La Science des rêves de Michel Gondry

Tonight I’ll show you how dreams are prepared, love, friendships, relationships. All those ships

Réalisé par Michel Gondry. Avec Gael Garcia Bernal, Charlotte Gainsbourg, Alain Chabat. Venu travailler à Paris dans une entreprise fabriquant des calendriers, Stéphane Miroux mène une vie monotone qu’il compense par ses rêves. Devant des caméras en carton, il s’invente une émission de télévision sur le rêve. Un jour, il fait la connaissance de Stéphanie, sa voisine, dont il tombe amoureux. D’abord charmée par les excentricités de cet étonnant garçon, la jeune femme prend peur et finit par le repousser. Ne sachant comment parvenir à la séduire, Stéphane décide de chercher la solution de son problème là où l’imagination est reine…

Il existe une autre version du film, d’une durée de 70 minutes, remontée à partir de séquences abandonnées pour la version sortie au cinéma. De nombreux passages intermédiaires de l’histoire y sont exposés, et des prises alternatives remplacent les scènes communes.

Jean-Michel Bernard compose la musique du film. La chanson « Instinct Blues » des White Stripes apparait dans le film mais n’est pas présente sur l’album. La chanson « If You Rescue Me » est quant à elle une parodie de « After Hours » du Velvet Underground.

Liste des titres
  1. Générique Stéphane
  2. Générique Début
  3. Stéphane Visite Appart
  4. Coutances
    • Écrit par Dick Annegarn
  5. Rêve Grosses Mains
  6. Robinet Cellophane
  7. Grotte Machine À Écrire
  8. Ulcer Soul
    • Interprété par The Willowz
    • Écrit par Richie Eaton
  9. Aristurtle
  10. Générique Stéphane TV
  11. Tours De Cartes
  12. My Dear Neighbours
  13. Baignoire Martine
  14. Gérard Explique REM
  15. If You Rescue Me (A Cappella)
    • Interprété par Linda Serbu
    • Musique de Lou Reed
  16. If You Rescue Me (Chanson des Chats)
    • Interprété par Gael García Bernal, Sacha Bourdo, Alain Chabat et Aurelia Petit
    • Musique de Lou Reed
  17. Grotte Stéphane Stéphanie
  18. Steppin’ Out
    • Interprété par Kool & The Gang
    • Écrit par Robert E. Bell, George M. Brown, Eumir Deodato, Robert Michens, Charles J. Smith, James W. Taylor
  19. Week-End De Ski
  20. Golden The Pony Boy
  21. Making Certain
    • Interprété par The Willowz
    • Écrit par Richie Eaton
  22. Rêve Patrick Dewaere
  23. Stéphanie Quitte Le Café
  24. Poursuite Pouchet
  25. Stéphanie Blues
  26. Thème Générique Fin « Golden The Pony Boy »
    • Écrit par Jean-Michel Bernard, Kimiko Ono

VIDAL BENJAMIN "DISCO SYMPATHIE Edith Samplers"

Le 10 Novembre prochain sortira sur Versatile la compilation Disco Sympathie, dont l’auteur est Vidal Benjamin, Dj / digger hors pair et considéré par ses pairs comme un des plus illuminés de sa catégorie. C’est dire!

Il nous fait redécouvrir ici ce son si caractéristique d’une certaine scène française du début des années 80 : foutraque, joyeux, dansant et parfois poétique. On se prend alors à voyager dans une époque durant laquelle les producteurs français ne craignaient pas de s’attaquer au Disco, au Boogie Ricain, à la Synth Wave anglaise ou allemande, pour nous en donner leur vision: French, pop et surtout fun…

En prélude, Versatile sort un maxi 33T et un 45T limités, dont tous les titres ont subi le traitement d’édits réalisé par de mysterieux producteurs français : Jean-Marc Misère (aperçu pour la derniere fois du coté de Londres..), DJ Ringardos (qui a préféré l’exil romain depuis son dernier morceau pour Versatile en 2008), ALT (déja répéré sur les Edits Du Golem ou le label Us Black Disco), et bien sur Vidal Benjamin en compagnie de Gilbert Cohen, le taulier. Sur le 45T, ce n’est rien moins que Jeff Lasson, du duo Get a Room! qui se prête a l’exercice avec brio et Misère en bonus beat sur la face B.

SORTIE PHYSIQUE LE 22 SEPTEMBRE
SORTIE DIGITALE LE 13 OCTOBRE

Plus d’infos sur :

Versatile

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PEPPER ISLAND "Treat me like a queen"

Trois ans après « Popular » et le remarqué « Wicked Boy », Ayélé la chanteuse -femme -mère amoureuse et rêveuse et le multi instrumentiste Laurent Griffon, maître émérite ès groove, longtemps compagnon de route d’Amadou et Mariam reviennent et surprennent avec leur nouvel album « MOTOR LOVE » à paraître le 27 octobre prochain.

On le sait, en musique les rencontres sont parfois surprenantes et souvent belles. Alors que « Popular » était un pur « produit maison » concocté dans le home studio du couple, ce sont cette fois deux réalisateurs (et non des moindres) qui ont officié derrière les consoles.

En premier lieu, MARK PLATI, le plus parisien des « producers » new-yorkais, qu’on retrouve régulièrement depuis 15 ans aux manettes de quelques albums hexagonaux essentiels (Louise Attaque, Rita Mitsouko, Bashung, …)

Et JEAN-BENOÎT DUNCKEL, moitié de l’élégant groupe français AIR, réalisateur de 3 titres phares de ce disque, dont le premier single « Treat Me Like A Queen ». Mélodie sifflée, crescendo à fleur de peau : ce titre est une une rafraîchissante surprise…

This is Spinal Tap

États-Unis, début des années 80: le groupe de heavy metal Spinal Tap part en tournée, qui de triomphale se transformera bien vite en infernale, les déboires s’ajoutant les uns aux autres sous l’œil de la caméra d’un réalisateur de documentaires… Bien avant Le Projet Blair Witch ou Forgotten Silver et dans la lignée de Zelig, Rob Reiner avait réalisé en 1984 un vrai-faux documentaire sur le groupe Spinal Tap, inventé de toutes pièces pour l’occasion en compagnie de Christopher Guest. Une manière brillante de critiquer avec force et humour le milieu de la musique, des tournées et du heavy metal qui sortait alors de son heure de gloire et entamait son déclin. Enchaînant les situations les plus drôles avec entrain, peignant le portrait au vitriol d’une société du spectacle particulièrement détestable, Reiner a réalisé un véritable chef-d’œuvre d’humour époustouflant de réalisme. À tel point que le réalisateur a été dépassé par sa création, puisque le groupe devint réellement culte et fit une série de concerts après la sortie du film en salle, allant jusqu’à se reformer en 1992 pour enregistrer un nouvel album, Break like the wind ! Ce dernier accompagne les deux DVD bourrés de suppléments (dont deux sujets tournés par l’expert en rock’n’roll, Philippe Manœuvre) et le CD de la musique du film dans ce très beau coffret en forme d’ampli de guitare, qui devrait logiquement trouver sa place dans toute vidéothèque digne de ce nom… –David Rault  Rob Reiner a donné naissance en 1984 au premier Rockumentaire parodique, une satire sans faille des groupes de Heavy Metal. Spinal Tap, grand frère de Wayne’s Word, est devenu le film culte de plusieurs générations de fans. David Rault

Titre original This Is Spinal Tap
Réalisation Rob Reiner
Scénario Christopher Guest
Michael McKean
Harry Shearer
Rob Reiner
Acteurs principaux
Pays d’origine États-Unis / Royaume-Uni
Sortie 1984
Durée 82 minutes

Angus & Julia Stone – Nouvel album Angus & Julia Stone

Makes me wanna tick them wakes to my arms
She’s got this way
She’s got this way
Or wrap her little heart around mine

« Je veux qu’il batte entre mes mains, Elle est comme ça, Elle est comme ça, Ou envelopper son petit cœur autour du mien… » C’est une sensation que l’on ressent à l’écoute de cet album particulièrement authentique, sincère, abouti. Une bande son de la vie, qui révèle une palette d’émotions large et contrastée. Ne boudons pas notre plaisir, mainstream – underground – intellos – écolos… on s’en contrefout, l’important c’est cette musique qui nous transporte et ces voix qui franchissent aisément les frontières de la superficialité pour toucher l’Etre.

L’histoire de ce duo familial est déjà bien connue. Elevés sur les côtes qui longent le nord de Sydney, révélés par un bouche à oreille intense suite à la sortie de leurs premiers EP en 2007 (Chocolates and Cigarettes et Heart Full of Wine), les australiens sortent leur premier album A Book Like This en 2008 réalisé à Londres par le chanteur de Travis, Fran Healy. Leur second album Down the Way, est l’énorme succès que l’on connaît. Emmené par l’hymne de velours « Big Jet Plane », il est disque de platine en France (plus de 150.000 albums vendus), meilleur album et titre de l’année aux Grammys australiens. Le groupe vit sur la route pendant trois ans, en tournée entre l’Europe, les Etats-Unis et l’Australie. Ils sont de tous les festivals et joueront devant plus de 10 000 spectateurs lors de leur tournée en France avec notamment trois Trianon d’affilés complets à Paris.

Mais leur succès en duo soulevait quelques interrogations. Angus et Julia ont toujours écrit et composé séparément, leur association en duo n’avait été qu’un heureux accident et ils avaient désormais besoin d’évoluer. Une fois les tournées terminées, Julia commence l’enregistrement de son deuxième album solo By The Horns entre New York et Los Angeles alors qu’Angus, entre deux sessions de surf aux quatre coins du monde, verse son énergie créatrice dans l’album Broken Brights. Cette nouvelle liberté laisse éclater le talent et la vision singulière de chacun. Chaque album répondant à leurs attentes réciproques, Julia confesse qu’ils n’avaient alors absolument aucune intention de reformer le duo. C’est en passant quelques moments mémorables avec Rick que l’idée fit son chemin : « Ce n’était pas encore bien défini, Rick pensait que c’était le bon moment mais nous n’étions pas encore convaincus. Ensuite nous avons été programmés chacun de notre côté sur le même festival et avons joué quelques morceaux ensemble ce qui ne nous était pas arrivé depuis près de deux ans. Ce fut vraiment magique… C’est en sortant de scène que nous nous sommes décidés à tenter l’aventure d’un nouvel album avec Rick »

Textures satinées, rêveries en poussières d’étoiles et mélodies dorées… c’est peu dire que cet album est la proposition la plus accomplie qu’ils aient pu donner à ce jour. L’album est du pur Angus & Julia Stone, mais il y a une qualité inédite ici, une richesse et une délicatesse évidentes, les titres reflètent un état d’esprit et une esthétique à la fois doux et affirmés. L’union créative d’Angus et Julia leur a permis d’arriver à leur oeuvre la plus aboutie. C’est un album empli de sentiments, mais aussi d’une nouvelle sensation de liberté et de confiance perceptible de bout en bout.

De «Other Things», titre garage au riff lascif, à la ligne droite martelée de «A Heartbreak», en passant par le magnétisme hypnotique et langoureux de «Main Street» ou la guitare couleur West Coast de «Grizzly Bear», l’album évolue au gré des humeurs, vous aspirant au passage. Si «Heart Beats Slow» est un baiser d’adieu à un amant de longue date, «Little Whiskey», lui, brûle d’un feu attisé par une énergie électrique qu’on ne soupçonnait pas chez Angus et Julia. Des titres comme «Get Home» enregistrés en version démo à New York, ont fait leur chemin sur la version finale de l’album. Pour Rick, il s’agissait avant tout de capturer l’instant : « il y a définitivement une âme à ce disque » («a swagger» comme il dit). Angus confirme l’élan pris par le groupe : « Nous n’avions jamais vraiment échangé sur nos chansons respectives avant cet album, il y a désormais des points communs qui nous animent. Cela provient certainement de la façon dont nous avons été appelés à collaborer de nouveau, de manière impromptue. Ce fut un vrai dépoussiérage, nous nous sommes sentis revigorés par nos retrouvailles musicales. C’était complètement inattendu mais au final ça valait le coup… ».

En tournée en décembre 2014 :

Dec 01 – Le Silo @ Marseille
Dec 02 – Le Rocher De Palmer @ Bordeaux
Dec 03 – Stereoluxe @ Nantes
Dec 04 – Aeronef @ Lille
Dec 06 – Radiant Bellevue @ Lyon (Caluire-et-Cuire)
Dec 07 – Bikini @ Toulouse (Ramonville)
Dec 09 – Casino de Paris @ Paris
Dec 10 – Casino de Paris @ Paris

www.angusandjuliastone.fr

Angus & Julia Stone :

1. A Heartbreak
2. My Word For It
3. Grizzly Bear
4. Heart Beats Slow
5. Wherever You Are
6. Get Home
7. Death Defying Acts
8. Little Whiskey
9. From The Stalls
10. Other Things
11. Please You
12. Main Street
13. Crash And Burn

Meursault, contre-enquête, premier roman de Kamel Daoud

Il est le frère de “l’Arabe” tué par un certain Meursault dont le crime est relaté dans un célèbre roman du xxe siècle. Soixante-dix ans après les faits, Haroun, qui depuis l’enfance a vécu dans l’ombre et le souvenir de l’absent, ne se résigne pas à laisser celui-ci dans l’anonymat : il redonne un nom et une histoire à Moussa, mort par hasard sur une plage trop ensoleillée.

Haroun est un vieil homme tourmenté par la frustration. Soir après soir, dans un bar d’Oran, il rumine sa solitude, sa colère contre les hommes qui ont tant besoin d’un dieu, son désarroi face à un pays qui l’a déçu. Étranger parmi les siens, il voudrait mourir enfin…

Hommage en forme de contrepoint rendu à L’Étranger d’Albert Camus, Meursault, contre-enquête joue vertigineusement des doubles et des faux-semblants pour évoquer la question de l’identité. En appliquant cette réflexion à l’Algérie contemporaine, Kamel Daoud, connu pour ses articles polémiques, choisit cette fois la littérature pour traduire la complexité des héritages qui conditionnent le présent.

Né en 1970 à Mostaganem (300 km à l’ouest d’Alger), Kamel Daoud a suivi des études de lettres françaises après un bac en mathématiques. Il est journaliste au Quotidien d’Oran – troisième quotidien national francophone d’Algérie –, où il a longtemps été rédacteur en chef et où il tient depuis douze ans la chronique quotidienne la plus lue d’Algérie. Ses articles sont régulièrement repris par la presse internationale (Libération, Le Monde, Courrier international). Il vit à Oran.Il est l’auteur de plusieurs récits dont certains ont été réunis dans le recueil Le Minotaure 504 (Sabine Wespieser éditeur, 2011) – initialement paru à Alger sous le titre La Préface du nègre (éditions barzakh, 2008) et distingué par le Prix Mohammed Dib du meilleur recueil de nouvelles en 2008. Traduit en allemand et en italien, Le Minotaure 504 figurait sur la sélection finale du Goncourt de la nouvelle 2011 et a été salué par la critique.Meursault, contre-enquête, publié en novembre 2013 en Algérie par les éditions barzakh, est le premier roman de Kamel Daoud.

Actes Sud Littérature
Domaine français
Mai, 2014 / 11,5 x 21,7 / 160 pages

Albert Hofmann

Albert Hofmann (né le 11 janvier 1906 à Baden en Argovie et mort le 29 avril 2008 à Burg im Leimental dans le canton de Bâle-Campagne) est un chimiste suisse. Il est notamment connu pour avoir découvert le LSD. En 2001, il a reçu le titre de docteur honoris causa de l’Université de Genève. Tout au long de sa vie, Hofmann s’est prononcé en faveur d’une légalisation des substances psychédéliques comme le LSD pour la recherche scientifique. Optimiste, il a déclaré qu’un usage correct du LSD dans la culture populaire n’était qu’une question de temps. Dans les années 1960 aux Etats-unis, lorsque Timothy Leary encourage la consommation généralisée de LSD, il est violemment critiqué par Hofmann. Ce dernier déclare qu’il faut être prudent avec cette substance et qu’il ne s’agit pas d’une drogue récréative. Alors qu’à cette époque la CIA administre, à des fins de recherche, plusieurs psychotropes dont du LSD à des sujets expérimentaux non informés (ce programme, appelé Projet MKULTRA, aurait entrainé au moins un décès), il qualifie cette façon de procéder de « criminelle ».  » Plus l’on regarde profondément à l’intérieur de la nature vivante, plus on se rend compte à quel point elle est merveilleuse. Je crois que l’on se sent alors en sécurité. On lui appartient, on peut la voir, on peut la vivre. La conscience est tout simplement le plus grand cadeau du Créateur aux hommes; le fait d’avoir une conscience et de pouvoir prendre conscience de notre création – et de ne pas seulement traverser aveuglément le Paradis. « 

Make The Girl Dance – Dancing In Nowhere

Si 2014 sera pour les chinois l’année du cheval, elle sera aussi, l’année du retour au galop, sur le devant de la scène, de Make The girl Dance. Le duo électro français renoue avec la pop éclatante et un premier extrait issu de leur prochain album à paraitre dans l’année. « Dancing in nowhere » est le fruit d’une nouvelle collaboration avec leur égérie suisse porte bonheur, Solange la Frange. De leur union nait aujourd’hui un titre électro-pop hors norme, dans lequel s’entrechoquent des boucles entêtantes et la voix éthérée de la princesse du rock helvète. Un titre enthousiasmant. Frais et mélancolique. Envoutant et virevoltant. Un track pour danser bien sûr, et faire tourner les jupes et les têtes des filles. Make The girl Dance signe ici un de ses meilleur single. Comme un coup de canon avant l’orage électro magnétique de ce très attendu 2ème album.

Boys Noize feat Snoop Dogg

Pour saluer la sortie de son nouvel album Out Of The Black – The Remixes, Boys Noize dévoile le clip très attendu de sa collaboration avec Snoop Dogg sur le titre Got It, moment fort de l’album Out Of The Black.

“Vous trouverez dans cet album mes remixes favoris et pour la plupart inédits de mon dernier album Out Of The Black avec au programme : les Chemical Brothers, Justice, Chromeo, Oliver, Jimmy Edgar, Audion (Matthew Dear), Blood Diamonds et deux Dj edits réalisés par mes soins » – Alex Ridha

Billionaire Boys Club… Pour l'amour du style

Messieurs les guerriers de la mode, voici la marque ultime, je ne suis (à titre perso) pas sûr de porter le pantacourt mosaïque…

Founded in 2005 by super-producer Pharrell Williams and Japanese fashion icon Nigo – the founder of BAPE – Billionaire Boys Club take on preppy styles and classic shapes with a luxury edge. The line follows the mantra ‘wealth is of the heart and mind, not of the pocket’, as items are produced in very limited quantities using only the highest quality materials and are manufactured in Japan. For spring/summer ’11, modern military with technical references is the rule for Billionaire Boys Club, while a vintage country club theme also plays its part with crisp whites and preppy stripes featuring on polos and casual wear reminiscent of early tennis wear. oki-ni.com

 

L’AVENIR DES OCÉANS PROFONDS EST ENTRE NOS MAINS, AGISSONS !

Au Président de la République française, M. François Hollande

« Nous, citoyens de France et du monde, vous exhortons à soutenir la proposition européenne d’interdire le chalutage en eaux profondes, qui est reconnu comme l’une des méthodes de pêche les plus destructrices de l’histoire. Cette activité résiduelle, déficitaire et subventionnée ne concerne que neuf navires en France mais son impact environnemental est disproportionné : d’immenses filets lestés ratissent les milieux océaniques les plus vulnérables et capturent plus de 100 espèces, ensuite rejetées, dont certaines menacées d’extinction. Ces pêches industrielles dévastent le patrimoine naturel de l’humanité en rasant des coraux multimillénaires, détenteurs du record de longévité animale sur terre. M. Hollande, honorez la promesse « d’excellence environnementale » que vous avez faite aux Français et mettez fin à cette déforestation des océans profonds qui déshonore la France. Soutenez sans équivoque la proposition d’interdiction du chalutage en eaux profondes. » http://petition.bloomassociation.org/

Sur les réseaux sociaux…

« On ne parle que de ça sur les réseaux sociaux »… Comme j’aime cette phrase issue du quotidien des csp – à ++ en quête de supports tangibles pour étayer ou justifier une opinion le plus souvent creuse ou populiste. De là à dire que « on et réseaux sociaux » c’est la même souche impersonnelle, il n’y a qu’un pas que je vais allègrement franchir.

Pourquoi ? Me direz-vous, à juste titre, chers lecteurs assidus et par conséquent voraces d’anti conformisme, parce que justement voilà une belle occasion de réaffirmer qu’ici (jetsociety) c’est un authentique espace de liberté et que je peux tout y dire, défendre, exprimer, sans craindre la censure ou la moue boudeuse d’un caseur* patenté (un caseur c’est quelqu’un qui te mets toujours dans des cases). Ni format, ni carcan pour limiter la forme ou le fond.

Mais trêve d’aparté égotiste, reprenons le raisonnement initial, les réseaux sociaux apparaissent  dorénavant comme nécessaires, incontournables, sans équivalents pour prouver une information, c’est relayé donc c’est vrai… de quoi encourager les Orson Welles en herbe à commettre des canulars sans précédents (cf carambar).

Alors ? Alors quoi ? Soit on fait avec, soit on lutte, soit on médite… « Les spectateurs ne trouvent pas ce qu’ils désirent, ils désirent ce qu’ils trouvent. » Guy Debord

VITA COCO LOVES CANNES

Vita Coco est un kit de survie, une véritable source de bien-être répondant parfaitement aux condi- tions extrêmes que peuvent vivre les festivaliers. Il est un allié indispensable pour une journée inten- se entre projections de films, press junkets, rendez-vous professionnels, cocktails de lancements et nuits de folie. Vita Coco ne promet rien d’autre que ce qu’elle offre: une hydratation naturelle, sans matière grasse et une incroyable source de potassium. Ainsi, les festivaliers pourront se désaltérer naturellement et booster leur énergie sur toute la durée de la quinzaine.

Boisson phare des stars hollywoodiennes qui la consomment au quotidien. Ses propriétés nutritionnelles et ses apports bénéfiques ont séduit de nombreuses célébrités telles que Madonna, Matthew McConaughey, Demi Moore, Sienna Miller ou encore Jessica Alba. À l’occasion de la 66ème édition du Festival de Cannes, la célèbre boisson investit plusieurs lieux-clés et sera partenaire à ce titre des hot spots de la croisette.

Vita Coco désaltère cette année le Patio Canal+ et l’ensemble des invités du «Grand Journal», le corner Eastpack de la Chivas Beach, les différents événements organisés par l’influenceur Techni- kart…Le Carlton accueillera ses 150 VIPs et hôtes privilégiés avec en guise de welcome gifts, toute la gamme Vita Coco spécialement prévue pour le festival tandis que l’équipe de Paulette Magazine sera, quant à elle, suivie par Vita Coco pour pallier à toutes les urgences.

À partir du 15 mai 2013, plusieurs questions seront régulièrement posées sur la page Facebook de Vita Coco. Sur Twitter, tous les jours, une photo d’un festivalier se mettant en scène avec Vita Coco sera sélectionnée afin de gagner de nom- breux lots. Les photos les plus naturelles, originales, décalées ou glamours auront, bien sûr, plus de chances de gagner!

https://www.facebook.com/VitaCocoFR  hashtag #cococannes https://twitter.com/VitaCocoFR

Pierre Lescure: 80 propositions sur les contenus culturels numériques

Les 80 propositions sont réparties en trois grandes catégories :
– L’accès des publics aux contenus en ligne : dynamiser l’offre en améliorant la disponibilité numérique des œuvres ; favoriser le développement d’un tissu de services culturels numériques innovants et porteurs de diversité culturelle ; proposer aux publics une offre abordable, ergonomique et respectueuse de leurs droits.
– Le financement de la création : garantir la rémunération des créateurs au titre de l’exploitation numérique de leurs œuvres ; renforcer la contribution des acteurs numériques au financement de la création ; soutenir les nouvelles formes créatives et les nouveaux modes de financement. Suite de l’article et détails

Richard Yates – Tao Lin

Ce roman, même s’il s’intitule Richard Yates, n’a aucun rapport avec l’auteur éponyme… Ce n’est en aucun cas une biographie, le titre fait plutôt appel (même s’il est fait référence à quelques reprises à l’écrivain Richard Yates) à la sensation d’approximation, de «réalité abstraite» qu’on vit lorsqu’on s’aperçoit de la différence entre un contenant et son contenu, ou lorsqu’on compare des éléments aussi paradoxalement éloignés l’un de l’autre que l’Art et la Vie : une situation étrange et pourtant familière, nous laissant dans un doux état de confusion 
Deux jeunes gens, que l’auteur affuble de noms d’acteurs américains, Haley Joël Osment, 21 ans, habitant New York, et Dakota Fanning, 16 ans, habitant dans le New Jersey, font connaissance sur internet et s’éprennent l’un de l’autre. Après une première rencontre réelle au domicile de l’adolescente, ils enchaînent les allers-retours entre New York et le New Jersey. Le couple mange végan, vole dans les magasins et disserte sur la vie et l’ennui, se sent seul, échoue souvent à se comprendre. Lorsqu’ils ne sont pas ensemble, ils discutent en chat, alimentent leur spleen et une relation entre bonheur fulgurant et déprime suicidaire. Lorsque Joël quitte son appartement de New York pour s’installer dans le New Jersey, les deux personnages se dévoilent, laissant apparaître leurs blessures, leurs pulsions, leurs failles. Et Joël découvre alors les mensonges et manipulations de Dakota. Des jeunes ligotés par leurs liens virtuels, des adultes désarticulés par le réel, un récit entre l’hypnose et l’anesthésie. L’écriture minimaliste de Tao Lin et son humour à froid nous plongent dans la dépression générationnelle de ceux que l’on nomme les hipsters. Et, au détour d’une conversation en ligne apparemment anodine, les démons surgissent, avec toujours, en fond sonore, une solitude que l’on embrasse et dont on rit, comme pour l’apprivoiser. 
«Souvent hilarante, l’écriture de Tao Lin évoque les débuts de Douglas Coupland ou Bret Easton Ellis, mais avec quelque chose de particulier, presque beckettien. (…) Il y a chez lui une attitude, une ambiance, un abandon comiquement désespéré de l’ego littéraire.» The Guardian
Tao Lin, né en 1983, est l’une des voix les plus remarquées de la jeune littérature américaine. Il est l’auteur de deux recueils de poèmes (Cognitive-Behavioral Therapy et You are a little bit happier than I am), d’un recueil de nouvelles (Bed), d’une novella (Shoplifting from American Apparel) et de deux romans (Eeeee Eee Eeee et Richard Yates), à paraître au Diable vauvert, et travaille sur des projets cinéma expérimentaux. Il vit à Brooklyn.

Swing At The Top par Grolsch

Ce 14 mars, Grolsch via sa Swing At The Top s’installe à la Machine du Moulin Rouge pour une nouvelle expérience artistique. Cette fois-ci la saison 5 présente le thème The Rock’N’Roll Circus, un concept qui puise ses couleurs dans  le célèbre show TV du même nom créé en 1968 par les légendaires Rolling Stones.

Une soirée avec 7h de live rock, portées par un ambassadeur de choix : l’excentrique Nicolas Ullmann. Une pléiade d’artistes sera présente pour interpréter les plus grands titres rock dans ce cabaret qu’est La Machine Du Moulin Rouge, réinventé en cirque pour l’occasion. Le décor sera complété par les oeuvres d’Alexandra Bruel et Paulina Leonor qui prendra vie autour d’une fresque géante créée par les deux plasticiennes et le grand public. Rendez vous Jeudi 14 Mars à partir de 21:00, à la Machine du Moulin Rouge, 90 boulevard de Clichy 75018 PARIS (M2 arrêt « Blanche » ou M13 arrêt « Place de Clichy ») (entrée 25€)

BE THERE OR BE SQUARE

SNUFF MOVIE

Le « Snuff movie »… Longtemps considéré comme une légende urbaine, il n’est ni une fiction, ni un reportage. Un meurtre, un viol, un passage à tabac devient prétexte à un tournage sommaire dans lequel la victime est vedette. Ce roman éponyme s’en inspire. Il n’est pas pire car rien ne peut- être pire que la souffrance en spectacle mais il n’est pas meilleur et à ce titre il assume pleinement sa qualité de photographie de l’enfer. Imprégné par la vibration d’un milieu subsocial en rupture de contrôles moraux, il est à ce titre aussi puissant dans le sordide que son thème directeur peut l’être. Mais cette différence que l’horreur est dépeinte ici davantage par la suggestion de sa vibration que par sa peinture à grands traits. Des « Snuffs », Audrey connaît. Son métier – elle est dans la police – l’a familiarisée aux méfaits de la bête lorsqu’elle se déguise en être humain et il n’est pas de jour où elle ne la rencontre sur les lieux de crime. Or, la recherche du père parti depuis vingt ans va la mener au-delà de l’horreur, ou plutôt à l’intérieur de l’horreur par la fréquentation forcée des rouages, des petites mains. Elle découvrira que ce père enfin retrouvé est producteur de snuff movies après une traque où sa personnalité bousculée révélera une nouvelle lecture de ses pulsions sexuelles. Dès lors, prise entre le rejet et l’espoir, elle ira jusqu’au déni d’elle. Elle acceptera l’inimaginable… SNUFF MOVIE de Jean-Michel JARVIS COLLECTION VERTIGES, tendance rouge. Parution : mars 2010 ISBN 978-2-915635-63-8 RELIURE broché, pelliculé mat plus verni réserve FORMAT 11 x 18 cm (format poche) 256 pages LITTÉRATURE POLICIÈRE POUR PUBLIC AVERTI

J’écoute France Culture, je regarde Arte et en plus j'assume. La nouvelle rebellion culturelle ?

Derrière ce titre provocateur, darde chez moi l’envie de dire qu’il existe en France de nombreuses possibilités de parfaire son éducation culturelle même si on part de loin… En ce sens Internet est bien évidemment une source inépuisable d’informations pour celui qui cherche, cependant sans aller très loin, la radio et la télévision (d’ordinaire condamnées par les chantres de l’intellectualisme fallacieux), ont les moyens de faire autre chose que de liquider les crânes. A condition bien entendu de franchir le cap des fréquences interdites ! Usuellement lorsque vous prononcez les noms « France Culture » ou « Arte », les adeptes de qui veut épouser mon fils ? poussent des vagissements d’effrois dignes de Saw 3D. La culture est la meilleure arme contre la pensée unique et c’est également un chemin vers la liberté, de fait les imbéciles de tout crin bien encrés dans la médiocre conformité n’ont de cesse de décrier ce qui les rebutes. En clair, un con reste un con tant que sa volonté ne l’a pas poussé vers autre chose. Alors simplement pour celles et ceux qui ont juste envie d’autre chose mais sans trop de complications, retenez que tout est possible quelque soit son âge ou sa condition. Dont acte.

PRINCIPLES OF GEOMETRY

Lazare (Tigersushi/Discograph) Le duo electronica remarque en 2005 sur Tigersushi revient avec un nouvel album qui est aussi un coup de maitre, quelque part entre musique de film a la Carpenter, atmosphere pop a la Air, krautrock, psychedelisme et electronica.  Le single « A Montain For President » chante par Sebastien Tellier est en passe de devenir un des titres cultes de 2007.  www.myspace.com/principlesofgeometry

Les vacances, la finalité du Travail pour les français ?

Aujourd’hui les français sont de plus en plus nombreux à penser que les vacances sont la finalité du travail (au sens d’exercice de leur métier).

En clair même si tu fais le job le plus con, le plus harassant, le plus dégradant du monde, tant qu’en juillet ou en août tu peux te payer ton camping en Espagne ou enchainer tes 4 semaines sans interruption alors tout devient supportable, acceptable le reste de l’année.

Est-ce que les instigateurs des congés payés avaient pu imaginer détournement plus cynique ?

De fait les victimes consentantes de ce système absurde n’auront jamais la volonté d’améliorer l’appareil de production ou de s’épanouir professionnellement. Cela n’aurait tout simplement pas de raison d’être.

Que font les gens, où partent les gens, sont ils guidés, induits dans leurs choix et dans leur manière de consommer les vacances ?  A qui profite le crime ? Cherchez et vous trouverez vous même les réponses.

A part ça : Est-ce que l’exercice auquel je me le livre maintenant est un travail ou un loisir ? Aurai-je le cabanon avec vue sur le centre Leclerc ? L’apéro c’est toujours à 11h00 ? Vais-je pouvoir danser sur le dernier titre de M Pokora au Mega Pacha ?

 

 

Le Dandysme

« Dandy. Ce mot est encore une importation de la langue anglaise dans la nôtre. Le dandy britannique est au-dessus du fashionable (terme que nous avons aussi emprunté à nos voisons d’outre-mer). Ce dernier suit la mode, le premier la crée ou la brave; le fashionable pénètre tout au plus aux bals d’Almark, et dans quelques routs de l’aristocratie; le dandy y donne le ton, et a sa place partout, jusque sur les sièges du parlement. Les dandies anglais réclament comme un des leurs le célèbre poète Byron, dont les bizarreries un peu affectées lui donnaient quelques droits à ce titre; le héros de son poème original, Don Juan, est aussi, dans plus d’un passage, le représentant du dandysme de Londres. – Le dandy français ne s’est pas encore élevé à la hauteur de ses modèles; sa physionomie est moins tranchée, moins spéciale; c’est souvent, sous un autre nom, le petit-maître de nos aïeux, l’élégant du dernier siècle, l’incroyable d’une époque plus récente. Le dandy ne doit point se borner à ces imitations; et s’il ne peut trouver en lui-même tout ce que promet cette désignation ambitieuse, nous lui conseillons d’aller dans la Grande-Bretagne étudier les oracles et les lois du dandysme. » Ourry, article « Dandy », dans: M. W. Duckett (dir.), Dictionnaire de la conversation et de la lecture. Tome XIX, [D-Délibéra]. Paris, Belin-Mandar, 1835, p. 90 http://agora.qc.ca

ICE T "Mémoires de ma vie de Gangster et de ma Rédemption, de South Centyral à Hollywood"

My life has been a great story/ In a ultimate War/ Do I ill or do right ?/ Make peace or go raw? Ma vie a été une grande histoire/ Dans une guerre absolue/ Dois-je faire le bien ? Dois-je faire le mal/ Faire la paix ou devenir dingue ? Ice-T, Exodus

C’est une icône du hip-hop. On dit qu’il a inventé à lui tout seul le gangsta rap dans les années 80. Pour les téléspectateurs c’est l’inspecteur Odafin  » Fin  » Tutuola de la série prestigieuse New York Unité Spéciale. Mais, là où s’arrêtent les projecteurs, loin des gros titres des journaux, commence la véritable histoire de Ice-T, celle que des millions de ses fans n’ont jamais entendue… Ce livre, c’est Ice-T avec ses propres mots, crus, Ice-T que la censure ni la peur n’empêchent d’exprimer ce qu’il pense. Orphelin, élevé dans les rues infestées par les gangs de South Central à Los Angeles, il passe quatre ans dans l’armée américaine dans la célèbre division « Éclair des tropiques ». Il ne dissimule rien de sa carrière réussie de voyou et de cambrioleur, de l’accident de voiture qui a failli lui coûter la vie, et de sa décision cruciale de quitter le monde du crime pour creuser son propre chemin vers le monde du spectacle et la célébrité internationale…

Le A – L’aisisme

Véritable mal du siècle consécutif au problème de l’éducation et du nivellement de la société par le bas,  le A – L’aisisme est un modus comportemental à la croisée des chemins entre le sans – gêne et le pique – assiette qui se répand et s’installe comme une épidémie. Glorifié par une bonne partie des émissions de Tf1, rendu sympathique par Franck Dubosq dans ses sketchs ainsi que dans le film Camping, par exemple, le A – l’aisiste est en réalité un beauf à la puissance mille. A titre de comparaison, les films ‘Les Bronzés 1 et 2’ se moquaient des français moyens (beaufs) des années 70 – 80, mais avec le recul on constate que  ceux – ci étaient néanmoins capables de partir au club à l’étranger ou aux sports d’hivers… Ce qui n’est plus le cas du A – l’aisiste qui voyage à 30 mètres de chez lui dans un mobil home financé grâce à un coup de fil à Cofilem. Le A – L’aisiste est aussi un vrai con toujours prêt à dégainer des remarques grossières outrancières et déplacées. Pourtant il est parfaitement installé dans la société, car ses goûts, ses choix, ses actes sont ceux de la majorité. Il est la majorité. On dira simplement que cette majorité  s’est radicalisée et que nos cons d’aujourd’hui sont pires que ceux d’hier mais peut être moins que ceux de demain… Faut il craindre le pire ?

Signes extérieurs de richesse

Lorsque votre train de vie apparaît disproportionné par rapport à votre revenu, le fisc se réserve le droit de vous imposer forfaitairement en reconstituant un revenu théorique basé sur certains éléments de votre train de vie, à l’aide d’un barème spécialement prévu à cet effet par la loi.  Ces éléments sont au nombre de 12, auxquels l’administration attribue une valeur forfaitaire de revenus. Leur énumération fleure bon parfois l’archaïsme désuet. En effet, à côté de la résidence principale, des résidences secondaires, des voitures, motocyclettes (de plus de 450 cm3), yachts ou bateaux de plaisance, avions de tourisme, chevaux de course et employés de maison, figurent d’autres critères dignes de la Belle Epoque : les chevaux de selle, les droits d’entrée à un club de golf et les droits de chasse…  A titre d’exemple, le revenu présumé de l’avion de tourisme équivaut à 69 € par cheval-vapeur tandis que l’adhésion à un club de golf vaut deux fois les sommes versées au-delà de 4 600 €. Rassurez-vous cependant si vous avez acheté le Phocéa avec l’argent de Papa, il vous suffira de prouver la succession ou la donation pour éviter la taxation selon les signes extérieurs de richesse… SOURCE:  http://www.lecri.fr

La hiérarchie de l'armée impériale Romaine

L’Empereur est le général en chef qui a sous ses ordres toutes les forces militaires composant l’armée. Les préfets de camps administrent les camps fixes installés sur les frontières. Chaque préfet a donc plusieurs légions à administrer, et il commande les réserves qui demeurent au camp pendant les combats. Les officiers d’état-major sont les légats (général d’armée) et il y a 1 légat par légion. Pour chaque légion il y a 6 tribuns militaires (titre honorifique sous l’Empire) qui sont des officiers supérieurs choisis par l’Empereur et 59 centurions. Chaque centurion (officier subalterne) avait pour adjoint 1 optione (sous-officier) et un groupe de sous-officiers (le porte-enseigne ou signifer, l’instructeur ou campidoctor, le préposé aux subsistances ou pecuarius, l’architecte, le médecin militaire, un tesserarius qui chaque nuit recevra le mot de passe inscrit sur une tablette (tessera), le chef de musique et ses musiciens, des sonneurs de cor ou de trompette qui annonceront les exercices, les tours de gardes, le réveil et l’extinction des feux.). Dans chaque cohorte, le 1er centurion, ou pilus prior, commande sa centurie et l’ensemble de la cohorte. L’insigne des centurions est le cep de vigne. De la même manière, toute unité auxiliaire a un chef, des centurions (dans l’infanterie) ou des décurions (dans la cavalerie). http://perso.orange.fr/karl.claerhout/page1bis2.htm

Comment gerer sa position sociale lorsqu’elle n’est pas « Stylée » ?

Je lisais ce matin un titre de la newsletter de 20 minutes qui fait état du désir de 3 salariés sur 4 de changer de travail en 2011 (enquête commandée par le site de recherche d’emploi Monster). Outre les motivations réelles de certains (sous payés, mal traités, etc…), d’autres semblent mélanger le macro et le micro économique (impôts, taxes, loyers) pour justifier leur envie de voir si l’herbe est plus verte ailleurs. Et même si l’intelligentsia en Rolex tente de rassurer la plèbe en assénant que 80% des salariés chinois sont heureux (cela dit si ce chiffre était vrai et compte tenu du nombre de salariés en chine, 20% de malheureux ce serait déjà trop selon moi), le sujet reste brulant en France. Après la retraite c’est directement l’emploi qui sera probablement au cœur des débats en 2011. Il n’en demeure pas moins que parallèlement à cela, il y a également des salariés qui se morfondent pour autre chose.

En France, pour l’instant, nous n’avons pas de façon formelles et popularisées les réunions des anciens de la promo, de l’école, etc. comme aux Etats – Unis par exemple. Mais nous avons Facebook, Copains d’avant ou encore Trombi. D’où la question  : Comment gérer sa position sociale lorsqu’elle n’est pas  à proprement parlé « pump it up » ? (chef de rien, employé lambda, chômeur, éternel stagiaire). Il est logique que sur le nombre de contacts de chacun, certains aient mieux « réussi » professionnellement que d’autres. Alors les solutions pour celles et ceux qui se sentent minés par la réussite affiché de l’autre, en particulier celui à qui vous pétiez la gueule dans la cours de récré ou celle que vous surnommiez affectueusement gueule de tanche et qui aujourd’hui est une belle avocate, mère de trois enfants, qui roule en audi; vous pouvez gonfler votre profil, en rajouter sur les titres (conseil en vente de détail, manager d’espaces intérieurs, responsable petite enfance, rentier, créateur d’entreprise, coach, expert en sommeil, etc…) afficher vos meilleures photos de vacances, mettre en avant votre famille et si vous êtes un peu humour tuning  s’octroyer quelques diplômes farfelus (MBA de l’université du Kentucky dans le Fried Chicken)…

STOP ! Maintenant que j’ai balancé les bonnes conneries que l’on peut lire sur la plupart des portails : Wake Up ! Nous sommes en 2011, passez à autre chose, plus que jamais la société de consommation est en train de péricliter et le jeu des apparences ne concernent que les dupes volontaires. Alors libérez vous, faites comme dans la chanson : « Amusez vous, foutez vous de tout ! », n’oubliez pas que la roue tourne à partir du moment où vous vous donnez les moyens de modifier le cours des évènements. Travaillez, espérerez, persévérez et si cela tourne à votre avantage alors tant mieux pour vous, mais soyez élégant, ménagez les susceptibilités !

GROLSCH PRESENTE : SWING AT THE TOP #4 – "Yacht Club" avec GREMS, THE NAME, MC LUVIN ET TRIPTIK

Swing at the Top revient avec un nouvel épisode intitulé « Yacht Club » qui accostera sur les bords du Canal de l’Ourcq au coeur du XIXème arrondissement de Paris ! À quelques mètres de l’eau, les invités sont immergés dans une ambiance arty très décalée, et naviguent entre ciel et toits emportés par une musique flottante… Sur la tapisserie d’origine, les oeuvres et installations présentées mélangent les courants et les époques. Une soirée entre deux eaux, à la personnalité bien trempée, qui ne craint pas de se mouiller pour satisfaire ses invités. Au programme des live de Mcluvin, The Name ou encore Son of Kick, dans un décor unique entièrement redessiné par
Grems.

**GREMS**
Grems, graphiste, graffeur et rappeur conceptuel, est aujourd’hui plébiscité dans le monde entier. Il est l’artiste visuel
derrière la campagne Imagine’R (RATP, SNCF, Transilien). En 2012 il redessine la couverture du magazine TSUGI
avec ses  meilleurs ennemis et présente sa nouvelle mixtape en collaboration avec LeFto.
Il prendra en charge la direction artistique de cet évènement en transfigurant cette maison du XIXème siècle avec le concours de la jeune garde du tag, invitée par ses soins.  Au total 6 salles seront investies ainsi que la pièce principale où trônera le DJ.
** Mcluvin **
Produit par Drixxxé, producteur attitré du mythique Triptik, avec d’un côté Gystere, « singer, compositeur, pianiste,
motherfucker ».   Une musique est dédiée à l’alcool, aux adultères, aux PIAGGIO VESPA LX50, à eBay, à Valérie Bègue, Emule, Youporn,  à Windows Live Messenger, aux Noctiliens, aux fast food et à toute la génération Yoga Fire.
http://www.mcluvin.fr/
** The Name **
Derrière The Name se cache le duo élctronique connu pour avoir fait la musique de la série “BREF” et leurs 2 eps avec
la collaboration de We are enfant terrible.  Un vertigineux cocktail de sonorités électroniques, de beats frénétiques, de rock et 8bit, oscillant entre noirceur et fièvre  dansante. http://thename.fr/
** Triptik **
A l’occasion de la sortie de leur nouvel EP “Le début”, Dabaaz, Drixxxé et Greg’Frite gardent la passion intacte et le cahier des charges immuable : un rap élégant et vivace et des productions classieuses, touffues, ouvertes aux quatre vents. Chemin faisant, Triptik ne dit, certes, pas les mêmes choses aujourd’hui mais l’énergie injectée et l’authenticité demeurent inaliénables,
le rap, dans tout ce qu’il a de plus noble et jouissif à offrir, est toujours au cœur du débat.
Triptik à regarder en live sur Canal Street : http://tiny.cc/tpcxgw
** Son of Kick **
Aucune restriction musicale, hybride a toujours été son blason et quelque fois son fardeau ; aujourd’hui c’est sa signature. Ses productions détonnantes (à grands coups d’acapellas de Method Man ou de Violent Femmes) et ses live sets explosifs entre dubstep, heavy bass & électro qui lui auront permis de marquer définitivement les dancefloors dans de nombreux clubs et festivals (Gilles Peterson Worldwide Festival, O2 Wireless, Yoyo, Notting Hill Arts Club). http://soundcloud.com/sonofkick
DJs :
** Lefto **
http://lefto.be/
** Drixxxé **
http://www.myspace.com/drixxxe
** Blackenpouperz **
** KM3 **
http://flavors.me/km3#_

Confortably Dumb

Un titre sibyllin pour qui ne pratique pas la langue de Sasha Grey, qui plaira, n’en doutons pas, aux fans de Pink Floyd, destiné a écarter les lecteurs en quête de certitudes, un billet fourre tout consacré aux « trucs » qui me plaisent en ce moment, mais qui ne sont pas top fashion, cela dit je n’ai pas de scrupules à ne pas me conformer aux standards des hordes de taille 50 boutonneuses et aux cheveux graisseux qui se proclament pompeusement blogueuses mode. Donc en ce moment je lis l’Hagakkure, le livre des samouraïs une somme d’aphorismes toujours pertinents, mais aussi le temple noir du tandem Giacometti et Raven. J’écoute avec plaisir Nova et Fip qui m’aident dans mes choix musicaux. Je bois du Planteur. Je dévore les chevaliers du zodiaque sur mon IPad en japonais sous – titré comme je raffole des vengeurs contre les x-men en B.D HD sur ce même support. Je m’habille en jeans APC avec des gazelles old school aux pieds, une montre g-shock, une paire de Ray Ban et un t-shirt H&M col V cheap. J’ai un âge osseux et un âge mental. Le branleurland dans lequel j’existe me permet d’être ainsi, d’ailleurs pour les sujets plus olé olé, ça restera entre vous et moi, nous sommes d’accord ?

CHICHA LIBRE – Canibalismo

La Chicha est une sorte de pop psychédélique, dérivée de la cumbia, gorgée de guitares surf, qui connut son heure de gloire au Pérou vers la fin des sixties. Sur ce nouvel album, le bien nommé CANIBALISMO, CHICHA LIBRE mélange allègrement sons rock vintage, rythmes latins, envolées psychédéliques, percussions irrépressibles, riffs de pedal steel, cavalcades de mellotrons, textes étranges et même, par-ci par-là, une guitare guinéenne.. On se régale toujours autant à l’écoute de la guitare surfabilly de Vincent Douglas, de l’Electravox wah-wah de Joshua Camp (modèle vintage d’accordéon électronique), et de leurs arrangements raffinés. Il est évident qu’Olivier Conan et ses complices ont écouté beaucoup de musiques sud-américaines (notamment celles du mouvement Tropicalia brésilien, à la devise  duquel – le cannibalisme culturel- le titre fait allusion) et beaucoup de pop 60s américaine et française. On décèle également des clins d’oeils à l’Afrobeat et à la musique des films indiens (ils sont des fans inconditionnels du grand Rahul Dev Burman, le John Williams de Bollywood…). Parmi les 11 compositions originales et les 3 reprises qui composent CANIBALISMO, on remarquera notamment la chanson L’Age d’or (interprétée –en français- par Olivier Conan avec sa diction rétro caractéristique), The Ride of the Valkyries (Wagner dans les Andes), ou des cumbias luxuriantes et planantes telles que « La Danza del Milionario ». Signalons aussi que Chicha Libre y rend hommage au génie des mathématiques du 19e siècle Carl Friedrich Gauss (“Number Seventeen”) ainsi qu’à l’inventeur d’une certaine drogue psychédélique (“Lupita en la Selva y el Doctor”).
EN CONCERT LE SAMEDI 30 JUIN AU NEW MORNING (20h00)

MISSILL "MASH UP 2"

Missill continue sur sa lancée avec une collaboration avec M.O.P. – le titre Champions – qui a accouché d’un remix contest auréolé de succès et une mixtape hors du commun « Mash-Up 2 » : 35 minutes de musique habillement mixées, incluant des morceaux inédits de ses prochaines sorties. Déjà Dans les bacs!

Fuck les clichés

Pour paraphraser un célèbre slogan et rentrer dans le gras du sujet, voici ce qu’on pourrait dire à propos des clichés: « Entre vous et nous c’est une histoire de sous« . Ne soyons pas dupes, les standards qu’on nous inflige et les désirs qui nous affligent, font de nous d’une part une foule sentimentale (cf qui tu sais) et d’autre part une super manne docile, frustrée de mal vivre consumériste, droguée à l’envie et certaine d’arriver au bonheur grâce à sa sacro-sainte carte bancaire (si, si on lui a dit à la télé c’est que c’est vrai !).

Pour ma part, plus ça avance et plus je deviens stoïcien, de Nietzsche je suis passé à Épictète en qui je vois celui qui a tout compris, faire la part des choses avec vigilance et persévérance entre ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas.

Les donneur de leçon d’aujourd’hui, petits bourgeois enferrés dans un anticonformisme de salon, sont pour certains des vertueux aux mains pleines  « Je suis père la morale et je revendique des valeurs, des concepts et des idées que je n’appliquerai jamais et pourtant je suis sûr d’être dans le vrai, sûr de mes convictions, je fais tout ce que je critique sans jamais me remettre en question, le monde dans lequel je vis me le permet, personne n’ose s’opposer parce que je suis l’enfulte ultime, mes désirs sont des ordres, mes caprices sont le moteur essentiel de mon existence, ma raison d’être. Mes préjugés mon ciment, peut importe la vérité,  je suis l’incarnation sclérosée du cliché.« 

Le pendant à ce stéréotype est un survivant d’époques honnies, celui qui regarde les conflits sans prendre parti non pas par conviction ou par justesse d’esprit mais par lâcheté et par crainte des retombées.

Fuck aux clichés, Fuck aux gros bulbes et aux petits cons, Fuck aux matérialistes, aux télévores, aux craintifs, aux frustrés, aux petits chefs, à tous ceux qui depuis l’origine des temps polluent le monde.

Dans tous les cas il va falloir que je m’auto fuck à un moment parce que je fais évidemment partie du lot, mais croyez moi, cela ne va pas être facile !!!

Merci à Isabelle Camus pour le titre de ce billet !

RED BULL MUSIC ACADEMY SESSION

avec Jean Michel Jarre (en entretien avec Patrick Thévenin) Mercredi 16 mai 2012 – Lyon (Nuits Sonores) Compte rendu En ouverture du festival Nuits Sonores, la Red Bull Music Academy a accueilli Jean Michel Jarre à l’Hôtel de Ville de Lyon. Le pionnier de l’électro s’est confié durant deux heures, entre anecdotes, techniques secrètes et visions musicales. Bluffant.
Jarre est ici pour se livrer, pour raconter les petites et les grandes histoires d’une carrière larger than life. Et c’est ce qu’il fait : « Ma rencontre avec Pierre Schaeffer a été fondamentale. On enregistrait des matières, on manipulait des bandes. Mais on ne parlait pas de musique électronique, le terme n’existait même pas ». Lorsque Jean Michel Jarre débute, la musique électronique est encore une science obscure, chasse gardée du Groupe de Recherche Musical (GRM) réuni autour de Schaeffer. « Happyness is a sad song », une de ses créations résonne alors entre les baffles et désarçonne les fans du premier rang, habitués aux mélodies marquantes qu’il n’a pas encore inventé : « A l’époque, je n’avais pas d’argent pour acheter un Theremin, donc ce qu’on entend c’est de la scie musicale, l’instrument des clowns…, sourit-il, avant de préciser : Sur le moment, ce morceau était un ovni. Les labels n’y comprenaient rien, c’était un truc de spécialistes ».
Dans ce contexte, son départ du GRM provoque un séisme. Sur les disques de Christophe ou de Patrick Juvet, il bouscule la variété française en la passant à la moulinette de ses rêves électro. Quelques mois plus tard, Oxygène est un choc : ce disque synthétique et hors formats (titres longs, absence de chant, visuel étrange…) dresse un pont entre les chercheurs du GRM et la musique populaire. « Ce disque m’a permis de connecter mon amour du son et celui de la mélodie ». Jarre invente alors le futur : « Ceux qui faisaient de la musique classique avaient des siècles d’histoire musicale derrière eux, ceux qui faisaient du rock avaient quelques décennies. Mais pour la musique électronique, il n’y avait rien, c’était nouveau ». Le soleil cogne sur la place de l’Hôtel de ville, mais Jean Michel Jarre tient l’audience en otage. Passionné et ouvert à la discussion, il explique tout. Un intérêt ravivé par Patrick Thévenin qui mène l’interview, qui connaît l’animal et sonde ses secrets.
ll y a 40 ans, Jean Michel Jarre a été un des premiers a inventer et populariser le langage électro. En un sens, ceux qui partagent aujourd’hui les scènes des Nuits Sonores (Etienne Jaumet, Theo Parrish…) lui doivent beaucoup. Après avoir répondu aux questions du public, il salue, remercie, signe quelques autographes et disparaît dans les rues de sa ville natale. Ce soir, il arpentera les scènes du festival pour voir à quoi ressemble le futur de cette musique électronique qu’il a contribué à créer. Mais seuls les chanceux réunis cet après-midi savent combien il en a rêvé, dès 1970, dans son petit studio.
Comme un avant-goût de la Red Bull Music Academy 2012 qui se tiendra dans quelques mois à New York, cette session exceptionnelle aura été l’occasion de pénétrer l’univers d’un artiste singulier. De lire entre les lignes, de lever le voile sur une carrière démesurée et de réduire la distance entre l’artiste et son public. L’histoire de la musique, version confidentielle.

Guru’s Jazzmatazz Back to the future

Cette mixtape ‘Back to the Future’ de Guru’s Jazzmatazz est le pendant brut de l’album Jazzmatazz Vol.4 sorti en 2007. Ce CD a été mixé avec attention et superbement mis en valeur par le super producteur Solar afin de nous présenter l’ « âge d’or  » New Yorkais avec un style futuristique tranchant. On comprend donc bien mieux ce titre, ‘Back To The Future’. gurujazzmatazz4

RAPATTITUDE @ Nouveau Casino

MPC Prod, Le Nouveau Casino & EMI présentent la soirée RAPATTITUDE avec :
ASSASSIN | EJM &DJ FAB
DEE NASTY | DJ JAMES (NTM)
DJ KOZI | ROCCA
TONTON DAVID
Il y a plus de 20 ans sortait RAPATTITUDE, la toute première compilation de Rap Français. Pour beaucoup, ce chef d’oeuvre restera à jamais l’acte fondateur du rap pro Made in France. A l’occasion de la sortie de la compilation RAPATTITUDE 3CDS (le 6 avril dernier chez EMI) réunissant les meilleurs titres du rap français agrémenté d’un livre collector, MPC Prod et le Nouveau Casino ont élaboré une soirée RAPATTITUDE unique, le samedi 26 Mai, 22 ans jour pour jour après la première sortie de ce monument de la musique française.

Sclérose en Blogosphère

J’hésitais primordialement à titrer ce billet « bienvenue dans la jungle » mais finalement j’ai vigoureusement opté pour le choc des mots (i’m a fucking rebel). Les positions semblent dorénavant figées. L’offre pléthorique en matière de blogs (tumblr inclus), sites, ainsi que l’ultra domination des réseaux sociaux conduit les butineurs de la toile à se focaliser sur leur « parcours type » qui condamne par contumace la découverte et la nouveauté. Réfléchissez à votre web -comportement, où allez – vous, à quelle fréquence ? et est-ce que ça laisse une chance potentielle à de nouvelles destinations et surtout par quel biais les découvrir… autrement qu’un buzz matraquage ?

Gentry

La gentry est le nom donné à la bonne société anglaise, et en particulier à la noblesse non titrée. Elle est de bonne éducation et a beaucoup de valeurs. Les membres de la gentry sont légalement des gentlemen, esquire, et peuvent recevoir des décorations, titres de noblesses, héréditaires ou viagier. Cette classe, composée en fait à la fois de la haute bourgeoisie et de la noblesse titrée ou non, se développe au XVIe siècle, à une époque de mobilité sociale accentuée. À l’origine, ce sont des notables provinciaux, propriétaires, qui s’enrichissent grâce à leurs domaines (qu’ils n’exploitent pas directement). Du point de vue juridique la gentry n’a pas un statut comparable a celui qu’a eu la noblesse continentale au cours des siècles, et on ne parle donc pas légalement de « nobility » (sauf en Ecosse). En effet, en Angleterre, seul les pairs ont le titre de noble et tous les attributs légaux qui vont avec. Néanmoins, la gentry a tous les attributs sociaux de la noblesse, et est réconnue comme telle par la CILANE. Le statut juridique de la « gentility » est donné par la lettre patente données par les rois d’armes par délégation du souverain. C’est cette lettre patente qui leur donne à eux seul le droit de porter des armoiries.

H&M for water

H&M multiplie à juste titre les crossovers caritatifs. Dès le 31 mai 2012 nous soulagerons notre conscience avec cette jolie collection de vêtements de plage dont 25% des ventes seront reversés  à Water Aid.

 

deBonton 3rd Grab Bag

Compilation – 30 avril 2012 ,Le label deBonton nous présente le troisième volet de la série « deBonton Grab Bag » Une compilation annuelle rassemblant des titres inédits d’artistes émergents de la scène indépendante internationale. ,Une programmation éclectique, allant de la pop mélancolique de Chevalier Avant Garde à l’électro-folk de Caandides. Les artistes de demain sont déjà sur le « deBonton Grab Bag » !! Les précédentes éditions de « Grab Bag » ont vu émerger des artistes tels que Logo (Kitsuné), Sydney Valette (élu album de l’année 2011 par Technikart) ou encore Yan Wagner (Kitsuné, Blackstrobe Records et moitié de Flying Turns). deBonton est un label indépendant parisien qui s’est donné pour mission de dénicher la plus passionnante pop électronique moderne. Cette année, ces défricheurs de talents ont le plaisir de nous proposer : 1. Caandides – Before The Art 2. Chevalier Avant Garde – Over The Fountain 3. Polocorp – Stratospheric Treasure Quest 4. Weekend Affair – Boxing Queen 5. Real Fur – The Fool 6. Mike Theis – 101 Problems 7. Royal Native – Good Night 8. Gidge – Bring Your Horses

?.

Mauvaise étoile par Virginie Despentes…

Sous titré : Le clip interdit de Patrick Eudeline. Il serait trop facile de dire que le clip a été interdit par la brigade du bon goût… Patrick Eudeline pour bon nombre de style setters en herbe c’est l’éternel dandy punk, le génial cyber auteur, l’ultime représentant d’un monde de fantômes. Bref, un monument gothique et underground a savourer sans modération.

Mark Zuckerberg

Mark Elliot Zuckerberg est né le 14 mai 1984 à Dobbs Ferry, (Comté de Westchester dans la banlieue de New York) au sein d’une famille juive américaine. Il est un informaticien et chef d’entreprise américain. Il est le fondateur du site internet de réseau social Facebook. D’apres le classement forbes 2008 des plus grosses fortunes de la planète, la fortune de Mark Zuckerberg est estimée à 1.5 milliard de dollards. Il obtient alors, à 23 ans, le titre du plus jeune milliardaire de la planète ( non herité ). Étudiant à Harvard, il a l’idée de lancer un réseau social des étudiants et programme dans sa chambre d’étudiant la première version de Facebook, dévoilée en février 2004[1]. Le succès est immédiat auprès des autres élèves de l’université et très vite se répand aux autres écoles, avant de se diffuser au grand public. En 2007 Facebook est devenu le septième site web le plus visité et la société est estimée à 15 milliards de dollars US[2]. Mark Zuckerberg possède encore 20% des parts de sa société dont il est le Chief executive officer. 

La Bande Son idéale en voiture

10 titres incontournables à écouter au volant. Même si en ce moment c’est la folie des moyens de locomotion écologiques type vélo – velib’, piedlib’ et que le métro et le bus ont toujours la faveur des parisiens, le tram celle des provinciaux et le taxi celle des VIP, la voiture demeure néanmoins indispensable dans certaines circonstances. Dès lors, que faut il écouter fenêtres ouvertes ou cheveux au vent pour être au top en caisse ? 1 AC/DC – You shook me all night long / Van Halen – Jump : Au démarrage, parce que ça met dans l’ambiance. 2 Yelle – Je veux te voir : Mais si vous êtes jeune… la preuve ! 3 Metallica – Fuel : Pas de panne d’essence et un vrombissement idéal pour passer du feu rouge au feu vert. 4 NTM – Police : Juste après la prune en représailles. 5 Ideal J – Hardcore : Pour calmer les ardeurs de la voiture d’à côté. 6 Marvin Gaye – Sexual Healing : Pour encourager les F.A.V (Fellations au volant) 7 Dimitri from Paris – Wonderful Person: Pour flatter son égo et garder la banane même dans les bouchons… 8 Velvet Revolver – Fall To Pieces / Guns N’ Roses – Don’t Cry : Toujours plus classe qu’une ballade made in Nostalgie, non ? 9 The Sounds – Don’t Want To Hurt You : Ca à l’air mainstream mais ça ne l’est pas, de quoi intriguer les biatchs enSmartées. 10 Chopin – Polonaise Op. 26.1 in C sharp minor. Port de tête haut et petit doigt en l’air, 7 minutes de snobisme à vivre, même en Logan. Bonus Track : Watermelon Man – Herbie Hancock : Un peu d’esprit FIP ou Nova sans les pubs… What else ?

Selon une étude américaine

Selon une étude américaine … Le sujet m’est venu en lisant un tweet bien inspiré « 28% des articles pourris commencent par : selon une étude américaine ».

Le dommage est parfaitement soulevé et le chiffre annoncé aussi scientifique que dans ces fameuses études dont on ne trouvera sans doute jamais trace.

Le plus inquiétant c’est que cette expression désormais consacrée vaut pour un « vu à la télé », condition chimérique de fiabilité. En gros si l’étude américaine l’a démontré alors je peux le tenir pour vrai. Par exemple « Selon une étude américaine, les lectrices de blogs sont plus intelligentes et plus sexy que la moyenne ». Même si sincèrement il me semble que c’est le cas… il n’en demeure pas moins qu’en rattachant mon raisonnement à cette légitimation scientifique, mon article gagne en crédibilité. Le danger provient alors de ceux qui lisent en diagonal, ou juste le grand titre et s’arrogent le droit d’adopter un comportement parce que c’est écrit. Dernier en date « selon une étude américaine, les ados n’ont pas besoin de sommeil. » Aucune responsabilité pour le journaliste qui a gratté ce papier révolutionnaire et bien des problèmes au foyer si cette étude s’avère foireuse.

Moralité, « selon une étude américaine » est une expression fourre-tout qui permet de justifier n’importe quoi et surtout qui demeure invérifiable. À utiliser avec parcimonie et uniquement pour faire du sensationnel bien racoleur !

MIDNIGHT JUGGERNAUTS – Dystopia

Leur nom est sur les lèvres de tous ceux qui voient le talent arriver de loin. Bientôt, leur électro libre sera partout. Pourtant, on ne sait pas grand-chose d’eux hormis qu’ils veulent en dire le moins possible. Ce qui, en marketing moderne, est déjà beaucoup. Fidèles à la tradition d’anonymat (relatif) qui prévaut sur la scène dance, ces trois Australiens estiment, à juste titre, que leurs chansons sont plus importantes qu’eux et préférables aux longs discours biographiques. On se contentera donc de signaler qu’ils se prénomment Vincent, Andy et Daniel, mais ont décidé, comme les Ramones (avec qui ils partagent un goût prononcé pour les plaisirs immédiats), de tous s’appeler Juggernaut. Vincent et Andy Juggernaut se sont rencontrés à l’école, à Melbourne, et ont commencé par sévir dans un groupe de rock basique avant d’évoluer vers une dance pop qui, depuis quelques maxis et remixes, fait se pâmer leurs pairs et les amateurs du genre. Depuis plusieurs mois, les Midnight Juggernauts ont attiré l’attention en remixant des titres pour !!! (Chk Chk Chk), The Presets, Dragonette, Electric Six et Damn Arms. Ils figurent aussi en bonne place sur de nombreuses compilations et ont déjà tourné avec Scissor Sisters ou Bloc Party. Bien inspirés, les Midnight Juggernauts ont récemment abandonné les tenues de scène de leurs débuts (des costumes de dictateur…) pour s’habiller comme leur public, jeune, bigarré et très porté sur la fête. Vincent et Andy ont également fini par trouver le batteur dont ils rêvaient en la personne de Daniel Stricker, devenu Daniel… Juggernaut ! Paru l’été dernier en Australie sur leur propre label, “Dystopia”, le premier album des Midnight Juggernauts, réunit une douzaine de chansons pop flamboyantes très inspirées par Electric Light Orchestra mais pas seulement. Au détour d’un refrain, dans un coin d’arrangement, au creux de la voix de Vincent, on constate la présence d’influences diverses et variées : Air, M83, le Bowie de “Low”, Can, Bauhaus, New Order, Giorgio Moroder, etc. Mais au-delà des allusions, c’est la réelle personnalité musicale du trio, qui se dit investi d’une mission galactique (?), qui fait surtout on charme : “Dystopia” auquel, en signant avec EMI France, les Midnight Juggernauts entendent bien donner une exposition mondiale, brille par la qualité intrinsèque de ses mélodies entêtantes, son éclectisme de ton, ses vocaux angéliques et ses ambiances sonores proches, parfois, de celles des films de John Carpenter. A des kilomètres des bidouillages mesquins de certains, ces explorateurs sonores voient grand et osent des suites d’accords en relief, des décharges éclectiques, et des retours vers le paradis. Appréciés par Justice ou Daft Punk, ils en ont la puissance et la grâce. “Into The Galaxy”, “Road To Recovery” ou “So Many Frequencies”, même si elles risquent de faire un malheur sur les pistes de danse européennes, raviront également les amateurs de pop et de rock sans œillères qui apprécieront certainement de surfer sur ces vagues bien plus hautes que la moyenne, la tête dans cette disco d’ailleurs un brin nostalgique.

Lagos Shake : A Tony Allen Chop Up

Honest Jon’s s’est rendu à Lagos avec le grand batteur Tony Allen, pour qu’il y effectue ses premiers enregistrements depuis ses années passées avec Fela Kuti. “Lagos No Shaking”, un classique de l’afro-beat contemporain en a résulté. Dans la foulée, le label a sollicité les légendes de la culture dance que sont Basic Channel de Berlin ou le père fondateur de la techno de Detroit Carl Craig, et de jeunes loups tels que les Newham Generals de Dizzee Rascal, Diplo (le producteur de MIA basé à Baltimore) ou Bonde Do Role, nouveaux venus sur la scène carioca, originaires de Rio de Janeiro. Honest Jon’s a commissionné des enregistrements au Caire, à Saturn, Bogota et Kingston en Jamaïque, et donné naissance à de nouvelles interprétations ou une relecture complète par le pionnier du space jazz Salah Ragab, un orchestre de rue influencé par le Sun Ra’s Arkestra (Hypnotic Brass), des batteurs afro-colombiens venus du village de San Palenque De Basilio inspirés par le highlife, et un vétéran de Mystic Revelation Of Rastafari de Count Ossie. “Sanfoka” et “Reggae Land Dub”, basés sur le style de batterie de Losun et Ise Nasa, Carl Craig, Bonde Do Role, Mark Ernestus et Moritz Von Oswald ont fourni des remixes de titres de “Lagos No Shaking”. Les Newham Generals ont rebondi sur le très percussif “Gbedu”, “Samba” est une relecture de la chanson folk “Awa Na Re”, et Salah Ragab livre ici une version originale de “Ole”. On trouve des samples de batterie du groupe Elewedu Of Agege dans “Fuji Ouija”, enregistrés durant les séances de “Lagos No Shaking” et disponibles sur des maxis Honest Jon’s. Tracklisting : Hypnotic Brass Ensemble – “Sankofa” Carl Craig – “Kilode Remix” Bonde Do Role – “Awa Na Re Remix” Mark Ernestus – “Mark’s Disco Dub” Wareika Hill Sounds – “Reggae Land Dub” Newham Generals – “Tetsuya’s Theme” Son Palenque – “Samba” Diplo – “Fuji Ouija” Salah Ragab – “Ole (Cairo Remix)” Moritz von Oswald – “Ole Remix”

Sky Gamblers: Air Supremacy

Les claques visuelles arrivent sur le nouvel Ipad

Sky Gamblers: Air Supremacy se pose en nouvel étalon du jeu sur téléphone portable, tirant plein avantage du nouvel affichage de l’écran Retina et des graphiques Quad-core du nouvel iPad, tout en intégrant les toutes dernières fonctionnalités d’iOS, afin que vous puissiez vous plonger dans toutes sortes d’environnements riches en détails et d’une qualité équivalente à ceux qu’offre une console de jeu, auxquels s’ajoutent les effets de météorologie ainsi qu’un système de particules avancé. En plus de cette pléthore d’embellissements, le titre fonctionne avec les classements du Game Center et inclut plus de 30 succès à collecter. Aux commandes de ces appareils modernes, vous serez plongé au cœur du combat, là où les balles frappent votre carlingue, où la pluie brouille votre vision et où le fracas de la guerre vous engloutit. L’incroyable expérience visuelle et sonore qu’offre Sky Gamblers: Air Supremacy en fait un titre indispensable pour tous ceux qui jouent sur le nouvel iPad, l’iPhone ou l’iPod touch. itunes.com/appstore

Fortuna – Fortuna

Quick Critique : « Dès les premières mesures on est dans l’ambiance, une ambiance de genre comme dans les films de Don Coscarelli, pour ne pas dire Dario Argento… La voix quasi transexuée de la divine Asia Argento ajoute au trouble. On sait qu’à chaque écoute les images viendront naturellement aguicher l’esprit, des images issues des meilleures productions érotico – horrifiques des 70 – 80’s. Pour ma part, j’ai trouvé cet album fascinant. Fortuna ne joue pas il Est… C’est remarquable à une époque de remakes… Loin de la parodie, le groupe donne envie de se replonger malheureusement avec nostalgie dans le monde du Giallo. Avec Pulsion Phantom pour quasi Alter Ego, Fortuna développe un rétro son « electro-horror », déterrant et s’appropriant pour notre plus grand bonheur les plus flippantes compositions Américano – Italienne qui ont marqué le siècle dernier. En espérant que quelques cinéastes bien inspirés suivront le mouvement et sauront entretenir la flamme.  Pour l’heure (minuit), souhaitons que cet Oiseau au plumage de cristal, propage son sabbath…

Sombre et lubrique. Sur le dancefloor, l’univers musical de Fortuna résonne à l’image de ces deux mots: il intrigue, séduit et hypnotise. Pas étonnant que leur plus grande fan s’appelle Asia Argento. Au point où l’actrice italienne a apposé sa voix sur cinq titres de leur album. Kid Chocolat a sorti plusieurs disques d’electro avec une touche sixties prononcée: Il développe son goût pour les BO jusqu’à collaborer avec Pascal Greco (vidéaste) à la création d’une bande son originale intitulée « Super8° » sortie l’année passée. Il créé également son propre label Poor Records et s’est occupé de la direction artistique de la compilation « Ich möchte ein Eichersein » rendant hommage à Stephan Eicher et son groupe Grauzone.  Il collabore avec The Knack pour son album « Zombiparti » sorti en 2005. Oil signe le graphisme et remporte le Qwartz de la meilleure pochette. Les 2 musiciens et le graphiste créent alors le projet Fortuna influencé par leurs premiers amours new-wave et noisy à savoir : les premiers Cure, New Order, Joy Division, My Bloody Valentine mais aussi les films d’horreur et leur bande-son signée John Carpenter ou Ennio Morricone entre autres. L’univers musical et visuel créent un ensemble et deviennent indissociable. phunkster.com

Champagne et Parties Fines

Outre le fait que cela soit le titre du premier film de Gérard KiKoïne (qui réalise maintenant des infomerciales pour tf1…) et qui lança la carrière de Brigitte Lahaie, la partie fine est une activité sexuelle collective. L’amour à plusieurs permet de démultiplier les combinaisons possibles, et de jouer beaucoup plus intensément avec la simultanéité d’activités passives et actives. Pendant plusieurs siècles, les vases grecs (qui sont des récipients pour boire) vont jouer avec des représentations des différents cas de figure. Déjà un simple groupe de deux hommes et d’une seule femme offre un grand nombre de variantes. Par exemple, la femme est à quatre pattes ; un homme, derrière elle, appuyé sur ses reins, la pénètre ; elle a dans la bouche le sexe de l’autre homme, penché sur elle, lui caressant les épaules. Mais les trois peuvent être debout ; la femme, pliée en avant, est pénétrée par l’un tandis qu’elle se retient aux hanches de celui dont elle goûte le sexe. Ou encore : la femme est allongée à plat ventre sur une table qui met son vagin et sa bouche à la bonne hauteur pour les deux hommes qui la pénètrent de leur sexe. Quant au champagne, il rafraichit et érotise les sens…

C2C "Down The Road"

Les deja mythiques C2C, virtuoses des platines, et quadruples champions du monde DMC, ont effectue un retour ovationne par le public et la critique le 24 janvier dernier, avec la sortie de  leur EP « Down The Road » et un show magnifique a la Gaite Lyrique. Apres plus de 10 ans d’existence, et 5 ans a se consacrer a leur projets personnels,  Beat Torrent et Hocus Pocus, les 4 membres se sont reunis pour composer et produire leur propre musique,  et presenter leur tout premier EP 3 titres originaux,  a la sensualite hip-hop/souljazz electro urbaine et modenre en avant-gout de l’album attendu dans les mois à venir.  Les places de concerts se vendent en un temps record et les commentaires les plus  elogieux et excites fusent sur la performance live offerte par le groupe.  Enfin, avec une premiere place dans la categorie musique electronique au classement des  ventes Itunes, C2C sonne comme la promesse d’un printemps raffraichissant aux beats inoubliables.