Ce qui se passe au No Entry reste au No Entry…

Ce qui se passe au No Entry reste au No Entry…

LE SPEAKEASY DE LA SQUADRA, BIEN PLANQUÉ DANS LES SOUS-SOLS DE PINK MAMMA BALANCE 16 COCKTAILS COQUINS DANS UNE NOUVELLE CARTE AU THÈME EROTICOOL.

Après avoir dévalé les escaliers pour traverser le couloir de la chambre froide, on transgresse les règles en poussant la porte malgré le panneau criant “No Entry”.

La team des bartenders au shaker habile y dégaine ses plus beaux atouts, cocktails grivois, créations suggestives et ambiance suave.
On se laisse guider de bon gré, par la carte bouquin, Il Manuele segreto del piacere all’italiana, qui décline les secrets du plaisir à l’italienne à travers des twists de classics cocktails. Get ready to be horny ! On tombe sous le charme d’un Vieux Carré nouvellement nommé Sexy Pappone, un grand classique des nuits secrètes dynamisé avec un vintage whisky.

On se fait un kiff avec l’incontro piccante, moscow mule pimpé au pastis, plus hot que jamais. On raffole aussi du très (très) bien maîtrisé Bacio Alla Francese, qui n’est autre qu’un French(kiss)75 stimulé à la lavande, miel et myrtille. La voluptueuse Ragazza alla Panna, la version drinkporn du White Russian, et sa mousse de coco fraîche, sera LA nouvelle fille de Pigalle. Pour déguster ses sexy drinks on se pose dans les grosses banquettes feutrées. La final touch de cette atmosphère polissonne est envoyée par les Dame-Jeanne aux courbes voluptueuses qui décorent les murs. En fond, une bande son funky ou un DJ set, qui dérape easy en grosse teuf italienne. À retenir en poussant la porte : ce qui se passe au No Entry reste au No Entry…

NO ENTRY
20 bis rue de Douai
75009 Paris
Ouvert dès 19h tous les jours
Lundi, Mardi, Mercredi, Jeudi et Dimanche : 19h – 1h
Vendredi et Samedi : 19h – 2h

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

White Mountaineering x Eastpak – Collection SS19

White Mountaineering x Eastpak – Collection SS19

Eastpak est fier d’annoncer le lancement de sa collection en collaboration avec White Mountaineering. Cette gamme de sacs réunit : la vision axée autour de la technologie du créateur Yosuke Aizawl à la fonctionnalité sans compromis d’Eastpak ; le tout co-signée du logo héritage Eastpak et White Mountaineering.

Inspirées des vêtements de sport vintage, chaque création propose des blocs puissants de couleurs primaires de 8 bits, et s’harmonise avec la White Mountaineering « touch » les « bandages » rappelant la collection de Prêt-à-Porter SS19 de la marque tokyoïte qui a défilé sur les podiums en juillet 2018.

www.eastpak.com
www.whitemountaineering.com

ARCHIVE 18-20 – Today’s man are plurial

ARCHIVE 18-20 – Today’s man are plurial

Le concept-store ARCHIVE 18-20 par sa créatrice Séverine Lahyani, a lancé récemment sa collection mode homme sous le même nom ARCHIVE 18-20 : Un nouveau label qui s’articule autour du mantra : « Today’s man are plurial » .

Une proposition de pièces iconiques inspirée de la culture urbaine qui décale la rigueur du tailoring avec impertinence.Un vestiaire de tous les jours où le mix&match et l’allure “loose” sont devenus incontournables.

Le plaisir de jouer avec les références, de les mixer entre elles, se retrouve dans ses créations originales et vintage, l’union masculin/feminin, l’alliance du luxe et de la désinvolture du streetwear… Archive 18-20 c’est l’envie et la volonté d’illustrer cette alchimie des contrastes. Une mode simple mais délicate, des silhouettes contemporaines et une attitude chill.

En découvrir plus: https://archive1820.com

Le Fahrenheit Seven COURCHEVEL élu Meilleur Nouveau Ski Hôtel du Monde

Le Fahrenheit Seven COURCHEVEL élu Meilleur Nouveau Ski Hôtel du Monde

Les meilleures marques mondiales de tourisme de ski viennent d’être recompensées lors de la cérémonie des Travel Ski Awards qui s’est tenue à Kitzbühel, en Autriche. Dans la catégorie « Nouveaux Hôtels », le luxe discret ainsi que son confort “comme à la maison” ont mené le FAHRENHEIT SEVEN COURCHEVEL en haut du podium. Il remporte le prix du MEILLEUR NOUVEAU SKI HÔTEL AU MONDE tandis que le FAHRENHEIT SEVEN VAL THORENS remporte le prix du MEILLEUR SKI HÔTEL DE FRANCE, après avoir été élu MEILLEUR NOUVEAU SKI HÔTEL AU MONDE en 2017.

Skier à Courchevel, dans une ambiance de luxe décontractée, sans se ruiner, c’est la nouvelle tendance. Le Fahrenheit Seven Courchevel s’amuse à bousculer les codes de l’hôtellerie traditionnelle. Convivialité, générosité et confort sans modération, un emplacement skis aux pieds exceptionnels, une touche d’anticonformise, une déco recherchée mais non-ostentatoire avec un authentique clin d’oeil retro en hommage à l’histoire et l’ADN de la station, une cuisine directe, sans chichi, qui fait la part belle aux produits locaux et une équipe impliquée, attentive et bienveillante, voici les points forts qui ont été décisifs dans l’élection du Fahrenheit Seven Courchevel comme Meilleur Ski Hôtel du monde.

A la Cheminée, on s’y installe pour une pause cocooning, un après-ski aux saveurs de crêpes et chocolat chaud, un apéritif ou digestif où tout simplement pour boire un thé et bouquiner au coin du feu… La Rôtisserie est un restaurant d’altitude ouvert à tous sur le front de neige de Courchevel 1650. Du petit déjeuner au dîner, la cuisine bistronomique du chef JérômeGodon propulse les produits frais tout schuss dans les assiettes. Au menu : fruits et fromages de Savoie au lait cru, viandes du monde cuites au feu de bois, poissons nacrés et saveurs asiatiques, buffet de desserts. La carte des vins mise sur les meilleurs flocons d’ici et d’ailleurs. Le Zinc est le bar fooding qui va faire monter la température à Courchevel. Dans une ambiance un brin intimiste, on partage une planche, on fait honneur aux 145 références de vins et grands crus, vieux rhums et champagne, on refait le monde entre amis. Les rencontres se vivent, des amitiés se nouent et le plaisir d’être ensemble s’étire à l’infini. Bar festif à la programmation variée, le Zinc c’est 3 concerts ou soirées musicales par semaine pour prolonger le plaisir de la nuit à l’infini.

Le Fahrenheit Seven offre 65 chambres et duplex de 20 à 45m² et des pleines vues sur les cieux enneigés. Design vintage, atmosphère black & white, pour des chambres aux accents seventies et à l’ambiance délicieusement rétro. Etagères coulissantes, tables de chevet acier, parures de lit aux motifs géométriques, le confort cosy se prolonge dans les salles de bains au carrelage en marbre, meubles et robinetterie noirs. Dormir au plus près des étoiles, une montagne de bonheur…

En découvrir plus: fahrenheitseven.com

AQUASCAPHE, première Toolwatch de Baltic

AQUASCAPHE, première Toolwatch de Baltic

L’AQUASCAPHE est la première « Toolwatch » de Baltic. Une plongeuse néo-vintage de 39mm inspirée du boitier de la collection HMS et BICOMPAX. La « toolwatch » est souvent considérée comme la montre quotidienne ultime, car elle est étanche, résistante aux rayures, aux chocs et peut être portée dans toutes les situations.

Pour rappel, BALTIC est une ode à la montre ancienne : la marque souhaite offrir une gamme néo-vintage mécanique, accessible, reprenant certains codes des montres des années 1940. L’idée est de s’approprier les caractéristiques d’époque, qui à leur sens, offre le plus de cachet : un diamètre proportionné, un boitier aux lignes « brutes », un mouvement mécanique et l’utilisation d’un verre en acrylique…

En découvrir plus:  baltic-watches.com

Urbanears – Listen to yourself by Yazbukey

Urbanears – Listen to yourself by Yazbukey

« Pour moi, ‘Listen to yourself’ c’est être à l’écoute de soi et de ses rêves, se permettre de rêver et s’exprimer à travers la musique que l’on aime et écoute au quotidien », explique Yazbukey. « C’est aussi une manière d’atteindre et toucher les autres à travers mon art, ma vision du monde et les laisser prendre part à mon histoire », ajoute-t-elle.

Urbanears - Listen to Yourself by Yazbukey - Launch Event

« Je regarde beaucoup d’anciens films et collecte beaucoup d’images d’inspirations, j’aime revoir les images ou les films car on y découvre toujours quelque chose de nouveau, notre humeur attire toujours notre regard sur un autre point », raconte Yazbukey. « Tout peut devenir une source d’inspiration. J’adore me plonger dans des photos vintage, regarder des films ou tout simplement les gens dans la rue », poursuit Yazbukey.

Ainsi, pour sa collaboration avec Urbanears, Yazbukey a retravaillé sa fameuse bouche en plexiglass pour l’appliquer à la fois sur les enceintes et le casque Plattan 2 Bluetooth, dans une version rose et une version rouge.

En découvrir plus: https://www.urbanears.com/ue_fr_fr

FILA URBAN LINE COLLECTION NINETISSIMO – A.W.18

FILA URBAN LINE COLLECTION NINETISSIMO – A.W.18

Depuis des décennies, FILA est un incontournable du monde du tennis : de grands champions comme Björn Borg, John McEnroe, Boris Becker et Monica Seles portaient tous des FILA lorsqu’ils ont fêté leurs premiers exploits. La marque est également très présente dans le basket-ball, le ski, le golf et l’alpinisme. Le célèbre logo F-box (un F arrondi dans un carré) et la griffe au profil aérodynamique de FILA (« le drapeau ») illustrent la riche histoire de la marque.

 

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Happy Birthday @emma.delt @swim_horse @horse__et_cie #happybirthday #fila #diadora #teenage #jetsociety #fashion

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Après les succès inoubliables obtenus dans les années 80 et 90, FILA fait aujourd’hui son come-back en lançant des collections de chaussures et de vêtements qui renouent avec son passé illustre.

Elle allie savoir-faire et design hyper moderne pour créer un style dynamique et décontracté. Sa riche histoire sportive constitue la toile de fond d’une collection originale de baskets à la fois modernes et vintage.

En découvrir plus: https://www.facebook.com/filaeurope

INTERVIEW ANNA POLINA, L’ÉGÉRIE DORCEL SENSUELLEMENT PUNK

INTERVIEW ANNA POLINA, L’ÉGÉRIE DORCEL SENSUELLEMENT PUNK

Anna Polina est une iconique Porno Lady, actrice, réalisatrice … Mais la Dorcel Girl est aussi drôle, pertinente, extrêmement sensuelle et punk. Anna entre dans la pièce et tous les sens se mettent en éveil ! Après notre conversation, je peux définitivement vous confirmer que l’adage « don’t judge a book by its cover » est une évidente réalité. Avec en prime le test de l’expérience de Réalité Virtuelle 360°3D par Marc Dorcel.

Il fallait bien trouver une première question pour se mettre dans l’ambiance, alors on a parlé musique : Anna, la musique fait partie intégrante de votre vie, pouvez-vous nous en dire plus ?

La musique est indispensable ! Pour tout, que ce soit dans les bons ou les mauvais moments, la musique permet d’exorciser certaines émotions, la musique c’est primordial, en revanche même si j’ai un milliard de projets, si je fais de la musique, le public aura le droit de m’insulter sur les réseaux sociaux ! J’ai trop de respect pour les rappeurs, les musiciens, les DJ, pour supporter l’arnaque musicale ! La dessus, je suis intransigeante, mais participer à des vidéos c’est pour moi logique, Seth Gueko par exemple aimait bien mes films et moi son rap, c’était une collaboration amicale. Aufgang pour le clip « Summer » c’était une occasion de participer à un super concept et de changer d’univers…

Une pépite ou un coup de coeur à partager ?

Seth Gueko « Professeur Punchline » !

Anna vous êtes également férue de littérature, Virginie Despentes fait partie notamment de vos références quelle est votre livre de chevet actuellement :

Eva de Simon Liberati. Mais des auteurs comme Virginie Despentes me touchent énormément car je suis une grande punk. Dans ma vie je n’ai jamais fait de concessions, J’ai toujours fait ce que je voulais, quand je voulais, je tiens à la liberté que je m’accorde, choisir son métier, choisir ses amis, l’endroit où l’on vit et je suis intransigeante la dessus !

Puisque vous êtes Punk, que faites vous pour lutter contre le conformisme ?

Même si je tiens à mon confort, pour moi être punk c’est un mode de pensée: accepter la plus totale des libertés. Ma première façon de lutter contre ce conformisme a été de faire du X, de l’assumer, de continuer à en faire et de rester dans cet univers que j’ai envie de défendre, d’autant plus que je suis également libre sexuellement dans ma vie privée.

En terme de plaisirs hédonistes, peut-être au dessus de la luxure, il y a la gourmandise… alors êtes vous gourmande ?

(Rires) Je suis le stéréotype de la fille de l’Est, j’aime les truc salés… j’adore le caviar et le hareng ! sinon je suis fan de la soupe de goulash mais c’est beaucoup moins glamour, un genre de pot-au-feu mais version hongroise. Je ne vais pas parler de Chantilly et de fraises …

Pour prendre soin de votre corps, vous faites du cross-fit ?

C’est plutôt de la torture que du sport ! Je ne suis pas une grande sportive mais j’aime beaucoup la danse, je fais des shows en discothèques, en revanche je n’aime pas courir, la salle de sport m’ennuie très vite et je passe plus de temps à regarder les gens ou à discuter qu’à faire du sport mais récemment j’ai un ami qui m’a proposé d’essayer le cross fit j’avais l’impression d’entrer dans une secte tellement les gens qui en font sont addicts, mais je comprends ! c’est hyper diversifié, beaucoup de mouvements différents, du cardio, haltérophilie, gymnastique, c’est aussi intéressant pour le corps que l’esprit et surtout c’est un vrai challenge, pour une fois que je suis la plus nulle du cours, une vraie mise en danger.

Pour celles et ceux qui vous découvrent, je l’espère avec plaisir, grâce à ce portrait quel serait le film que vous pourriez leur conseiller pour une première fois ?

En ce qui concerne les films ce serait la journaliste, mais plus globalement tous les films que j’ai tournée en 2015. Je me suis libérée de beaucoup de complexes. J’ai appris à travailler avec de nombreux réalisateurs. J’ai une meilleure technique mais j’arrive surtout à prendre du plaisir et du coup je pense procurer une certaine émotion pornographique. Donc principalement les dernières productions plutôt que les anciennes.

La réalisation ?

J’ai eu l’occasion de réaliser un film à petit budget mais j’aimerai en faire d’autres avec de plus gros budgets. Il faudrait que j’ai le temps d’écrire quelque chose de bien, pas de trop parlant parce que ce n’est pas le but dans le X, sans verser non plus dans le porno féministe, mais qui pourrait plaire à un large public, à des jeunes femmes de 20 ans, jeunes couples, j’aimerai aussi réaliser des courts, des moyens, des longs…

Que pensez-vous des scènes de sexe non simulée dans le cinéma traditionnel et par exemple du battage autour de fifty shade of grey alors que les acteurs étaient doublés ?

Je trouve qu’on a fait énormément de bruit autour de 50 nuances de Grey. Je suis allée voir le film par acquit de conscience. J’ai lu le 1er tome également (moins douloureux à lire qu’à regarder d’ailleurs), c’est clairement l’un des pires films de toute ma vie ! pourtant je suis fan de la série gossip girl et j’ai grandi avec Dawson, je peux vraiment être bon public… mais dans 50 nuances, il n’y a pas de sexe ! Pas d’enjeu, je trouve ça très gentillet, quand on pense aux Valseuses où il y avait vraiment quelque chose, aujourd’hui on nous vend du SM presque »Disney » ! alors que des réalisateurs comme Gaspar Noé par exemple avec Love sont capables de proposer du vrai contenu, mais c’est dans le milieu Underground et toujours trop loin du grand public.

En ce qui concerne la mode avez vous des préférences ?

Je ne porte quasiment que du noir, je déteste la couleur, c’est la raison pour laquelle je me suis teinte en blonde, pour faire ressortir le noir, je suis de plus en plus intéressée – pas forcément par la mode – mais par le vêtement. J’aime quand c’est bien taillé, comme The Kooples, j’aimais Balmain jusqu’à sa collaboration avec H&M. Maje, Sandro, dans toutes ces boutiques on peut trouver des trucs sympa. American Apparel pour les leggings, ça passe toujours !

D’ailleurs leurs publicités sont toujours très explicites et stylisées ! j’imagine que Terry Richardson, le Street-Art par exemple, ce sont des mouvements artistiques que vous appréciez ?

J’adore Terry Richardson, je trouve qu’il y a beaucoup de polémiques autour du personnage mais à côté de ça il est extrêmement talentueux, sa dernière séance avec Miley Cyrus est excellente voilà typiquement une personne a qui on a collé une étiquette et qui évolue en pleine liberté, elle renvoie une super image !

Qu’est-ce qui vous fait complètement décoller ?

Le caviar, le hareng (rires) certains garçons et certaines musiques.

C’est quoi pour vous le summum du luxe ?

C’est d’avoir beaucoup de second degré, d’autodérision, de recul sur la vie, d’avoir une sorte de mélange de dignité et d’autodérision et c’est valable quelque soit sont statut social !

Quelle est la cause que vous défendez plus particulièrement ?

Les travailleuses du sexe. Les strip-teaseuses. Les filles qui posent nues. Les actrices X. J’ai conçu ma vie de femme dans cet environnement là et je considère qu’il est anormal qu’une pratique faite entre personnes consentantes soit aussi mal considérée, qu’il y ait aussi peu de respect pour celles qui font ces métiers, qui existent depuis toujours. Quant on pense à celles qui aident les personnes souffrant d’un handicap par exemple, leur sexualité est malheureusement un tabou… D’autre part, si on regarde les Etats-Unis, la grande différence, c’est la mentalité, peu importe le domaine de réussite, cela provoque le respect. C’est la raison pour laquelle on peut voir des actrices X dans des séries télévisées ou des films mainstream, comme par exemple Game of thrones avec Shae (Sibel Kekilli) qui a eu un rôle très important. Au départ elle faisait du X allemand et a pu faire un film d’auteur et cette série, ou Sasha Grey dans The Girlfriend Experience de Sodebergh. Lorsqu’elles ont des compagnons célèbres, ils sont capables d’aller ensemble sans peur du jugement aux AVN Awards. Là-bas le X est une industrie à part égal des autres.

Est-ce que l’art tourne en rond, ou est-ce qu’il y a encore des champs à explorer ?

Aujourd’hui, si je prends ma génération, les 25 – 30 ans, nous avons des possibilités infinies de création. De projets réalisables et la capacité de les partager. Il faut avoir l’envie et se donner les moyens de les accomplir, grâce aux Internets, Youtube, Soundcloud etc. même les livres peuvent se diffuser en ligne et sans beaucoup de frais, il y a encore énormément de champs à explorer.

Dans le domaine du porno, il y a une certaine nostalgie du X des 70’s, le côté vintage, « classieux », est-ce abandonné ?

Je vous recommande Prison de chez Dorcel, il y a une esthétique très présente. Une mise en condition. Un vrai travail sur les lumières, le scénario. On est dans du pornart, du porno chic. Il ya quelques productions qui font encore ce genre de contenus, mais c’est une minorité, à part Marc Dorcel en Europe, il n’y a pas grand chose. Il ne faut pas oublier que les budgets sont très importants et que la qualité à un prix !

De fait, les besoins de votre industrie pour proposer des films toujours plus ambitieux passe par le payant plutôt que le tout gratuit ?

J’achète la musique sur Itunes et j’aimerai bien que mes fans aillent sur les sites légaux pour voir ou télécharger mes films. Il y a bien sur le site Dorcel.com, mais également de nombreuses plateformes sécurisées qui permettent d’acquérir les films sans pénaliser les actrices, les réalisateurs, les producteurs. En fait, la plupart des maisons de production ont des sites très bien fait et la qualité est réellement au rendez-vous ! Alors, faîtes-moi plaisir…

Un grand merci à Anna, Camille et Marie Laurence pour cette charmante rencontre.

A suivre: le Test de l’expérience de Réalité Virtuelle 360°3D par Marc Dorcel avec Anna Polina

Le Bar à ciel ouvert by KRUG au SHANGRI-LA HOTEL, PARIS

Le Shangri-La Hotel, Paris, en collaboration avec la Maison de Champagne Krug, dévoile en exclusivité du 1er juillet au 26 août, « Le Bar à ciel ouvert by Krug ». Situé dans l’une des plus belles chambres du Shangri-La Hotel, Paris, entièrement réaménagée pour l’occasion, « Le Bar à ciel ouvert by Krug » dispose d’une magnifique terrasse de 30 m² offrant une vue époustouflante sur la Tour Eiffel et les plus beaux monuments parisiens. Dans ce cadre exceptionnel, les amateurs de champagne auront le privilège de découvrir les emblématiques cuvées de la Maison Krug accompagnées, selon les envies, d’un assortiment de bouchées caviar, saumon, jambon bellota… Accessible de 18 h à 23 h, « Le Bar à ciel ouvert by Krug », permet de profiter du coucher de soleil et d’admirer le scintillement de la Tour Eiffel.

« Le Bar à ciel ouvert by Krug » : du 1er juillet au 26 août 2017 de 18 h à 23 h
Réservations au 01 53 67 19 98 à compter du 15 juin 2017
Prix au verre (hors bouchées) : 55 € pour un verre de Krug Grande Cuvée – Prix bouteille (hors bouchées) : 400 € Krug Grande Cuvée – 650 € Krug Vintage 2002 – 800 € Krug Rosé.
À noter : Soirée exceptionnelle, sur réservation obligatoire avec arrhes, pour le feu d’artifice du 14 juillet. Prix indicatif : 350 € par personne comprenant un verre de Krug Grande Cuvée.
SHANGRI-LA HOTEL, PARIS
http://www.shangri-la.com
10 Avenue d’Iéna, 75116 Paris
KRUG
https://www.krug.com
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, consommez avec modération.
credit © Roméo Balancourt

INTERVIEW EXCLUSIVE DE DAVID ZINCKE !

Ondes positives en approche … Grâce à David Zincke, on redécouvre le sens du mot cool, l’évidente simplicité des gens talentueux qui nous transportent en un clin d’oeil dans leur univers sans artifices ni matraquage. « Oh MY » résonne comme un hymne intergénérationnel,, un hymne aux free hugs et à la fraternité. A écouter et surtout à découvrir sur scène le 10 décembre au China Club, comme ça vous pourrez dire que vous étiez dans les premiers à l’avoir vu, car en 2015 il sera trop tard, tout le monde aura déjà succombé au charme de David Zincke !

Votre dernière chanson, « Oh my », sonne pour moi comme un hymne aux « free hugs et aux bons sentiments. Beaucoup de chanteurs aujourd’hui sont plutôt tristes, mélancoliques, est-ce que c’est dur de communiquer de bons sentiments ? »

– En fait j’ai voulu que cette chanson soit légère musicalement car elle ne l’est pas tant que ça dans les textes, parfois les mauvaises choses passent mieux lorsqu’elles sont dites avec légèreté !

On sent dans votre musique des sonorités blues – folk, presque de road-movies, d’où viennent vos influences : Doncaster, le sud du Yorkshire, les Etats-Unis ?

L’album est un melting-pot d’influences : Anglaises, américaines, françaises, les rencontres, les voyages tout cela se mélange, ce sont des sources d’inspirations qui convergent et se retrouvent ensuite dans ma musique.

Vous êtes en concert très prochainement, que préférez vous la scène ou le studio ?

La scène !!! j’ai joué jusqu’à 300 concerts par an. C’est aussi pour ça que je suis venu à Nice, j’ai pu jouer chaque soir et même en journée dans la rue, la scène c’est quitte ou double pas le droit de se manquer ! C’est vraiment quelque chose que j’adore.

A ce propos, conseillerez-vous à un jeune musicien de commencer par jouer dans des petits clubs ?

C’est sûr, il faut jouer ! que ce soit dans des petits clubs, la rue, partout : ça permet d’apprendre et de comprendre le public et d’entrer en communion avec lui, c’est une véritable école.

Comment s’est passée votre collaboration avec Medi :

On se connait depuis une dizaine d’années, je lui fait entièrement confiance, il a cette capacité à bonifier mon travail, le rendre plus efficace, ce n’est que du plaisir, notre collaboration est géniale !

Vous faites une reprise de « The Boxer » de Simon & Garfunkel, c’est symbolique ?

C’est une chanson que j’adore jouer elle me permet d’interagir avec le public, il n’y a pas beaucoup de paroles, donc elle a été facile à apprendre et les gens connaissent les paroles !

Chanter sans guitare c’est possible pour vous ?

Oh… Ca fait tellement partie de moi, chanter sans guitare… je ne saurais pas quoi faire de mes mains !!!

Nice parait être une destination étonnante quand on vient d’Angleterre, on se dit qu’il y a Londres ou les Etats-Unis ou même l’Allemagne …

En fait la France est un merveilleux pays pour un musicien il y a beaucoup de liberté et d’endroits pour jouer, c’est un véritable plaisir d’être ici !

Votre vidéo de oh my est assez vintage est-ce que le folk et le blues sont des musiques vintage ?

Le blues puise ses racines en Afrique et a continué de se developper jusqu’à maintenant, quand on voit des groupes comme les black keys par exemple on se rend compte que c’est une musique qui n’a jamais cessé d’exister, elle est juste parfois remise au gout du jour !

Avec un album et une tournée, que peut-on vous souhaiter en cette période de fêtes ?

Le bonheur personnel et c’est également ce que je souhaite à tous et à toutes

John Lennon aurait eu 74 ans cette année, que lui auriez-vous dit si vous l’aviez croisé ?

Merci !

Doncaster, une petite ville du nord de l’Angleterre jusqu’ici peu connue de tous, sera désormais célèbre comme étant la ville natale d’un artiste qui a déjà tout d’un grand. David Zincke.

L’élégance blues d’une voix, la justesse poétique d’un texte, la grâce folk d’un finger picking, la puissance et l’évidence pop d’une chanson. Voilà les maîtres mots qui font de ce songwritter l’un des trésors rares et incourtournables de 2014 et bien plus encore.

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Puisant depuis petit son inspiration en observant les siens, une famille de musiciens aux origines multiples, Mr Zincke a choisi de rejoindre ses cousins partis en exil sur les côtes d’un sud azuréen lui offrant le rayonnement musical dont il avait toujours rêvé. Avec eux, il foule chaque soir les scènes des cafés concerts de Nice, devenue véritable terre d’adoption.

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L’histoire dit qu’au détour d’une virée nocturne dans les ruelles de la capitale azuréenne, le chemin de David croise celui de Medi, musicien, réalisateur revenu depuis peu s’installer pour y développer la richesse de la scène locale. Le natif de Nice tombe littéralement sous le charme et lui propose ses services de producteur. Les deux hommes ont depuis entamé une promenade à l’anglaise, les amenant à l’élaboration d’un très attendu premier opus.

Les Prochaines dates de David Zincke

10 Décembre : @ China Club, Paris
11 Décembre : @ Public House, Frèjus
13 Décembre : @ B-Spot, Nice
14 Décembre : @ Kraspek Music, Lyon
16 Décembre : @ XX-café, Fribourg, Suisse
5 Février : @ Nouveau Casino, Paris

INTERVIEW THE AVENER (The Wanderings of the Avener)

INTERVIEW THE AVENER (The Wanderings of the Avener)

The Wanderings of the Avener, l’album tant attendu de The Avener disponible en pré-commande sur ITunes, sort le 19 Janvier 2015. The Avener, une patte délicate et radieuse, qui sonne à l’étranger comme une touche d’élégance so French, tout en s’affirmant comme la redécouverte du chaînon manquant entre l’émotion harmonique et la pulsion de danse. Un véritable prodige de la Deep-House, à l’origine du désormais mythique Fade Out Lines, qui a accepté de répondre à nos questions.

Pour commencer je voudrais reprendre une affirmation des Inrocks : « Prendre le risque de se lancer dans une carrière solo quand on trône confortablement dans son fauteuil de producteur émérite est toujours un pari risqué … » Qu’en penses-tu ?

Ca l’est dans la mesure ou l’on a pas confiance en soi ! Mais là, je suis très content de proposer quelque chose qui m’est si personnel et de ce point de vue là je ne prends pas de risques, à vouloir faire et partager quelque chose que j’aime. Je suis donc à moitié d’accord avec cette phrase là. Je prends ce risque, mais c’est parce que j’aime ce que je fais.

Alors, c’est quoi le plus grand risque ?

Le plus grand risque c’est que ça ne plaise pas du point de vue artistique, mais heureusement il y a toujours quelqu’un pour aimer la musique !

Rythm n’ Blues, Deep House, Soul, Techno… Où se trouve l’inspiration ? Dans les sonorités du passé, du présent, dans les voyages, les rencontres. Dans d’autres domaines comme l’art, la littérature, le cinéma ?

En fait c’est un mix de tout ça. Cela vient de mon activité de D.J, des voyages qui permettent de s’aérer l’esprit, de faire un point sur ce qu’on aime ou moins. Je n’ai pas de chemin particulier, mais l’inspiration c’est surtout le vécu, les voyages, les rencontres, le partage, la musique…

On te compare fatalement à d’autres artistes, c’est dur de prendre sa place dans un paysage musical adepte des carcans et des cases ?

Question intéressante ! La comparaison est nécessaire, parce qu’on a besoin de comparer, c’est le propre de l’homme, mais c’est risqué de comparer parce que dans la musique ou dans l’art, chacun a son propre truc. Il vaut mieux dénicher la différence et c’est là qu’on se rend compte que la comparaison est en fait inutile.

Le bonheur aujourd’hui c’est quoi : Le nombre de vues sur YouTube, la radio, les critiques élogieuses de la presse ou comme Boy George qui Twitte sur son mur, le public enthousiaste lors de tes sets ?

C’est tellement agréable !!! Boy George ! je suis fan de ces années là. La reconnaissance des pairs est très importante. C’est vrai qu’être suivi ou tweeté par des artistes aussi prestigieux, tu prends un screenshot ! ça arrive qu’une fois dans ta vie. Les 7 millions de vue sur youtube c’est un petit rêve, j’en suis très reconnaissant et mon plus grand stress, c’est de pouvoir confirmer avec l’album.

Justement, comment s’est passé l’élaboration de l’album. Est-ce que la sélection des morceaux fut difficile ou au contraire, ça c’est imposé comme une évidence ?

Je n’ai subi aucune pression artistique de la part du Label. J’ai laissé totalement libre court à mon imagination. L’album est un exercice de ReWork comme Moby ou d’autres l’ont fait auparavant. C’est parti d’un amas de coups de coeur pour des morceaux que j’apprécie depuis des années mais que je ne pouvais pas forcément jouer en tant que DJ, parce qu’ils n’étaient pas assez efficaces, ou lumineux. Il manquait quelque chose… et ça a été très simple quand on m’a dit : « Tristan, il faudrait que tu fasses un album« , j’ai simplement répondu : « Laissez moi le temps de le faire, ça va prendre un peu de temps mais je vais aller piocher dans mes coups de coeur !« . Il n’y a pas d’autres mots, c’est un album de « coups de coeur ». Pour moi, tous les morceaux sont tous égaux, il n’y en a pas un que je préfère. J’en suis très fier, très content. Je le dis parce que c’est important. C’est mon petit bébé et je ne me suis posé aucunes limites géographiques musicales, artistiques. J’ai fait quelque chose qui est le prolongement de mes idées et je suis très heureux d’avoir eu le support de mon Label. Ce sont des titres connus ou moins connus, mais ce ne sont pas forcement des morceaux récents et certains vont être totalement redécouverts même par ceux qui connaissent les morceaux originaux. D’ailleurs c’est là où les critiques risquent d’être les plus aiguisées ! mais c’est un album personnel. C’est avant tout, comme pour Fade out lines, le lancement d’un projet que j’avais envie de faire. Il y a de très belles choses. Un voyage, on passe par plusieurs styles et couleurs musicales : La Folk le Blues, la Funk, la Soul, la Chill-Out, tout ça part l’entremise de la Deep House. Parce qu’on accorde tous ces mouvements avec la Deep House, qui est pour moi un mouvement extraordinaire. J’ai mis ma patte, ma touche, je colorie un peu, je rajoute ce que je vois et je donne un peu plus d’énergie, d’efficacité ou de mélancolie, de joie, c’est un album qui s’écoute, certains titres pour danser et d’autres seul, pour soi, comme un médicament, c’est un peu tout ça réuni, The Wanderings of the Avener.

Quelle est la signification de la pochette du Single Fade out lines, un labyrinthe… au milieu on dirait la lettre Bereshit en Hébreu… y a t’il un sens caché dans tout cela ?

Un message d’errance, un labyrinthe, ce sont pleins d’étapes. Il y a une entrée et il faut trouver la sortie… mais la pochette de l’album est bien différente !

Est-ce que tu es attentif aux Remix faits à partir de tes productions ou morceaux ?

Très attentif, j’écoute beaucoup, des indépendants, mais des officiels aussi, parfois je demande a être remixé, parce que je trouve les artistes hyper intéressants, très attentifs, c’est une marque de respect, ça part d’une idée, c’est la même initiative que la mienne et je suis toujours curieux du résultat !

Tu es Dj depuis l’âge de 17 – 18 ans, est ce que tu penses qu’Internet favorise la créativité ou au contraire, de devoir piocher dans les bacs à vinyles pour découvrir un artiste ou un style c’est plus gratifiant ?

Il n’y a pas de meilleurs moyens. En tant que DJ je dirais que c’est cool d’aller dans les bacs à vinyles mais on trouve des trucs sur internet qu’on trouverait pas par ce moyen là et vice-versa. Ce qui est malheureux sur internet c’est le format, le mp3 qui perd un peu en couleur, mais l’oreille qui n’est pas habituée ne va pas forcément s’en rendre compte, il n’y a que les passionnés qui ont du gros matériel qui peuvent noter une différence. Les petites perles se dénichent partout, il y a fatalement, vu le nombre, beaucoup de déchets, mais il sort aussi beaucoup de belles choses, mais c’est un peu plus long de chercher. Dans les magasins tu es limité par le nombre, alors qu’internet c’est sans fin. C’est une manne formidable pour les professionnels comme pour les amateurs. Internet a mis du temps à se développer pour le partage musical. Myspace était précurseur, mais ce n’était pas encore aussi démocratisé, maintenant je m’aperçois qu’il y a des gens de 40 – 50 ans qui écoutent de la musique sur Soundcloud, qui font leur propre playlist sur Spotify, sur Deezer et grâce à ces plateformes de partages, peuvent se faire une culture musicale très diverse, très variée. Je suis très surpris de découvrir des petites perles grâce à des gens qui ne sont pas musiciens ou du métier, je trouve ça formidable. Il y a eu un vrai développement qui s’est fait, c’est sûr que c’est une ambiance différente du shop mais c’est le temps qui veut ça, il faut vivre avec. Dans tous les cas, on peut très bien trouver son bonheur sur internet ou chez les disquaires.

Est ce que tu as un titre, un film ou un livre fétiche au point de ne jamais t’en séparer ?

J’écoute beaucoup de musique des années 70, je ne suis pas très livres mais ça viendra et je commence à aimer ça. Il y a un titre de Al Green I’ll be around – un morceau qui ne me lâche jamais, que j’ai depuis 10 ans dans mes ipods, playlists et que j’adore toujours autant.

Tu préfères la scène où le studio ?

Certains disent 50/50 moi, c’est 60/40 ! La scène, c’est là qu’on ressent les émotions, que le travail se manifeste, s’incarne. La scène, c’est le plus bel endroit au monde pour moi, là où on se sent le plus vivant, petite confidence, je prépare un live pour l’été, c’est vraiment l’endroit le plus génial ! Le studio, j’adore aussi travailler, bidouiller mes morceaux mais je suis ravi quand le vendredi arrive d’aller jouer en Allemagne, en France, les Transmusciales. Scène, studio, c’est complémentaire, mais je préfère quand même la scène.

Avec tous les voyages que tu as pu faire à travers le monde, les scènes que tu as parcouru, tu te sens bien aussi en France ?

Bien sûr ! il y a une vraie ferveur électronique qui ressort, qui revient, elle a toujours été présente, mais un peu enfouie… sans rentrer dans une polémique, je me sens vraiment bien aujourd’hui en France. Tous les DJ confirment qu’il y a une vraie demande qualitative dans les clubs, dans les bars, les festivals, de musiques nouvelles, de musiques contemporaines et de plus en plus forte. En France, c’est une vraie résurrection de la musique électronique , grâce notamment aux sites de partages, les réseaux sociaux. Je ne me sens pas mieux a un endroit qu’un autre, j’ai la chance d’avoir fait 10 ans de DJ avant, je m’adapte un peu au public, à certaines tendances musicales mais je garde mon intégrité. L’Allemagne c’est peut être aussi un des meilleurs publics, très pointu, ouvert à la découverte. Ils viennent dans les clubs pour danser, là bas c’est un principe de dancefloor, pour autant la France a de très bonnes oreilles, une vraie ferveur, des demandes de morceaux hyper underground. Le métier de DJ a complètement changé avec Internet avant le DJ allait une fois ou deux par semaine dans son magasin de disques, il recevait des promos en White Label et il y avait très peu d’infos. Le DJ était précurseur. Aujourd’hui le public est précurseur de la musique que tu vas jouer, il a autant la main-mise sur la découverte musicale que le DJ, du coup toi tu dois être constamment a la recherche de la nouveauté. Tout le monde a les mêmes outils, certains clients de clubs sont avant-gardistes, ils connaissent déjà les morceaux alors qu’avant c’était en flux moins tendu, Ces amateurs éclairés de musique te font parfois découvrir de superbes choses.

En partant de la nouveauté, il est aussi possible d’aller puiser dans les racines comme tu l’as fait : John Lee Hooker, Al Green …

La Deep House permet cette recherche, la techno ne le permet pas c’est un format pré-fabriqué avec des règles stricte. J’avais une passion pour la Deep House que je n’osais pas mettre à jour, une passion pour le blues que je n’osais pas mettre à jour, mais grâce à ces deux outils fusionnés au sein de la Deep House, j’ai réussi avec Fade Out Lines à sortir quelque chose de différent, qui sort du lot, c’est le bonheur de cette musique et j’espère que ça va durer le plus longtemps possible !

La sortie de ton album c’est un aboutissement, une suite logique ou un commencement ?

C’est un aboutissement sur ce projet, mais c’est le commencement de ma maturité musicale, j’avais vraiment envie de proposer quelque chose de vintage, avec de vrais instruments, de vrais sentiments et en même temps de mélanger avec de l’électronique. C’est donc un commencement et un aboutissement après le succès de Fade out Lines.

BEAT SPACEK "MODERN STREETS"

Beat Spacek est le dernier projet du vocaliste et producteur anglais Steve Spacek, un homme qui n’a pas besoin d’introduction. L’album « Modern Streets » a été crée en grande partie à l’aide d’applications iPhone et iPad, voici une fois de plus ce que Steve peut faire grâce aux nouvelles technologies. Cet album est un voyage à travers l’évolution de la Grande-Bretagne moderne dans une perspective futuriste.

26 JANVIER NINJA TUNE

Beat Spacek is the latest project from UK vocalist/producer Steve Spacek, a man who should really need no introduction. With boundless abilities, his work transcends genre and style – instead focusing more on swing, melody, vibe and atmosphere. From his legendary output with the band Spacek – Curvatia (2001), Vintage Hi-Tech (2003); solo work on the cult Sound In Color imprint and collaborations with the late, great J.Dilla; to his under-the-radar Black Pocket project for dBridge’s Exit Records and his most recent work with Mark Pritchard as one half of Africa HiTech, his fearless approach to creation has always been progressive and highly original.

Beat Spacek sees him once again take the reigns as a solo artist creating a record that is as much a love letter to the future as it is an ode to the past. Created largely using iPhone and iPad apps, the album once again finds Steve liberated through new technologies, excited by the prospects of “the new” whilst expressing notions of the past. It’s a journey through the evolution of modern Britain from a futurist perspective.

Framed against a particular period in the 1980s when Steve was growing up as a young man in New Cross, South East London, Modern Streets is rooted in the duality of the past and the future. Flim-Flams was the club where he first experienced the clash of sounds and styles that characterised South London’s racial, ethnic and cultural melting pot. A spot where Punks, Soul Heads, New Romantics, Dread Locks and Skinheads all converged brought together through a love of music and new sounds.

From the paranoid, post-punk, sleng teng musings of « I Wanna Know » to the nu wave pop-powered love song « Inflight Wave », Modern Streets is a direct reflection of that experience, envisioned through the mind of a 21st Century Rudeboy. Ghanaian Highlife is re-imagined in digital form on « Tonight »; « Stand Firm » tips its hat to the dancehall with a futuristic rinse; whilst the sub-bass powered anthem « Alone in Da Sun » draws on the finest elements of dubstep’s sonic vocabulary and reworks them into a loose, new age club jam, brimming with soul and charisma.

« Mr. Polaroid » de Ferry Van der Nat @ Galerie de l’hôtel Jules&Jim

L’exposition « Mr. Polaroid » de Ferry Van der Nat est une exploration ludique de la nudité et de sa capacité à se métamorphoser sous le pouvoir d’un appareil photo instantané. .

Ferry Van der Nat a travaillé pendant de nombreuses années comme maquilleur professionnel et a commencé à prendre des clichés Polaroid pour documenter son travail. Son approche a récemment évolué vers un engagement plus formel et plus soutenu à l’égard de ce moyen particulièrement flexible, et l’exposition « Mr. Polaroid » se fait le reflet de ce lieu intermédiaire entre coulisses et studio. Les images qui en résultent fixent l’instant de façon tout à la fois ciblée et suggestive, incitant le spectateur à affronter la sexualité de plein fouet. Van der Nat travaille avec deux appareils photos, chacun ayant ses propres particularités techniques et sa propre importance culturelle. Le Polaroid Land Camera 103, qui date de 1965, donne une teinte bleu-vert aux images, comme s’il distillait une aura et un certain mystère autour des modèles. Le second appareil, le Polaroid Big Shot datant de 1975, est célèbre pour avoir été le modèle utilisé par Andy Warhol pour réaliser certaines de ses photos à caractère plus ouvertement sexuel – une ambiance qui a inspiré le propre projet de Van der Nat. Le volume encombrant de cet appareil photo place le photographe à une distance physique de ses modèles, sans pour autant empêcher une certaine intimité. Van der Nat a travaillé pendant de nombreuses années dans l’industrie de la mode comme maquilleur professionnel et styliste pour des magazines tels que L’Official et Vogue (édition néerlandaise) ainsi que pour les grands couturiers Viktor & Rolf. Il est actuellement propriétaire de Kabinet à Amsterdam, une boutique de vêtements design et vintage dans laquelle il présente sa vision des vêtements haute couture, tout à la fois extraordinaires et uniques.

« Polaroids » est sa première exposition en solo réalisé avec le concours de la Galerie THE RAVESTIJN GALLERY (Amsterdam). L’hôtel Jules & Jim la prolonge dans deux espaces et en deux temps. Du 24 au 29 juin, à l’occasion de la Fashion Week une sélection de YY photographies sera exposée dans le looby / galerie. Les plus suggestives seront quant à elles exposées dans une « chambre – Kabinet » les 28 et 29 juin.

Galerie de l’hôtel Jules&Jim 11, rue des gravilliers – 75 003 Paris Tel + 33 1 44 54 13 13

www.hoteljulesetjim.com

www.facebook.com/hoteljulesetjim

Du Lundi au dimanche de 10h à 20h

Exposition ouverte au public

LN-CC est selon Complex le meilleur magasin au monde

STORE CLOSED UNTIL MARCH 15TH 2014

The LN-CC store space acts as an evolving platform of curated ideas that encompasses menswear, womenswear, music, and books. The store consists of four individual product rooms, a library, a record store, gallery and a club space for private events with custom built, vintage sound system. The store is open 7 days a week and operates on an appointment-only basis. Booking an appointment is simple, and can be done by phone or by email. The store features two brand new product rooms, a new bar area and completely refurbished fitting rooms. ln-cc.com

Late Night Chameleon Cafe 18 Shacklewell Lane Dalston London E8 2EZ +44 (0)20 7275 7265

KITSUNÉ X NEW ERA CAPS

Kitsuné and New Era are at it again !

As the number of Kitsuné x New Era fans continues to grow, Kitsuné has decided once again to team up with New Era, the American headwear manufacturer famous for its official on-field caps worn by major international sports leagues.

Staying true to the Kitsuné aesthetic, co- founders Gildas Loaëc and Masaya Kuroki have reworked New Era caps to release 3 new styles, inspired by the brand’s heritage in American sports.

The three models include the famous 59FIFTY in classic navy/red and brand-new navy/yellow, the classic Camper, and in addition the new 19TWENTY style.

Both the 59FIFTY and Camper caps feature a 3D-embroidery of “Parisien” on the front.
Created in 1934 and inspired by vintage baseball caps, the 19TWENTY model in navy features a playful green “K” logo embroidered on the front panel.
The new models of caps are available at Maison Kitsuné Paris, New York and Tokyo boutiques, and on our webstore. 

This season, we are giving you 3 more ways to become Parisie

Billionaire Boys Club… Pour l'amour du style

Messieurs les guerriers de la mode, voici la marque ultime, je ne suis (à titre perso) pas sûr de porter le pantacourt mosaïque…

Founded in 2005 by super-producer Pharrell Williams and Japanese fashion icon Nigo – the founder of BAPE – Billionaire Boys Club take on preppy styles and classic shapes with a luxury edge. The line follows the mantra ‘wealth is of the heart and mind, not of the pocket’, as items are produced in very limited quantities using only the highest quality materials and are manufactured in Japan. For spring/summer ’11, modern military with technical references is the rule for Billionaire Boys Club, while a vintage country club theme also plays its part with crisp whites and preppy stripes featuring on polos and casual wear reminiscent of early tennis wear. oki-ni.com

 

PREPPY GIRLS en Teddy Adidas

AMBIANCE CAMPUS AME?RICAIN CHEZ ADIDAS ORIGINALS QUI NOUS PROPOSE DES VERSIONS REVISITE?ES DE L’INDE?MODABLE BLOUSON «TEDDY». ON CRAQUE POUR LE STYLE VINTAGE SPORT DE CETTE LIGNE IDE?ALE POUR LES «PREPPY GIRLS» T. LECT 0 800 01 10 01 ADIDAS.COM

CHICHA LIBRE – Canibalismo

La Chicha est une sorte de pop psychédélique, dérivée de la cumbia, gorgée de guitares surf, qui connut son heure de gloire au Pérou vers la fin des sixties. Sur ce nouvel album, le bien nommé CANIBALISMO, CHICHA LIBRE mélange allègrement sons rock vintage, rythmes latins, envolées psychédéliques, percussions irrépressibles, riffs de pedal steel, cavalcades de mellotrons, textes étranges et même, par-ci par-là, une guitare guinéenne.. On se régale toujours autant à l’écoute de la guitare surfabilly de Vincent Douglas, de l’Electravox wah-wah de Joshua Camp (modèle vintage d’accordéon électronique), et de leurs arrangements raffinés. Il est évident qu’Olivier Conan et ses complices ont écouté beaucoup de musiques sud-américaines (notamment celles du mouvement Tropicalia brésilien, à la devise  duquel – le cannibalisme culturel- le titre fait allusion) et beaucoup de pop 60s américaine et française. On décèle également des clins d’oeils à l’Afrobeat et à la musique des films indiens (ils sont des fans inconditionnels du grand Rahul Dev Burman, le John Williams de Bollywood…). Parmi les 11 compositions originales et les 3 reprises qui composent CANIBALISMO, on remarquera notamment la chanson L’Age d’or (interprétée –en français- par Olivier Conan avec sa diction rétro caractéristique), The Ride of the Valkyries (Wagner dans les Andes), ou des cumbias luxuriantes et planantes telles que « La Danza del Milionario ». Signalons aussi que Chicha Libre y rend hommage au génie des mathématiques du 19e siècle Carl Friedrich Gauss (“Number Seventeen”) ainsi qu’à l’inventeur d’une certaine drogue psychédélique (“Lupita en la Selva y el Doctor”).
EN CONCERT LE SAMEDI 30 JUIN AU NEW MORNING (20h00)

Dunhill – Bourdon House

Traiter ses clients comme des invités. Les marques de luxe rivalisent d’idées et d’attentions pour (re)donner du sens à l’acte d’achat. Au coeur de Mayfair, en retrait de l’agitation de Bond Street, Bourdon House, l’ancienne demeure du duc de Westminster, accueille le nouveau navire amiral de Dunhill. Difficile ici de parler de boutique, même si ce vaste hôtel particulier en briques sombres de style classique – le bâtiment date de 1720 – propose sur trois niveaux tout l’univers de la marque britannique de prêt-à-porter masculin, propriété du groupe Richemont : vêtements, accessoires, bagages, et, présentés dans la « discovery room », ces « toys for boys » et autres gadgets qui appartiennent à l’imaginaire de la maison. A l’étage, aux côtés d’un petit musée réunissant pièces d’archives et articles vintage, les clients se voient proposer les services d’un tailleur, d’un barbier, ainsi qu’un salon de coiffure et le désormais incontournable spa. Salon, salle de projection et cave à cigares ont trouvé leur place au sous-sol. (…) VALÉRIE LEBOUCQ La suite sur  www.lesechos.fr

CASIO & FEIYUE : A.S x Illuminator

CASIO & FEIYUE s’associent pour créer une collaboration unique qui allie vintage et modernité. Tout d’abord, CASIO présente sa montre devenue collector, gravée pour l’occasion aux couleurs des deux marques. La marque Feiyue – quant à elle – propose son modèle emblématique A.S (Association Sportive) d’inspiration retro, jouant avec les caractéristiques principales de la montre « vintage » classique Illuminator. 2 coffrets en édition limitée ! Pour la femme, le coffret «Gold édition». Pour l’homme, le coffret «Silver édition». Tous deux se composent d’une montre Casio Collection et d’une paire d’A.S aux chevrons jaune pastel (pour la femme) ou gris souris (pour l’homme) Le modèle reprend certains détails de la montre, tels les caractères digitaux sur la semelle intérieure et l’arrière du talon, ou le cadran embossé sur la languette en suede de la sneaker. En série limitée à 200 exemplaires et disponible début décembre, il sera le cadeau idéal pour Noël.

Back to the Boots pour CONVERSE

La boots va être un incontournable de l’A/H 2011 Converse qui n’est jamais en reste, l’a bien compris.

Pour donner naissance à cette nouvelle collection, la marque est naturellement allée puiser dans ses racines de « rubber industry », spécialiste a? l’époque de « outdoor boots » destinées à la chasse et la pêche.

Avec cette collection, Converse célèbre l’esprit «wild» et présente une collection de boots élégantes et robustes, spécifiquement pensées pour l’hiver.

Inspirations multiples Inspiration militaire pour l’homme avec la « Chuck Taylor All Star Bosey Winter Boot », qui fait revivre le modèle créé durant la seconde Guerre Mondiale pour l’armée de l’Air US. Ambiance « wild » avec les « Chuck Taylor Outsider Boot », modèle à  l’esprit «brut» et aux lignes solides. Ou encore allure chic, avec les « Chuck Taylor All Star Classic Boot » et leurs surpiqûres fac?on mocassin.

Lady boots Les pieds féminins ne seront pas en reste, puisque la «Chuck Taylor All Star Lady Outsider» a su marier inspiration militaire vintage et feminite « Chuck Taylor All Star Outsider Boot » De 90€ a? 180€ / T. Lect. 02 99 94 69 85

Look military pour citadins baroudeurs chez Jekyll & Hype

Esprit uniforme en version city pour les nouvelles chemises Military Vintage de Jekyll & Hype  disponible à l’achat en ligne à moins de 42€ avec le code promotionnel VINTAGE remise de 15% valable jusqu’au mardi 26 avril 2011 sur toutes les chemises hommes de la boutique jekyll-hype.com, sauf prix barrés.

Fred Perry cycle shirt – Laurel collection

The classic cycling shirt has been standard mod attire since the early 1960’s.Fred Perry is celebrating this link between sport and subculture with a range of Fred Perry Shirts referencing authentic retro-cycling styling details, fit and colour combinations. The range consists of four cycling shirts in the classic Fred Perry shirt pique all with a zipped down placket. The key piece is the porcelain Winter collar shirt with ‘Champion’ striping across the middle and small, zipped rear pocket. Other styles include the turquoise Winter collar shirt with black and white striped collar and cuffs and small, zipped rear pocket, the orange amber, white and black standard ribbed collar colour blocked shirt with three buttoned large rear pocket and ivy standard ribbed collar shirt with red, yellow and black striped collar and cuffs also with a three buttoned large rear pocket. The Fred Perry Shirts will sit in our Laurel Wreath shops alongside fifty vintage classic cycling jerseys in merino wool from the 60’s that have been hand picked by the in-house design team.

Kotchy – Baggy Spandex

New album from Brooklyn’s own Kotchy called Baggy Spandex. Kotchy’s sound is described as intelligent, deconstructive, dub-conscious, beat driven, electro-acoustic productions with a  vintage NYC feel. Kotchy’s co-labs and remixes have included Rusko, Drums of Death, his “Le Passion, Yo!” (EP) with Yo! Majesty’s Shunda K, Tricky, Empire Of The Sun & Fischerspooner. Kotchy – Barbara Cocker – DOWNLOAD HERE Kotchy – Diamond Johnny – DOWNLOAD HERE The Baggy Spandex Story: Baggy Spandex came about by a complete chance encounter on a dark street in Brooklyn’s Gownus neighborhood on the way home from a night out. Kotchy was walking along and finding a box of old albums on the sidewalk decided to have a look. As he was checking out the wax the front door opened and out walked Janine from Ghostbusters (Rick Moranis’ Secretary and Girlfriend) wearing a very confounding pair of baggy spandex shorts. It was decided then that Kotchy would go straight home, taking the albums with him and make an album comprised entirely of samples from this collection. It’s dedicated to Janine and it’s called Baggy Spandex! http://soundcloud.com/kotchy/sets/baggy-spandex www.kotchy.com

UNE COLLECTION PUMA EXCLUSIVE POUR LES 50ANS DE MARADONA !!!

LA NOUVELLE COLLECTION PUMA FOOTBALL COMMÉMORE LE 50ÈME ANNIVERSAIRE DE MARADONA Alors que Diego Maradona se prépare à célébrer son cinquantième anniversaire, PUMA a décidé de marquer l’occasion avec le lancement d’une nouvelle collection dédiée à l’un des plus grands footballeurs de la planète. Durant une carrière de joueur qui s’étend sur plus de 20 ans, Maradona a battu le record du monde des transferts à deux reprises, a mené Naples durant la période la plus couronnée de succès de l’histoire du club, et a conduit l’équipe d’Argentine à la victoire lors de la Coupe du Monde 1986 durant laquelle il remporta le Ballon d’or en tant que meilleur joueur du tournoi. Tout cela dans des chaussures PUMA. Peu de personnes oublieront le « But du Siècle » lorsqu’il récupéra le ballon dans sa propre moitié de terrain, dribbla six joueurs anglais avant de tromper Peter Shilton dans un moment qui a scellé son statut de légende du football. Maradona a porté des chaussures PUMA tout au long de sa carrière, vouant une passion à la marque qui n’a jamais faibli. Plus récemment, l’ancien sélectionneur argentin a pu être vu en train de porter des chaussures PUMA sur les terrains d’entraînement sud-africains, alors qu’il coachait ses joueurs lors de la Coupe du Monde 2010. La collection PUMA Diego est composée des éléments suivants :  King 10 Diego Finale iFG boot  – 100€ La chaussure PUMA King 10 Diego Finale IFG combine ce qui se fait de mieux en matière de technologie lightweight, présentant un cuir premium avec un léger élastomère thermoplastique injecté dans la semelle. La chaussure mélange les couleurs de l’équipe Argentine avec un logo et une signature Maradona  afin de créer une chaussure digne du roi lui-même. King Diego Finale Trainer – 45€ En cuir, elle possède un insigne et une signature Maradona afin que vous puissiez rendre hommage à l’un des plus grands joueurs de l’histoire sans sacrifier votre style. King Diego Graphic Tee  – 32€ Inspiré par ses fans, PUMA a créé ce tee-shirt unique utilisant des messages et voeux personnels des fans de Diego lors de ses années dorées.  King Diego Duffle Bag – 50€ Ce sac fourre-tout est aussi unique qu’il y parait. Portant une copie de la signature de Diego Maradona, le style vintage des années 80 de ce sac utilise le numéro 10 de Maradona et les couleurs nationales argentines. Ce sac est essentiel à tout joueur de football sérieux, offrant beaucoup d’espace avec un zip d’ouverture bilatéral pour le compartiment principal et une poche zippée sur le devant. L’élégance retro par excellence. King Diego Ball – 25€ Une autre manière d’honorer l’un des plus grands joueurs de football de l’histoire, le ballon. Ce ballon cousu main est fait pour résister aux tirs les plus durs. Le revêtement à plusieurs couches donne au ballon King Diego une meilleure stabilité et une aérodynamique améliorée  afin que vous puissiez effectuer vos meilleurs tirs. King Diego Jacket – 69€ La veste King Diego nous ramène aux jours de Maradona sur le terrain. La broderie féline iconique de PUMA, l’insigne Maradona sur le côté gauche de la poitrine et la signature de Maradona brodée dans le haut du dos, rendent cette veste aussi unique que le grand joueur lui-même. L’insigne du numéro 10 et les couleurs argentines vous feront vous sentir comme une idole. La collection PUMA Diego sera disponible à partir du 30 octobre 2010, afin de célébrer le 50ème anniversaire de Diego Maradona. PUMA vous réserve d’autres surprises à cette occasion. Pour plus d’informations, visitez www.puma.com

Who Told You That?

Jacek Sienkiewicz | Recognition Records R-EP029 In the world of factory presets, default settings and copy-paste ethics, there are few artists that actually care to make a difference. And “Who Told You That?”, 29th release on Warsaw Recognition label, is certainly a voice to be heard. The title track is another subtle narrative from label boss Jacek Sienkiewicz. Eerie chord and a solid, damp beat from the start are underpinned by sherds of dialogue – snippets of words and laughter keep coming back in the mix, providing some sort of uneasy commentary towards todays minimal house formula. But at some point the voices disappear – and then the tracks gently goes somewhere outside the boundaries of todays club music, somewhere otherworldly. This shift, albeit amazingly subtle, is a leap towards music free of any defined context, far beyond dancefloor and definitely original. If this sneak peak into the possible futures of man-machine induced visions is too much to handle, there is still the B-side of this release. Two tracks here – both clocking around mere 5 minutes – are prime exercises in compact, clever, tight and efficient club tools. Uplifting “Cobalt Drive” is bound to to be quoted and reworked into many forms of a late-night burner. “Patefon”, on the other hand, is a peak-time stormer with its stuttering chords and moody samples, supposedly picked from some vintage shellac discs. As tribal as it gets, this miniature novel reveals new meanings with each listen…. “incredibly good” Sven Schäfer (Raveline) “have to agree with my colleague: incredibley good! ” Alexis Waltz (Groove Magazine/De:Bug) “so muss Techno anno 2010 klingen. Entspannt und groovy.” Raveline “very much like the groove of who told you that but my favorite is cobalt drive. lovely release!” Electric Indigo “amazing trippy stuff.” Dario Zenker (Harry Klein) “strong EP – very cool – digging this and playing” Slam (Soma Records)

#4 du Be on Time by SWATCH

L’évènement #4 du Be on Time by SWATCH aura lieu ce dimanche 18 Avril à la Brocante Vintage de TURKY. Ambassadeur du vintage et du fifties sound !! Venez récupérer votre bracelet jaune entre 15h et 17h, le 4ème de votre collection. Il vous donnera accès GRATUITEMENT à la brocante, ainsi qu’ à d’autres petits avantages lors de cet évènement.  L’occasion pour vous de venir découvrir un espace rétro hors du commun avec une sélection d’articles très pointue.. Vêtement de grand couturier YSL, Céline.. Ray-ban et Persol à gogo ; mobilier d’usine, affiche rétro… Stand de coiffure rétro by Nicky et Concert fifties.  Pour avoir un avant goût du lieu, regardez le teasing : (cliquez sur le néon jaune).  maisonclothes.com/swatch-gallery On vous rappelle le principe: pour marquer la sortie de la collection de montres « Colour Codes », 8 événements ont lieu dans la capitale. Le but : récolter 6 bracelets de couleurs différentes et gagner ainsi 1 montre. tout cela se passe bien entendu sur MAISONCLOTHES.com Dimanche après-midi 15-17h Be on Time !!! Brocante Vintage – Chez Turky 9-11 cour Debille 75011 Paris M° Voltaire

ROCK IS MY LIFE – A SKYDOG STORY

À l’occasion des 35 ans du label Skydog records, la Galerie Chappe accueillera l’exposition « ROCK IS MY LIFE » qui débutera le 4 décembre 2008. Pour la première fois à Paris, Marc Zermati exposera l’histoire illustrée du rock qui a rythmé sa vie. Ce passionné ouvrira au public ses archives et trésors qui constituent un assortiment insolite et inédit d’affiches rares… L’exposition rassemblera les œuvres originales d’artistes Skydog. Celles-ci seront exposées au milieu d’affiches rock « vintage” , de documents originaux, de « cover design », de lithographies, de pochette vinyles et de photos appartenant à la collection privée de Marc Zermati. L’atmosphère de l’Open Market sera recréée dans la salle annexe de la Galerie qui affichera les vinyles, stickers, badges, billets de concerts et backstages, lettres d’artistes, dessins et lithographie, presse rock international, photos et albums d’un musicologue. Rock is My Life* : Iggy Pop & the Stooges, Lou Reed & The Velvet Underground, Motorhead, les Damned, les Slits, Elvis Costello, Johnny Thunders & the Heartbreakers, les Clash, Big Audio Dynamite, Eddie & the Hot Rods, Bijou, Little Bob Story, Electric Callas, Asphalt Jungle, les Dogs.Les œuvres d’Olivia Clavel, Kiki et Loulou Picassso du collectif punk Bazooka, du grapheur new yorkais Futura 2000 et de l’illustrateur des Sex Pistols Jamie Reed seront exposés parmi les affiches rares du concert des Sex Pistols au Chalet du lac à Vincennes, des inédits des Jefferson Airplane, de Bob Dylan, des Ramones, des Clash, de Jim Morrison et des Cramps pour ne citer que certain. La Galerie Chappe  Après l’exposition des œuvres poétiques écorchées de Pete Doherty feat Kate Moss, l’expo Amy Winehouse, les dernières photos de Kurt Cobain cette galerie du 18ème très agréablement située accueille un évènement esthétique rock & punk qui rend hommage aux précurseurs mais aussi éclaire les nouvelles générations. Ces attitudes rock qui expriment les révoltes et les désirs d’indépendance et s’incarnent dans le style de vie, la mode: blousons de cuir, pantalons de skaï aux couleurs électriques, tee-shirts déchirés et retenus par des fermetures Éclair ou des épingles de nourrice ou recouverts de slogans provocateurs. Sans hesiter le cinéma, la littérature s’inspire, le graphisme : avec le collectif Punk Bazooka & Un Regard Moderne (Liberation 77), le graffiti art de Futura 2000 (When Hip Hop Meet the CLASH), new wave, rock moderne, hip hop, goth et électro . S K Y D O G – The Story – En décembre 1972 Marc Zermati ouvre une boutique rock underground à Paris rue des Lombards l’Open Market, lieu incontournable de la contre-culture, du Rock et du Punk.Il fonde Skydog en 1973, le 1er label indépendant et signe la sortie de « Grease » des « Flamin Groovies », le visionnaire Kim Foley « Animal God of the Street » et « Suicide Jockey de Tyla Gang. En 1976 la signature du dernier live retentissant d’Iggy & The Stooges METALLIC K.O appuieront sur les détonateurs de l’été 1976 à Mont-de-Marsan quand Marc organisera le 1er festival Punk. Seront présents les Damned , Doctor Feelgood, The Gorillas, Eddie & The Hot Rods, Kalfon Rock Chaud et Passion Force (Black Punk Funk). L’année suivante en 1977 c’est la consécration avec plus de 6000 personnes au 2e festival Punk de Mont de Marsan qui acceuille les Clash, Police, Little Bob Story, les Damned, Rings, Maniacs, les Lou’s, Shakin’Street, Asphalt Jungle, Bijou,Tyla Gang, Marie et les Garçons et Doctor Feelgood. Marc Zermati Private Collection du 4 décembre 2008 au 4 janvier 2009 A la Galerie Chappe 4 rue André Barsacq – 75018 Paris – M° Abesses ou  Anvers Ouvert tous les jours de 14H à 20H et sur rendez-vous Tel – 01 42 62 42 12

CHRISTIAN LACROIX décore la suite Elle Décoration

La Cité de L’architecture et du patrimoine accueille le magazine Elle Décoration pour faire revivre l’ancien appartement de Jacques Carlu, architecte du Palais de Chaillot dans les années 30. Décorée par Christian Lacroix, dans un style très personnel, décalé et éclectique, la Suite Elle Décoration est ouverte au public. Dans cet espace de 250 m2, situé face à la Tour Eiffel et disposant d’une vue spectaculaire sur tout Paris, le couturier met en scène avec esprit son univers créatif, donne sa vision du style Elle Décoration en habillant le décor de mélanges audacieux aux accents baroques.  Au mur, d’étonnantes toiles peintes et une accumulation fantasque de cadres. Au sol, des moquettes spécialement dessinées pour lieu. Partout, des couleurs fortes et le télescopage des styles et des époques.  En collectionneur éclairé, Christian Lacroix, présente ses pièces « coups de coeur » : maquettes d’architectures (André Bloc, Claude Parent), oeuvres d’artistes (Daniel Firman, Hervé Salgado, Marlene Mocquet, Ettore Sottsass…), mobilier contemporain, pièces vintage signées des plus grands designers (Charlotte Perriand, Jean Prouvé, Joe Colombo, Pierre Paulin…) mais aussi photos (Pierre Jeanneret, George Nelson…) et objets du quotidien. La suite changera de visage plusieurs fois dans l’année, au fil des rencontres et des passions du couturier. La Suite Elle Décoration vue par Christian Lacroix a été réalisée grâce au soutien du mécénat culturel de La Redoute www.citechaillot.fr