jamais quittés Désormais accompagné de la divine voix Tania Bruna-Rosso,le duo produit une musique légère et réjouissante, qui échappe une fois de plus à la monotonie des logiciels de musique électronique.  Il fallait des rythmiques qui redonnent une chance à l’intelligence sur le dancefloor, et c’est pour cela qu’il fallait… un deuxième album du Grand Popo Football Club phunkster.com

Fascination Street – Cure Cover

 Mile End Records brings you its latest release; “Fascination Reworked” by hot production and dj team My Favorite Robot, the hardworking duo composed of Jared Simms and Voytek Korab. Turning it into an instant electro classic, the song’s ever-familiar lyrics once rendered popular by Robert Smith’s gasping, breathy, quasi-mournful voice have been reinterpreted by My Favorite Robot’s very own Voytek Korab,  delivering a more soothing contemplation albeit Voytek’s intense, haunting vocal demeanor. Omid16b, is at the helm with a foot stomping skin tingler. This electrifying groove is laced with atmospheric synth pads, layer upon layer of flawlessly incorporated sounds, bass and breakbeat. The Elevator People round it out with a deep and funky old school house jam…not to be missed. www.mileendrecords.com
Beatport Link HERE – www.beatport.com

Various Artists – Garrincha – Estrela Solitaria (The Lonely Star)

 Release Date: March 1 2010 (Soundtrack CD) Garrincha is a true Brazilian legend, one of the all-time great footballers, revered to this day. Focusing on his zenith, from 1953 to 1962 – during which time he twice inspired Brazil to World Cup glory – this soundtrack is suitably of the period. With beautiful Ipanemas-esque soulful samba sitting alongside carnival batucada, darker cinematic experimentalism, and playful jazz funk, this collection of Leo Gandelman (Brazilian Groove Band) scores mirrors and celebrates Garrincha’s amazingly fast paced life; at times glorious, at others a car crash. Manuel Francisco dos Santos (Garrincha) remains so popular in Brazil that he is remembered as Joy of the People. Garrincha is Brazilian football, samba the symbol of the nation’s music. ‘Lonely Star’ is the ultimate tribute to both, continuing Far Out’s love affair with Futebol faroutrecordings.com

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