Nombre de nos contemporains sont atteints du syndrome de la « trop bonne idée ». Tout d’abord et avant de dévoiler cette affliction, il est bon de rappeler la définition de l’idée: « Une idée est une façon de faire, plus ou moins originale, qu’un individu ou un groupe d’individus imagine dans le domaine de la connaissance, de l’action ou de la création artistique. » Aujourd’hui avoir une idée profitable est toujours envisageable, sa mise en application est le plus souvent impossible. La faute à qui ? Point n’est besoin de faire un laïus sur l’origine du mal, il serait plus judicieux de trouver les remèdes sociétaux qui pourraient permettre à celles et ceux qui ont une idée, de pouvoir la matérialiser, la concrétiser… À moindre frais ! À bon entendeur.
Quatre actrices françaises ont dessiné un bijou en or blanc et en diamants pour la maison de joaillerie. Le projet, initié avec l’association « Paroles de femmes », a pour objectif de soutenir la lutte contre les discriminations faites aux femmes. L’organisation a pour principale mission de « promouvoir le statut de la femme », mais également de combattre l’inégalité ou la soumission. Valérie Messika, créatrice pour sa marque éponyme, reversera 20% des bénéfices à Paroles de femmes. Se considérant « privilégiée » par son poste à responsabilités, elle souhaite démontrer que la joaillerie peut « jouer un rôle conciliant et créer de l’harmonie là où il n’y en a plus ». Inspirées par le bouddhisme, Vahina Giocante et Bambou ont créé un pendentif, Anouchka Delon, une coccinelle d’or et de diamants, et Audrey Dana une bague trois doigts, symbole de solidarité. Les modèles seront disponibles dès la fin du mois de janvier au corner des Galeries Lafayette à Paris. Messika-joaillerie.com -parolesdefemmes.org via abc-luxe
Ce nom désigne la famille des agrumes : citron, orange, pamplemousse, bergamote, dont on extrait l’huile essentielle contenue dans l’écorce. La famille hespéridée est la plus ancienne, avec l’eau de Cologne Jean-Marie Farina, créée en 1806, toujours commercialisée chez Roger&Gallet. C’est souvent la première approche de l’odeur, car facile d’accès, entre produit d’hygiène et parfum, la composition étant bâtie sur des notes de tête essentiellement. Les notes hespéridées sont très volatiles et restent peu longtemps sur la peau. Pour rendre le produit moins volatil, on ajoute un coeur floral (comme l’hédione dans Eau Sauvage) et un fond, souvent chypré, ou musqué et boisé dans les parfums plus récents.
225g de farine 90ml de lait tiède 60g de beurre Gros sel 350g de pommes de terre 125g de petits pois 1 oignon frais émincé 1 gousse d’ail hachée 1 morceau de gingembre émincé 60g de noix de cajou concassées 45ml d’huile d’olive 20g de pâte de curry 10g de graines de cumin 15ml de jus de citron Quelques brins de coriandre fraîche Chutney à la mangue Huile de friture
Lavez et coupez les pommes de terre en dés puis faites-les cuire dans une casserole d’eau bouillante salée pendant 5 minutes jusqu’à ce qu’elles soient bien tendres. Incorporez les petits pois puis faites-les cuire pendant 4 minutes. Égouttez dans une passoire. Dans une poêle légèrement huilée, faites-y revenir l’oignon émincé, les dés de pommes de terre, les petits pois, le gingembre émincé, la gousse d’ail hachée, et les épices pendant 2 minutes. Incorporez ensuite le jus de citron puis laissez cuire à feu doux pendant 2 minutes. Hors du feu, écrasez légèrement les pommes de terre et les petits pois. Ajoutez les noix de cajou puis mélangez bien. Salez selon votre goût. Dans un saladier, déposez la farine puis incorporez le beurre puis ajoutez progressivement le lait jusqu’à obtenir une pâte lisse et homogène. Pêtrissez-la légèrement puis séparez-la en six morceaux. Roulez-les en boule puis abaissez-les pour former des ronds. Coupez-les en deux. Répartissez la garniture sur les demi-cercles de pâte obtenus puis humectez le tour de la pâte et repliez les bords afin de former des triangles. Pincez les extrémités afin de bien fermer la garniture. Dans une poêle huilée, faites-y frire les samosas obtenus puis retournez-les plusieurs fois de façon à ce qu’ils soient bien dorés.
Égouttez-les sur du papier absorbant puis décorez-les de quelques brins de coriandre. Répartissez les samosas de légumes dans quatre assiettes individuelles puis servez bien chaud.
Sergi Arola, le chef barcelonais doublement étoilé Michelin prend la direction des cuisines du W Paris – Opéra. Arola, le restaurant signature du W Paris – Opéra et premier restaurant de Sergi Arola en France propose un concept culinaire original et audacieux : le pica pica. Sergi Arola élaborera également l’offre culinaire du W Lounge où les clients pourront profiter d’une large offre de tapas et montaditos à déguster avec les cocktails signatures de l’hôtel proposés par la Chef Barmaid. Situé au rez-de-chaussée du W Paris – Opera, le W Lounge, avec son accès privé et ses larges baies vitrées, attire parisiens et jetsetters. La carte du W lounge offrira un large choix de cocktails dont le cocktail signature « The Spark », une création exclusive de Joseph Borosky, Directeur Cocktail Culture W Hotels, pour le W Paris – Opéra. Ce pétillant élixir mêle vodka, champagne, orange et framboise au parfum enivrant du safran et à la douceur du miel. Le nom de ce cocktail signature reprend le concept design de l’hôtel né de la fusion entre l’énergie de New York et le rayonnement sophistiqué de Paris.
Dernièrement à Sotheby’s Londres une autre première édition de cet ouvrage s’est vendue à $11.5 million, nul doute que la prochaine vente du 20 janvier 2012 chez Christie’s à New York va encore atteindre des sommets. Il ne reste que 120 copies dans le monde de cette merveille, dont les illustrations colorées à la main sont de véritables œuvres d’art. christies.com
Installée China Central Place, l’exposition prend fin le 16 janvier 2012. Les visiteurs pourront notamment admirer les interprétations de Tim Walker, David Lynch ou encore Martin Parr. dior.com
Pythagore (Pythagóras, annoncé par la « Pythie »), né vers -580 et mort vers -490, était un mathématicien, philosophe et astronome de la Grèce antique. L’école pythagoricienne : Il s’agissait d’une fraternité philosophique, religieuse et scientifique, proche de l’orphisme, dont les disciples se conformaient à une philosophie de vie contraignante : le ponos. Une règle de vie que prescrivait Pythagore était le souci de la pureté et de l’abstinence du sang versé et de ceux qui le versent, et il était donc interdit de consommer la chair animale (voir végétarien). Il interdisait également de sacrifier des animaux dotés d’une âme. L’emblème de cette école était le pentagramme. (…)
Un macho obsédé rencontre une fondue de mysticisme. L’amour vaincra t-il leurs égoïsmes respectifs ? Une comédie sentimentale : de l’individualisme urbain contemporain et de la construction du couple… Peggy le confie à son psy : elle est en train de se laisser aller dans une nouvelle relation, mais elle n’est pas sûre que ce soit « le bon » mec ! Ernest, lui, est tout fier du résultat de sa nouvelle technique de drague : écumer les marché bio ! Il y a pêché Peggy, une nana bien ferme, élevée aux produits naturels, avec un petit cul en forme de cœur ! Côté sexe, d’ailleurs, il n’a pas à se plaindre… MASSON – RICARD lamusardine.com
Toujours aussi bon en 2012
