Trends, nouveau hors-série d’A Nous Paris consacré aux innovations et inspirations

A Nous Paris a agrandi sa collection de hors-série avec le lancement hier 10 avril de Trends. Ce cahier de 48 pages se propose de faire le tour des innovations et inspirations de saison : nouveaux styles, objets, lieux, talents qui feront les tendances printemps/été. Trends promet «du style, des innovations, des adresses, des inspirations, des collabs et des événements».

Mis à disposition à 270 000 exemplaires, Trends est distribué via les 900 points habituels du réseau de diffusion d’A Nous Paris (métro/RER, bars/restos/boutiques, cinémas/salles de concert/théâtres, salles Club Med Gym…). Il est également disponible dans une centaine de points supplémentaires dans des lieux tendances et culturels (Tokyo Eat, Colette, concept store Merci, Cité de la Mode et du Design, Wanderlust, Gaité Lyrique, Petit Bain, Point Ephémère, Café de la danse…). Lire la suite

CHARLY COUNTRYMAN

Un film de Fredrik BOND Avec Shia Labeouf, Evan Rachel Wood, Mads Mikkelsen, Ruper Grint, Vincent D’Onofrio, Til Schweiger, James Buckley, Melissa Leo

Complètement déboussolé après le décès de sa mère, Charlie (Shia LaBeouf) décide de suivre son instinct et de partir pour Bucarest. Dans cette ville survoltée, il tombe amoureux de la très énigmatique Gabi (Evan Rachel Wood). La jeune femme est malheureusement harcelée par son ex Nigel (Mads Mikkelsen), un dangereux criminel qui n’est pas prêt à la laisser partir. Mais Charlie est plus que jamais déterminé à gagner son cœur, quitte à se sacrifier par amour.
Au cinéma le 14 mai 2014 USA / 2013 Durée : 108mn Distribution : DistriB Films

Robin Clare x Stussy Guest Artist Series Video

Robin Clare‘s multicultural upbringing is prevalent in her artwork. Looking to color, rhythm and a repetition of dancehall music in her aesthetics, Clare’s art ranges from hand-drawn typography, to large-scale paintings, to screen prints, all of which combine pop art sensibilities with cinematic riffs. For the latest Stussy Guest Artist Series, Clare presents a number of dynamic clips strung together by illustrations of different dance styles. Enjoy the shorts and share your thoughts below. via hypebeast.com

Le Bonheur par Club Med

Après 10 ans d’absence, le Club Med revient à télévision et au cinéma pour célébrer avec humour et connivence sa différence. Intitulé « Le Ballet », ce film surprenant est une parenthèse décalée qui mêle sophistication et convivialité.

En plus de 60 ans d’histoire, le Club Med s’est fait une place à part dans l’inconscient collectif. Il s’est aussi profondément métamorphosé durant ces 10 dernières années en menant à bien sa stratégie de montée en gamme, dans le but de rendre ses clients toujours plus heureux. Cette campagne célèbre ce chemin que le Club Med a parcouru. La nouvelle signature « Redécouvrez le bonheur » invite le public à se faire sa propre idée, en prenant part à l’expérience Club Med : une expérience riche, sur mesure et résolument haut de gamme. La liberté de tout faire ou de ne rien faire, dans des lieux d’exception, avec des équipes attentionnées dans une ambiance chaleureuse, c’est ça le Club Med !

EACH X OTHER: THOMAS LÉLU SS14 FILM STARRING ROXANE MESQUIDA

In Orders and Degrees Thomas Lélu presents us with the second part of his cinematic trilogy exploring the themes of emotion and sentiment. Starring Roxane Mesquida and featuring an exclusive soundtrack by Peter von Poehl, Thomas’s latest project is at once striking and delicate, addressing the confusion that so often comes as part and parcel of a new relationship.An Each x Other film to celebrate the arrival of the SS14 collection.

Globes de Cristal 2013

La presse française (dont votre serviteur) décerne, pour la 9ème année, les Globes de Cristal qui récompensent les disciplines des Arts et de la Culture pour l’année 2013.  La cérémonie sera retransmise en direct du Lido le lundi 10 mars 2014. Le Jury, présidé par Guillaume Durand, a établi une liste de 5 nommés dans chaque domaine culturel: Cinéma (Film, acteur et actrice), Spectacles (Pièce de Théâtre, Comédie Musicale et One Man Show), Littérature, Exposition, Mode, Musique (Interprète Masculin et Interprète Féminine) et Télévision. www.globesdecristal.com

Lomography – White Stripes

En association avec la Lomography, les White Stripes ont créé deux appareils photo totalement personnalisés: le « Jack » Holga et le « Meg » Diana. Le Diana a été produit pour la première fois au début des années 60 et est considéré comme le prédécesseur du Holga. Les deux appareils sont réputés pour leurs imperfections et leurs qualités cinématographiques. Edition limitée à 3000 exemplaires, en exclu chez colette pour Paris. eshop www.colette.fr

James Franco #1. Dream


Cinematic polymath James Franco presents his work as a director, artist, mentor and cinematographer.

Trois étoiles

Trois filles, le viol, l’humiliation et la violence sociale. Un scénario et des dialogues implacables signés Virginie Despentes. Une tragédie moderne magnifiquement adaptée et mise en images par Nora Hamdi. « Trois étoiles, Bande Dessinée cinématographique, est, sur la structure implacable d’un scénario de tragédie moderne, un chef-d’œuvre underground qui prend à contre-pied bien des canons classiques… En allant puiser ses références davantage du côté des mangas, des pulps ou des graffs que dans nos propres références en Bande Dessinée, en travaillant un trait rapide jusqu’à la déstructuration de personnages eux-mêmes déstructurés par le monde où ils évoluent, en choisissant un rythme narratif rapide qui emprunte plus au découpage des cinémas américain et chinois qu’à tout autre, et enfin, en mettant en scène la violence sociale et le viol d’un point de vue féminin. Mais aussi parce que le travail de Nora Hamdi, dans le traitement du dessin et de la couleur, fait preuve d’une audace et d’une liberté totales en contestant le modèle esthétique du « joli », joli corps, joli nu, jolie fille, pour mieux exprimer la réalité et la beauté urbaines. Que cette bande dessinée soit une des rares en France à être co-signée par deux filles (et quelles filles !) n’y est sans doute pas pour rien ! C’est un plaisir supplémentaire de la publier.» Marion Mazauric. Virginie Despentes, Nora Hamdi www.audiable.com

The Brown Bunny

Bud Clay passe son temps dans des courses de motos. Il essaie en vain d’oublier Daisy, l’amour de sa vie. Après sa dernière course dans le New Hampshire, il se rend en Californie où se déroule la prochaine course. C’est le début d’un voyage à travers l’Amérique durant lequel il va tenter chaque jour de trouver un nouvel amour. Mais il ne peut se résoudre à remplacer la seule et unique fille qu’il ait jamais aimée et qu’il aimera à tout jamais… Un film OVNI dans le paysage cinématographique américain. Vincent Gallo et Chloë Sevigny, quand le cinéma devient la vie.

Richard Yates – Tao Lin

Ce roman, même s’il s’intitule Richard Yates, n’a aucun rapport avec l’auteur éponyme… Ce n’est en aucun cas une biographie, le titre fait plutôt appel (même s’il est fait référence à quelques reprises à l’écrivain Richard Yates) à la sensation d’approximation, de «réalité abstraite» qu’on vit lorsqu’on s’aperçoit de la différence entre un contenant et son contenu, ou lorsqu’on compare des éléments aussi paradoxalement éloignés l’un de l’autre que l’Art et la Vie : une situation étrange et pourtant familière, nous laissant dans un doux état de confusion 
Deux jeunes gens, que l’auteur affuble de noms d’acteurs américains, Haley Joël Osment, 21 ans, habitant New York, et Dakota Fanning, 16 ans, habitant dans le New Jersey, font connaissance sur internet et s’éprennent l’un de l’autre. Après une première rencontre réelle au domicile de l’adolescente, ils enchaînent les allers-retours entre New York et le New Jersey. Le couple mange végan, vole dans les magasins et disserte sur la vie et l’ennui, se sent seul, échoue souvent à se comprendre. Lorsqu’ils ne sont pas ensemble, ils discutent en chat, alimentent leur spleen et une relation entre bonheur fulgurant et déprime suicidaire. Lorsque Joël quitte son appartement de New York pour s’installer dans le New Jersey, les deux personnages se dévoilent, laissant apparaître leurs blessures, leurs pulsions, leurs failles. Et Joël découvre alors les mensonges et manipulations de Dakota. Des jeunes ligotés par leurs liens virtuels, des adultes désarticulés par le réel, un récit entre l’hypnose et l’anesthésie. L’écriture minimaliste de Tao Lin et son humour à froid nous plongent dans la dépression générationnelle de ceux que l’on nomme les hipsters. Et, au détour d’une conversation en ligne apparemment anodine, les démons surgissent, avec toujours, en fond sonore, une solitude que l’on embrasse et dont on rit, comme pour l’apprivoiser. 
«Souvent hilarante, l’écriture de Tao Lin évoque les débuts de Douglas Coupland ou Bret Easton Ellis, mais avec quelque chose de particulier, presque beckettien. (…) Il y a chez lui une attitude, une ambiance, un abandon comiquement désespéré de l’ego littéraire.» The Guardian
Tao Lin, né en 1983, est l’une des voix les plus remarquées de la jeune littérature américaine. Il est l’auteur de deux recueils de poèmes (Cognitive-Behavioral Therapy et You are a little bit happier than I am), d’un recueil de nouvelles (Bed), d’une novella (Shoplifting from American Apparel) et de deux romans (Eeeee Eee Eeee et Richard Yates), à paraître au Diable vauvert, et travaille sur des projets cinéma expérimentaux. Il vit à Brooklyn.

Fashion Caraïbes

De l’ambiance feutrée de chez Castel au port de Cayenne, un voyage surprenant ! Quand on est habitué aux salons parisiens et aux plages de Saint-Barth, difficile de se retrouver au beau milieu de Saint-Laurent du Maroni, en Guyane. Dans Fashion Caraïbes (Editions Mon Petit Editeur), Anne de Laval nous emmène sur les pas de Daphnée qui, suite à un appel de ses parents qu’elle n’a pas vus depuis deux ans, est contrainte de faire marcher leur rhumerie. Le décalage de de vie et la différence de quotidien rendent les retrouvailles chaotiques. Mais bientôt notre héroïne va vivre un voyage plein de découvertes. « Poivre de Cayenne », de son regard acerbe et humoristique, va finalement trouver ce qu’elle ne cherchait pas. A propos de l’auteur : Née en Bretagne, Anne de Laval travaille dans le cinéma et la publicité. Passionnée de voiles, elle crée à Paris une agence de communication et de sponsoring. S’inspirant de son vécu et piochant dans ses rêves elle se dit « pourquoi pas moi » et se met à écrire pour elle et pour les autres.  livre.fnac.com

ON NE DEVRAIT PAS EXISTER

X – Rated. A réserver à un public majeur et averti.  Avec HPG, LZA, Marilou Berry, Rachida Brakni, Bertrand Bonello. On ne devrait pas faire du cinéma, On ne devrait pas s’inviter dans ce petit monde On ne devrait pas baiser comme on le fait, On ne devrait pas se tatouer le corps de cette manière, D’ailleurs, on ne devrait même pas prendre la parole, Mais on le fait et on est là! Cela vaut le détour, et on ne se prend pas la tête pour autant… Après en avoir tourné plus de mille, un comédien de films X réalise qu’il en a assez et désire s’orienter vers un cinéma plus traditionnel. Evidemment, l’univers classique du 7ème art ne saurait l’accepter, ce qui explique sa volonté plus accentuée encore d’en connaître les normes. Mais il rencontre une actrice-mannequin aux étonnantes modifications corporelles… Ce film a été présenté à la quinzaine des réalisateurs au 59ème Festival de Cannes 

Expose ton talent et concrétise ton rêve !

Tu as moins de 30 ans ? Tu es spécialiste ou passionné des médias dans les domaines de l’audiovisuel, de la musique, du numérique ou de l’écrit ? Tu accumules des tonnes d’idées créatives que tu voudrais mieux exploiter ? Tu souhaites faire décoller le rêve de ta vie ? C’est un peu le crédo de la Fondation Jean-Luc Lagardère depuis 18 ans. Elle récompense les jeunes bourrés de talent, et donne un coup de pouce au lancement de leurs projets médias !  Comment ? En attribuant chaque année des Bourses de Talent afin de primer les jeunes auteurs de 8 disciplines. Pour ce 18ème anniversaire, deux Bourses supplémentaires attribuées aux créateurs de films d’animation et de documentaires ont complété la liste des prix, qui s’élève désormais aux 10 récompenses que voici : auteur de film d’animation : 30.000 €  écrivain : 25.000 €  créateur numérique : 25.000 €  journaliste de presse écrite : 10.000 € librairie : 30.000 € auteur de documentaire : 25.000 € musicien : 25.000 € photographe : 15.000 € producteur cinéma : 50.000 € scénariste TV : 20.000 € BuzzParadise a reçu la mission de vous mettre au parfum de cette chouette initiative. Pour ce faire, plus de 1000 BuzzAngels âgés de 18 à 35 ans, artistes d’un jour ou de toujours, sont invités à s’inscrire à la campagne et à envoyer leur dossier de candidature avant le 15 juin prochain. Nous leur offrons également la possibilité de découvrir en exclusivité durant 3 jours les vidéos plutôt fun de la Fondation Lagardère. Bonne chance à tous et au travail ! http://www.buzzparadise.com

Un manoir anglais, maison la plus chère du monde

NEW YORK (Reuters) – Un manoir anglais plus grand que le palais de Buckingham, la résidence de Donald Trump à Palm Beach ou encore la propriété d’un prince saoudien dans le Colorado comptent parmi les demeures les plus chères au monde, selon le classement établi par le magazine Forbes. Six des dix biens en tête du classement se situent aux Etats-Unis, dont un appartement new-yorkais estimé à 70 millions de dollars, deux en Angleterre, un en France et un autre en Turquie. Pour la troisième année consécutive, Forbes.com a dressé les listes des propriétés les plus chères du marché sur chaque continent, excepté l’Antarctique. A ce prix là, il ne s’agit plus uniquement d’espaces et de vues imprenables. Ces maisons sont vendues avec tout ce qui pourrait impressionner le premier venu, de la salle de cinéma de cinquante places à la cave à vin contenant 35.000 bouteilles en passant par l’ascenseur de verre. Mise à prix à 138 millions de dollars, la maison la plus chère au monde, située dans le Surrey, au sud de Londres, compte 103 chambres et est entourée de 29 hectares de jardins. Donald Trump a quant à lui acheté sa propriété de Palm Beach il y a trois ans aux enchères pour 40 millions de dollars. Après des travaux d’agrandissement, l’homme d’affaires américain l’a mise en vente à 125 millions de dollars.

BO du film “Paranoid Park” (UW / Discograph)

Un film de Gus Van Sant Au cinéma le 24 octobre 2007 Loin d’être une simple illustration sonore, la BOF de “Paranoid Park” transcende les images pour souligner les moments d’hésitation, de mal être ou d’isolement ressenti par Alex, un jeune skateur rongé par la culpabilité après le meurtre accidentel d’un agent de sécurité. Omniprésente, la musique choisie par Gus Van Sant renforce les audaces formelles du film (ralentis, utilisation du super 8, de la vidéo) et s’adapte ainsi parfaitement à son rythme flottant et à son esprit mélancolique.  Rage punk, atmosphères contemplatives, electro minimaliste, complainte folk et rap… Une BO éclectique avec la gravité des compositions de Nino Rota, des complaintes folks et lentes de Cast King, le punk sauvage de The Revolts, la folk de Elliott Smith, le hip hop à l’état brut de Cool Nutz, ou encore la pop de Menomena…

Centre Pompidou Metz

A n’en pas douter, vos futures vacances à Metz incluront la visite de cet établissement qui se déploie sur 5000 m2 de surface d’exposition et est doté d’une grande nef de 1200 m2, d’un auditorium de 114 places, d’un studio de création de 196 places, d’un centre de ressource, d’une librairie-boutique, d’un café et d’un restaurant. En plus de l’exposition d’œuvres et pour les prolonger,  le centre Pompidou-Metz proposera tout au long de l’année une riche programmation culturelle bâtie autour de spectacles vivants, de séances de cinéma et de conférences. Le tourisme des Vosges vient de mettre une nouvelle corde à son arc. Grâce à cette première décentralisation d’une grande institution nationale, Metz Lorraine accroît son attractivité !

John Waters

Cinéaste atypique, cassant les genres par un cinéma résolument « trash », ses premiers films du genre sont Pink Flamingos, Female Trouble, et Desperate Living. Des films en totale rupture avec les conventions et le bon goût, comme en témoigne une scène culte de Pink Flamingos dans laquelle Divine, acteur fétiche de John Waters, mange des excréments de chien. Il est à noter que John Waters fais souvent place aux femmes fortes dans ses films. Nombreuses sont ses héroïnes aux formes généreuses. Divine dans la plupart de ses films, mais aussi Ricki Lake dans Hairspray, où elle vampe les hommes et remporte un concours de danse devant toutes les autres candidates minces. À partir de Hairspray, on notera un assagissement, du point de vue « trash », même si ses films auront toujours cette touche anti-conventionnelle qui caractérise John Waters. Que ce soit dans le choix des acteurs, aux physiques en totale opposition avec les acteurs américains conventionnels, que ce soit par l’humour qui caractérise ses œuvres, humour bien souvent noir ou décalé, voire de mauvais goût. Mais également au niveau des scénarios, qui nous emmènent dans des situations complément ahurissantes : ses films, même moins provocants qu’à ses débuts, seront toujours caractérisés par une vraie rupture avec le cinéma américain conventionnel. A la différence de ses premiers films caractérisés par son mauvais goût, il utilisera une image plus « douce », plus « propre » dans les années 80/90 mais son discours sera d’autant plus virulent et la pervesion d’autant plus efficace : utiliser les conventions d’un teenmovie (« hairspray »), d’un soap opéra (« Polyester ») pour mieux les détourner est une des meilleures réussites du style John Waters.

L'Enfer d'Henri-Georges Clouzot

Voici, enfin ressuscité, L’Enfer un film inachevé d’Henri-Gerorges Clouzot avec Romy Schneider et Serge Reggiani. Véritable trip visuel, Clouzot avait décidé de révolutionner le cinéma avant de devoir subitement interrompre le tournage. 50 après, Serge Bromberg a retrouvé les bobines perdues, et nous montre des images inédites d’une étrange beauté. www.colette.fr

Sponsor

Deux Parisiens, Nina et Alain, débarquent en Serbie pour y terminer le montage d’un documentaire. Alors qu’ils cherchent un coup de main pour leur film, ils rencontrent un gros producteur, ex-pilier du régime Milosevic qui a produit des films de propagande anti-Otan, et désormais capitaliste ultra-libéral. Ce «Big boss» leur propose de financer un long métrage sur Hedy Lamarr, mythique star antinazie des années trente, avec un casting international. Mais Nina et Alain doivent dénicher d’autres sponsors pour boucler le budget. «Nema problema», pas de problème, comme on dit à Belgrade : les voilà en chasse de financiers du troisième type, nouveaux riches, ex-criminels de guerre, trafiquants en tous genres, politiciens douteux, roulant en limousines blindées, et vivant avec leurs bimbos et gardes du corps dans les villas de luxe de Belgrade, ou sur les plages du Monténégro. Un road-movie burlesque et débridé, très cinématographique, où l’on découvre que l’on peut devenir une vedette en trois semaines, et que dans l’ex-Yougoslavie de l’après-Milosevic tout a changé, sans que rien ne change vraiment : folie, démesure et chaos. Géraldine Beigbeder, d’origine serbe par sa mère, est scénariste. Elle a collaboré avec Luc Besson et Fabien Onteniente. ‘Sponsors’ est son premier roman. Source : www.passiondulivre.com, http://buzz.litteraire.free.fr A lire également sur passiondulivre.com les premières lignes…

Gustave – Religion Parisienne – Collection été 2012

Pour fêter le retour du soleil, la collection Gustave s’agrandit avec l’arrivée de trois nouveaux visuels toujours inspirés du graphisme, de la photographie, du cinéma et de l’Art au sens large. C’est aussi l’occasion pour la marque de proposer des coupes femmes, plus cintrées et aux manches plus courtes, afin de profiter agréablement des douceurs de l’été…

JUSTICE "New Lands" Le MAKING OF

New Lands, le nouveau clip de Justice réalisé par le collectif espagnol Canada a déjà fait sensation depuis sa sortie sur le web ! Les réalisateurs et le groupe ont imaginé un jeu futuriste dangereux convoquant tout un imaginaire cinématographique, à chemin entre baseball, hockey, course de moto, football américain, boxe… Découvrez en exclusivité les coulisses du tournage, avec ce making of inédit qui vous dévoilera tous les secrets de ce clip retro-futuriste !

Max Pugh

Max Pugh est un cinéaste anglo-français qui a fait surtout des documentaires et des films de fiction. Ses films pour la BBC, Channel 4, et d’autres chaînes internationales emploient à la fois des techniques conventionnelles et des méthodes expérimentales, traitant des sujets d’actualité un peu partout dans le monde, que ce soit la médecine génétique et les droits des peuples indigènes, la politique sud-américaine ou les mouvements anti-mondialistes. À l’aise également dans le ‘live music’, les galeries d’art moderne et le théâtre, il a monté des spectacles vidéo-mixing pour la société de production londonienne ‘Yeast Culture’. Plus récemment, un documentaire et des courts métrages de fiction ont reçu des nominations pour des prix prestigieux, et ont été projetés dans les festivals de cinéma dans le monde entier. Maintenant il travaile sur l’adaptation pour le cinema du livre de Frédéric Beigbeder Windows on the World.

Sean Ellis

Si son nom reste encore presque inconnu du grand public, le travail de Sean Ellis parle pour lui. Photographe précoce, artiste à facettes, le jeune Britannique se démarque rapidement du reste de la production par une esthétique glacée et un souci perpétuel de capturer la fugacité de la beauté. A la fin des années 1990, sa maîtrise de l’éclairage acquise de son expérience dans la photo de natures mortes fait fureur dans les plus grands magazines internationaux, parmi lesquels Vogue ou Harper’s Bazaar. Qualifié de cinématographique, son style l’oriente tout naturellement vers la réalisation. Avec le même succès. Jean-Paul Gaultier, Land Rover ou EA Games lui confient leurs spots publicitaires, les All Saints le clip de leur ‘Never Ever’. Tout en continuant à sévir dans la photographie, en travaillant notamment avec David Lynch, Kylie Minogue, Richard Ashcroft ou Elton John, Sean Ellis s’essaye au court métrage en 2001 avec l’horrifique ‘Left Turn’. Mais c’est bien ‘Cashback’, en 2004, qui va le révéler. Avec un budget infime, il signe une comédie noire visuellement riche et secoue le microcosme du court en obtenant une nomination aux Oscars. Fort de ce nouveau succès, il ne restait qu’un pas pour se lancer à l’assaut du cinéma. En brodant autour du matériel déjà mis en boîte, il signe en 2006 un long métrage dans lequel le grand public se familiarise avec son univers. ‘Cashback’ séduit et signe l’entrée remarquée de Sean Ellis dans le 7e art.

Le formidable destin de God Save My Shoes

God Save My Shoes est disponible a la TV dans plus de 100 million de foyers aux USA et au Canada. God Save My Shoes a également remporté son premier prix dans un festival américain cette semaine. The Indie Fest (ou Festival du Film Indépendant de Los Angeles) a en effet décerné le Prix d’Excellence a God Save My Shoes et a sa réalisatrice Julie Benasra dans la catégorie Long Métrage Documentaire. Au niveau international, God Save My Shoes va sortir en salles de cinéma en Italie, Allemagne, Russie, Turquie et en Corée du Sud, a partir de Septembre. Tandis que les télévisions en Finlande, Espagne, Israël et Brésil proposent le film à partir de ce mois ci. À suivre

Christian Bourgois

Christian Bourgois (Antibes, 21 septembre 1933 – Paris, 20 décembre 2007) est un éditeur français, fondateur de la maison d’édition du même nom. Après ses études à l’Institut d’études politiques de Paris (1951-1954) dont il sort deuxième devant Jacques Chirac, il entre à l’École nationale d’administration, dont il démissionne en mai 1959 pour travailler, dans la maison d’édition de René Julliard comme son adjoint ; il l’avait rencontré en 1954. Ce dernier l’aurait accueilli en lui disant : « Dans une maison d’édition, il n’y a qu’une place intéressante : la mienne. Et je n’ai aucune intention de vous la céder ». À la mort de Julliard en juillet 1962, il prend la direction des éditions Julliard bientôt rachetées par les Presses de la Cité. En 1964, en désaccord profond avec Dominique de Roux, il part chez Grasset, puis revient avec les pleins pouvoirs. En 1966, en étroite association avec Dominique de Roux, il fonde sa propre maison d’édition, Christian Bourgois Éditeur. Il dirige la collection 10/18 entre 1968 et 1992. En 1989, suite à la publication des Versets sataniques de Salman Rushdie, il reçoit des menaces et doit être placé sous haute protection. En 1992, Christian Bourgois quitte le groupe des Presses de la Cité et reprend son indépendance. De 1995 à sa mort, il préside l’Institut mémoires de l’édition contemporaine (IMEC), situé à Caen, ainsi que la commission de l’avance sur recettes du Centre national de la cinématographie, dispositif essentiel dans la création cinématographique ; il est également été membre du conseil d’administration du centre Pompidou, du théâtre MC 93, outre des responsabilités au Syndicat national de l’édition, à la Bibliothèque nationale de France, au Centre national du Livre, etc. Il contribue à faire découvrir de nombreux écrivains étrangers, notamment Jorge Luis Borges, William S. Burroughs, Gabriel Garcia Marquez, Jim Harrison, Ernst Jünger, Antonio Lobo Antunes, Toni Morrison, Fernando Pessoa, Alexandre Soljenitsyne et Antonio Tabucchi. Il est également l’éditeur de J.R.R. Tolkien, de Boris Vian et d’Alain Robbe-Grillet, qu’il a fait découvrir. Le « b. » de la marque agnès b. vient de Christian Bourgois, qui a été marié à Agnès Troublé, la créatrice de la marque.

Michael Jackson vu par Yann Moix

« Cinquante ans dans la peau de Michael Jackson ». Edité chez Grasset. Publié le 9/9/2009. Un récit original qui transcende le mythe pour lui redonner sa dimension d’homme.

Yann Moix est un artiste à dominante littéraire. Il est tour à tour écrivain, cinéaste, chroniqueur, ou encore journaliste. Il est né le 31 mars 1968 à Nevers dans la Nièvre, soit exactement 10 ans, 4 mois et 2 jours après Michael Jackson, qui lui est né à Gary dans l’Indiana. Ses « premiers pas » dans la littérature furent auréolés du fameux succès critique, avec en prime le prix Goncourt du premier roman en 1996 pour « Jubilations vers le ciel ».

Mais sa rencontre avec le grand public se fera par l’intermédiaire de Podium, d’abord le livre puis le film. Un vrai succès populaire qu’il a lui-même adapté au cinéma, avec notamment un Poelvoorde inspiré dans le rôle principal. Une histoire de sosie plus vraie que nature à découvrir pour ceux qui seraient passés à côté.

Clément Deltenre

Hunter S. Thompson

Hunter Stockton Thompson est un reporter et écrivain américain, né en 1939 (certaines sources indiquent : 1937 du fait qu’Hunter a menti sur son âge pour pouvoir rentrer plus tôt dans une rédaction) à Louisville (Kentucky) et mort le 20 février 2005 à Aspen, Colorado. Hunter S. Thompson invente et développe le principe de journalisme gonzo, qui consiste en une enquête ultra subjective faite de récits à la première personne, de rencontres et de prises de drogues, tout cela combiné à une plume féroce et hallucinée, et à un fort engagement politique. Il est l’ami notoire de Oscar Zeta Acosta, leur relation inspirera la rédaction de Las Vegas Parano, récit déjanté d’une quête du rêve américain à travers la prise de substances hallucinogènes. Il débute une carrière de journaliste sportif en Floride. Il travaille ensuite plusieurs années en Amérique du Sud pour le National Observer, puis rentre aux États-Unis à cause d’une dysenterie. Il participe (en vain) à des élections dans le but de devenir le shérif de Pitkin County.

Il publie Hell’s Angels qui fait connaître ses méthodes et montre ce que sera le journalisme gonzo (ou en anglais gonzo journalism), même s’il finit cette expérience à l’hôpital après un différend avec les Hell’s Angels au sujet de droits d’auteurs sur le livre. L’adaptation au cinéma de Fear and Loathing in Las Vegas en 1998 (Las Vegas Parano en France), par Terry Gilliam, dans lequel Johnny Depp joue précisément le rôle de Raoul Duke, alter-ego de Thompson, le fait connaître du grand public. Il met fin à ses jours avec sa propre arme à feu à son domicile d’Aspen le 20 février 2005.

Glamorama

Victor Ward est dé-bor-dé par les préparatifs de lancement d’une boîte de nuit. Pedro (Almodovar), Naomi Campbell viendront mais ni Giorgio Armani, ni Pamela Anderson, ni… ne pourront, malheureusement. Victor, mannequin pas encore vedette, est un type insupportable, arrogant, qui parle trop, fume trop, baise trop (notamment la petite amie de son associé et la maîtresse du même associé), et qui rêve d’obtenir un petit rôle dans Flightliners III… Mais l’inauguration de sa boîte est un fiasco, ses petites amies manquent s’entre-tuer, son père, sénateur, menace de lui couper les vivres s’il continue à poser en slip pour Calvin Klein et un type qui lui ressemble n’arrête pas d’aller à sa place assister aux défilés… Bref, la vie devient impossible ! On lui propose alors un pont d’or pour aller retrouver en Europe une des ses anciennes camarades de collège, top model…, qui se révèle une sanguinaire terroriste. C’est là que le destin de Victor bascule. Mais au fait, qui sont ces équipes de cinéma qui font un reportage sur sa vie et celles des top models, et quelle est cette équipe de cinéma qui filme la première équipe de cinéma ? et quel film est dans le film ?… De Bret Easton Ellis Source : http://www.amazon.fr

Ouvre les yeux

Passionnant polar fantastique, Ouvre les yeux impose son metteur en scène Alejandro Amenabar comme l’un des grands espoirs du cinéma espagnol. Son premier film, Tesis, qui se déroulait dans le milieu des snuff-movies, avait déjà fortement impressionné. Sur un scénario diabolique, il prend un malin plaisir à détourner toutes les images : Qui est qui ? Où est le rêve ? Où la réalité ? Dans un univers paranoïaque, il déroule avec brio une intrigue labyrinthique à souhait. On a beau rester les yeux ouverts, force est de reconnaître qu’on prend une jubilation certaine à se laisser manipuler ! Désarçonné, stupéfait, on reste ébloui par la maîtrise dont témoigne son second film. Lorgnant du côté de David Lynch pour l’univers visuel de Matrix, et Dark City pour le scénario machiavélique, c’est in fine un autre grand film onirique sur la jalousie que rappelle ce fabuleux thriller : Eyes Wide Shut. Interprété remarquablement par la nouvelle génération de comédiens ibériques – Penelope Cruz, Eduardo Noriega, ainsi qu’une apparition inattendue mais cruciale de Gérard Barray –, ce film-puzzle ébouriffant mérite largement de figurer parmi l’un des sommets du cinéma fantastique de ces vingt dernières années. –Sylvain Lefort http://www.amazon.fr

THE NAME "Try Again"

Pépite électronique enjouée et acidulée, à la forte charge émotionnelle, « Try again » illustre les épisodes « Bref, je suis allé au cinéma avec cette fille » et «Bref, j’ai dîné avec cette fille ».

Untitled 116: Peter Lindbergh

Le célèbre photographe Peter Lindbergh, né en 1944 à Duisbourg en Allemagne et résidant à Paris, propose une nouvelle série de 116 portraits de femmes dans un ouvrage intitulé « Untitled 116 » (Untitled One One Six) aux éditions Schirmer/Mosel. Sharon Stone, Madonna, Aretha Franklin, Jeanne Moreau, Uma Thurman, Marion Jones… Du cinéma à la chanson, du sport à la mode, tous les secteurs sont représentés. Si elles ne sont pas toutes connues, deux choses les réunies : la beauté et une qualité photogénique qui rendent les clichés de Peter Lindbergh encore plus brillant. Ces femmes toutes plus belles les unes que les autres sont classées par ordre alphabétique, selon leur prénom : d’Alexa Davalos à Zoe Gaze, 207 photographies prises entre 1983 et 2004 sont regroupées dans un livre de 356 pages au prix de 119 euros. Une autre dimension artistique enjolive les photographies : la sélection par Peter Lindbergh de textes littéraires, extraits d’œuvres de poètes et peintres célèbres comme Charles Beaudelaire, Léonard de Vinci, Pablo Picasso, Marguerite Duras, Victor Hugo. Un choix totalement subjectif et personnel de la part de l’artiste qui donne encore plus de charme à cette œuvre qui n’en manque pas.

DÉLIT D'INITIÉS – BACHELOT, CARON

Marjolaine Caron et Louis Bachelot ont travaillé dix ans pour le cinéma, la publicité, le théâtre et l’opéra. Observateurs des meurtres et des faits divers pour la presse, ils mettent leur technique au service de publications aussi diverses que Détective, Nous deux, Le Monde 2 ou le New Yorker. Un drame de campagne, une agression dans un parking et Bachelot Caron renvoient leur vision terriblement onirique de la condition humaine.

Les expositions  » You don’t know me  » en 2005 puis  » Crimes et Délices  » en 2008 les ont propulsés au rang d’artistes contemporains. Les mises en scène et le réalisme exacerbé de leurs oeuvres fascinent. De Paris à Bruxelles, Hambourg, New York, leurs  » tableaux photographiques  » sont montrés dans le monde entier. Avec  » Délit d’Initiés / Inside Job « , Sébastien Nahon présente à partir du 29 janvier 2012 au Passage de Retz, dans le Marais, à Paris, cinquante oeuvres inédites où Bachelot Caron proposent leur vision du jeu. L’amour, la boxe, les vampires, la chasse : tout devient possible pour les esprits maltraitants de ce duo virtuose afin d’attirer les regardeurs dans l’univers impitoyable de ces délits en tous genres. Serez-vous initiés ?

Du 29/01/2012 au 23/02/2012 Galerie Passage de Retz 9, rue Charlot n75003 PARIS France

Are you the judge, the jury and the executioner ?

Votre porte-monnaie au rayon X sur Rue 89 eco ! Le concept est fort intéressant, mais bien entendu nous avons le léger soucis du parti pris et évidemment des (à mon sens) faussement démocratiques commentaires. Si le concept c’est y a des gens qui triment et qui sont pas bien payés et des gens qui branlent rien qui sont payés des fortunes, alors le mieux c’est de boycotter: Le sport pro dans son ensemble (si, si), le cinéma, la musique, internet, la politique, les médias, etc… Je généralise ? La preuve vous adorez ça ! rue89.com

A Bathing Ape x Star Wars 2012 Capsule Collection

Star Wars continue d’exercer son incroyable attraction Jedi !!! En attendant une édition 3D cinématographique qui s’annonce peut être géniale (j’ai bien dit peut être) voici une collection avec A Bathing Ape hypebeast.com

L'ultime souper

Réalisé par Stacy Title Avec Cameron Diaz, Nora Dunn, Ron Eldard. Cinq étudiants de gauche se réunissent dans un agréable pavillon autour d’une table choisie, pour refaire le monde. Ce soir comme chaque semaine, ils invitent un hôte, soigneusement selectionné, à partager leur table et à exposer son point de vue sur un sujet donné. Un excellent film pour adeptes de l’autre cinéma (le bon).


L’ultime souper – Bande annonce VO par _Caprice_

Flyersmag

Le concept : C’est un nouveau concept de magazine mensuel, ayant pour but la promotion D’événements, en usant du moyen de communication le plus simple et surtout le plus efficace auprès des jeunes: le flyer. Flyersmag a débuté comme magazine à Bruxelles. Depuis, le concept a évolué dans une direction plus multi-média avec une grande présence sur Internet, des campagnes mensuelles en Radio et maintenant une émission de Télévision. Contrairement au papier volant, un magazine n est jamais jeté dans la rue… on le conserve, on 1’oublie dans sa voiture, on se le donne. Flyersmag au format A5 ne comporte ni rédaction, ni reportage, que du flyer, le souci premier est donc d’offrir un espace pleine page assurant aux événements une excellente visibilité a un prix raisonnable. La personnalité du public cible de Flyersmag se définit par le style de musique qu’ils écoutent. ELECTRO MUSIC (la dance, l’electro, la house, la techno, la drum & bass, la trans, le lounge, etc.) URBAN MUSIC ( R’nB, le hip hop, la soûl, le funk, le reggae,le rai, etc.) ROCK MUSIC (la pop, le rock, punk, métal, hardrock, garage, etc.) EVENTS (les expos, les défilés, le cinéma, la danse, etc.) Un modèle de communication spécifique a été défini pour chaque style. (…) En savoir plus : www.flyersmag.com

Mon "Livre blanc" : Glamorama de Bret Easton Ellis

« Plus tu es splendide, plus tu es lucide Baby !« 

Tandis que Fred Beigbeder se fait mousser grâce à ses 100 livres favoris,  (« Premier bilan après l’apocalypse »), JetSociety va beaucoup moins loin et s’arrête sur ce chef d’oeuvre de Futilité Publique. Glamorama.

Pour les exilés de la planète terre (le livre fut publié pour la première fois en 1998) il s’agit d’une fiction littéraire dans laquelle s’illustre Victor Ward (personnage croisé dans les Lois de l’attraction du même auteur) qui promène son cynisme mondain à travers une vie réelle et fantasmée, mannequin improbable ou redoutable terroriste…Une œuvre gorgée de foutre et de sang qui suce le cerveau dès la première ligne pour l’éructer sur le sol à la dernière, mettant K.O les représentants de la X & Y Génération (euh… nous en fait !) qui constatent à rebours qu’il y avait comme dans toute bon bouquin les prémices de l’époque à venir.

Il apparait aujourd’hui que cette fresque au vitriol des 90’s, pendant direct du terriblement délicieux American Psycho des 80’s, va être adaptée au cinéma (une véritable Arlésienne façon Chinese Democracy de Guns n’ Roses finalement sorti il faut le rappeler), en tout cas c’est ce qui se murmure dans les milieux autorisés (twitter). Bien sûr le livre se suffit à lui même et il me semble difficile de transposer certaines scènes à l’écran sans interdiction au moins de 21 ans. Néanmoins Bret Easton Ellis semble satisfait du scénar’. Si le maitre aime alors les disciples vont adorer… « Tout l’intérêt de Super Mario Bros, c’est que c’est un miroir de la vie, tuer ou être tué, et au bout du compte, baby, tu… es… tout seul.« 

Bref vous le lisez, vous aimez et après on en reparle.

I Spit on Your Grave + Day of the Woman UNRATED (Blu-ray)

Amateurs de films bien violents ceci est pour vous. Avertissement: Merci d’être équilibré et sans envies criminelles avant de regarder ce genre « d’œuvres » cinématographiques…

Jennifer, jeune et jolie écrivain, s’isole dans un chalet pour y écrire son nouveau roman. Elle qui s’attendait à une retraite tranquille, se retrouve violée et torturée par un groupe d’individus complètement tordus qui empestent la cruauté et la perversité. Abusée par chacun d’entre eux, laissée pour morte, elle se livrera à une vengeance sans pitié…

e-magazine Blake sur la toile – Blake magazine masculin en kiosque

Fort du succès de sa version e-magazine lancée il y a quatre ans, Blake magazine masculin, sortira en kiosque courant novembre. Ce magazine consumériste donne une large place à la mode, aux accessoires, au bien-être… avec des pages sorties cinéma, vidéo, fooding… La commercialisation des espaces publicitaires est assurée par la régie WPP, qui commercialise déjà dans l’univers des masculins, Dandy, Friendly, Entrevue et Choc. Tarifmedia.com

L’Insolent Magazine devient trimestriel

Jusqu’ici édité en ligne, le webzine L’Insolent se décline maintenant sur papier. Une parution trimestrielle qui fait la part belle à la musique et à la mode. (…) L’Insolent fête sa première année courant octobre. « En abandonnant le format « blog », L’Insolent se lance dans le défi de la presse numérique. Un véritable magazine trimestriel, pour éclairer sur les tendances, l’actualité mode, le cinéma, la littérature et tous les autres arts, (…). »

Dream House

Et si le crime sur lequel vous enquêtiez était le vôtre ? Un thriller haletant avec Daniel Craig, Naomi Watts et Rachel Weisz. Au cinéma le 5 octobre.

SNCF : Mission Paris-Deauville

TBWA Paris a orchestré la mise en place du site Mission Paris-Deauville, sur lequel les internautes se retrouvent projetés au cœur d’un film catastrophe participatif, où se mêlent suspense et humour, leur annonçant qu’ils ont «vingt secondes pour sauver le monde». Jusqu’au 6 septembre, les plus chanceux pourront ainsi remporter un pass cinéma pour assister au festival. Pour la troisième année consécutive, la SNCF est partenaire du Festival du film américain de Deauville, qui se déroulera du 2 au 11 septembre  2011.

Le jeu vidéo évolue-t-il de façon négative ?

Une réflexion très intéressante proposée par jeuxvideo.com. Pour un old school gamer tel que moi (1ère console videopac, puis vectrex, colecovision, master system, etc… jusqu’aux dernières, sans compter le PC) il parait évident que l’expérience vidéoludique a évoluée mais pas aussi radicalement qu’il n’y parait.

Aujourd’hui tous les genres (shoot’em up, beat them all, stratégie, jeux de rôle, sports, etc..) sont toujours représentés ce qui prouve que l’industrie ne s’est pas (pour l’instant) cantonnée dans la production de jeux exclusivement « rentables », mais continue de créer et d’innover. Les moyens sont complétement différents, mais aujourd’hui sur le xboxlive il est possible par exemple de télécharger des jeux indépendants, on peut aussi télécharger des jeux oubliés (abandonware) qui sont de véritables pépites. Le gamer continue pour l’heure d’avoir le choix.

Aux questions posées dans le dossier : Des prix en hausse ?, La durée de vie en question, Des suites à outrance, Un manque d’originalité ?, La « casualisation », Des licences massacrées, Les contenus téléchargeables, Des protections abusives, Un certain manque de finition, Les évolutions positives…

Il est possible d’apporter une réponse globale en disant que les contraintes d’hier étaient surtout techniques et que c’était principalement l’imagination des créateurs de jeux qui avait le pouvoir de scotcher des gamers pendant des heures et qu’aujourd’hui le graphisme et le marketing ont dans la majorité des cas pris l’ascendant mais que personne n’est dupe !

L’industrie du jeu vidéo est encore jeune et semble se calquer sur celle du cinéma, aujourd’hui personne ne peut contester qu’un blockbuster est à l’affiche en même temps qu’un petit film indépendant et qu’au moins sur ce terrain là ils sont à égalité. Un jeu vidéo même issu d’un studio modeste peut toujours sortir du lot et attirer les foules.

Une réalité que le grand public n’intègre pas forcément c’est que depuis le début du jeu vidéo les revues se sont toujours attachées à noter le plus objectivement possible les jeux vidéos, sans tomber dans le piège de la dichotomie (sauf rares exceptions souvent durement sanctionnées).

Le jeu vidéo est encore régi par des codes et les passionnés sont de véritables gardiens du temple vigilants et conscients des potentiels dérapages, d’où le succès de ce type d’enquête avec presque 15 000 avis. Le jeu vidéo fait aujourd’hui partie du quotidien des 0 – 50 ans ce n’était pas le cas il y a encore 10 ans…

THE FUTURE Un film de Miranda July

Un film de Miranda July Avec Miranda July, Hamish Linklater, David Warshofsky, Isabella Acres et Joe Putterlik Au cinéma le 17 août 2011 Sophie et Jason, un couple trentenaire, vivent dans un petit appartement à Los Angeles. Dans un mois, ils adopteront Paw Paw, un chat abandonné. Un peu paniqués à l’idée de perdre leur liberté, ils quittent leur travail et se donnent 30 jours pour accomplir leurs rêves. Sophie et Jason vont tenter toutes les expériences jusqu’à traverser l’espace-temps pour donner une nouvelle chance à leur futur. Haut et Court Distribution Allemagne / Etats-Unis

L'imagination malsaine : Russell Banks, Raymond Carver, David Cronenberg, Bret Easton Ellis, David Lynch

C’est l’emploi commun de l’adjectif malsain  » pour qualifier aussi bien des romans, des films que des jeux vidéos, autrement dit c’est la question de leur réception, qui a conduit l’auteur de L’Imagination malsaine à s’interroger sur la pertinence de cette métaphore médicale, sur la manière dont ce jugement est établi, les raisons qui poussent le sujet à  » consommer  » des fictions au contenu scabreux et la possibilité de distinguer l’art du symptôme. En partant d’une étude approfondie de l’adjectif, l’auteur définit le malsain à la fois comme une relation de transmission donnant lieu à une esthétique dans laquelle la métaphore a partie liée avec la métonymie, mais aussi comme une valeur subjective prononcée par un sujet ou une loi. A partir d’un corpus composé d’œuvres des écrivains Russell Banks, Raymond Carver et Bret Easton Ellis, et des cinéastes David Cronenberg et David Lynch, l’auteur, qui s’appuie sur les écrits de Judith Butler et Foucault, Freud et Lacan, Ricœur et Charles Taylor, Clément Rosset et Jean-Marie Schaeffer, arrive à la conclusion que le malsain, en raison de son caractère discursif, est effectivement une métonymie qui relève d’une forme d’inquiétante étrangeté. Ces oeuvres thématisent et conditionnent donc leurs propres réceptions en instaurant un dialogue ambigu entre le diégétique et l’esthétique, mettant ainsi en place une fonction heuristique qui en fait de véritables laboratoires du jugement moral  » (selon l’expression de Ricœur) pour le lecteur/spectateur, mais aussi des fictions ludiques l’incitant à mieux lire, c’est-à-dire à se méfier des signes.  David ROCHE est maître de conférences à l’Université de Bourgogne. Ses domaines de recherche sont le cinéma et la littérature américaine contemporaine. Il a publié des articles sur Raymond Carver, David Cronenberg, Sergio Leone, David Lynch et Pride & Prejudice (2005) de Joe Wright. Il prépare actuellement un recueil d’entretiens avec Russell Banks. de David Roche www.amazon.fr

Gala en mode Festival de Cannes

L’hebdomadaire people Gala sera décliné en version quotidienne et distribué gratuitement à Cannes tout au long du Festival international du cinéma, du 11 au 22 mai. Ces douze parutions exceptionnelles de 32 pages seront tirés à 10 000 exemplaires. Gala annonce également un bouclage tardif, à 2 heures du matin, pour être au plus près de l’actualité cannoise. le 13h de la com

LG Day la plus grande projection 3D privée du Monde

12:00 l’équipe de choc et de charme (Aurelie Rosier à mes côtés) de JetSociety est accueillie à la maison blanche célèbre fief des Frères Pourcel par Benjamin de Publicis (sans qui rien de tout cela ne serait possible).
14:00 après un déjeuner d’excellente qualité passé en bonne compagnie: Etat major de LG, journalistes en presse spécialisée, blogueurs (pardon presse web), direction le pavillon Cambon pour une présentation – démonstration du nouveau système Cinéma 3D de LG conçu pour dynamiser et ouvrir le marché des téléviseurs 3D a un large public.
Verdict… pour l’avoir essayé en conditions Démo, cette gamme de téléviseurs de nouvelle generation est très agréable et semble hyper facile à manipuler. Reste à voir après plusieurs heures d’utilisation en continue…
16:00 Le périple se poursuit… A bord du bateau Le Mirage pour une visite de « Paris et son cinéma » by Claude Lelouch avec Philippe Lelievre en story teller et les 4 Muses en accompagnement musical. Un moment de détente avant le « Big Barnum » du soir !
20:00 Devant le Grand Palais c’est déjà l’effervescence. En robe du soir, costume noir chemise blanche, nous parcourons le tapis rouge pour prendre nos bracelets presse, lunettes 3D et nous rendre dans le grand salon VIP. A l’intérieur le charme du champagne et des ravissantes hôtesses n’occultent pas les écrans 3D disséminés un peu partout dans le carré, tandis que Miss France, Sophie Marceau, Pascal Elbé, Arie Elmaleh, Élie Semoun, Isabelle Giordano entre autres sacrifient aux joies du Photo Call, nous rappelant les plus belles fêtes de Cannes.
21:45 Le film Rio commence après un petit show du magicien Dani Lary. Une présentation d’Isabelle Giordano entrecoupée d’insertion d’Elie Semoun, un peu de Sophie Marceau, de la samba brésilienne.. Bref c’est le show !
Un peu plus tard, clap de fin. La douceur de cette nuit parisienne nous berce tandis qu’on nous remet un diplôme pour être entrés dans le Guinness Book des records comme le plus grand nombre de personnes à avoir assisté à une séance 3D privée sur l’écran le plus grand du monde 27 mètres.
Chose promise, chose due l’événement était effectivement exceptionnel et méritait le déplacement.
Merci à LG et Publicis pour cette journée vraiment Extra Ordinaire placée sous le signe de la haute technologie à dimension humaine.

Event : D'UN FILM A L'AUTRE, de Claude Lelouch par Liza

« Alors hier j’arrive à 19h50 dans les studio film 13. Une fille me demande mon nom. Le bar  qui précède la salle de projection est déjà bien rempli. A 20h précise nous nous installons dans la salle qui accueille moins de 100 personnes. Vraiment agréable. Style petit ciné privé. Sièges en cuir bien confortable. »

D’emblée le film commence par une scène extraite d’un de ses courts métrage : Paris 6h30 du matin. La caméra placée sur le devant de la voiture fonce à très vive allure, traverse la capitale des années 60-70 . Claude Lelouch nous met dans le bain. Explique que son parcours ressemble sensiblement à cette traversée folle. Prises de  risques / passage au rouge / beauté / adrénaline / frayeur … Alors, comment fêter un tel anniversaire ? En réalisant tout simplement un autre film qui résumerait tous les précédents.

D’un film à l’autre est donc une sorte d’anthologie des films produits par Les Films 13 depuis les années 60 (des courts et longs métrages écrits et réalisés pour l’essentiel par Claude Lelouch), un best of montage qui va du Propre de l’homme à Roman de gare, une sorte de biographie en image d’un cinéaste aussi admiré que critiqué. d’un demi siècle de cinéma : Un film. En réalité D’un film à l’autre est plus qu’une suite d’extraits de films, d’interviews et de making of (dont certains ont une indéniable valeur historique, comme le making of d’Un homme et une femme ou des derniers instants de Patrick Dewaere).

C’est aussi et surtout la confession d’un auteur qui commente pendant deux heures durant, son œuvre et sa vie en toute objectivité (je confirme ! car il explique ses flop, ses erreurs , ses traversées du désert …!). Claude Lelouch nous parle des uns, des autres, des hommes, des femmes, de ses succès aussi retentissants que ses échecs, de sa vie privée (notons l’hommage à Annie Girardot avec qui il a eu une passion) si étroitement liée à sa vie professionnelle .

Ce film de montage est donc plus une œuvre de référence à l’usage des cinéphiles, c’est le témoignage, ô combien précieux, d’un créateur qui se penche lucidement sur lui-même et rend un hommage vibrant à tous ceux (acteurs, auteurs, compositeurs de musique, co-producteurs) qui l’ont accompagné pendant un demi siècle. Donc un document unique. Un film-somme si particulier… qu’il en est forcément universel.

Suite à cela C. Lelouch est venu répondre en toute simplicité aux questions (peu nombreuses finalement…)  Pensez – vous que le cinéma a un avenir ? Oui d’autant qu’aujourd’hui nous sommes tous un peu réalisateur avec nos appareils numériques… Qu’avez vous retenu de votre parcours ?  Mes échecs m’ont plus appris que mes succès . Je me suis toujours plus investi pour me relever de mes nombreux échecs que lorsque tout roulait . Partisan de l’école buissonnière / autodidacte j’ai toujours appris et j’apprends encore .  Comment expliquez vous l’acharnement de la presse contre vous ? Je n’ai pas voulu suivre la nouvelles vagues citant une anecdote : lorsque Truffaut veut lui rendre hommage il lui dit « en voyant ce que vous avez fait j’ai appris tout ce que je ne voulais pas faire » le lendemain « Un homme et une femme était critiqué dans la presse ».

D’UN FILM A L’AUTRE Une histoire de Claude Lelouch Au cinéma le 13 avril 2011

 

Trois Couleurs HORS SERIE Stanley Kubrick

Après la contre-culture américaine, les Doors, Sofia Coppola et le photographe JR, le mensuel culturel Trois Couleurs consacre son cinquième hors-série à un cinéaste total, Stanley Kubrick. Numéro spécial de 132 pages en kiosque et en librairie depuis le 9 mars  au prix de 9,90 euros Ce numéro collector constituera le guide de l’exposition Kubrick présentée à la Cinémathèque française du 23 mars au 31 juillet 2011. Le magazine reviendra sur la vie et la carrière du cinéaste américain à travers une biographie et une filmographie exhaustive, ainsi qu’une analyse des motifs clés de son œuvre (dérèglements, dédoublements, détournements). Ce tour d’horizon sera complété par un panorama de ses principaux héritiers (de Steven Spielberg à James Cameron), des articles sur son utilisation visionnaire de la technique, du son ou des visages, un reportage à Londres dans son manoir de Childwickbury, et des interviews de ses proches : sa femme Christiane, son beau-frère et producteur Jan Harlan, son monteur Nigel Galt, son décorateur Ken Adam, l’inventeur du Steadicam Garrett Brown… Tout en donnant la parole à des spécialistes de son cinéma (Michel Ciment, Michel Chion, Philippe Fraisse, etc.), le magazine s’efforcera de mêler approches sérieuses et plongées plus irrévérencieuses, dévoilant par exemple la récurrence de scènes de toilettes dans l’oeuvre de Kubrick, ses principaux projets avortés, la réception mouvementée de ses films, ou encore les diverses théories du complot qui lui ont été associées. Last but not least, un épais portfolio reviendra sur les rapports féconds du cinéaste à la photographie (qu’il a pratiquée, jeune), aux arts plastiques et au design, mettant des œuvres de Georges de La Tour, Saul Bass, Mark Rothko ou Invader en regard des films de l’auteur immortel d’Eyes Wide Shut.