Sponsor

Deux Parisiens, Nina et Alain, débarquent en Serbie pour y terminer le montage d’un documentaire. Alors qu’ils cherchent un coup de main pour leur film, ils rencontrent un gros producteur, ex-pilier du régime Milosevic qui a produit des films de propagande anti-Otan, et désormais capitaliste ultra-libéral. Ce «Big boss» leur propose de financer un long métrage sur Hedy Lamarr, mythique star antinazie des années trente, avec un casting international. Mais Nina et Alain doivent dénicher d’autres sponsors pour boucler le budget. «Nema problema», pas de problème, comme on dit à Belgrade : les voilà en chasse de financiers du troisième type, nouveaux riches, ex-criminels de guerre, trafiquants en tous genres, politiciens douteux, roulant en limousines blindées, et vivant avec leurs bimbos et gardes du corps dans les villas de luxe de Belgrade, ou sur les plages du Monténégro. Un road-movie burlesque et débridé, très cinématographique, où l’on découvre que l’on peut devenir une vedette en trois semaines, et que dans l’ex-Yougoslavie de l’après-Milosevic tout a changé, sans que rien ne change vraiment : folie, démesure et chaos. Géraldine Beigbeder, d’origine serbe par sa mère, est scénariste. Elle a collaboré avec Luc Besson et Fabien Onteniente. ‘Sponsors’ est son premier roman. Source : www.passiondulivre.com, http://buzz.litteraire.free.fr A lire également sur passiondulivre.com les premières lignes…

Perdu dans la blogosphere ? ou comment se facher rapidos avec tout le monde en un billet !

Vous ne me voyez pas et c’est tant mieux, d’une part parce que je n’ai pas encore pris ma douche et d’autre part car je viens de craquer la jointure de mes phalanges (signe avant coureur d’énervement numérique), prêt que je suis à massacrer frénétiquement les touches du clavier de mon mac déjà bien amoché pour rédiger ce pamphlet résolument anti sclérosés du bulbe.

Depuis 2004 je blogue donc je suis diront certains. Pour ma part, j’ai surtout l’impression de contribuer modestement à une formidable aventure dont l’histoire s’écrit encore au quotidien, de m’instruire et de découvrir en permanence des choses anciennes et nouvelles (tous domaines confondus), de partager parfois avec des êtres que je n’aurais jamais rencontré autrement des proses uniques et même (trop rarement) lucratives. Ceci est ma réalité. En revanche ce que je conserve des early years, c »est l’esprit d’entraide et de solidarité des pionniers. La blogosphère est un univers si vaste que l’on peut s’y perdre et je n’ai pour autant jamais rechigné à donner un coup de main à l’un ou à l’autre, artistes ou produits en mal de promo, à donner des conseils ou échanger des liens avec des « collègues », à suivre sur facebook ou twitter même sans retour certains désireux de gonfler leurs stats. C’est ainsi, on ne se refait pas.

Ce que je ne supporte plus c’est la médiocrité de certains et certaines (suivez mon regard les afficionados de la mode by prisunic ou de bibop déjà obsolètes) qui se comportent comme des divas, réclament pour n’importe quel billet une rétribution financière, se comportent lorsqu’ils sont invités à des évènements comme des margoulins de la pire espèce, sont en permanence désagréable et jettent l’opprobre sur toute la profession.

C’est quoi ton problème meuf ou mec ? t’as 500 ou 10 000 visiteurs quotidiens (woua les stats de fou :))  1000 ou 5000 amis sur Facebook et depuis ton stage en agence (excuse ton taf de community manager) tes pieds ne décollent plus du sol ? Compte sur moi, je vais te faire retoucher le plancher des vaches blogueur décadent ! c’est justement parce que tu représentes quelque chose que tu dois être exemplaire. Faire la distinction entre la demande de conseil, de coup de main et la vente d’espace pub. Arrête de te prendre pour Perez Hilton ou je ne sais quelle autre « star » préfab de la blogosphère mis en exergue par tes meilleurs ennemis, les journalistes. Tant que tu conserveras cette attitude minable, ta manière de répondre aux mails, que tu te branleras sur la moindre sollicitation de marques qui se foutent de ta gueule et passeront à un(e) autre le jour ou tu seras lassé(e) d’aller pomper ton contenu sur les autres, alors tu continueras de faire du tort à toutes celles et ceux qui s’investissent, soit pour se faire connaitre et démontrer leurs capacités dans des domaines spécifiques, soit parce qu’ils aiment ça.

Sans faire du Freud ou du Jung, il est possible (probable) que tu sois tout naze dans la vie de tous les jours. Je comprends que ça te fasse mouiller de culpabiliser des minettes en leur disant que de ne pas rentrer dans du 34 est ha-llu-ci-nant alors que toi même tu es limite chez prénatal; de même toi qui te fais refouler de toutes les boites de nuit de France et de Navarre avec ton look à la Patrick Chirac (ton film culte) c’est excusable d’être jaloux de celles et ceux qui vont profiter sans vergogne de tes bons plans. Ou encore le petit provincial qui fait l’apologie d’événements sur Paris auquel il ne pourra jamais aller car scotché à son boulot si éloigné de sa réalité… Il n’en demeure pas moins que tu dois prendre conscience de tes responsabilités, c’est pour ça que les journalistes te détestent, ils font des enquêtes terrains, utilisent leur temps, parfois leurs ressources pour faire des papiers complets de 5 000 signes, parfois bien écrits, intéressants qu’ils vont vendre 60 euros et toi tu vas empocher 400 ou 500 euros pour 250 mots simplement parce que tu as mis en ligne « Luxor j’adore », l’équivalent stylistique de la rédaction d’entrée en CM2 adoubé de surcroit par les visiteurs et l’intelligentsia locale.

Le guide des bonnes manières dans la blogosphère à suivre prochainement, d’ici là j’aurais décollé quelque têtes, il manquait un shérif dans cet univers impitoyable ? Me voici autoproclamé comme tel, de futilité publique certes mais comme l’a dis un jour Charles Bronson « Baisse les yeux et rase le mur ». Do it or be Square !

Hong Kong ville invitée fête le vin de Bordeaux

Du 28 juin au 1er juillet, Bordeaux va fêter le vin et accueille Hong Kong, invitée d’honneur 2012. Par ailleurs, 2 autres délégations étrangères participeront également à la fête : Québec dans le cadre de Bordeaux fête le vin à Québec en septembre et Los Angeles pour la préparation du 50ème anniversaire du jumelage avec Bordeaux en 2014.

Hong Kong ville invitée d’honneur Bordeaux fête le vin est l’un des événements phares de la ville de Bordeaux. Cette année, après Porto, Munich, Fukuoka, Saint-Pétersbourg et Québec, Hong Kong sera mise à l’honneur. A cette occasion, une délégation officielle de la ville chinoise conduite par Andrew Wong, Secrétaire permanent du développement commercial et économique du Gouvernement de Hong Kong, se déplacera à Bordeaux.

Deux pavillons seront dédiés à Hong Kong : un espace de 400 m² nommé « Asia’s World City » qui sera le reflet de la culture, des arts et des valeurs de la ville. un autre consacré au thème de la gastronomie, avec notamment la présence de grands chefs Hongkongais. La présentation du Wine and Dine Festival et du Wine and Dine Month de Hong-Kong, des activités traditionnelles gratuites (thé, astrologie, arts martiaux), un concert du groupe de Hong Kong SIU2, ou encore l’ouverture du Festival du film hongkongais, le 27 juin, viendront rythmer ces journées internationales.

En 2011, une délégation officielle de Bordeaux s’était rendue à Hong Kong pour le Wine and Dine Festival. Directement inspiré de Bordeaux fête le vin, cet événement populaire met à l’honneur les vins du monde entier et organise des manifestations de prestige autour des grands crus, avec un éclairage particulier sur les vins de Bordeaux.

Bordeaux fêtera aussi le vin à Québec A la rentrée, Bordeaux fête le vin s’installera à Québec. Une délégation officielle, conduite par Alain Juppé maire de Bordeaux se rendra à Québec du 5 au 9 septembre 2012. De nombreux événements viendront marquer cette manifestation aux couleurs des deux villes jumelles. Plus de 60 viticulteurs proposeront des dégustations de vins de Bordeaux. Des musiciens des deux villes animeront aussi les bords du Saint-Laurent. Dans cette perspective, une délégation technique de la ville de Québec est présente cette semaine à Bordeaux pour les préparatifs de ce déplacement.

CHICHA LIBRE – Canibalismo

La Chicha est une sorte de pop psychédélique, dérivée de la cumbia, gorgée de guitares surf, qui connut son heure de gloire au Pérou vers la fin des sixties. Sur ce nouvel album, le bien nommé CANIBALISMO, CHICHA LIBRE mélange allègrement sons rock vintage, rythmes latins, envolées psychédéliques, percussions irrépressibles, riffs de pedal steel, cavalcades de mellotrons, textes étranges et même, par-ci par-là, une guitare guinéenne.. On se régale toujours autant à l’écoute de la guitare surfabilly de Vincent Douglas, de l’Electravox wah-wah de Joshua Camp (modèle vintage d’accordéon électronique), et de leurs arrangements raffinés. Il est évident qu’Olivier Conan et ses complices ont écouté beaucoup de musiques sud-américaines (notamment celles du mouvement Tropicalia brésilien, à la devise  duquel – le cannibalisme culturel- le titre fait allusion) et beaucoup de pop 60s américaine et française. On décèle également des clins d’oeils à l’Afrobeat et à la musique des films indiens (ils sont des fans inconditionnels du grand Rahul Dev Burman, le John Williams de Bollywood…). Parmi les 11 compositions originales et les 3 reprises qui composent CANIBALISMO, on remarquera notamment la chanson L’Age d’or (interprétée –en français- par Olivier Conan avec sa diction rétro caractéristique), The Ride of the Valkyries (Wagner dans les Andes), ou des cumbias luxuriantes et planantes telles que « La Danza del Milionario ». Signalons aussi que Chicha Libre y rend hommage au génie des mathématiques du 19e siècle Carl Friedrich Gauss (“Number Seventeen”) ainsi qu’à l’inventeur d’une certaine drogue psychédélique (“Lupita en la Selva y el Doctor”).
EN CONCERT LE SAMEDI 30 JUIN AU NEW MORNING (20h00)

Lacoste x Mark Jenkins

Du 29 juin au 3 juillet, ils lancent ensemble une « street exhibition » parisienne sur le thème « Le beau jeu ». L’idée est de proposer huit sculptures de sportifs en mouvement, fabriquées à base de flacons du parfum L.12.12 de la marque au crocodile, pour les installer deux par deux en position de match dans différents lieux parisiens. Se tenant en face-à-face, les deux joueurs aériens et puissants, saisis presque par surprise au moment d’une action décisive, seront exposés à la vue des parisiens. Chaque jour, les créations changeront de lieu. Les réactions des passants seront par ailleurs filmées et diffusées sur le net. Ce happening est également l’occasion pour Lacoste de mettre en avant son édition limitée été 2012 du parfum L.12.12.

Max Pugh

Max Pugh est un cinéaste anglo-français qui a fait surtout des documentaires et des films de fiction. Ses films pour la BBC, Channel 4, et d’autres chaînes internationales emploient à la fois des techniques conventionnelles et des méthodes expérimentales, traitant des sujets d’actualité un peu partout dans le monde, que ce soit la médecine génétique et les droits des peuples indigènes, la politique sud-américaine ou les mouvements anti-mondialistes. À l’aise également dans le ‘live music’, les galeries d’art moderne et le théâtre, il a monté des spectacles vidéo-mixing pour la société de production londonienne ‘Yeast Culture’. Plus récemment, un documentaire et des courts métrages de fiction ont reçu des nominations pour des prix prestigieux, et ont été projetés dans les festivals de cinéma dans le monde entier. Maintenant il travaile sur l’adaptation pour le cinema du livre de Frédéric Beigbeder Windows on the World.

LAURENCE ANYWAYS

Un film de Xavier Dolan avec Melvil Poupaud, Suzanne Clément, Nathalie Baye, Monia Chokri Laurence Anyways, c’est l’histoire d’un amour impossible. Le jour de son trentième anniversaire, Laurence, qui est très amoureux de Fred, révèle à celle-ci, après d’abstruses circonlocutions, son désir de devenir une femme. En salles le 18 juillet 2012. Après les succès cannois de J’ai tué ma mère et Les amours imaginaires, Xavier Dolan, le jeune prodige québécois, signe une grande fresque romanesque qui suit sur une décennie les amours tumultueux d’un jeune couple confronté aux conventions et aux préjugés.

Carpaccio de courgettes à l'huile d'olive

6 petites courgettes longues Le jus de deux citrons 6 cuil. à soupe d’huile d’olive 3 brins de menthe fraîche sel poivre du moulin Rincer les courgettes, essuyez-les, rapez-les en julienne. Mettre les courgettes crues dans un saladier, arrosez-les des jus de citrons et de l’huile d’olive. Couvrez d’un film alimentaire et laisser mariner 1 heure, au moment de servir, parsemer de menthe ciselée. Saler, poivrer, servir frais dans des verres. www.leprodelacuisine.fr

danzigerprojects

Following on from the James Danziger Gallery (founded in 1989,) Danziger Projects opened in November 2004 in the heart of the Chelsea art district. Focusing primarily on artists working in photography, but also exhibiting video and painting, Danziger Projects combines the presentation of new work with the rediscovery and re-assessment of work by established voices. As a project space, the gallery maintains a collaborative relationship with its own artists as well as with other galleries and artists. Outside collaborations include a publishing project and exhibition with Jack Pierson (in association with Cheim and Read) and the exhibition of Harry Callahan’s « Women Lost in Thought » series (in association with Pace MacGill). The gallery follows the highest standard of connoisseurship and brings its experience and expertise to a range of visual projects including film and publishing. 521 West 26th Street New York, New York 10001 USA Telephone 212.629.6778 http://www.danzigerprojects.com

SAUMON FUME ET FINES HERBES A LA RUSSE

4 fines tranches de saumon fumé – 100 g de salades mélangées – ½ botte de ciboulette – 2 cuillères à soupe d’aneth – 1 échalote – 2 cuillères à soupe de jus de citron – 1 feuille de gélatine (2 g) – 6 petits-suisses – 2 cuillères à soupe de vodka – 4 cuillères à soupe d’huile d’olive – sel, poivre. Faites tremper la gélatine dans un bol d’eau froide. Mixez les petits-suisses avec l’échalote pelée, les herbes, sel et poivre. Faites chauffer la vodka. Hors du feu, ajoutez la gélatine ramollie puis mélangez. Incorporez aux petits-suisses. Etalez les tranches de saumon sur quatre grands carrés de film. Tartinez-les de préparation au fromage puis roulez-les sur elles-mêmes. Enfermez chaque rouleau dans le film et mettez-les au frais pour 1 h. Pour servir, retirez le film et coupez les rouleaux en tranches épaisses. Servez sur la salade assaisonnée de jus de citron, d’huile, de sel et de poivre, et décorée de ciboulette.

THE CHANGELING

1980 RÉALISATION: Peter Medak SCÉNARIO: William Gray et Diana Maddox AVEC: George C. Scott, Trish Van Devere, Melvyn Douglas, Jean Marsh et John Colicos. Film canadien ayant raflé plusieurs prix Génie (les Oscars canadiens !) à sa sortie, The Changeling est un film de maison hantée sorti en 1980. Le film, réalisé par Peter Medak, n’est pas aussi reconnu aujourd’hui que The Amityville Horror et Poltergeist, mais son influence se fait encore sentir dans des films tel que What Lies Beneath, The Others et The Ring. Après que sa femme et sa fille soient mortes dans un accident d’auto, John Russell emménage dans un immense manoir pour se changer les idées. Professeur de musique dans une université, le manoir, situé près de son travail, semble l’endroit idéal pour se remettre de son deuil. Mais voilà qu’il se met à entendre de drôles de bruits provenant du grenier. Croyant que la maison est hantée, Russel décide d’investiguer le passé de son manoir pour y découvrir la provenance de l’esprit qui l’habite… Source: http://www.horreur-web.com

Exposition au Pied de Biche : Ciou, Fräneck et Malojo 4 juin- 29 juillet

Ciou, née en 1981, s’est aménagé une place à part sur la scène artistique pop et lowbrow. Ce mouvement underground, également appelé Pop surréalisme, est né à la fin des années 70 aux États-Unis et s’inspire de la culture punk et rock, du tatouage, des comics, des films d’horreur et de séries B… Les œuvres de Ciou mêlent le merveilleux, l’onirique, le cauchemardesque. Une galerie de portraits et une succession de saynètes dévoilant au spectateur des personnages aux caractères amusants, burlesques, inquiétants. Femmes ou nymphes côtoyées par des yokai – créatures surnaturelles, monstres et esprits légendaires du folklore japonais – évoluent dans une sphère hostile, violente rehaussée de couleurs vives et acidulées. Le miroir d’une génération hantée par la mort, rêvant de nature et de douceur. Sa carrière a démarré aux Etats-Unis avec une exposition en 2004 à la Flux Factory de New York. Elle a ensuite exposé à Amsterdam, Paris, Barcelona, Brussels, California, Portland, Rome, Berlin, Seattle.
.
Les dessins de Fräneck fonctionnent comme des séries, des mises en scènes où personnages et paysages se côtoient dans un huis-clos où règne une atmosphère à la fois bon enfant et menaçante. Ce basculement du rêve au cauchemar, de l’harmonie à la discorde, entraîne les personnages et les différents éléments du décor dans une confrontation parfois violente, humoristique, toujours sur fond de couleurs vives et d’attention portée au détail. Diplômé des Beaux-arts de Toulouse, Fräneck évolue aujourd’hui dans l’édition, l’auto-édition, les fanzines et revues collectives. Il a intégré il y a deux ans le Collectif Indélébile, basé à Toulouse, où ils organisent tous les ans un festival de petites éditions et de narrations graphiques. Les dessins présentés pour l’exposition sont issus de son dernier livre «Les Maisons», paru aux éditions Ion et disponible courant juin 2012.

86 rue de Charonne, 75011 Paris tél. : 09 81 71 32 09 mail : contact@lepieddebiche.com Horaires d’ouverture : Du mardi au samedi de 11 à 20h, le dimanche de 14h à 19h.


SUR LA ROUTE

Un film de Walter Salles Avec Garrett Hedlund, Sam Riley et Kristen Stewart Au lendemain de la mort de son père, Sal Paradise, apprenti écrivain new-yorkais, rencontre Dean Moriarty, jeune ex-taulard au charme ravageur, marié à la très libre et très séduisante Marylou. Entre Sal et Dean, l’entente est immédiate et fusionnelle. Décidés à ne pas se laisser enfermer dans une vie trop étriquée, les deux amis rompent leurs attaches et prennent la route avec Marylou. Assoiffés de liberté, les trois jeunes gens partent à la rencontre du monde, des autres et d’eux-mêmes.

Le formidable destin de God Save My Shoes

God Save My Shoes est disponible a la TV dans plus de 100 million de foyers aux USA et au Canada. God Save My Shoes a également remporté son premier prix dans un festival américain cette semaine. The Indie Fest (ou Festival du Film Indépendant de Los Angeles) a en effet décerné le Prix d’Excellence a God Save My Shoes et a sa réalisatrice Julie Benasra dans la catégorie Long Métrage Documentaire. Au niveau international, God Save My Shoes va sortir en salles de cinéma en Italie, Allemagne, Russie, Turquie et en Corée du Sud, a partir de Septembre. Tandis que les télévisions en Finlande, Espagne, Israël et Brésil proposent le film à partir de ce mois ci. À suivre

L'hôtel Jules&Jim installe son cinéma éphémère

Après avoir lancé les « apéros-cachés » l’été dernier et fêté l’inauguration de l’hôtel en février, Antoine Brault et Geoffroy Sciard proposent cet été, un cinéma éphémère dans les murs de l’hôtel… Une salle de cinéma secrète qui offrira des conditions de visionnage aussi agréable qu’exclusive. A partir du 6 juin 2012, Les projections accueilleront chaque mercredi, une programmation originale, retraçant 60 ans de cinéma. Ce rendez-vous sera également l’opportunité de découvrir de nouveaux talents. Avant chaque séance, un jeune réalisateur viendra présenter son court-métrage aux spectateurs présents en quelques minutes. Pour ouvrir ce festival « estival et cinématographique », Antoine Brault & Geoffroy Sciard rendent hommage à « Jules et Jim », adaptation du célèbre roman de Henri- Pierre Roché. À l’occasion de son cinquantième anniversaire, le chef d’œuvre de François Truffaut de 1962 sera projeté en séance d’ouverture le mercredi 6 juin 2012 à 20h45. La programmation du festival commence en 1962, date de la sortie de « Jules et Jim» pour se terminer en 2012, date de l’ouverture de l’hôtel. Chaque décennie (1962, 1972, 1982, 1992, 2002 et enfin 2012) sera représentée et incarnée par un film emblématique.

Chaque semaine, la salle sera ouverte à 20 spectateurs. Les réservations seront ouvertes sur la page facebook de l’hôtel : www.facebook.com/hoteljulesetjim le jeudi matin pour le mercredi suivant. Avant de récupérer leur ticket auprès de l’ouvreuse, sésame pour accéder à la salle secrète, les 20 spectateurs pourront se restaurer au bar et pourquoi pas y déguster une des créations de Ricardo le barman !
Cinéma éphémère Jules&Jim

À partir du Mercredi 6 juin 2012 Inscriptions & programmation sur Facebook : www.facebook.com/hoteljulesetjim Séance gratuite. Bar ouvert de 17h00 à 23h00 (Assiette jambon et fromage fermier à 17 € – Vin au verre à partir de 8€ – Coupe de champagne Moët Brut Imperial 12€).

Hôtel Jules & Jim 11, rue des Gravilliers 75003 Paris www.hoteljulesetjim.com

Maja Ivarsson

Maja Ivarsson, born 2 October 1979 in Åhus, Skåne (in southern Sweden) is the lead singer with the Swedish New Wave band The Sounds. She plays the electric guitar (having taken it up age 14) and is a lyricist. She was featured in Cobra Starship’s single and music video « Snakes on a Plane (Bring It) », for the 2006 film Snakes on a Plane. The widely advertised film gave an enormous amount of publicity to Maja and her band, especially in America. The Sounds are active on the touring circuit, including the United States. Their first tour was in the wake of their 2003 smash « Living in America » (both the song and and the album), although their touring conditions were a far cry from the sheen of the video for the song. They have been to the « Southern Finland triangle » (Turku, Tampere and Helsinki) many times, but their tour in the fall of 2006 showcased them in additional inland and coastal towns. An interviewer from the website Afterellen.com characterized Maja as « bisexual » and she accepted his description of her as « a member of the queer community. »

The Night of the Hunter, les nerfs à vif

Le film est bon, mais dans la vie c’est un tout autre scénario qui se déroule. L’homo consumerus fort de son pouvoir de nuisance puisque client et donc intouchable même si parfois le professionnel en face tente de se rebeller, ne cesse de provoquer des esclandres, des scandales et des coups de pression pour faire valoir son droit au service parfait, rapide, Sans anicroches, en somme ce que lui même est incapable de fournir dans sa propre activité. Just be cool, otherwise… Get the fuck Out !

Fac 51 – The hacienda manchester

the world’s greatest ever nightclub « We could play whatever we wanted to play. It was Manchester’s first scally night. It encompassed all the scenes, so there were almost indie-type scenes, Perry boys, Motown, Northern Soul. It was a really good night, but it was really Mancunian. I think that had a lot to do with it » – Mike Pickering prideofmanchester.com Michael Winterbottom’s 2002 film 24 Hour Party People starring Steve Coogan as Tony Wilson, tells the story of the Haçienda. The movie was filmed in 2001, and required reconstructing the Haçienda as a temporary set in a Manchester factory, which was then opened to ticket holders for a night, acting as a full-scale nightclub (except with free bar) as the film shooting took place.

Society (Brian Yuzna)

Date de sortie : 1989 (…) Découvrant ses parents proposer une orgie à sa soeur, Bill Withney, jeune homme de bonne famille mettra à jour les dessous effrayants de la classe aisée dont il fait partie. Voila pour le sujet, qui n’est en aucun cas un prétexte. Society est un film en deux lectures. Tout d’abord, une pure série B, totalement frappadingue, débutant dans l’univers propret d’un épisode de Beverly Hills qui s’engouffre soudain dans l’étrange pour s’achever dans l’apothéose d’une scène irrévérencieuse à souhait où la libido, l’appétit et la décadence se déchaîne. Un monde de richesse, de luxe et de bonnes manières qui bascule soudain dans une sorte de baisodrome géant où les corps se remodèlent, se fondent, s’aspirent pour une orgie finale dantesque, mêlant petit gore et une sorte de pornographie, terriblement enivrante.  Critique par Lestat pour krinein.com

Evidemment !!! de Doctor Chris

Evidemment !!!, nous vivons dans une drôle d’époque et dans un drôle de monde ou tout est possible. Comme par exemple des gentils internautes qui financent un projet comme celui-ci ? Non ? Vous ne croyez pas ? Bon, rentrons dans le vif du sujet… Le script de cette websérie est né suite à un scénario de long métrage que j’avais écrit il y a 3 ans. En effet, le projet étant trop ambitieux, on m’a conseillé de garder l’idée centrale du film et de la faire évoluer dans une websérie, ce que j’ai fait. J’ai donc sous la main 4 capsules écrites mais pas encore réalisées et pour cela nous avons besoin de votre soutien financier, évidemment !!! L’histoire est celle de Hervo,un jeune garçon atteint d’un syndrome similaire à celui de Gilles de la Tourette : il ne fait que gueuler ‘’Evidemment !!!’’ Mais ce n’est pas tout, évidemment ! Non seulement il est malade, mais en plus il vit avec une famille comme on aimerai en voir plus souvent : un oncle moustachu qui s’habille en femme et un père patibulaire croisement entre SCHWARZIE et WINNIE L’OURSON totalement à la masse. Visuellement parlant, cela tend vers l’univers de ‘’FLUIDE GLACIAL’’ ; humoristiquement c’est du belge avec une tranche de second degré, si pas troisième degré . (…) kisskissbankbank.com/projects/evidemment

Michael Jackson vu par Yann Moix

« Cinquante ans dans la peau de Michael Jackson ». Edité chez Grasset. Publié le 9/9/2009. Un récit original qui transcende le mythe pour lui redonner sa dimension d’homme.

Yann Moix est un artiste à dominante littéraire. Il est tour à tour écrivain, cinéaste, chroniqueur, ou encore journaliste. Il est né le 31 mars 1968 à Nevers dans la Nièvre, soit exactement 10 ans, 4 mois et 2 jours après Michael Jackson, qui lui est né à Gary dans l’Indiana. Ses « premiers pas » dans la littérature furent auréolés du fameux succès critique, avec en prime le prix Goncourt du premier roman en 1996 pour « Jubilations vers le ciel ».

Mais sa rencontre avec le grand public se fera par l’intermédiaire de Podium, d’abord le livre puis le film. Un vrai succès populaire qu’il a lui-même adapté au cinéma, avec notamment un Poelvoorde inspiré dans le rôle principal. Une histoire de sosie plus vraie que nature à découvrir pour ceux qui seraient passés à côté.

Clément Deltenre

MIDNIGHT JUGGERNAUTS – Dystopia

Leur nom est sur les lèvres de tous ceux qui voient le talent arriver de loin. Bientôt, leur électro libre sera partout. Pourtant, on ne sait pas grand-chose d’eux hormis qu’ils veulent en dire le moins possible. Ce qui, en marketing moderne, est déjà beaucoup. Fidèles à la tradition d’anonymat (relatif) qui prévaut sur la scène dance, ces trois Australiens estiment, à juste titre, que leurs chansons sont plus importantes qu’eux et préférables aux longs discours biographiques. On se contentera donc de signaler qu’ils se prénomment Vincent, Andy et Daniel, mais ont décidé, comme les Ramones (avec qui ils partagent un goût prononcé pour les plaisirs immédiats), de tous s’appeler Juggernaut. Vincent et Andy Juggernaut se sont rencontrés à l’école, à Melbourne, et ont commencé par sévir dans un groupe de rock basique avant d’évoluer vers une dance pop qui, depuis quelques maxis et remixes, fait se pâmer leurs pairs et les amateurs du genre. Depuis plusieurs mois, les Midnight Juggernauts ont attiré l’attention en remixant des titres pour !!! (Chk Chk Chk), The Presets, Dragonette, Electric Six et Damn Arms. Ils figurent aussi en bonne place sur de nombreuses compilations et ont déjà tourné avec Scissor Sisters ou Bloc Party. Bien inspirés, les Midnight Juggernauts ont récemment abandonné les tenues de scène de leurs débuts (des costumes de dictateur…) pour s’habiller comme leur public, jeune, bigarré et très porté sur la fête. Vincent et Andy ont également fini par trouver le batteur dont ils rêvaient en la personne de Daniel Stricker, devenu Daniel… Juggernaut ! Paru l’été dernier en Australie sur leur propre label, “Dystopia”, le premier album des Midnight Juggernauts, réunit une douzaine de chansons pop flamboyantes très inspirées par Electric Light Orchestra mais pas seulement. Au détour d’un refrain, dans un coin d’arrangement, au creux de la voix de Vincent, on constate la présence d’influences diverses et variées : Air, M83, le Bowie de “Low”, Can, Bauhaus, New Order, Giorgio Moroder, etc. Mais au-delà des allusions, c’est la réelle personnalité musicale du trio, qui se dit investi d’une mission galactique (?), qui fait surtout on charme : “Dystopia” auquel, en signant avec EMI France, les Midnight Juggernauts entendent bien donner une exposition mondiale, brille par la qualité intrinsèque de ses mélodies entêtantes, son éclectisme de ton, ses vocaux angéliques et ses ambiances sonores proches, parfois, de celles des films de John Carpenter. A des kilomètres des bidouillages mesquins de certains, ces explorateurs sonores voient grand et osent des suites d’accords en relief, des décharges éclectiques, et des retours vers le paradis. Appréciés par Justice ou Daft Punk, ils en ont la puissance et la grâce. “Into The Galaxy”, “Road To Recovery” ou “So Many Frequencies”, même si elles risquent de faire un malheur sur les pistes de danse européennes, raviront également les amateurs de pop et de rock sans œillères qui apprécieront certainement de surfer sur ces vagues bien plus hautes que la moyenne, la tête dans cette disco d’ailleurs un brin nostalgique.

A Bathing Ape

A Bathing Ape, ou Bape, est une marque japonaise de vêtements, spécialisée dans les vêtements urbains (streetwear). Marque de tee-shirts à l’origine, la société fut fondée en 1993 par Nigo (de son vrai nom Tomoaki Nagao, né le 23 septembre 1970), dans un quartier branché de T?ky?, Shibuya, où il travaillait alors dans une petite boutique, Nowhere, qui allait donner naissance à l’une des premières marques de streetwear japonaises. Le logo et les thèmes de Bape sont dérivés des premiers films de la série La Planète des singes, tandis que le nom de la marque est basé sur une expression japonaise courante signifiant « se baigner en eau tiède » (on dirait « se la couler douce » en français), qui évoque le mode de vie de la jeunesse japonaise actuelle. Bape est connu pour ses stratégies marketing judicieuses, qui consistent notamment à proposer ses produits en séries très limitées, de manière à créer un effet de demande.Chaque ville possède ses propres couleurs disponible que dans le magasin de celle ci,il existe aussi un magasin « bapexclusive » ultra privé ouvert qu’aux meilleurs clients . Dans la même veine, les magasins Bape sont généralement difficiles à trouver et ne sont habituellement pas identifiés par des enseignes particulières, en vue de maintenir un climat d’exclusivité et de pénurie. Nombre de magasins pratiquent une politique de vente consistant à ne proposer que des produits fabriqués en un seul exemplaire, en vue de contrecarrer toute tentative de contrefaçon des articles sur le marché noir (cette politique s’est toutefois révélée vaine — voir ci-dessous). Au Japon, la popularité de la marque Bape est telle que Pepsi-Cola lui a commandé le design d’une bouteille édition limitée et chaque sortie de nouveaux produits crées des files d’attente incommensurable. Au fil des années, la société Bape a diversifié ses activités, ajoutant à sa ligne de Tee-shirts (Baby Milo et Bathing Ape) d’autres lignes de vêtements et accessoires, comme des baskets (notamment la ligne Bape Sta, vendue dans les magasins ultra branchés Foot Soldier), des jeans et des sous-vêtements. À Bathing Ape s’est même diversifiée au-delà du secteur de l’habillement, en ouvrant un salon de coiffure (Bape Cuts), une galerie d’art (Bape Gallery), un café-restaurant (Bape Café), et en mettant sur pied une maison de disque ((B)Ape Sounds) et des programmes de télévision (Bape TV). En musique, A Bathing Ape produit notamment des cds et vinyles de hip-hop en édition limitée et des artistes tels que Teriyaki Boyz,Low Jack Three et Wise.Il existe également le « Bape All Star »qui regroupent les artistes Bape et certains rappeurs américains dont Kanye West et N.E.R.D.,toutefois ces derniers ne participent qu’aux galas d’ouverture de magasin Bape ou de promotion de la marque.

J'en ai revé… Bret l'a fait ! Bateman reprend du service

Une suite d’American Psycho, en partie partagée, élaborée sur Twitter ? Ben ouais ça semble si logique, si naturel, si génial ! L’auteur et sa muse déséquilibrée Patrick Bateman s’emparent du réseau des réseaux pour mettre le feu sacré notamment au star system.

Extraits (traduction Eric Vernay pour fluctuat.premiere.fr)

@breteastonellis : Une heure du matin à LA, assis à mon bureau pour finir un script et soudain je me mets à prendre des notes sur Patrick Bateman, sur là où il se trouve maintenant et peut-être qu’il pourrait…

@breteastonellis : Flashback: Patrick en adolescent, il va au lycée, avant d’aller à New York, et comment il est forcé par son père à…

@breteastonellis : Hmmm… Peut-être que je devais appeler mes éditeurs Lundi…Mais je dois encore trouver la structure…Il y aura certainement des meurtres en classes prépa et…

@breteastonellis : Bon, si ces idées de séquelle pour American Psycho donnent quelque chose, j’en parlerais à mon agent mais d’abord il faudra que je passe le week-end à voir si ça fonctionne…

@breteastonellis : Patrick à Harvard en train d’écouter The Nylon Curtain…peut-être Nebraska..peut-être Don Henley…

@breteastonellis : J’adorerais Patrick en train de disséquer « Building the Perfect Beast” de Don Henley…

@breteastonellis : Le premier meurtre de Patrick n’aurait pas été à Harvard. Il aurait été auparavant … Cela aurait été la maîtresse de son père…

@breteastonellis : Patrick détesterait Obama et par exemple et entrerait dans les détails au sujet de la fraude du blaireau #Kony2012 et il adorerait Kim Kardashian.

@breteastonellis : Que penserait Patrick Bateman de la notion de transparence? Ou bien a-t-il déjà pensé à la question dans l’original ? Des pensées qui me viennent en prenant des notes…

@breteastonellis : Patrick posterait des photos des filles qu’il a assassinées sur Facebook et personne ne le remarquerait ou posterait “Fuck Yeah” et voilà ce à quoi je pense.

@breteastonellis : Patrick parlerait d’Adele et Kanye et KATY PERRY parce que « Firework » est son morceau favori…Et ensuite il tue l’entraîneur de Katy Perry…

@breteastonellis : L’iPad de Patrick commencerait à lui parler…Lui disant que la reprise de The Cure par Adele l’a conduit au meurtre, eh bien, de tout le monde…

@breteastonellis : J’ai 3 pages de notes sur là où habite Patrick Bateman maintenant et d’où il vient. La scène la plus violente se déroule dans un club féminin où Patrick Bateman viole/tue 12…

@breteastonellis : Patrick partirait dans une longue dissertation sur l’oeuvre de Coldplay…

Sa chanson préférée étant « Fix You »…

@breteastonellis : Patrick se plaindrait de Spotify et de Cloud et Tumblr…Mais il pourrait trouver ses victimes via Blendr en écoutant Beyonce et O.A.R [groupe de rock américain né au milieu des années 1990s, ndlr]

@breteastonellis : L’autre roman auquel je pense serait sur Sean Bateman comme gros pédé dans le West Hollywood, où il contracte le Sida dans les pavillons locaux…

@breteastonellis  : Une scène avec Chris Martin et Patrick Bateman mangeant des gaufres et parlant du degré de coolitude de St Vincent….Et ensuite Patrick lui coupe lui fend la gorge. Notes.

@breteastonellis  : Le héros de Patrick Bateman était Michael Hutchence…

@breteastonellis : Ces pavillons sont si gay qu’ils ont des tests HIV gratuits dans l’allée 5…

@breteastonellis : Patrick Bateman serait si obsédé par « Stop and Stare » et tout ce qu’a pondu le mec qui a écrit « Halo »…[référence à Ryan Tedder, le chanteur du groupe de rock OneRepublic et auteur de chansons pour Beyonce et Adele, ndlr]

@breteastonellis : Patrick Bateman courant autour de Central Park en écoutant « Destination Unknown » de Missing Person…Les notes continuent d’affluer…

@breteastonellis : Le plan à trois préféré de Patrick : Rihanna et cette fille de Sleigh Bells…

@breteastonellis : Rencontre effrayante de Patrick avec un homo : Kris Humphries au STK [Humphries est un joueur de basket américain de l’équipe des Nets et ex-mari éphémère de Kim Kardashian, STK est une fameuse steakhouse de Manhattan, ndlr]

@breteastonellis : Le premier meurtre est le mec du #Kony2012 que Patrick découvre amant du petit copain d’Andy Dick…  [Andy Dick est un célèbre humoriste américain, très provocant]

@breteastonellis : Patrick traînant avec Scott Disick et Rob Kardashian…[célèbres mannequins américains, ndlr]

@breteastonellis : Patrick veut se taper toutes les soeurs Kardashian…Page 4…Et après…Attendez, comment Channing Tatum entre en scène?

@breteastonellis : Le plan à trois idéal selon Patrick : Chris Brown et Rihanna…

@breteastonellis : Hmm…Page 5… Tuer David Beckham dans un ascenseur à Manchester…

@breteastonellis : Courir après Gavin Rossdale dans un Bristol Farm à West Hollywood… [Bristol Farm est une chaîne de restaurants, Rossdale est le frontman du groupe de rock Bush]

@breteastonellis : L’obsession de Patrick : Rihanna…

@breteastonellis : Le film préféré de Patrick : La couleur des sentiments…

@breteastonellis : Patrick était à des soirées il y a des semaines quand Lindsay Lohan a juré qu’elle allait coucher avec Beckham. Patrick à L.A avec son frère gay Sean ? Paul ?

@breteastonellis : Patrick et Gavin Rossdale ont eu leur moment Luis Carruthers dans la salle de bain de Bristol Farms. [Luis Carruthers est un personnage homo qui révulse Bateman dans American Psycho]

@breteastonellis : Griffonnage de notes sur Patrick Bateman comme directeur de fonds spéculatifs à LA…

@breteastonellis : Patrick traînant avec Mumford and Son’s… Que pourrait-il se passer…[ Mumford and Son’s est un jeune groupe de folk rock anglais]

@breteastonellis : Oui, Sean Bateman est gay. Y a-t-il quelqu’un qui ne s’en soit pas aperçu ?

@breteastonellis : Patrick a regardé Vendredi 13 quand il avait 16 ans mais…Page 7 et notes pour un sequel…

@breteastonellis : OK donc Sean est gay et vit dans le West Hollywood et Patrick va à L.A avec l’idée de tuer qui ? Une actrice célèbre ? Quelqu’un de “Hunger Games” ?

@breteastonellis : Oui, Patrick Bateman se servira de Blendr…

@breteastonellis : 12 pages de notes…

@breteastonellis : Patrick est d’abord obsédé par Rihanna et ensuite par les nombreuses partenaires de James Deen …[James Deen est un célèbre hardeur US]

@breteastonellis : Bon pour 14 pages de notes…

@breteastonellis : Patrick adore Celebrity Apprentice et Chopped and the Kardashian’s. Je pense…Housewives of Beverly Hills?… NCIS?… Quoi d’autre?…

@breteastonellis : Il déteste Dexter parce qu’ils lui ont volé son nom…

@breteastonellis : Patrick est bizarrement sympathique avec Kirk Cameron…[acteur américain et chrétien évangélique influent]

@breteastonellis : Les films préférés de Patrick sont Hostel 2 et Chicago…

@breteastonellis : Ecriture de nouvelle notes. Aller au lit. Du mal à croire à ce qui m’arrive. Est-ce que je vais réellement commencer à faire ça ? Patrick Bateman dit oui…

@breteastonellis : S’il vous plait continuez à m’envoyer des idées…Vous ne serez pas crédités…Mais elles aident…

@breteastonellis : Je garde ce qui pourrait être le nouveau livre sous des enveloppes pour le moment, après l’inspiration des dernières nuits. Mais je suis toujours intéressé par vos suggestions et conseils…

La suite, bientôt sur le Twitter de Bret Easton Ellis.

The Big Swap

Pour ce week-end prevu a la campagne, Julian, Jack, Michael et Hal, quatre amis de longue date, arrivent chacun accompagne de leur promise. La maison est suffisamment vaste pour accueillir les quatre couples ainsi que Sydney, une jolie celibataire. La soiree en groupe commence au coin du feu, chacun y allant d’une bonne plaisanterie. L’alcool aidant, ils decident, comme s’il s’agissait d’un jeu, d’echanger leurs partenaires. The Big Swap n’est pas un chef d’oeuvre mais il a le mérite d’exister, car les films qui abordent de façon ‘théorique’ ce sujet ne sont pas nombreux… On retiendra également Peindre ou faire l’amour ou dans un registre plus léger, 7 ans de mariage.

Travers de porc caramélisés et patates douces

2 kg de travers de porc – 4 grosses patates douces ou 8 petites – 1 bouquet garni – sel, poivre du moulin. Pour la marinade : 20 cl de sauce soja – le jus de 1 citron – 6 cuillères à soupe de miel liquide – 1 cuillère à soupe de paprika – 3 cuillères à soupe d’huile. Plongez les travers de porc dans un faitout d’eau bouillante poivrée, ajoutez le bouquet garni et laissez frémir 1 h 30. Dans le même temps, faites cuire les patates douces à l’eau frémissante salée 35 à 40 min jusqu’à ce qu’elles soient tendres. Préparez la marinade : dans un bol, émulsionnez à la fourchette le jus de citron, la sauce soja, le paprika, le miel, l’huile et un peu de poivre puis réservez. Préparez le barbecue. Egouttez les patates douces, faites des papillotes en les enveloppant dans de l’aluminium et réservez. Egouttez les travers, badigeonnez-les entièrement de marinade, couvrez d’un film plastique et laissez-les mariner 30 min. Mettez les papillotes dans la cendre et faites cuire vos travers pendant 15 à 20 min sur la grille du barbecue en les retournant toutes les 5 min. Préparation : 20 min. Marinade : 30 min. Cuisson : 1 h 50. Accompagnez les patates douces de crème fraîche salée et poivrée, et de gingembre finement râpé.

"Picture me", le docu-journal du top model Sara Ziff

« Rien ne peut vous arriver si vite, si facilement, sans un retour de bâton », annonce le top model Sara Ziff à l’ouverture de son docu-journal « Picture me », qui porte un regard lucide sur les coulisses, à la fois glamour et sordides, du petit monde de la mode. Repérée dès l’âge de 14 ans dans les rues de New York, comme dans les contes de fées pour adolescentes, la jeune Américaine a été filmée par son petit ami, Ole Schell, sur une période de cinq ans quand elle faisait la une des magazines et défilait sur tous les podiums. Inconnue au premier regard, on finit par l’identifier tant on l’a vue sous toutes les coutures dans des publicités. La transformation de ce visage est d’ailleurs saisissante tout au long du film : on a beau savoir que maquillage et retouches font merveille, il reste difficile de relier ce visage nu, sans fard, à celui des photos survitaminées des magazines. Devant un énorme panneau publicitaire, pour lequel elle a posé et qu’elle découvre dans les rues de New York, Sara remarque d’ailleurs : « C’est curieux, je ne me vois pas du tout comme cette fille ».

D’avion en aéroport, de podiums en passerelles, passant d’un coiffeur à un maquilleur, la jeune fille croit vivre d’abord un rêve éveillé. Des séquences entières sont consacrées aux premiers chèques à multiples zéros qu’elle reçoit avec incrédulité : la caméra fait des allers-retours entre le chèque, en gros plan, et son visage enfantin, tour à tour émerveillé ou choqué. Mais petit à petit, la chronique de ce quotidien, d’abord une sorte de jeu innocent consistant à filmer l’envers d’un décor féerique, dévoile sa part d’ombre. Anorexie, déracinement de mannequins de plus en plus jeunes, agressions sexuelles, drogue : les maux de cet univers sont bien connus mais Sara Ziff fait parler ses copines de défilés, qui confient, souvent des larmes dans les yeux, leurs anecdotes troublantes. Comme cette jeune fille de 16 ans qui pense retrouver l’équipe technique dans un jacuzzi en fin de journée, pour n’y trouver que le photographe quinquagénaire, nu. Ou cette autre qui observe, stupéfaite, le photographe se dévêtir en pleine séance photo alors qu’elle-même pose nue.

Sara Ziff donne aussi la parole à des collègues qui ne travaillent pas assez et se retrouvent endettées envers leur agence de mannequins, qui avance les frais pour leurs déplacements et hébergements. Au fil des plans, elle se demande, de plus en plus souvent, si elle doit continuer à exercer ce métier qui lui apporte succès et argent mais la rend de plus en plus malheureuse. Elle pleure, exténuée, incapable de se protéger des ravages d’une exposition permanente à tous les regards. Lors d’une scène poignante, où Sara est filmée à hauteur de visage dans sa baignoire, elle hoquette de rage et d’épuisement en racontant son altercation avec un photographe dans les coulisses d’un défilé. Alors qu’elle le prie de poser son boîtier pendant qu’elle se change, il la mitraille, ne tenant aucun compte de sa demande. Le sentiment de ne pas exister vraiment, le vertige d’être traitée comme un bel objet à la disposition des autres.

Mort sur le Grill

A ne pas confondre avec Mort sur le Green un très mauvais film d’horreur à reserver aux ultras initiés. Mort sur le Grill est un film absolument génial de Sam Raimi. Par une nuit d’orage, a Denver, Colorado… Vic Ajax, le heros, va se mettre dans de sales draps. Non seulement parce qu’il est amoureux, mais surtout parce que son patron a decide cette nuit de se debarrasser de son associé. Complétement introuvable donc indispensable pour tout cinéphile qui se respecte. http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=1219.html

POULARDE AU BOUILLON CRISTAL ET TRUFFES NOIRES

30g de truffes noires 1er Choix 1 poularde de Bresse de 2 Kg environ Le bouillon cristal: 4 cubes de bouillon de poule Maggi, 1 poireau, 1 oignon 50cl de crème fraîche épaisse, 1 trait de citron, sel et poivre 4 mini-choux verts, 8 bébés-fenouils, 8 bébés-navets allongés 300g de chipolatas, 100g de raisins secs blonds 100g de foie de volaille, 3 petits suisses, 30g de beurre, 1.5 scone, 1 pomme Granny Smith, 15g de cerneaux de noix, 15g de pignons de pain, 15g d’ail pressé, 50g d’oignon haché fin, 1 bouquet de persil plat, 1/2 botte de cerfeuil, 1 cuillerée à soupe de vinaigre blanc, 1 pincée de piment de Cayenne Demandez à votre volailler de faire une ouverture dans la poularde, au niveau du cou, et de décoller la peau. Découper la truffe en rondelles que vous glissez sous la peau. Préservez un peu de truffe et mettez la volaille au frais. Pour la farce, faites tremper les raisins dans l’eau chaude puis égouttez-les. Ecrasez à la fourchette la chair des chipolatas, faites-la revenir dans 15 g de beurre, salez, poivrez, égouttez et récupérer le jus. Coupez la pomme en dés en laissant la peau, faites-les dorer à part dans 15 g de beurre restants. Détaillez les foies en gros morceaux, poêlez-les avec les oignons et la purée d’ail dans le jus des saucisses. Salez et poivrez, déglacer au vinaigre, laisser refroidir. Détendez la farce avec les petits suisses puis ajouter les raisins, les herbes, le piment, les scones émiettés, les pignons et les noix. Farcissez la poularde et recousez-la avec du fil à brider. Enveloppez-la dans un film alimentaire puis ficelez les pattes, laissées longues. Faites chauffer dans un faitout 4 litres d’eau avec un poireau, 1 oignon et 4 cubes de bouillon de poule Maggi. Au premier frémissement, coupez le feu et immergez la poularde. Au bout de 15 à 17 minutes, sortez-la du faitout et immergez-la dans de l’eau avec des glaçons. Rallumez le feu, ramener le bouillon à frémissement et recommencer l’opération. Le secret de cette recette consiste à la renouveler à trois reprises. Tandis que la poularde est plongée dans le bouillon frémissant, pochez les mini-légumes un à un dans de l’eau bouillante très salée. Dès qu’ils sont al dente, refroidissez-les à l’eau glacée.  Pour la sauce, mettez la crème fraîche dans une casserole, amener-la à ébullition, ajoutez un trait de citron, du sel, du poivre et 10 g de truffes hachées.  Sortez la poularde, retirez le film alimentaire et détachez délicatement du torse les suprêmes (les blancs) en suivant la carcasse. Remettez la poularde dans le bouillon afin d’achever, pour le deuxième service, la cuisson des parties plus résistantes et de la farce. Source : www.truffefrance.com

Fortuna – Fortuna

Quick Critique : « Dès les premières mesures on est dans l’ambiance, une ambiance de genre comme dans les films de Don Coscarelli, pour ne pas dire Dario Argento… La voix quasi transexuée de la divine Asia Argento ajoute au trouble. On sait qu’à chaque écoute les images viendront naturellement aguicher l’esprit, des images issues des meilleures productions érotico – horrifiques des 70 – 80’s. Pour ma part, j’ai trouvé cet album fascinant. Fortuna ne joue pas il Est… C’est remarquable à une époque de remakes… Loin de la parodie, le groupe donne envie de se replonger malheureusement avec nostalgie dans le monde du Giallo. Avec Pulsion Phantom pour quasi Alter Ego, Fortuna développe un rétro son « electro-horror », déterrant et s’appropriant pour notre plus grand bonheur les plus flippantes compositions Américano – Italienne qui ont marqué le siècle dernier. En espérant que quelques cinéastes bien inspirés suivront le mouvement et sauront entretenir la flamme.  Pour l’heure (minuit), souhaitons que cet Oiseau au plumage de cristal, propage son sabbath…

Sombre et lubrique. Sur le dancefloor, l’univers musical de Fortuna résonne à l’image de ces deux mots: il intrigue, séduit et hypnotise. Pas étonnant que leur plus grande fan s’appelle Asia Argento. Au point où l’actrice italienne a apposé sa voix sur cinq titres de leur album. Kid Chocolat a sorti plusieurs disques d’electro avec une touche sixties prononcée: Il développe son goût pour les BO jusqu’à collaborer avec Pascal Greco (vidéaste) à la création d’une bande son originale intitulée « Super8° » sortie l’année passée. Il créé également son propre label Poor Records et s’est occupé de la direction artistique de la compilation « Ich möchte ein Eichersein » rendant hommage à Stephan Eicher et son groupe Grauzone.  Il collabore avec The Knack pour son album « Zombiparti » sorti en 2005. Oil signe le graphisme et remporte le Qwartz de la meilleure pochette. Les 2 musiciens et le graphiste créent alors le projet Fortuna influencé par leurs premiers amours new-wave et noisy à savoir : les premiers Cure, New Order, Joy Division, My Bloody Valentine mais aussi les films d’horreur et leur bande-son signée John Carpenter ou Ennio Morricone entre autres. L’univers musical et visuel créent un ensemble et deviennent indissociable. phunkster.com

Across the universe

Réalisé par Julie Taymor Avec Evan Rachel Wood, James Urbaniak, Jim Sturgess Une histoire d’amour qui se déroule au milieu des années 60 et des manifestations anti-guerre, de la lutte pour la liberté d’expression et les droits civiques, l’exploration des esprits et le rock’n roll. Le film nous fait voyager des Universités du Massachussetts et de l’Ohio, aux émeutes de Détroit et aux champs de batailles du Vietnam, en passant par les docks de Liverpool.

Glamorama

Victor Ward est dé-bor-dé par les préparatifs de lancement d’une boîte de nuit. Pedro (Almodovar), Naomi Campbell viendront mais ni Giorgio Armani, ni Pamela Anderson, ni… ne pourront, malheureusement. Victor, mannequin pas encore vedette, est un type insupportable, arrogant, qui parle trop, fume trop, baise trop (notamment la petite amie de son associé et la maîtresse du même associé), et qui rêve d’obtenir un petit rôle dans Flightliners III… Mais l’inauguration de sa boîte est un fiasco, ses petites amies manquent s’entre-tuer, son père, sénateur, menace de lui couper les vivres s’il continue à poser en slip pour Calvin Klein et un type qui lui ressemble n’arrête pas d’aller à sa place assister aux défilés… Bref, la vie devient impossible ! On lui propose alors un pont d’or pour aller retrouver en Europe une des ses anciennes camarades de collège, top model…, qui se révèle une sanguinaire terroriste. C’est là que le destin de Victor bascule. Mais au fait, qui sont ces équipes de cinéma qui font un reportage sur sa vie et celles des top models, et quelle est cette équipe de cinéma qui filme la première équipe de cinéma ? et quel film est dans le film ?… De Bret Easton Ellis Source : http://www.amazon.fr

Champagne et Parties Fines

Outre le fait que cela soit le titre du premier film de Gérard KiKoïne (qui réalise maintenant des infomerciales pour tf1…) et qui lança la carrière de Brigitte Lahaie, la partie fine est une activité sexuelle collective. L’amour à plusieurs permet de démultiplier les combinaisons possibles, et de jouer beaucoup plus intensément avec la simultanéité d’activités passives et actives. Pendant plusieurs siècles, les vases grecs (qui sont des récipients pour boire) vont jouer avec des représentations des différents cas de figure. Déjà un simple groupe de deux hommes et d’une seule femme offre un grand nombre de variantes. Par exemple, la femme est à quatre pattes ; un homme, derrière elle, appuyé sur ses reins, la pénètre ; elle a dans la bouche le sexe de l’autre homme, penché sur elle, lui caressant les épaules. Mais les trois peuvent être debout ; la femme, pliée en avant, est pénétrée par l’un tandis qu’elle se retient aux hanches de celui dont elle goûte le sexe. Ou encore : la femme est allongée à plat ventre sur une table qui met son vagin et sa bouche à la bonne hauteur pour les deux hommes qui la pénètrent de leur sexe. Quant au champagne, il rafraichit et érotise les sens…

Ouvre les yeux

Passionnant polar fantastique, Ouvre les yeux impose son metteur en scène Alejandro Amenabar comme l’un des grands espoirs du cinéma espagnol. Son premier film, Tesis, qui se déroulait dans le milieu des snuff-movies, avait déjà fortement impressionné. Sur un scénario diabolique, il prend un malin plaisir à détourner toutes les images : Qui est qui ? Où est le rêve ? Où la réalité ? Dans un univers paranoïaque, il déroule avec brio une intrigue labyrinthique à souhait. On a beau rester les yeux ouverts, force est de reconnaître qu’on prend une jubilation certaine à se laisser manipuler ! Désarçonné, stupéfait, on reste ébloui par la maîtrise dont témoigne son second film. Lorgnant du côté de David Lynch pour l’univers visuel de Matrix, et Dark City pour le scénario machiavélique, c’est in fine un autre grand film onirique sur la jalousie que rappelle ce fabuleux thriller : Eyes Wide Shut. Interprété remarquablement par la nouvelle génération de comédiens ibériques – Penelope Cruz, Eduardo Noriega, ainsi qu’une apparition inattendue mais cruciale de Gérard Barray –, ce film-puzzle ébouriffant mérite largement de figurer parmi l’un des sommets du cinéma fantastique de ces vingt dernières années. –Sylvain Lefort http://www.amazon.fr

Question contextuelle

L’usage veut que l’on demande: Si vous étiez sur un ile déserte quel livre emporteriez vous ?  J’aimerai plutôt savoir quel livre ou quel film est, selon vous, suffisamment captivant pour être suivi sur un smartphone ou une tablette dans un Métro bondé ?

L'ultime souper

Réalisé par Stacy Title Avec Cameron Diaz, Nora Dunn, Ron Eldard. Cinq étudiants de gauche se réunissent dans un agréable pavillon autour d’une table choisie, pour refaire le monde. Ce soir comme chaque semaine, ils invitent un hôte, soigneusement selectionné, à partager leur table et à exposer son point de vue sur un sujet donné. Un excellent film pour adeptes de l’autre cinéma (le bon).


L’ultime souper – Bande annonce VO par _Caprice_

SX70 @ Colette

Lʼappareil SX70 est de retour en série limitée pour colette (seulement 50 exemplaires). Les films PX680 Color Shade First sont aussi disponibles séparément, avec de drôles de pois bleus dans le cadre pour cette édition collector en vente à partir du 5 décembre.

8 photographes qui ont déjà exposé chez nous dans le passé l’ont testé : Mark BorthwickLisa EisnerVava RibeiroEd Templeton,Todd SelbyMatt JonesOlivier Zahm et Terry Richardson. Leurs polaroids originaux seront exposés chez colette, et seront également reproduits dans les Polaboy : une invention de Jirko Bannas qui permet de garder pour l’éternité ses images dans un caisson lumineux à l’echelle du SX70 multiplié par dix. Le Polaboy est disponible avec un choix d’image existant ou bien sur mesure avec votre photo.

Enfin, ne manquez pas le calendrier Poladarium 2012 composé de 366 polas pour chaque jour ! colette.fr

LAGERFELD CONFIDENTIEL EN COFFRET

Sélection officielle « Panorama » au Festival de Berlin 2007, la biographie documentaire de Karl Lagerfeld sort le 13 juin en coffret DVD. Le réalisateur Rodolphe Marconi a filmé le couturier au quotidien. Des 300 heures de rushs est né ce portrait poétique d’une heure et vingt-six minutes. Rodolphe Marconi avoue avoir mûri ce projet pendant 10 ans. « Quitte à faire un portrait, autant le faire sur quelqu’un qui soit à la fois intelligent, drôle et mystérieux. Et puis je l’ai toujours aimé » dit-il à propos de Karl Lagerfeld. Entre Paris, Tokyo et New York, le documentaire révèle un homme drôle, passionné de littérature et de culture. De la préparation d’une collection aux interviews, du travail de photographe aux lectures en solitaire, tout l’univers de Karl Lagerfeld est révélé au spectateur. Le coffret Lagerfeld Confidentiel se compose d’un DVD et des bonus (scènes coupées, projets d’affiches, teasers et bandes-annonces). J.DLR. Coffret Lagerfeld Confidentiel, 19,90 euro. www.vogue.fr

Steve Jobs [Ibook Edition]

Suggéré par le créateur d’Apple, qui fait face à une maladie redoutable, Steve Jobs,  à partir de plus de quarante entretiens menés sur plus de deux ans et d’interviews d’une centaine de membres de sa famille, amis, rivaux, concurrents et collègues, le livre retrace l’incroyable vie et l’extraordinaire personnalité d’un génie, perfectionniste et hyperactif, qui a révolutionné les ordinateurs, les films d’animation, la musique, les téléphones, les tablettes tactiles et l’édition numérique.

Steve Jobs est désormais l’icône absolue de l’inventivité. Il a compris qu’associer la créativité à la technologie était devenu essentiel. Steve Jobs a bien sûr collaboré au livre mais n’a demandé aucun droit de regard sur ce qui est écrit, ni même de le lire avant la publication. Il n’a imposé aucune limite, au contraire, il a encouragé son entourage à parler librement. « Il y a beaucoup de choses dont je ne suis pas fier, dit-il, notamment la façon dont, à vingt-trois ans, j’ai géré la situation lorsque ma petite amie est tombée enceinte. Mais je n’ai pas de cadavres dans le placard que j’essaie de cacher. »

C’est avec une extrême franchise que Steve Jobs parle des personnes avec qui il a travaillé ou été en concurrence. Il peut profondément exaspérer les gens autour de lui. Ses amis, ennemis et collègues évoquent sans langue de bois ses passions, ses démons, ses désirs, son intransigeance, et son obsession du contrôle qui ont forgé sa vision des affaires et les innovations qui en ont découlé. La personnalité de Steve Jobs et les produits qu’il crée sont étroitement liés, comme les différentes parties d’un système intégré – tous les produits Apple et ses logiciels participent de cette logique. Le parcours de Jobs est exemplaire, un modèle en terme d’innovation, de caractère, de direction d’entreprise et de valeurs.

Exposition FORCE NOIRE (Fela Kuti)

« La musique est l’arme du Futur » – Fela Kuti Force Noire est une exposition en hommage au Roi de l’Afro-Beat Fela Kuti. Un Hommage aux Héros Noirs Icône de la contre culture Africaine, Fela est une Force Noire, une force de la nature. L’exposition Parisienne FORCE NOIRE présentera pour la première fois en France sous un angle éclectique le parcours de Lemi Ghariokwu, allant de ses débuts d’illustrateur de pochettes de disque et de son travail pour la presse au Nigéria, jusqu’à ses travaux récents. Cet événement consacrera le talent de l’artiste de l’AfroPopArt en explorant les nombreux aspects de son travail visionnaire. (…) La vie de Fela est exceptionnelle. Il représente ce symbole de Force de la nature, cette Force Noire. Leader en lutte contre la tyrannie et l’injustice, il consacrera sa vie pour la liberté d’expression et la dignité humaine. Icone moderne de la contre culture africaine, sa forte personnalité, son audace et son énergie justifieront la puissance de son originalité musicale. Son charisme et sa créativité l’ont conduit au succès international. A sa mort, plus d’un million de personnes assisteront à son enterrement.

Pierre Terrasson a rencontré a le roi de l’Afro-Beat à Paris. Pierre a passé cette décennie à prendre des photos « par curiosité, un âge d’or, celui des années 80, où être photographe ne s’improvisait pas. » Il s’est embarqué par pure passion dans l’univers excentrique du hard-rock, du rock et du punk. L’hétérogénéité de son travail est surtout motivée par une curiosité sans borne pour tout ce qui peut sembler atypique, ce qui ne rentre pas dans les cadres. Ses archives sont dès lors pleines de personnalités énigmatiques, excentriques, hors-norme. Il a eu le privilège de photographier Fela lors de ses concerts et de festivals en France avec ses danseuses affichant fièrement leurs maquillages Yoruba et leurs parures aux perles flamboyantes. Ces photos sont inédites et n’ont jamais fait l’objet d’une exposition en France ou dans le monde.

Exposition FORCE NOIRE Du mardi 3 janvier 2012 au samedi 4 février 2012 – Entrée libre @ 59 RIVOLI – 59 rue de Rivoli 75001 Paris – Metro Chatelet Ouvert tous les jours de 14h à 20h fermé le lundi Vernissage privé : janvier 2012  Samedi  ou Dimanche Atelier enfants by Lemi Ghariokwu –  Dinah Douieb Partenariat : Cie Arik Air, Modupé Otesanya Sanya Films  59Rivoli, Mairie de Paris, Fraap. Fair Fibers. Commissaire d’exposition Dinah Douieb

Mise en Dior 3D pinball !

Christian Dior lance un film d’animation 3D pour présenter l’esprit de la collection de bijoux couture « Mise en Dior ». Sous la Direction Artistique de Camille Miceli, ce pinball virtuel imaginé et  produit par l’agence al dente, revisite de manière ludique les codes atemporels et le savoir faire de la maison Dior. Let’s play !

I Spit on Your Grave + Day of the Woman UNRATED (Blu-ray)

Amateurs de films bien violents ceci est pour vous. Avertissement: Merci d’être équilibré et sans envies criminelles avant de regarder ce genre « d’œuvres » cinématographiques…

Jennifer, jeune et jolie écrivain, s’isole dans un chalet pour y écrire son nouveau roman. Elle qui s’attendait à une retraite tranquille, se retrouve violée et torturée par un groupe d’individus complètement tordus qui empestent la cruauté et la perversité. Abusée par chacun d’entre eux, laissée pour morte, elle se livrera à une vengeance sans pitié…

JOY DIVISION CHEZ AGNES B > AROUND TOWN

In preparation for the release later this month of Anton Corbijn’s modern masterpiece Control, a biopic on the tragic life of Joy Division lead singer Ian Curtis, Agnès b treat us to this selection of photos of the group… En attendant la sortie, ce mois-ci, de Control, le chef-d’oeuvre moderne d’Anton Corbijn, film qui retrace la vie tragique d’Ian Curtis, le chanteur de Joy Division, Agnès b nous offre cette sélection de photos du groupe…  myspace.com/gogoparis.com flickr.com/groups/gogoparis http://www.gogoparis.com

STAR WARS L’INTEGRALE DE LA SAGA EN BLU-RAY

Impatience totale : L’Intégrale de la saga Star Wars en Blu-ray pour la toute première fois. Les 6 films en haute définition accompagnés de plus de 40 heures de bonus souvent inédits, dans un coffret 9 Blu-ray exceptionnel. Rejoignez la force en haute définition !

SNCF : Mission Paris-Deauville

TBWA Paris a orchestré la mise en place du site Mission Paris-Deauville, sur lequel les internautes se retrouvent projetés au cœur d’un film catastrophe participatif, où se mêlent suspense et humour, leur annonçant qu’ils ont «vingt secondes pour sauver le monde». Jusqu’au 6 septembre, les plus chanceux pourront ainsi remporter un pass cinéma pour assister au festival. Pour la troisième année consécutive, la SNCF est partenaire du Festival du film américain de Deauville, qui se déroulera du 2 au 11 septembre  2011.

Nokia N76 Cloverfield

Cloverfield, c’est le film à l’origine d’un buzz phénoménal sur le net ces dernières semaines, avec son teaser ‘’choc’’ vu sur de nombreux sites depuis juillet 2007. Nokia, sentant le succès, s’est associé au film, notamment en plaçant de nombreux produits tout au long des différentes scènes. Tous les personnages utilisent un téléphone Nokia, le personnage principal, quand à lui, a un N76, et on peut aussi voir le logo de la marque une quantité impressionnante de fois, lors de tous les moments critiques du film notamment, ainsi que sur les affiches et tous les supports promotionnels. (…) Source : Elise Madoz www.culture-buzz.fr

Ceviche péruvien

4 kiwis 500g de filet de cabillaud 1 citron 2 citrons émincés Feuilles de laitues Brins d’aneth Sel, Poivre Réduire la chair d’un kiwi en purée, la filtrer, récupérez que le jus, pressez les citrons, réservez un demi citron pour la déco. Choisissez des filets de poisson épais, les ocuper en fines lanières, les déposer sur un plat, arrosez avec les jus de citron et de kiwis, laissez mariner durant 1h30 au réfrigérateur, filmez. Ajoutez l’oignon émincé, le piment, le sel et le poivre.Mélangez.Et laissez mariner encore pendant 30 minutes.Pelez les kiwis, les couper en rondelles, émincez le demi-citron en tranches très fines, garnir 4 assiettes creuses des feuilles de laitues, mettre les lanières de poisson en les arrosant de marinade.Disposez les rondelles de kiwis sur le tour de l’assiette en intercalant une mince tranche de citron.Parsemez de brins d’aneth. http://www.leprodelacuisine.fr

Mais ça sait être une bonne idée : Le Nouvel An Belge à la Boule Noire avec Gonzaï

 

Gonzaï s’associe au Nouvel An Belge pour fêter n’importe quoi mais pas avec n’importe qui. Au programme: les belges freakos de The Experimental Tropic Blues Band, les lyonnais affectueux de Calin et les déglinguos de Joy as a toy. Militez pour le plat pays en bougeant vos pieds plats! La Boule Noire – Cinq euros septante sept (5,77 €)  Ouverture des porte à partir de 18h30 Informations : nouvelanbelge.com Avec: THE EXPERIMENTAL TROPIC BLUES BAND (BE / Jauneorange) / Fusée de lancement du réveillon. Cocktail: on mélange le Crapping Blues (Goddamn Blues), le fusion rock (Bang Your Head), la disco décadente (Disco D’Inferno), le power rock (Ooh, Those Dicks, I Dig You Much than More), le chicken rock (Coockadooldldo), et le r’n’r (Hippy Di Hop). theexperimentaltropicbluesband CALIN (FR / L’Amicale Underground) /  Né de l’improbable rencontre de Mad Marx et Eddy Mitchum, CÂLIN étonne par son style « obscur drunk » plutôt chapardeur. Leurs textes à l’universalité joviale, inspirés par l’humour simple d’une certaine école belge, enfoncent nonchalamment des portes. Fort de la pensée lacanienne : « Tolérance 1 – Précaution 0 », CÂLIN s’apprête à donner suite à son premier EP en sortant un album à paraître en octobre 2011 sur le pépère label l’Amicale Underground http://www.myspace.com/calincanin JOY AS A TOY (BE / Cheap Satanism Records) / Une nouvelle formule dans un pur esprit « série B », Joy As A Toy développe des riffs puissants et lancinants, les saupoudre de samples incongrus, de répliques et hurlements tirés des scènes les plus mythiques de la filmographie d’Argento. Le tour est enrobé de synthétiseurs analogiques et de leur fameux chœurs « Beach-Boyesques » qui sont dorénavant la marque de fabrique du groupe. http://www.myspace.com/joyasatoy Le NAB: event FB général  facebook.com/event La page FB du NAB NouvelAnBelge Myspace myspace.com/nouvelanbelge … à tantôt pour plus d’infos!


La publicité recycle l'histoire @ Musée des Arts Décoratifs (Paris)

Cette exposition thématique analyse à travers les affiches et films des collections du musée, l’utilisation que les publicitaires font de l’histoire. Privilégiant les éléments fédérateurs de notre mémoire collective, ces derniers appréhendent les faits et les personnages historiques les plus marquants pour mieux les manipuler. Très éloignée de la rigueur scientifique d’un historien, cette utilisation relève le plus souvent du détournement, de la parodie, ou du jeu de mot. Ces références témoignent aussi d’une époque : que retenaient les publicitaires de la fin du XIXe et du début du XXe siècle ? L’entente cordiale, l’alliance Franco-Russe, la guerre des Boers, l’expansion coloniale étaient alors les sujets d’actualité reconnus par tous immédiatement. Et aujourd’hui que gardent-ils de l’histoire ? La guerre du feu, la révolution russe, mai 68, les élections présidentielles sont parmi leurs thèmes de prédilection. Pourtant certains personnages ont su traverser l’histoire de la publicité : Vercingétorix, Cléopâtre, César, Napoléon sont de ceux là. lesartsdecoratifs.fr

Horaires : Ouverts du mardi au dimanche de 11h à 18h. Nocturne le jeudi jusqu’à 21h. Tarifs : 9 € plein tarif ; 7,50 € tarif réduit.

Musée des Arts Décoratifs 107 rue de Rivoli 75001 Paris 01 44 55 57 50 Palais Royal – Musée du Louvre (Ligne 1, Ligne 7)
.

WE LOVE GREEN

A 5 Minutes de la Porte Maillot en vélo Navettes – metro – bus  (Métro Pont de Neuilly, puis Bus n°43, ou Métro Porte Maillot puis Bus n° 244) welovegreen.fr Premiers Artistes Annoncés :  PETE DOHERTY, METRONOMY, OF MONTREAL, SELAH SUE, SOKO, …  La suite de la programmation à venir… Le temps d’un week-end, à Paris, dans l’écrin du Parc de Bagatelle,  la musique se met au vert et l’engagement écologique & citoyen devient festif.  Un rendez-vous où développement durable rime avec plaisir.

WE LOVE GREEN : c’est quoi ? Festival pionnier, We Love Green est le premier à s’engager à 100% sur la voie éco-responsable.En plein air, dans le plus beau parc de Paris, WLG s’annonce comme un week-end de musique,de jeux, de fêtes, de rencontres, de films et de découvertes artistiques. Une manifestation à la manière d’un laboratoire qui met à profit les avancées technologiques et qui implique l’engagement de tous : production, partenaires, artistes et public. Un festival qui peut accueillir jusqu’à 6000 personnes par jour dans un lieu unique,les jardins de Bagatelle, au cœur du Bois de Boulogne,facile d’accès en transports en commun, à vélo…
WE LOVE GREEN : la production L’ensemble du festival, depuis sa conception jusqu’à sa réalisation en passant par son intégration locale, est produit selon une charte éco-responsable, inspirée du label Green‘n’Clean et fait l’objet d’une réflexion sociale, environnementale et sociétale avec des associations partenaires. WE LOVE GREEN : la programmation musicale Pop extatique, folk excentrique, électro bucolique… un choix délibérément éclectique de musiques qui se dansent, se chantent, se respirent sans modération