Maurice Renoma Art Tribute (8 au 24 mars 2019)

Maurice Renoma Art Tribute (8 au 24 mars 2019)

Du 8 au 24 mars 2019, la ville de Boulogne-Billancourt donne carte blanche au styliste, designer et photographe Maurice Renoma pour investir l’Espace Bernard Palissy et son prestigieux théâtre avec un événement multimédia, culturel et artistique.

Au programme, une exposition rétrospective du parcours unique et pluridisciplinaire de Maurice Renoma, l’ouverture exceptionnelle d’un mini Renoma Café Gallery ainsi qu’une programmation éclectique au sein de l’ancien Théâtre de l’Ouest Parisien, regroupant spectacles de danse, concerts et cabaret, art numérique…

À travers cet événement pluriel, pensé comme un hommage à l’art et aux multiples formes d’expression artistique de la Contre-Culture, Maurice Renoma invite à s’immerger dans les images iconiques qui ont marqué l’Histoire du style, de la mode, de l’art et de la société.

La scène du théâtre accueillera des artistes en lien avec l’univers de Maurice Renoma à travers une programmation éclectique :
JEUDI 7 MARS : OUVERTURE, 18H30 / PERFORMANCES
Tribute to Street Art : Performance live de Bebar, French, Jace, Mush… Sur invitation.
VENDREDI 8 MARS / CONCERT
Tribute to Jazz : Hugh Coltman. Tarif exceptionnel : 20€ (et – de 25 ans : 12€)
SAMEDI 9 MARS, 21H / CONCERT
Tribute to Serge Gainsbourg : Barbara Carlotti.
DIMANCHE 10 MARS, 11H-19H / CINEMA
Journée de projection permanente de films Nouvelle Vague. Entrée libre.
VENDREDI 15 MARS : VERNISSAGE, 18H30 / SPECTACLES
Performance live d’Alex Augier, suivie d’extraits de Puzzle, spectacle du Jeune Ballet Européen puis d’un cocktail dans l’exposition. Sur invitation.
SAMEDI 16 MARS, 21H / CABARET
Spectacle des créatures travesties de Madame Arthur.
MERCREDI 20 MARS, 15H / SPECTACLE JEUNE PUBLIC
Le Monde Enchanté de Jean De La Fontaine de Jean-Jacques Debout.
JEUDI 21 MARS, 21H / SCÈNE OUVERTE
Concert de la scène émergente boulonnaise et de l’École de Musiques Actuelles.
Groupes : Alice & The Hollow Tree, Bievers Valley, Von Limb, Why Mud. Entrée libre.
VENDREDI 22 MARS : CLÔTURE, 21H / DANSE
Spectacle Puzzle du Jeune Ballet Européen.

Exposition du 8 au 24 mars 2019, du mardi au dimanche, de 11h à 19h. Accès libre et gratuit.
Espace Bernard Palissy — 1, Place Bernard Palissy 92100 Boulogne-Billancourt
Station de métro : Boulogne Jean-Jaurès, ligne 10.
Billetterie : Office de Tourisme de Boulogne-Billancourt.

“Dialogues” Une Avant-Garde Polonaise au Centre Pompidou

“Dialogues” Une Avant-Garde Polonaise au Centre Pompidou

« Dialogues » court film sur l’exposition « Une Avant-Garde Polonaise » au Centre Pompidou (ESTERA TAJBER STUDIO)

Le Centre Pompidou met à l’honneur l’avant-garde constructiviste polonaise des années 1920. Articulée autour de deux figures majeures du constructivisme, Katarzyna Kobro et Władysław Strzemiński, l’exposition conduit au gré d’un parcours historique complet à travers leur création dans tous les domaines, artistique, typographique ou du design industriel.

Réalisée avec le musée d’art de Lodz (Pologne), fondé par Kobro et Strzemiński et auquel ils ont confié la majorité de leurs œuvres, l’exposition permet de découvrir leurs univers riches et originaux, méconnus du grand public du fait des tourments de l’histoire qui ont marqué leur vie et leur pays. centrepompidou.fr

24 octobre 2018 – 14 janvier 2019, Centre Pompidou de 11h à 21h
Musée – Niveau 4 – Galerie du Musée, Musée – Niveau 4 – Galerie d’art graphique – Centre Pompidou, Paris. Accès avec le billet Musée et expositions

©2018 production ESTERA TAJBER STUDIO

FOUJITA, ŒUVRES D’UNE VIE (1886 -1968) –  La Maison de la culture du Japon à Paris

FOUJITA, ŒUVRES D’UNE VIE (1886 -1968) – La Maison de la culture du Japon à Paris

Du 16 janvier au 16 mars 2019, la Maison de la culture du Japon à Paris présente Foujita, œuvres d’une vie, une rétrospective du premier artiste japonais de renommée internationale installé à Paris.

Si la période parisienne de Foujita est la mieux connue du public français, l’exposition retracera l’ensemble de sa carrière – de son arrivée à Paris en 1913 jusqu’à sa mort en 1968. Elle réunira une quarantaine de peintures dont la plupart viennent du Japon et seront montrées à Paris pour la toute première fois. Son parcours s’articulera autour de cinq sections : Les débuts parisiens, La « success story » des années 1920 à Paris, Voyages en Amérique latine et au Japon, Face à la guerre, et Retour définitif à Paris. Il permettra d’appréhender comment l’œuvre de Foujita s’est en permanence renouvelé et imprégné de l’art occidental sans oublier sa culture japonaise.

https://www.mcjp.fr
101 bis Quai Branly, 75015 Paris

Géométries Sud, du Mexique à la Terre de Feu – Fondation Cartier pour l’art contemporain

Géométries Sud, du Mexique à la Terre de Feu – Fondation Cartier pour l’art contemporain

La Fondation Cartier pour l’art contemporain célèbre, avec l’exposition Géométries Sud, du Mexique à la Terre de Feu, la richesse et la variété des motifs, couleurs et figures dans l’art latino-américain. (Jusqu’au 

Géométries Sud, du Mexique à la Terre de Feu

De l’art populaire à l’art abstrait, de la céramique à la peinture corporelle en passant par la sculpture, l’architecture ou la vannerie, cette exposition rassemble près de 250 œuvres de plus de 70 artistes, de la période précolombienne jusqu’aux productions les plus contemporaines. Elle explore les formes multiples de l’abstraction géométrique en Amérique latine, qu’elles trouvent leurs sources dans l’art précolombien, les avant-gardes européennes ou les cultures autochtones encore vivantes aujourd’hui. Créant des dialogues inattendus, Géométries Sud tisse des liens visuels entre les époques, les territoires et les cultures, et invite à une rêverie au cœur de ces univers.

En découvrir plus: fondationcartier.com
261 Boulevard Raspail, 75014 Paris

Mr.’s Melancholy Walk Around the Town – Galerie Perrotin (Paris)

Mr.’s Melancholy Walk Around the Town – Galerie Perrotin (Paris)

Du 19 Janvier au 09 Mars 2019, la galerie Perrotin présentera une exposition « solo » de l’artiste Mr. intitulée Mr.’s Melancholy Walk Around the Town.

People misunderstand me and the contents of my paintings. They just think they are nostalgic, cute, and look like Japanese anime. That may be true, but really, I paint daily in order to escape the devil that haunts my soul. The said devil also resides in my blood, and I cannot escape from it no matter how I wish. So I paint in resignation. Mr. (Perrotin Hong Kong 2018)

Courtesy @ 2018 Mr./Kaikai Kiki Co., Ltd. All Rights Reserved.

Galerie Perrotin
76 RUE DE TURENNE 75003 PARIS

The C C Land Exhibition – Pierre Bonnard : La couleur de la mémoire (TATE MODERN)

The C C Land Exhibition – Pierre Bonnard : La couleur de la mémoire (TATE MODERN)

Du 23 janvier au 6 mai 2019, la Tate Modern présente la première grande exposition consacrée à Pierre Bonnard au Royaume-Uni depuis 20 ans. Souhaitant apporter un regard inédit sur l’œuvre novatrice du célèbre peintre, Pierre Bonnard : La couleur de la mémoire réunit une sélection d’une centaine de ses meilleures œuvres issues d’institutions publiques et de collections privées du monde entier. L’exposition vise à mettre particulièrement en lumière la façon dont les couleurs intenses et la modernité des compositions de Bonnard transformèrent la peinture de la première moitié du XXe siècle. Elle vient rappeler la capacité inégalée de Bonnard à capturer la fugacité du temps, des souvenirs et des émotions sur la toile.

The C C Land Exhibition – Pierre Bonnard : La couleur de la mémoire a pour commissaire à la Tate Modern Matthew Gale, Head of Displays, en collaboration avec Helen O’Malley et Juliette Rizzi, commissaires assistantes. L’exposition est organisée par Tate Modern en partenariat avec la Ny Carlsberg Glyptotek de Copenhague et le Kunstforum de Vienne.

THE C C LAND EXHIBITION
PIERRE BONNARD: LA COULEUR DE LA MÉMOIRE
TATE MODERN
23 JANVIER – 6 MAI 2019

Illustration: Window open onto the Seine (Vernon) 1911-12, Musée des Beaux-Arts, Nice

LA STRATÉGIE DU SANDWICH DE QUENTIN FAUCOMPRÉ

LA STRATÉGIE DU SANDWICH DE QUENTIN FAUCOMPRÉ

Quentin Faucompré travaille à la base le dessin, mais ne s’interdit aucun autre terrain de jeux. Il alterne expositions, éditions et performances. La Stratégie du sandwich est un livre inventaire qui réunit certaines pièces-ingrédients du puzzle que représente l’étendue de son travail. Chaque proposition y est présentée en fonction de sa nature formelle. Ainsi, la photographie montre l’objet livre et les installations, les captures d’écran figurent une trace des performances, l’imprimé expose le dessin… Le livre est une généreuse psychanalyse en roue libre, un rituel sous acide, non dénué parfois d’activisme politique, une véritable invitation à se frotter à un existentialisme farceur. La Stratégie du sandwich est accompagné de textes d’Éva Prouteau et de Jackie Berroyer.

Editeur Requins Marteaux
lesrequinsmarteaux.com
Collection Combines
ISBN: 978-2-8496-1243-9

Un flacon d’exception – Moët Impérial

Un flacon d’exception – Moët Impérial

A l’occasion des fêtes de fin d’année, Moët & Chandon rend hommage à l’art de vivre à la française . Un hommage qui s’exprime à travers le dessin de monuments emblématique du patrimoine français champenois : L’Orangerie de la Maison Moët & Chandon à Epernay, symbole de l’héritage et du rayonnement de Moët & Chandon tout au long de son histoire; l’Arc de Triomphe, construit par Napoléon qui fut l’un des premiers célèbres amateurs de la Maison et à qui le nom « Impérial » de la cuvée emblématique rend hommage; la Tour Eiffel, joyau de l’architecture française et fleuron de l’Exposition Universelle de 1889, clin d’œil à la conquête des nouveaux marchés entreprise par la Maison au XIXème siècle.

Disponible dans trois points de vente exclusifs : Galeries Lafayette Gourmet, Publicis Drugstore et La Grande Epicerie de Paris

L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ, À CONSOMMER AVEC MODÉRATION.

SOPHIE CALLE – PARCE QUE & SOURIS CALLE – PERROTIN

SOPHIE CALLE – PARCE QUE & SOURIS CALLE – PERROTIN

La galerie Perrotin présente une exposition personnelle de Sophie Calle, la quinzième depuis le début de la collaboration avec l’artiste en 2001. À cette occasion, Sophie Calle présente deux nouveaux projets Parce que et Souris Calle, avec la collaboration d’une quarantaine de musiciens.

L’exposition ouvre sur une série de photographies inédites, de la série Parce que masquées par des rideaux brodés d’un texte que le visiteur peut lire avant de les soulever pour découvrir l’image. Le texte qui débute par « Parce que » explique la raison pour laquelle cette image existe, pourquoi l’artiste a choisi ce moment ou ce lieu. Ainsi, « Parce que la tentation de la suivre » s’applique à La ligne blanche (2018), photographie d’une ligne de démarcation de route qui s’enfonce sous l’eau, ou « Parce que quoi d’autre après plus rien ? » devance Plurien, sortie (2018), cliché d’un panneau de sortie de ville, face au cimetière de Plurien. La justification de la photographie est ainsi lisible avant l’image, dans un rapport tautologique inédit qui questionne la relation texte – image.

sophie-calle2

Le vidéo-clip Souris Calle (2018) est projeté dans une salle adjacente: Sophie Calle y raconte les dix-sept années de vie commune avec son chat, sa personnalité, leur habitudes et le vide créé par sa disparition.

Le dispositif de l’exposition est complété par une sélection d’œuvres de la série des Autobiographies, liées au décès de Souris. Juxtaposant des textes encadrés avec des photographies, ces Autobiographies sont une des séries les plus fameuses de l’artiste. Depuis 1991 elles ont été exposées dans le monde entier : Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de la Ville de Paris, Tel Aviv Museum of Art, Sprengel Museum de Hanovre, Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, entre autres.

Illustrations: © Sophie Calle / ADAGP, Paris 2018

Perrotin
Jusqu’au 22 décembre 2018
https://www.perrotin.com
76 RUE DE TURENNE 75003 PARIS FRANCE

Expo : M.Chat Fait le mur à la Galerie Brugier-Rigail

Expo : M.Chat Fait le mur à la Galerie Brugier-Rigail

L’artiste M. Chat nous propose, dans cette nouvelle exposition (jusqu’au 12 janvier 2019), de découvrir l’influence et l’importante de la culture classique dans son œuvre.

La profondeur de la réflexion qui sous-tend son travail est révélée grâce à la transfiguration de ses modèles privilégiés, chats volants ou souriants, en les mettant en scène dans des environnements inspirés et hérités de l’iconographie médiévale. Le support de ses nouvelles œuvres, résolument urbain, imite les murs parisiens et les éléments qui les habitent (tuyaux, bouches d’aération, compteurs électriques…).

LaGalerie Brugier-Rigail (40 rue Volta – 75003 Paris) est ouverte du mardi au samedi de 11h à 19h30 et sera exceptionnellement fermée du 24 décembre au 2 janvier 2019 www.galerie-brugier-rigail.com

JAEGER-LECOULTRE – REVERSO TRIBUTE ENAMEL ALFONS MUCHA

JAEGER-LECOULTRE – REVERSO TRIBUTE ENAMEL ALFONS MUCHA

La collection Reverso Tribute Enamel est un hommage aux célèbres peintres partageant des valeurs communes avec la Grande Maison. Sur chaque montre Reverso Tribute Enamel, les artisans offrent au recto un cadran finement guilloché à la main recouvert d’un email Grand Feu translucide, et au verso une miniature émaillée d’un tableau inspiré par un célèbre peintre, tel qu’Alfons Mucha pour cette nouvelle collection.

Jaeger-LeCoultre a choisi de s’inspirer des panneaux décoratifs particulièrement représentatifs de l’œuvre du peintre « Les Saisons» (1896), pour orner trois modèles différents de la Reverso Tribute Enamel, chacun limitée à huit exemplaires. Une exposition des différentes œuvres d’Alfons Mucha se tiendra par ailleurs au Musée du Luxembourg à Paris Jusqu’au 27 janvier 2019. museeduluxembourg.fr

@jaegerlecoultre #JaegerLeCoultre
https://www.facebook.com/Jaegerlecoultre
(Crédit photo Jaeger-LeCoultre)

JAEGER-LECOULTRE – REVERSO TRIBUTE ENAMEL ALFONS MUCHA

JAEGER-LECOULTRE – REVERSO TRIBUTE ENAMEL ALFONS MUCHA

La collection Reverso Tribute Enamel est un hommage aux célèbres peintres partageant des valeurs communes avec la Grande Maison. Sur chaque montre Reverso Tribute Enamel, les artisans offrent au recto un cadran finement guilloché à la main recouvert d’un email Grand Feu translucide, et au verso une miniature émaillée d’un tableau inspiré par un célèbre peintre, tel qu’Alfons Mucha pour cette nouvelle collection.

Jaeger-LeCoultre a choisi de s’inspirer des panneaux décoratifs particulièrement représentatifs de l’œuvre du peintre « Les Saisons» (1896), pour orner trois modèles différents de la Reverso Tribute Enamel, chacun limitée à huit exemplaires. Du 15 octobre au 3 novembre 2018, il sera possible de découvrir ces pièces exceptionnelles au sein de la boutique de la place Vendôme, Paris 1er.

Une exposition des différentes œuvres d’Alfons Mucha se tiendra par ailleurs au Musée du Luxembourg à Paris Jusqu’au 27 janvier 2019. museeduluxembourg.fr

@jaegerlecoultre #JaegerLeCoultre
https://www.facebook.com/Jaegerlecoultre
(Crédit photo Jaeger-LeCoultre)

FUSIBLE 10A

Il ne s’agit pas du titre d’un album de Kraftwerk, encore moins d’une référence à un obscure groupe de proto-electro-punk. Fusible 10a est tout simplement le nom du plomb qui a sauté dans ma salle de bain. J’ai hésité à poster sa photo sur Instagram et sur Twitter, avec des hashtags bien sentis comme : #shinealight #putainjpetelesplombs #paslalumiereatouslesetages, mais même avec des super filtres, on peut légitimement convenir que, dans l’absolu, ça n’a aucun intérêt ou valeur ajoutée. Ni pour vous ni pour moi. Pourtant, après réflexion, il me semble qu’il n’y a pas plus de vie, d’imagination, de légitimité dans cet hypothétique cliché, que dans ceux que postent à longueur de journées et de nuits nos contemporains, tellement fiers d’afficher leur anatomie, le soleil, leurs chaussures de course, la mer, la piscine, l’assiette vide ou pleine, la salle de sport, le panneau de signalisation, la télévision, l’objet inanimé, le fruit, le légume, leur avis sur le tout et sur le rien, surtout sur le rien… Est-ce un automatisme, une forme de narcissisme normée et revendiquée, ou le fruit d’une réflexion construite ? Quid du sens artistique, de l’intention, du but ? Dénuée d’une ambition créatrice, l’exhibition devient crue et malsaine, en ce sens le préfixe #porn traduit bien cela, une exposition froide et sans affect, mécanique et aseptisée. On pourrait aussi parler de #porn news, #porn politique, # porn philo, #porn music, etc. « L’autonomie de la volonté est le principe unique de toutes les lois morales et des devoirs qui y sont conformes. » (Emmanuel Kant / Critique de la raison pratique)

INTERVIEW JULIETTE ARMANET : CAVALIER SEULE

INTERVIEW JULIETTE ARMANET : CAVALIER SEULE

Après une finale des Inrocks Lab en 2014. Deux albums piano-voix baroque. Une résidence à la Villa Médicis, elle se tourne désormais vers la pop à la française. Juliette Armanet nous invite à faire Cavalier Seule, chevaucher dans des contrés d’amour des mots. Des sonorités qui touchent le coeur. Des mélodies qui appellent les corps. Au rythme de sa voix et de son piano…

Après avoir écouté attentivement les 4 titres de Cavalier Seule (voir le track par track) et réécouté l’amour en solitaire, je me suis demandé si vous étiez d’accord avec cette citation de William Shakespeare dans la nuit des Rois : « La musique est l’aliment de l’amour ? »

Oui, dans mon cas, l’amour est le thème principal de beaucoup de chansons. On chante pour se consoler, pour séduire, par nostalgie, pour l’être aimé… effectivement je suis d’accord avec Shakespeare !

Compte tenu du titre de l’e.p « Cavalier Seule » et de sa remarquable pochette : Etes vous, indomptable ? fougueuse ? sauvage ? ou indépendante ?

Je suis tout cela à la fois… sauf sauvage ! Mais je suis très indépendante, une vraie tête brulée, par la force des choses et mon histoire. Assez instinctive. En fait, je n’en fait souvent qu’à ma tête ! Le titre Cavalier Seule, j’y tenais énormément. Il a un côté à la fois masculin, féminin, une grande dualité et en même temps conquérant, qui suggère une fin de parcours, très poor lonesome cowboy.

Vous êtes invitée du Festival international de Mode et de photographie de Hyères, après la villa medicis, le centre pompidou avec Saycet, les collaborations avec Théo Mercier notamment, est-ce que vous êtes dans une forme d’exposition musicale ou de fusion des genres ?

J’essaye ! Je viens du théâtre. J’aime mélanger les arts, les genres. Je rêve un jour de faire des concerts hybrides avec des danses et des lectures par exemple. Je n’ai pas envie de me priver de l’aspect visuel qui est très important pour moi. Je suis une collectionneuse dans l’âme, très attachée à l’esthétique. Je cherche encore mes marques. Pour le clip de Manque d’Amour, le réalisateur a eu carte banche, mais j’adorerai réaliser mes vidéos !

Les français adorent les comparaisons et les révélations : Une femme au piano c’est la nouvelle Véronique Sanson. C’est français et bien tourné : William Scheller, Michel Jonasz, Polnareff ou Berger mais en réalité d’où viennent vos influences ? (Je dois vous avouer que j’ai eu des flashbacks de l’effrontée de Claude Miller en vous écoutant !) Au passage… Est-ce que vous militez pour le retour du slow avec Manque d’amour ?

A fond !!! La ballade c’est une danse pré nuptiale dans laquelle on s’abandonne, comme dans le film la Boum. Ce slow langoureux et chargé d’électricité qui finit par des pelles, yeux humides et cheveux mélangés… Je dois confesser que mon rêve serait de passer sur radio Nostalgie. Je n’ai aucun problème à faire de la variété et de ne pas faire partie d’une niche « Indé ». J’aime l’idée du grand public, de 7 à 77 ans, tous réunis, de toucher ces coeurs en même temps. Je suis ultra attentive à la mélodie, au sens de l’harmonie. Jeune j’ai été bercée par la musique classique, le baroque ou Chet Baker mais j’ai ressenti l’appel de la pop, des Bee Gees à Patrick Juvet, de Bashung à celles et ceux que vous avez cités. Hors des modes, hors du temps, juste des belles chansons pour tous. C’était déjà mon ressenti dans l’Amour en solitaire.

Quand on voit les finalistes sosh aime les inrocks lab 2014 : Vous, Camp Claude, Feu Chatterton mais également Christine & The Queens à Coachella, Brigitte, sans compter des groupes comme Grand Blanc, Bagarre. Est ce que vous ressentez un changement dans le paysage musical français ?

J’ai l’impression que ça bouge, il y a eu une période un peu plus creuse il y a 4 – 5 ans mais aujourd’hui, une nouvelle vague est en train de s’installer, même si les télé- crochets perturbent le paysage avec leur soif de performance vocales !

Vous avez fait les premières partie de Julien Doré, Sébastien Tellier, Bryan Ferry, Juliette Gréco, en duo avec Saycet, qui est d’ailleurs présent sur le titre « La Carte Postale ». Remixée par Yuksek dans le cadre de Colette French Kiss, c’est sans doute délicat comme question, mais à brule pourpoint qu’elle fut l’expérience la plus marquante ?

J’ai été totalement bluffée par Juliette Gréco au printemps de Bourges. Un de mes plus beaux souvenirs de concert, elle était éblouissante, drôle, sensuelle. Les expériences de scène sont toutes particulières, Brigitte c’était charmant, très girly. Avec Julien Doré on a fait une trentaine de dates, le public était si chaleureux. On apprend tellement et puis il y a des émotions folles : Il faut y aller ! je ne vous cache pas que pour mon premier Olympia je me suis servi un petit whisky avant de monter sur scène !

Sur Cavalier Seule, j’ai noté la présence de Raoul Chichin à la guitare. La plupart des musiciens ont bossé avec Sébastien Tellier, je pense à Jerome Arrighi ou avec la fine fleur de la scène française actuelle comme Marlon B, comment s’est passé l’enregistrement ?

Pour la chanson « Manque d’Amour » par exemple, on a fait une prise live : Piano – Voix et ce fut la bonne. Après j’ai ajouté mes arrangements. Mais tout s’est fait naturellement, en pleine confiance et intelligence. Je suis très old school alors je serai ravie si l’album à venir pouvait sortir en vinyle, je ne suis pas du tout playlist, je préfère écouter toutes les chansons à la suite et puis il y a le plaisir de l’objet.

Chanter sans piano, ce serait possible pour vous ?

J’y travaille, d’autant plus que j’adore danser et certaines de mes chansons peuvent s’interpréter debout, mais le piano c’est un peu mon armure !

Est ce que vous avez un titre, un film ou un livre fétiche au point de ne jamais vous en séparer ?

Ma référence du moment c’est Loulou de Maurice Pialat avec Depardieu et Huppert. Je suis très Loulou !

1. MANQUE D’AMOUR : Rappelez-vous ce moment, fébrile sur la piste de danse, lorsque le ou la cavalier(e) que vous convoitez accepte ce slow qui restera gravé dans votre mémoire, premier baiser, étreinte charnelle. Le ton est donné. Manque d’amour malgré son titre, est-ce un hasard ? vous rappellera à la nostalgie de toutes les premières fois.

2. CAVALIER SEULE : L’amour se consomme, sur un rythme enlevé, oriental et une prosodie mi femme mi cheval. Une piste exaltante qui fleure bon l’univers de John Ford.

3 LA CARTE POSTALE : L’amour se consume, à distance, blues, mélancolie, spleen et souvenirs.

4 Adieu Tchin Tchin : Cette fois c’est sûr, l’amour est mort mais rien de grave, il suffit de tourner la face du 45 tours, pardon, de revenir sur la première track pour se replonger à nouveau dans les méandres du jeu de l’amour et du hasard.

En savoir plus : https://www.facebook.com/JulietteArmanet

Labolic x Cracki Records : Wall exhibition / Creative afternoon

Le Labolic, association d’artistes créée en 2014, organise un event samedi 2 avril avec le label de musique Cracki Records. Une ancienne usine transformée en lieu d’exposition 20 artistes / 20 fresques monumentales Concert et Live act par Cracki Records Buvette artistique et activités toute l’après-midi : Sérigraphie chocolat sur crèpes, tournois de ping pong, Jeux rétro… A noter : La journée se soldera par une soirée. Les places sont disponibles sur l’event : https://www.facebook.com/events/1702154263394138
ARTISTES : Sixo / JUAN / Tetar / Bault / HOROR / Saint-Oma / Florian Marco / MonkeyBird / Madeleine Froment / Yoann Truquin / Brice Maré / Alex Pariss / Norione / Clr.C / Or Katz / La mue / Katset / Lyyst
INFOS :
Date : 02.04.16
Horaires : 14H00 – 22H00
Lieu : Rue Pierre et Marie Curie, Ivry-sur-Seine
Prix : Gratuit
Accès : Metro L7 / Station Pierre et Marie Curie
Evenement hébergé par le nucleus. Lieu hybride d’expérimentation, d’hébergement et de développement pour les acteurs de la nouvelle économie et mis en place par Créative Valley et Plateau Urbain.

Savile Row : Les maîtres tailleurs du sur-mesure britannique

Les maîtres tailleurs de Savile Row, dans le quartier londonien de Mayfair, habillent les rois, les présidents, les acteurs de cinéma, les légendes du rock et les milliardaires. Un costume de Savile Row représente le comble de l’élégance masculine.

À l origine réservée à l’aristocratie et aux militaires, Savile Row est devenue une destination internationale  notamment grâce à Hollywood -, animée aujourd’hui par une nouvelle génération de tailleurs qui a redonné à une clientèle illustre le goût du sur-mesure et de la pièce unique faite à la main. Ce livre rend hommage à cet épicentre de l’élégance à travers l histoire de ses tailleurs et des célébrités qui ont fait et font sa réputation.

Des documents d’archives rares, des photographies de mode et de stars, ainsi qu’un reportage photographique inédit, rendent compte des petites et des grandes histoires de ce monde exceptionnel dédié au raffinement des coupes et des finitions, à la perfection de la ligne, au chic masculin absolu.

Ce parcours exceptionnel nous plonge dans une ambiance typiquement londonienne, à la rencontre de ces artisans de la façon qui font de la tradition de la coupe et du savoir-faire le secret de leur modernité. Biographie de l’auteur Auteur : James Sherwood, journaliste londonien, écrit depuis quinze ans pour Financial Times, Independant, et International Herald Tribune. Il a mené son enquête sur de nombreuses années auprès des tailleurs de Savile Row et organisé plusieurs expositions sur le « London Cut », au Palais Pitti à Florence et dans les résidences des Ambassadeurs de Grande Bretagne à Paris (2007) et à Tokyo (2008).

Son livre fera date comme un véritable ouvrage de référence sur l’élégance masculine. Cet ouvrage a été traduit en Français par Elisabeth Guillot.  James Sherwood Préface de Tom Ford.

Qui est Diane Arbus ?

Diane Arbus, de son vrai nom Diane Nemerov (1923, New York – 26 juillet 1971) est une photographe américaine. Elle concentre son activité à New York et ses alentours, photographiant des inconnus dans la rue. Fascinée par les personnages hors-normes elle photographie également des travestis, des malades mentaux, des jumeaux etc. En mélangeant le familier avec le bizarre, Diane Arbus dresse un portrait troublant de l’Amérique des années soixante. En 1967, elle participe à l’exposition « New Documents » qui se tient au Musée d’art moderne de New York avec des portraits qui côtoient les vues urbaines de Lee Friedlander et Garry Winogrand. Là encore son travail apparaît comme un événement qui contribue à imposer la photographie documentaire comme un genre artistique propre se distinguant du reportage. Dépressive, elle se suicidera le 26 juillet 1971. Son influence sur la photographie américaine est considérable. Elle a contribué à imposer l’idée que la photographie est un art à part entière. Elle travaillait en noir et blanc et développait elle-même ses travaux afin de maîtriser complètement le résultat de ses œuvres.

« Mr. Polaroid » de Ferry Van der Nat @ Galerie de l’hôtel Jules&Jim

L’exposition « Mr. Polaroid » de Ferry Van der Nat est une exploration ludique de la nudité et de sa capacité à se métamorphoser sous le pouvoir d’un appareil photo instantané. .

Ferry Van der Nat a travaillé pendant de nombreuses années comme maquilleur professionnel et a commencé à prendre des clichés Polaroid pour documenter son travail. Son approche a récemment évolué vers un engagement plus formel et plus soutenu à l’égard de ce moyen particulièrement flexible, et l’exposition « Mr. Polaroid » se fait le reflet de ce lieu intermédiaire entre coulisses et studio. Les images qui en résultent fixent l’instant de façon tout à la fois ciblée et suggestive, incitant le spectateur à affronter la sexualité de plein fouet. Van der Nat travaille avec deux appareils photos, chacun ayant ses propres particularités techniques et sa propre importance culturelle. Le Polaroid Land Camera 103, qui date de 1965, donne une teinte bleu-vert aux images, comme s’il distillait une aura et un certain mystère autour des modèles. Le second appareil, le Polaroid Big Shot datant de 1975, est célèbre pour avoir été le modèle utilisé par Andy Warhol pour réaliser certaines de ses photos à caractère plus ouvertement sexuel – une ambiance qui a inspiré le propre projet de Van der Nat. Le volume encombrant de cet appareil photo place le photographe à une distance physique de ses modèles, sans pour autant empêcher une certaine intimité. Van der Nat a travaillé pendant de nombreuses années dans l’industrie de la mode comme maquilleur professionnel et styliste pour des magazines tels que L’Official et Vogue (édition néerlandaise) ainsi que pour les grands couturiers Viktor & Rolf. Il est actuellement propriétaire de Kabinet à Amsterdam, une boutique de vêtements design et vintage dans laquelle il présente sa vision des vêtements haute couture, tout à la fois extraordinaires et uniques.

« Polaroids » est sa première exposition en solo réalisé avec le concours de la Galerie THE RAVESTIJN GALLERY (Amsterdam). L’hôtel Jules & Jim la prolonge dans deux espaces et en deux temps. Du 24 au 29 juin, à l’occasion de la Fashion Week une sélection de YY photographies sera exposée dans le looby / galerie. Les plus suggestives seront quant à elles exposées dans une « chambre – Kabinet » les 28 et 29 juin.

Galerie de l’hôtel Jules&Jim 11, rue des gravilliers – 75 003 Paris Tel + 33 1 44 54 13 13

www.hoteljulesetjim.com

www.facebook.com/hoteljulesetjim

Du Lundi au dimanche de 10h à 20h

Exposition ouverte au public

PIPILOTTI RIST

Pipilotti Rist, en réalité Elisabeth Charlotte Rist, (21 juin 1962 à Grabs dans canton de St. Gall en Suisse) est une vidéaste suisse. Elle vit à Zurich, Bâle et Leipzig. Elle a obtenu sa maturité et a poursuivi ses études artistiques dans l’illustration et la photographie à la Haute Ecole d’arts appliqués de Vienne. Elle suivit la classe de création audiovisuelle à la « Schule für Gestaltung » de Bâle. De 1988 à 1994, elle fut membre du groupe de musique « Les reines prochaines». En quelques années elle maîtrise les images et elle les travaille longuement avec sa table de montage et son ordinateur. Elle incorpore dans ses vidéos des effets cinématographiques. Elle umet à profit les « défauts » de l’image et utilise le brouillage, le flou, les renversements ( l’image peut se retrouver inversée ou sur le côté comme dans l’une de ses vidéos où le spectateur est invité à se coucher pour la regarder ), le rythme, les plans rapides, les couleurs, les sons et la musique. De 1990 à 2001, elle travaille dans la vidéo et les installations vidéos à Zürich. Elle fut la première directrice artistique de l’Exposition nationale suisse de 2002 (Expo.02). 1982-1986 Etude artistique d’illustration et photographie à la haute école d’art appliqué à Vienne (Autriche) Graphiste pour ordinateur dans la pharmacie 1986-1988 Suit la classe de création audiovisuelle à « Schule für Gestaltung », Bâle Depuis 1984 travail avec des « Performances » et de la cofondatrice de l’orchestre féminin »Les Reines Prochaines«; Depuis 1988 art vidéo et installation vidéos En 1998, elle fait partie des finalistes du Prix Hugo Boss d’art contemporain 1997-1999 Directrice artistique de l’Exposition nationale suisse de 2002(Expo.02)

Concours de création d’affiches Godzilla

À un peu plus d’un mois de la sortie officielle du film le plus attendu de l’année, Godzilla crée l’évènement en offrant aux fans la possibilité de participer à un concours de création d’affiches exceptionnel.

Dès à présent et jusqu’au 22 avril, les internautes sont invités à partager leur vision de la légendaire créature.  En jeu : l’affiche sélectionnée par le réalisateur sera utilisée pour la campagne nationale du film, et les meilleures publications seront présentes lors d’une exposition à la BNF. Godzilla est désormais légendaire.  Soixante ans – et 28 adaptations cinématographiques – après la création du monstre par Tomoyuki Tanaka, c’est au tour de Gareth Edwards de s’emparer du mythe. Tandis que les afficionados bouillonnent d’impatience à l’idée de découvrir le monstre en 3D dans le « blockbuster intimiste d’une ampleur dingue » (Première) qui se profile, c’est donc aux fans de laisser libre court à leur imagination ! http://mywb.fr/76mPLc

Expo Super-héros : Alex Ross @ La Mona Bismarck Foundation

Cette exposition présentera pour la première fois en France, une vaste sélection de ses œuvres, provenant de la collection personnelle de l’artiste et mettra en lumière l’extraordinaire diversité de ses projets depuis ses débuts avec Marvel jusqu’à ses travaux les plus récents sur Flash Gordon et Green Hornet. (…) lire la suite onela.eu

La Tour Paris 13 inédite sur la page Facebook de la Galerie Itinerrance

Conformément au calendrier des travaux de démolition, la Tour Paris 13, la plus grande exposition de Street Art jamais réalisée à Paris, a fermé définitivement ses portes en octobre dernier pour laisser place aux pelleteuses. Mais cette phase de démolition réserve encore bien des surprises, à commencer par les photos inédites prises par la Galerie Itinerrance et visibles sur sa page Facebook, avant la destruction finale et magistrale début avril !

Parmi les photos mises en ligne sur la page Facebook de la Galerie Itinerrance, on retrouve notamment les oeuvres de El Seed, Jimmy C, Inti Castro (1ère colone, de haut en bas), Alone, Stinkfish ou encore Dabro (2e colonne, de haut en bas).

La démolition de la Tour Paris 13 à suivre début avril sur Facebook et Twitter La démolition finale de la Tour se fera en deux temps. Le 31 mars sera détruit l’immeuble adjacent, puis, à partir du lundi 7 avril, une grue s’attaquera aux parois extérieures de la Tour Paris 13 selon le procédé dit de « grignotage », laissant quelques jours durant, étages après étages, à la vue de tous l’intérieur de la Tour et les oeuvres restantes des artistes. L’occasion pour la Galerie Itinerrance de réaliser une dernière expérience artistique sur la plus grande exposition de Street Art jamais réalisée. Une expérience qui sera relayée sur le fil Twitter et la page Facebook de la Galerie Itinerrance. Détails à suivre ! Puis, en cohérence totale avec le mouvement du Street Art, tout disparaitra dans les gravats.

Après la démolition de la Tour Paris 13 L’aventure digitale et transmédia du projet restera accessible sur le site www.tourparis13.fr, sur Twitter et Instagram à travers le #tourparis13, avant la diffusion sur France Ô d’un documentaire de 52’ réalisé par Thomas Lallier à la rentrée 2014. La première phase du projet de renouvellement urbain de l’îlot Fulton , mené par le bailleur ICF Habitat La Sablière en collaboration avec la SEMAPA et en lien avec la Ville de Paris, qui concerne la Tour Paris 13 et l’immeuble adjacent aboutira fin 2016 à 87 nouveaux logements face à la Seine.

Kenny Scharf @ Colette

Exposition du 24 février au 5 avril (…) Utilisant en toute liberté les images de la culture populaire (notamment télévisuelle), Scharf développe une oeuvre gaie et colorée, un street art unique qu’il qualifie de « Pop Abstract Surrealism » assez proche de la philosophie de la Figuration libre. Ses oeuvres sont bercées par une forme de ‘jeunesse éternelle’, un monde utopique, à la fois comique et vibrant de nostalgie. Il utilise différentes techniques comme la peinture à l’huile, la peinture acrylique, la paillette, les bombes de peinture aérosols (il a d’ailleurs crée sa propre gamme de bombes de peintures). ESHOP

Télécharger la liste des prix.

Vernissage et rencontre le 26 février de 16h30 à 18h30.

Dan23 @ la galerie Mathgoth

Véritable révélation de « LA TOUR PARIS 13 », l’artiste Dan23 s’offre sa première exposition personnelle. EXPRESS YOURSELF Du 21 mars au 19 avril 2014 Galerie Mathgoth  34, rue Hélène Brion – 75013 Paris (métro Bibliothèque François Mitterrand)

Pour cette grande première, Dan23 a décidé d’illuminer la galerie avec une trentaine de portraits exécutés à l’aquarelle, une technique très rare dans l’art urbain et qu’il affectionne particulièrement. Tous ces visages se dispatchent en 3 séries, 3 principaux axes qui ont jalonné ses 15 dernières années de travail : les rencontres importantes de sa vie, les musiciens afro-américains qui l’ont toujours accompagné et enfin, une suite d’oeuvres qui fait la part belle aux anonymes, au travers de leurs regards. Dans une scénographie sobre et astucieuse l’artiste invite le public à pénétrer dans son atelier (croquis, objets…) pour y découvrir également ses futurs axes de travail.

Expo 58 par Jonathan Coe

Londres, 1958. Thomas Foley dispose d’une certaine ancienneté au ministère de l’Information quand on vient lui proposer de participer à un événement historique, l’Exposition universelle, qui doit se tenir cette année-là à Bruxelles. Il devra y superviser la construction du Pavillon britannique et veiller à la bonne tenue d’un pub, Le Britannia, censé incarner la culture de son pays. Le jeune Foley, alors qu’il vient de devenir père, est séduit par cette proposition exotique, et Sylvia, son épouse, ne voit pas son départ d’un très bon œil. Elle fera toutefois bonne figure, et la correspondance qu’ils échangeront viendra entrecouper le récit des nombreuses péripéties qui attendent notre héros au pays du roi Baudouin, où il est très vite rejoint par de savoureux personnages : Chersky, un journaliste russe qui pose des questions à la manière du KGB, Tony, le scientifique anglais responsable d’une machine, la ZETA, qui pourrait faire avancer la technologie du nucléaire, Anneke, enfin, l’hôtesse belge qui va devenir sa garde rapprochée…

Coe embarque le lecteur dans une histoire pleine de rebondissements, sans que jamais la tension ne retombe ou que le ridicule ne l’emporte. Sous la forme d’une parodie de roman d’espionnage, il médite sur le sens de nos existences et dresse le portrait d’un monde disparu, l’Angleterre des années 1950, une société tiraillée entre une certaine attirance pour la liberté que semble offrir la modernité et un attachement viscéral aux convenances et aux traditions en place. Josée Kamoun (Traduction) Amazon

Globes de Cristal 2013

La presse française (dont votre serviteur) décerne, pour la 9ème année, les Globes de Cristal qui récompensent les disciplines des Arts et de la Culture pour l’année 2013.  La cérémonie sera retransmise en direct du Lido le lundi 10 mars 2014. Le Jury, présidé par Guillaume Durand, a établi une liste de 5 nommés dans chaque domaine culturel: Cinéma (Film, acteur et actrice), Spectacles (Pièce de Théâtre, Comédie Musicale et One Man Show), Littérature, Exposition, Mode, Musique (Interprète Masculin et Interprète Féminine) et Télévision. www.globesdecristal.com

La Maison Goupil et l’Italie @ BDX

Jusqu’au Dimanche 02 Février 2014

Goupil et l’Italie participe au projet scientifique et culturel du musée des Beaux-Arts, d’une part, en exposant au public  Le Portrait de Cecilia Madrazo Fortuny (1882) de Giovanni Boldini (1842-1931) et, d’autre part, en affirmant davantage une coopération avec les institutions culturelles italiennes. Cette exposition est co-organisée avec la Pinacothèque du Palazzo Roverella de Rovigo (palazzoroverella.com), et la Fondazione Cassa di Risparmio di Padova e Rovigo.

Galerie des Beaux-Arts

Place du Colonel Raynal
05 56 96 51 60

Design contre design

Le design est né voici un siècle et demi, avec la révolution industrielle, pour donner aux objets des formes attrayantes échappant à leur simple fonctionnalité. Les concepteurs de l’exposition Design contre design ont choisi de confronter, en s’affranchissant d’un ordre chronologique rebattu, les produits, les meubles, les lignes et les époques. Ils ont réussi à rassembler dans le cadre idéal des Galeries du Grand Palais, les plus belles réalisations des grands designers, soit pas moins de 200 pièces. Styles, formes, architecture et contexte sont tour à tour mis en lumière au fil des salles.  Cette exposition hors normes constitue un événement majeur dans le domaine du design et un moment rare et précieux pour la connaissance et la compréhension de cette discipline contemporaine. Galeries Nationales du Grand Palais 3 avenue du Général Eisenhower 75008 PARIS www.rmn.fr/galeriesnationalesdugrandpalais http://www.pidf.com

La Bibliothèque de Bordeaux rend hommage à Jean Cayrol

Du lundi 6 juin au samedi 25 juin 2011, la Bibliothèque de Bordeaux rend hommage à Jean Cayrol, l’écrivain bordelais aurait eu cent ans le 6 juin 2011. Survivant de l’enfer concentrationnaire et marqué à vie par cette expérience, il a laissé une oeuvre poétique et romanesque arrachée à la souffrance de cette épreuve et à « l’étrange privilège d’être né deux fois » par la grâce des mots, son Miroir de la rédemption.

Éditeur aux éditions du Seuil, Jean Cayrol a été aussi le découvreur de talents devenus de grands noms de la littérature, tels Erik Orsenna, Didier Decoin, Jean-Marc Roberts ou Philippe Sollers. Cinéaste aux côtés d’Alain Resnais, il est l’auteur du bouleversant commentaire de Nuit et Brouillard. La Ville de Bordeaux, en collaboration avec le Département de la Gironde, rend hommage à ce grand auteur, né et décédé à Bordeaux.

Exposition Jean Cayrol… pour que ses mots demeurent Dans une tonalité de clair-obscur, à travers les textes majeurs de Jean Cayrol et un florilège de citations, l’exposition révèle la tension d’une écriture surgie de la nuit pour exprimer le miracle d’être au monde. Le visiteur est accompagné par une restitution de la vie de Jean Cayrol, par la diffusion de deux documentaires : Jean Cayrol réalisé à Bordeaux en 1975 par André Limoges pour FR3 Bordeaux. Aquitaine à livre ouvert, Jean Cayrol réalisé à Pujols sur Dordogne par Jacques Manley en 1985, produit par Jean-Marie Planes pour FR3 Bordeaux. L’épisode marquant de la déportation est illustré par des images du film Nuit et Brouillard.

Conférences et lectures Grand auditorium, rez-de-rue – Bibliothèque Mériadeck Mercredi 8 juin 18h30 : Jean Cayrol à pleine voix. Secret d’un homme, secret d’une oeuvre : Jean Cayrol vu par l’écrivain et critique littéraire bordelais Jean-Marie Planes. Textes de Jean Cayrol lus par André Limoges, réalisateur. Samedi 25 juin 14h30 : Jean Cayrol et le commentaire de Nuit et brouillard. Par Marie-Laure Basuyaux, Université Paris Sorbonne. Conférence suivie de la projection du film. 16h00 : Jean Cayrol éditeur. Par Didier Decoin écrivain, membre de l’Académie Goncourt.

JR "Inside Out Project" 2013 @ The Watari Museum of Contemporary Art Tokyo

Le 2 mars 2011, JR fait un discours à Long Beach à la conférence du TED Prize dont il a reçu « Un vœu pour changer le monde », qui lui donne la possibilité d’imaginer et de mettre en place un projet artistique à grande échelle31: « Inside Out est un projet artistique participatif à grande échelle qui transforme les messages sur l’identité personnelle des gens en une œuvre artistique. En utilisant des portraits photos en noir et blanc, chacun peut faire découvrir, révéler et faire partager les histoires tues et les images de gens à travers le monde. Les photographies numériques mises en ligne sur le site insideout, seront imprimées en format affiche et renvoyées aux participants de ce projet pour qu’ils les collent et les exposent dans leur propre communauté. Tout le monde peut participer, que vous soyez seul ou en groupe ; les affiches peuvent être collées n’importe où, d’une image isolée à la fenêtre de votre bureau jusqu’au mur rempli de portraits d’un bâtiment abandonné ou d’un stade. Ces expositions seront documentées, archivées et consultables en ligne. wikipedia http://www.jr-art.net/fr

Je vous souhaite de défendre ce qui est important pour vous en participant à un projet d’art global, et ensemble, nous retournerons le monde…inside out. » JR, Long Beach, Californie, États-Unis, 201132.

« ALAN VEGA, CONVERSATION AVEC UN INDIEN »

A paraître le 28 février 2013 sur letextevivant.fr. Le premier livre numérique enrichi entièrement dédié à un artiste : « ALAN VEGA, CONVERSATION AVEC UN INDIEN » d’Alexandre Breton inaugure la collection FUSION des éditions LE TEXTE VIVANT, éditeur numérique multimédia.

Il s’agit d’un rock book intimiste qui mêle texte, photos, son et vidéo. Une monographie qui s’étire sous la forme d’un abécédaire où parcours de vie et carrière artistique tissent des liens étroits Après une première rencontre en 2011, lors du concert à la Machine de la Loco, puis à la galerie du jour agnès b. pour l’exposition « Musique Plastique », Alexandre Breton retrouve Alan Vega à New York en juillet 2012. Ces quatre jours à New York croisent notamment Bob Gruen, le photographe de la scène new-yorkaise des années 70 et 80, Perkin Barnes, le fidèle inénieur du son de Vega, Alex Zhang-Huntai, des Dirty Beaches…  Dans l’atelier de Manhattan, chez lui, et, dans son studio pendant l’enregistrement de son prochain album; « Alan Vega, conversation avec un indien », le livre numérique enrichi prend forme. Une interview exclusive en forme d’abécédaire aborde, tout en digressions, les expériences, inspirations, rencontres, et influences de cet artiste majeur. Puis, l’auteur et l’artiste se revoient à nouveau à Paris, au concert à la Gaîté Lyrique, et pour l’exposition solo « Holy Shit » à la Galerie Laurent Godin, continuant ainsi la conversation. EVENEMENT  | La galerie du jour agnès b. accueillera, mercredi 27 mars à partir de 18 h, Alan Vega et Alexandre Breton pour une signature.  Jusqu’au 6 avril 2013, les images tournées par LE TEXTE VIVANT à New York seront diffusées dans la project room lors d’une exposition des photos de Pierre René-Worms.  galeriedujour.com.

Douglas Gordon

Douglas Gordon est un artiste contemporain écossais. Il vit et travaille à Glasgow (Écosse) ou il est né en 1966. Douglas Gordon a étudié à Glasgow de 1984 à 1988, puis à Londres, de 1988 à 1990 à la Slade School of Art. Il présente sa première exposition personnelle à Londres en 1995, obtient le Turner Prize l’année suivante. C’est la première fois que ce dernier est attribué à un artiste vidéo. Connu surtout comme un artiste vidéo, Douglas Gordon utilise des formes variées d’expression: projections vidéos, photographies, installations et textes muraux. « Il est sans doute l’un des artistes qui rejette le plus vigoureusement la notion de style personnel. Il travaille sur l’appropriation d’images qu’il détourne, met en scène dans un contexte différent. » Dans cette optique les expositions deviennent l’élément essentiel de l’expression de l’artiste. En 1998, il obtient le deuxième Prix Hugo Boss. 

Arman

Arman, né Armand Pierre Fernandez le 17 novembre 1928 à Nice et mort à New York le 22 octobre 2005, est un artiste français, peintre, sculpteur et plasticien, célèbre pour ses « accumulations ». Sa première rencontre avec l’art se fait dans la boutique d’antiquités de son père. Il commence à peindre à 10 ans. Il étudie à l’École des Arts décoratifs de Nice où il rencontre Yves Klein, puis à l’École du Louvre. En 1958, à l’occasion d’une exposition chez Iris Clert, Arman authentifie une erreur d’impression dans le carton d’invitation (Armand était écrit sans « d ») et transforme sa signature. Il est membre du groupe des Nouveaux Réalistes aux côtés notamment de CésarYves Klein et Gerard Deschamps . Il est décédé le 22 octobre 2005. Il possédait la double nationalité française et américaine, acquise en 1970.

Mike Kelley

Mike Kelley (né en 1954 à Detroit) est l’un des plus importants artistes de la côte Ouest des États-Unis depuis 1980. Il travaille avec des animaux empaillés, des bannières et des tapis, mais aussi des dessins et divers objets. Il utilise les techniques de l’assemblage, du collage et de la vidéo. Les critiques disent de son œuvre qu’elle suit le concept d’Abjection (terme anglais). Le travail de Kelley est inspiré par diverses sources, telles que l’histoire, la philosophie, la politique, la musique underground, les arts décoratifs et l’expression artistique du milieu ouvrier. Son art montre souvent des problèmes de classe et de sexe comme des problèmes de norme, de criminalité et de perversion. En novembre/décembre 2005, son exposition la plus ambitieuse, intitulée Day is Done remplit la Gagosian Gallery avec des installations multimédias, comprenant des meubles automatisés et des films de cérémonies oniriques, inspirés par les livres d’or des lycées, les matches de sport et les productions théâtrales. En décembre 2005, le critique d’art Jerry Saltz (de l’hebdomadaire Village Voice) cita Day is Done comme un exemple novateur de clusterfuck aesthetics (« esthétique du foutoir »), la tendance de l’art contemporain par rapport à l’ère du multimédia envahissant. Kelley est actuellement membre du département des beaux arts au Art Center College of Design à Pasadena.

Art Contemporain Bordeaux

La galerie Cortex Athletico est un espace expérimental comprenant deux lieux : l’un est dévolu à des ateliers accueillant des artistes sous forme de résidence, et l’autre est dédié aux expositions au sens large. Cette plate-forme permets de comprendre et d’accompagner des projets d’une envergure européenne en invitant artistes, commissaires, critiques, à penser le lieu de la galerie et son fonctionnement comme le topos d’une utopie artistique. […] Cortex Athletico Galerie – Art Contemporain 1, rue des Etables 33000 Bordeaux France  Source: artfacts.net A voir également: arretsurlimage.com

Courtesy galerie Cortex Athletico. Photo : Patrice Goasduff.

JEREMY KOST – ALWAYS THE CENTER OF ATTENTION

FAME PAINTINGS. Les peintures de Jeremy Kost, à la façon d’un tirage en négatif, sont issues de ses propres Polaroïds, agrandis, transposés et sérigraphiés sur de larges toiles. Des photographies de célébrités, ou plutôt de la célébrité comme fait de société et catalyseur de fiction sociale, au moment où communication de masse et communion émotionnelle des foules se rejoignent. Avec, en filigrane, l’ombre double de la société du spectacle et du panoptique.

Vertiges et inversions : le monde est un théâtre qui mime à son tour la comédie du monde; le sujet regardant devient l’objet regardé, jouant lui-même à maîtriser le regard qui le saisit et s’oublie alors dans cette course au paraître.

Les stars; quête et fascination… Des vies spéculaires qui semblent n’être que validées et complétées par leur reflet médiatique. Face à elles, des existences ne se ressaisissant dans aucune image publique ou fiction partagée mais laissant celles-ci définir les contours de leur contenu émotionnel et en déterminer les pics d’intensité. Une foule consommatrice affectée par des affects, parfois sincères, souvent, lorsque tenus en lumière, construits ou exacerbés.

Dans la série des Fame Paintings, on aperçoit et on croît reconnaitre tel ou tel personnage public; mais au fond, si on voit bien quelque chose, que s’y manifeste-t-il? Une apparition? De star sublimée ou banalisée. Ou plutôt un rêve de disparition, un désir d’absence à l’image? D’un être encerclé essayant d’échapper à l’oeil de la caméra médiatique envahissante. En général qu’offrent aujourd’hui les innombrables et répétitives images de célébrités? Ces clichés du déjà vu ne révèlent plus rien. Trop souvent, la pulsion de reconnaissance a suppléé au plaisir de la surprise. Chez Kost, la lecture immédiate de la reconnaissance est troublée par le passage au négatif, qui protége ainsi un instant l’identité de la figure et la déplace sur un terrain poétique ou mystérieux, mais accentue paradoxalement aussitôt le jeu de démasquage du « voyeur ». La dynamique de l’étonnement et de l’attirance fascinée est alors réactivée. Fascination mais aussi parfois répulsion; pour le corps qui s’exhibe, de la démonstration à la monstruosité, il peut n’y avoir qu’un pas. Jeremy Kost poursuit dans la série des Fame Paintings son exploration de la relation à la célébrité, au corps médiatique, à la vie mise en scène, avec une vision personnelle mêlant dramatisation et intimité, excès et fine sensibilité. Une démarche qui fait écho à celle d’Andy Warhol, lui aussi acteur et voyeur dans ce monde restreint du paraître et de l’avant-scène, et surtout transmutateur de valeurs.

« Quand je me sais photographié, je me transforme en image… » Roland Barthes

La Galerie Nuke présente une nouvelle série de peintures, inaugurée lors d’une récente exposition de Jeremy Kost au Musée Andy Warhol, à New York, ainsi que la vidéo « What You Need Is In The Limo », pour la première fois montrée dans une galerie.


JEREMY KOST
ALWAYS THE CENTER OF ATTENTION
VERNISSAGE: SAMEDI 20 OCTOBRE, 18H-21H
EXPOSITION DU 18 OCTOBRE AU 18 NOVEMBRE 2012

Monumenta 2012 – Daniel Buren

Un grand Bravo aux brillants lecteurs de JetSociety qui ont remporté les laissez-passer et l’album « Daniel Buren Monumenta 2012 » offerts par « Le Nouveau Paris Ile-de-France » et qui ainsi ont pu assister à cette remarquable exposition au grand palais de Paris. Pour rappel: Après l’Allemand Anselm Kiefer, l’Américain Richard Serra, le Français Christian Boltanski et le Britannique d’origine indienne Anish Kapoor, c’est au tour de Daniel Buren, auteur des célèbres « Colonnes de Buren » de transformer la Nef du Grand Palais ! grandpalais.fr  Tous les jours (sauf le mardi) : de 10h à 19h le lundi et le mercredi, de 10h à minuit du jeudi au dimanche. Jusqu’au 21 Juin 2012


Monumenta 2012 – Interview de Daniel Buren par Rmn-Grand_Palais

MON JOUET PRÉFÉRÉ

Photographies d’Hervé PLUMET 20 octobre 2012 – 14 avril 2013 Moirans-en-Montagne, JURA Du 20 octobre 2012 au 14 avril 2013, au musée du Jouet de Moirans-en-Montagne, l’exposition photographique « mon jouet préféré » questionne la relation unique et privilégiée qui unit un individu à son jouet favori.

Cinquante et une personnes, enfants, femmes et hommes de tout âge, vivant dans l’une des dix-sept communes du Pays de l’Enfant, ont accepté de prendre la pose avec un jouet, un jouet qui compte dans leur quotidien ou qui est profondément ancré dans leur mémoire. Cette commande au photographe Hervé PLUMET prend tout son sens dans le cadre de la première exposition temporaire du musée rénové. Elle fait entrer dans ses espaces les habitants de JURA SUD, un territoire marqué, depuis des générations, par l’artisanat du jouet et son essor industriel.

AUTOUR DE L’EXPOSITION (vacances de la Toussaint)
Atelier « Magie de la photographie », dès 8 ans, 2 séances d’1h30
Séance 1 : Fabrique un appareil photo (boîte à sténopé) et apprend à capturer une image sur un papier photo.
Séance 2 : Réalise un portrait avec ton sténopé et découvre les secrets du développement photo.
Dates : lundi 5 novembre, 14h00 (séance 1) – mercredi 7 novembre, 10h30 (séance 2) – tarif : 7 € / séance inclus la visite du musée Atelier «Photo cubes », dès 4 ans, 1h30
Deux coups de ciseaux, quelques pliages, un peu de colle et des photos. Viens fabriquer un jeu de cube et joue avec les images. Dates : lundi 29 octobre 14h00 – lundi 5 novembre, 14h00 – tarif : 7 € / séance inclus la visite du musée
MUSEE DU JOUET
5, rue du Murgin – 39260 MOIRANS-EN-MONTAGNE Tel : 03 84 42 38 64
www.musee-du-jouet.com
Jours et Horaires d’ouverture : Ouvert lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h30, samedi 10h00-12h00 et 14h30-18h30 , dimanche 14h30-18h30 – Fermeture hebdomadaire le mardi – Fermeture le 1er janvier, 1er novembre, 25 décembre.
Tarif Visite libre Expo permanente + temporaire : Adulte = 7€ / Enfant > 7 ans = 5 € / Enfant < 7 ans = gratuit / Tarif réduit adulte = 5 € / Tarif réduit enfant = 4 €

chloé Attitudes – the alphabet

Chloé célèbre cette année ses 60 ans d’histoires de mode avec la création d’une expérience digitale unique : l’Alphabet Chloé. www.chloe.com/alphabet

L’Alphabet débute par 5 courts métrages originaux réalisés par cinq artistes féminines Poppy de Villeneuve, Julie Verhoeven, Kathryn Ferguson, Stéphanie di Guisto et Mary Clerté. Chacune d’entre elles ont interprété et imagé l’une des cinq lettres/ l’un des cinq thèmes qui composent le nom C H L O E. Ces films explorent les thèmes C:Contre Couture, H:Horses/chevaux, L:Light/lumière, O:Roundness /la rondeur et E:Embroideries/les broderies. Le 26 septembre 2012 ces 5 films seront projetés sur la toile via les pages de cinq bloggeuses retenues et reconnues pour leur sens du style en Angleterre, aux Etats Unis, en France, au Japon et en Chine.

Tous les deux jours à compter du 27 Septembre de nouvelles lettres et thèmes seront dévoilés via de nouveaux bloggeurs et ce, jusqu’au 28 Septembre, date de l’inauguration de l’exposition Chloé.Attitudes. Au total, 26 bloggeurs autour du monde se feront le relais de L’Alphabet Chloé et de son contenu remarquablement riche, surprenant et vivant. Les bloggeurs recevront chacun un coffret Chloé exclusif contenant des informations illustrant le thème/la lettre qu’ils ont à partager sur leur page

Tous les deux jours à compter du 27 Septembre de nouvelles lettres et thèmes seront dévoilés via de nouveaux bloggeurs et ce, jusqu’au 28 Septembre, date de l’inauguration de l’exposition Chloé.Attitudes. Au total, 26 bloggeurs autour du monde se feront le relais de L’Alphabet Chloé et de son contenu remarquablement riche, surprenant et vivant. Les bloggeurs recevront chacun un coffret Chloé exclusif contenant des informations illustrant le thème/la lettre qu’ils ont à partager sur leur page

Centre Pompidou Metz

A n’en pas douter, vos futures vacances à Metz incluront la visite de cet établissement qui se déploie sur 5000 m2 de surface d’exposition et est doté d’une grande nef de 1200 m2, d’un auditorium de 114 places, d’un studio de création de 196 places, d’un centre de ressource, d’une librairie-boutique, d’un café et d’un restaurant. En plus de l’exposition d’œuvres et pour les prolonger,  le centre Pompidou-Metz proposera tout au long de l’année une riche programmation culturelle bâtie autour de spectacles vivants, de séances de cinéma et de conférences. Le tourisme des Vosges vient de mettre une nouvelle corde à son arc. Grâce à cette première décentralisation d’une grande institution nationale, Metz Lorraine accroît son attractivité !

HUGO BOSS x VOGUE FASHION NIGHT OUT 2012

 Quand l’art rencontre la mode. A l’occasion de la « VOGUE FASHION NIGHT OUT », le jeudi 6 septembre 2012, HUGO BOSS met à l’honneur l’art contemporain, en faisant appel à l’artiste peintre, Yann Sciberras. Influencé par le mouvement de la figuration libre, son travail est incisif, décalé et résolument urbain. Ce témoin artistique, comme il aime à se définir, mixe autodérision et humour. Sa peinture constitue un mélange détonant tant sur les couleurs flashy et pop que par les mots utilisés comme accroche à l’influence urbaine. Il combine les formes et les mots version « in english ». Ses toiles racontent une histoire, une vérité au travers de slogans et de poésies. De 18 heures à 22 heures, Yann Sciberras, réalisera une performance en live en reprenant les codes de la maison HUGO BOSS. Avec cette manifestation, HUGO BOSS confirme son implication dans l’art contemporain. En association avec la Fondation Guggenheim, le géant du prêt-à-porter a créé en 1996 le Prix HUGO BOSS. Cette récompense représente aujourd’hui l’un des plus anciens partenariats entre la mode et l’art. Ce prix a valeur de référence internationale. Remis tous les deux ans, il est doté de 100.000 dollars et s’accompagne d’une exposition temporaire au Guggenheim de New York. Parmi les lauréats figurent notamment Matthew Barney (1996), Douglas Gordon (1998), Pierre Huyghe (2002) ou Tacita Dean (2006).

Le 9ème Prix HUGO BOSS sera remis le jeudi 1er novembre 2012 au Guggenheim de New York.
En attendant, Rendez-Vous le jeudi 6 septembre de 18h00 à 22h00 à la boutique HUGO BOSS – 372, rue Saint-Honoré 75008 Paris.

Purple Diary d'Olivier Zahm

Passant son temps entre Paris et New York, l’homme derrière le Purple Fashion Magazine, Olivier Zahm, a lancé son blog Purple Diary il y a juste 1 an. Ses photos peuvent se lire comme un guide de ses endroits préférés : Le Montana, la Brasserie Lipp et le Café de Flore à Paris ou encore le Standard Hotel, le restaurant Omen à New-York. Son journal, tel un langage figuré, complète le magazine original et se présente comme un miroir de notre époque. Retrouvez donc Natacha, Aurel, Camille, Jennifer, Caroline Irina, Olympia, André, Terry et bien d’autres mais aussi de la nourriture, la rue, la nature et tout ce qui peut attirer cet oiseau nocturne. Pour cette première exposition en France, Olivier Zahm a choisi parmi plus de 10000 photos, prises depuis 2005, au départ pour WOW et Purple Night magazines. Retrouvez également un set de 20 cartes postales de l’illustratrice Stéphanie Daoud , issues de son Non-Official Purple Diary.  www.colette.fr www.purple-diary.com

L'Homme sans gravité : Jouir à tout prix

Charles Melman (entretiens avec Jean-Pierre Lebrun). (…) L’Homme sans gravité a les défauts de ses qualités. Facile, accessible et agréable – en raison de la forme de l’entretien et de la clarté du propos –, il est aussi un peu trop assertif. La complexité des problèmes, la richesse des analyses, la diversité des références, la nouveauté de certaines thèses mériteraient un traitement plus circonstancié, une exposition moins désinvolte. Reste qu’il s’agit d’un ouvrage important qui exige une lecture vigilante mais sérieuse et honnête si l’on veut œuvrer à ce que s’instaure, entre les psychanalystes, un débat épistémique digne de la psychanalyse, c’est-à-dire un débat nettoyé de l’obscénité des groupes et à l’abri de la guerre pour le monopole des transferts. (…) SOURCE : Sidi Askofaré http://www.cairn.info

Bordeaux fête le vin : Pavillon de la Ville

Bienvenue sur le Pavillon de la Ville, pour aimer Bordeaux de A à Z ! Du jeudi 28 juin au dimanche 1er juillet 2012 sur les quais face à la place des Quinconces, la mairie invite les visiteurs sur son pavillon très ouvert, imaginé pour Bordeaux Fête le Vin et doté d’un espace détente et d’un patio paysager : une véritable invitation à faire une pause dans une ambiance reposante. Décliné sous la forme d’une exposition interactive et d’un quiz ludique, le thème proposé cette année est l’amour de la ville, de ses places, ses lieux insolites, ses projets.  L’abécédaire amoureux de Bordeaux En images et en sons diffusés sur le pavillon, l’alphabet amoureux de Bordeaux permettra à chacun de réapprendre la ville de A à Z en présentant ses cultures, son nouvel art de vivre, mais aussi son ouverture internationale ou les quartiers, avec des textes, des photos et des vidéos. L’occasion aussi de donner l’envie à chacun d’imaginer son propre alphabet… le document diffusé sur le pavillon est aussi consultable sur bordeaux.fr.

Et vous, comment aimez vous Bordeaux ? Un questionnaire ludique invitera les Bordelais et tous les visiteurs de la fête à exprimer leur amour de la ville. En quelques questions et quelques clics, chacun apprendra quelle sorte d’amoureux de Bordeaux il est : romantique, bohème, alternatif ou audacieux. De nombreuses places de concert sont à gagner, tirage au sort dimanche soir.

Un espace immersif consacré au Centre Culturel et Touristique du Vin Le pavillon de Bordeaux consacrera un large espace au projet de Centre Culturel et touristique du Vin, futur équipement emblématique dédié à la culture et aux civilisations du vin. A découvrir : la maquette holographique qui vient d’être présentée en avant première à Vinexpo Hong Kong. En terrasse, des jumelles de réalité augmentée offriront une vue imprenable sur le futur site aux Bassins à flot. Ces animations inédites permettront une visite virtuelle du bâtiment, à la fois extérieure pour approcher son architecture audacieuse, mais aussi intérieure, pour ressentir sa scénographie inédite. www.centreculturelduvin.com

POP-CIBLE – Fidia Falaschetti

Jusqu’au 28/07/2012 Avec humour et une bonne dose de sarcasme, l’artiste florentin Fidia Falaschetti présente sa première exposition personnelle en France, POP-CIBLE, à la Galerie Lazarew. Graphiste, illustrateur et photographe pour la publicité, Fidia connait bien les engrenages du système, qu’il s’amuse à tourner en dérision dans une oeuvre dense et variée: installation, dessin, sculpture, etc. Avec force et ironie, il interpelle le spectateur dans une « surenchère » d’objets et de situations absurdes. La pomme rouge vif d’Apple Care, prête à être dégoupillée, ou la cigogne livrant un sac poubelle de Born to Be a Lie sont autant de pistes de réaction aux non-sens de la société contemporaine. Les variations pop de Fidia Falaschetti, en écho à l’exposition Ma l’Educazione actuellement à Brescia (Galerie Colossi Contemporaneo), mettent à contribution les visiteurs, libres de les interpréter selon leurs propres références. Galerie Lazarew 14 rue du perche 75003 Paris

Koto Bolofo @ Colette

Jusqu’au 13 juillet Koto Bolofo, photographe autodidacte d’Afrique du Sud, est tombé amoureux du moment où la photographie se révèle en chambre noire. Pour lui, c’est comme une sorte de sorcellerie ancienne, du vaudou ! Son exposition Mmmmm présentera une rétrospective de son travail, une sélection d’une quarantaine de photographies qu’il a choisies avec amour. Après 27 années de carrière et encore de nombreuses devant lui, force est d’avouer que le vaudou fonctionne toujours ! Ca se passe chez colette

Be prepared BDX – LAX @Bordeaux

Le projet culturel BDX-LAX, porté par l’association FLASH, a pour vocation de mettre en lien, soutenir, promouvoir la création contemporaine bordelaise et de faciliter les échanges artistiques entre les villes de Bordeaux et de Los Angeles (villes jumelles depuis 1964). BDX-LAX se veut être une passerelle entre artistes aux influences communes (graffiti, street art, Comics underground, figuration libre,  ..), un point de rencontre unique pour une scène culturelle forte et alternative,  bouillonnante, souvent peu visible, aux champs d’interventions artistiques multiples.  Exposition BDX LAX : Faraway so close  Espace Saint-Rémi 4 Rue Jouannet, 33000 Bordeaux Du mardi au vendredi : de 11H à 19h Le samedi : de 11H à 18h

 

12ème édition de Designer's Days

La 12ème édition de Designer’s Days aura lieu du 31 mai au 4 juin 2012 Les membres et partenaires de l’association seront très heureux de vous accueillir sur le parcours. Horaires d’ouverture :  Jeudi, vendredi, samedi, lundi : 10h – 19h Dimanche : 11h – 18h Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre aux « Points Info Designer’s Days by Made in Design »  230 boulevard Saint Germain – Paris 7  71 avenue de Wagram – Paris 17 Angle rue de Normandie – rue de Turenne – Paris 3 Rue de Lyon, côté pair Paris 12 (face au numéro 51 ) Place de la Madeleine Paris 8 Attention, l’exposition des travaux d’élève de l’Ecole Boulle ne pourra finalement pas se tenir à la Halle Freyssinet mais au Chai de Bercy (41 rue Paul Belmondo, paris 12e)

HUGO BOSS @ Pékin

HUGO BOSS a présenté à Pékin sa collection BOSS Black et BOSS Selection Automne-Hiver 2012 au sein de l’imposant Centre d’exposition National d’Agriculture avec la présence exceptionnelle de Tilda Swinton, Georgia May Jagger, Ryan Phillippe et Matthew Goode.