Une pensée pour les sportifs ruinés

Sujet de société fort apprécié des médias en ce moment, la ruine des sportifs est une désagréable surprise. Vous vous attendiez sans doute à un lynchage cynique et véhément à l’égard des ces être privilégiés qui ont (a priori) tout ce que l’homme de la rue désire ?

Au contraire, leurs aptitudes physiques en ont fait les rois d’un monde matérialiste qui les use jusqu’à la corde, les porte au pinacle et les abandonne sur le bord de la route le jour où ils ne sont plus à la hauteur des performances attendues. Dès lors s’en suit pour la majorité une longue traversée du désert dans les ténèbres de l’anonymat. Conditionnés par des entourages sans scrupules, ils multiplient les mauvaises affaires, s’enferrent dans les substances illicites, sans recul ni compréhension jusqu’au moment fatidique du point de non retour. La fin est un début et le début une fin, ainsi va le cycle naturel de la Vie.

Que faut-il en déduire et quelle leçon pouvons nous tirer de ces drames ? Nul n’est à l’abri de la chute, le matérialisme n’est pas une fin en soi, gardons à l’esprit que ce sont des humains et non des objets, n’outrepassons pas nos exigences et surtout acceptons la réalité sans fards ni retouches.

Mike Kelley

Mike Kelley (né en 1954 à Detroit) est l’un des plus importants artistes de la côte Ouest des États-Unis depuis 1980. Il travaille avec des animaux empaillés, des bannières et des tapis, mais aussi des dessins et divers objets. Il utilise les techniques de l’assemblage, du collage et de la vidéo. Les critiques disent de son œuvre qu’elle suit le concept d’Abjection (terme anglais). Le travail de Kelley est inspiré par diverses sources, telles que l’histoire, la philosophie, la politique, la musique underground, les arts décoratifs et l’expression artistique du milieu ouvrier. Son art montre souvent des problèmes de classe et de sexe comme des problèmes de norme, de criminalité et de perversion. En novembre/décembre 2005, son exposition la plus ambitieuse, intitulée Day is Done remplit la Gagosian Gallery avec des installations multimédias, comprenant des meubles automatisés et des films de cérémonies oniriques, inspirés par les livres d’or des lycées, les matches de sport et les productions théâtrales. En décembre 2005, le critique d’art Jerry Saltz (de l’hebdomadaire Village Voice) cita Day is Done comme un exemple novateur de clusterfuck aesthetics (« esthétique du foutoir »), la tendance de l’art contemporain par rapport à l’ère du multimédia envahissant. Kelley est actuellement membre du département des beaux arts au Art Center College of Design à Pasadena.

L’étreinte du panda

Dans l’étreinte du panda, les deux amants s’allongent de tout leur long sur le côté, en se faisant face, mais en tête-bêche. Le visage de la partenaire se trouve devant les jambes de son amant et vice-versa. Elle replie ses jambes, et glisse l’une sous le corps de l’homme, passant l’autre au-dessus, enserrant ainsi le bassin de son amant. Puis la femme se fait pénétrer en se collant contre l’homme. Il a alors sous les yeux les fesses de sa partenaire, bien écartées, laissant admirer l’anus et la vulve. Dans cette position les mains de l’homme sont libres pour une grande variété de caresses..

Planète Marx

Thierry Marx et Mathilde de L’Ecotais.  » Prendre une bonne louche de la sensibilité d’un enfant solitaire. La rouler dans la gourmandise. Laisser macérer quelques années en ajoutant régulièrement des épices variées, une dose généreuse de vécu, des souvenirs de voyage et beaucoup de créativité. Saler de quelques larmes, pimenter de rires et d’émotions. Mélanger intimement puis disposer harmonieusement au fil des pages, entre les flamboyantes couleurs et les merveilleuses images de Mathilde de l’Ecotais. S’installer confortablement et déguster avec ses yeux, son cœur et… ses papilles.  » http://www.amazon.fr

Hachis parmentier de canard

Cuisses de canard confites – pommes de terre – oignons – gousse d’ail – persil – beurre – huile – lait – sel – poivre. Epluchez les pommes de terre, lavez-les et faites-les cuire à l’eau pendant 30 minutes. Pelez l’oignon et hachez-le. Faites-le fondre dans 10 g de beurre pendant 5 minutes. Hachez le canard. Dans une terrine, mélangez le canard haché, l’oignon et le persil. Salez et poivrez. Réservez. Préchauffez le four à 220 °C (th. 7).

Réduisez les pommes de terre en une purée que vous assouplissez avec un peu d’eau de cuisson. Salez-la et poivrez-la. Incorporez-y le reste de beurre, par noisettes, en remuant sans arrêt avec une cuillère en bois.  Etalez la moitié de la purée dans un plat beurré. Déposez dessus la farce de boeuf. Parsemez avec la moitié du fromage. Couvrez avec le reste de purée. Parsemez du gruyère restant, faites cuire au four, à mi-hauteur, pendant 30 minutes. Servez avec une salade frisée. Comme vin, pensez par exemple à un Irouléguy rouge

Boujis

Fancy partying with royalty? Or, if not royalty, at least with some Sloaney blonde girls who may once have stood next to Prince Harry at a polo match? Well then, exclusive South Kensington private members club Boujis may be for you. Since opening in 2002, this surprisingly compact venue has established itself as one of London’s most sought after destinations, a popular spot with moneyed locals, celebrities and the occasional heir to the throne. On any night of the week Boujis boasts an impressive guest list (as evidenced by the paparazzi who can be seen loitering around the entrance in the early hours), and the venue prides itself on its elite clientele. Music is crowd-pleasing rather than cutting edge and, as you’d expect, the face control at the door is pretty rigid, but if the drinks prices and the overtly wealthy Euro crowd don’t faze you, then entrance is not impossible. Interior-wise, Boujis is a standard high-end London club, rather smoky and easily out-glammed by the likes of Chinawhite, but arguably it’s the people that make this place what it is.  43 Thurloe Street, South Kensington, London, SW7 2LQ Tel: 020 7584 2000 boujis.com  Source : www.thisisthelife.com

Et le rire dans tout ça ?

Les riches sont toujours plus riches. Les pauvres toujours plus pauvres et au milieu ça galère comme il faut… Sinistrose quand tu nous tiens ! Alors bien sûr on peut s’accommoder de ces poncifs et ne rien faire, si ce n’est tenter de vivre au mieux dans cet environnement. Sans mépriser les valeurs essentielles. Ce serait déjà un bon début… Ou alors prendre conscience qu’en France l’herbe n’est pas moins verte qu’ailleurs et que les cons sont légions partout dans le monde et pas uniquement chez nous. Ce qui m’interpelle aujourd’hui c’est le sérieux de notre société globalisée. La dérision, l’humour sont réduits au niveau de techniques marketing, pas plus. Le premier degré est devenu roi et gare à celui ou celle qui voudrait contrevenir à cet état de fait… De « 1984 » au « meilleur des mondes » en passant par d’autres romans d’anticipation, on peut constater que la légèreté,  le deuxième degré et tout ce qui permet le rire sont systématiquement absents. On parle toujours de la cruauté de l’homme comme élément différenciant de l’animal mais le rire bon sang, n’est ce pas ça aussi le propre de l’homme ? Justement, il faut distinguer l’humour mécanique, froid, cynique et cruel si en vogue aujourd’hui, du rire simple et sans arrière-pensée de l’innocent…

Scrambled Hamburger

1 pain hamburger ou pain sésame 150 grammes de viande hachée maigre 1/2 petit oignon blanc 1 feuille de laitue 1-2 tranches de mozzarella Quelques tranches de piments piquants jalapenos marinés (4-5 verts ou rouges) 1 c. à soupe de sauce salsa moyenne 1 c. à soupe de mayonnaise 1 c. à soupe de beurre 2 pincées d’épices à steak. Trancher la moitié d’un petit oignon blanc en morceaux fins. Piler et mélanger la viande hachée avec l’oignon, les épices à steak et le sel d’oignon. Faire une boulette de viande avec le tout. Cuire la boulette dans un poêlon avec du beurre, cuisson médium bien cuit. Faire griller le pain au four ou dans le grille-pain. Faire fondre le fromage mozzarella 20-25 secondes au four à micro-ondes. Poser le pain grillé dans une assiette. Mettre 1 cuillère de sauce salsa sur 1 côté du pain. Mettre 1 cuillère de mayonnaise sur l’autre côté du pain. Déposer la boulette de viande cuite sur le côté du pain où il y a la sauce salsa. Déposer les tranches de jalapenos sur la boulette. Déposer le fromage mozzarella fondu sur la boulette et les jalapenos. Déposer la feuille de laitue sur le fromage. Refermer le hamburger à l’aide du côté du pain enduit de mayonnaise. Globe Trotter www.globetrotter.net

Conseils pour entrer en boite de nuit

Certains d’entre vous ont toujours une grande appréhension, en général le samedi soir vers 0h00 à l’approche des clubs : Celle d’être tricard sans vergogne par un ou une physio devant une grande assemblée de petits cons et de petits culs, qui n’hésitera pas à vous dévisager et à faire des commentaires désobligeants sur votre infructueuse tentative…

Couscous au poisson

1 kg de poisson (petites dorades, baudroie, rascasse) 12 langoustines 1 kg de de semoule à couscous précuite 1 oignon 4 gousses d’ail 1 piment fort 1 bouquet de persil plat 150 g de beurre 15 cl d’huile d’olive 2 c. à soupe de concentré de tomate 1 c. à soupe de piment doux en poudre sel et poiver Faites préparer les poisson par le poissonnier. Pelez l’oignon et émincez-le. Ebouillantez les tomates, puis pelez-les, épépinez-les et coupez-les en morceaux. Dans une marmite, faites revenir l’oignon à l’huile d’olive avec le concentré et les morceaux de tomate et le piment doux. Mouillez de 10 cl d’eau et laissez mijoter 10 min. Lavez bien tous les poissons, essuyez-les et salez-les. Mettez-les dans une marmite avec les langoustines. Ajoutez les gousses d’ail épluchées, le piment épépiné et émincé et le persil grossièrement ciselé. Versez de l’eau jusqu’à recouvrir les poissons et portez à ébullition. Baissez alors le feu et laissez cuire 15 min. Préparer la semoule selon les indications du paquet. Incorporez-lui du poivre du moulin et le beurre en parcelles en mélangeant avec une fourchette pour bien séparer les grains. Versez la semoule dans des assiettes creuses. Garnissez avec les poissons et mouillez généreusement de bouillon à part dans une soupière.

Néo Nostalgie

Les fashions guides vont enfin être ravis, le nouveau bobo est arrivé. Emprunt des influences d’Aragon, de Boris Vian, de Saint Germain et surtout des années 50, le style se caractérise par un retour aux coupes classiques chic et sobres. Chignon pour madame, lunettes de vue pour monsieur, les accessoires ressurgissent, de même que les bretelles. Costume cravate, robe de bal, le tout matiné d’espieglerie bien française grâce aux sous -vetements très polisson, car si l’exterieur est sage il n’en est pas de même des parties cachées… Un revival mi ange mi demon à savourer au moins pendant une saison.

Région de Vin: Le Valais

La région viticole la plus étendue de Suisse, fournissant 40% de la production nationale. Considéré comme la Californie de la Suisse, ce canton bénéficie d’un climat exceptionnel pour la culture de la vigne. Précipitations faibles et insolation maximale, températures douces jusque tard en automne. Le vignoble longe la vallée du Rhône, sur des côteaux abrupts échelonnés entre 500 et 800 mètres d’altitude, voir même 1100 mètres à Visperterminen (le plus haut vignoble d’Europe). Les sols sont très variés, avec cependant généralement peu d’argile. Bien aérés, légers, ils se réchauffent rapidement et retiennent peu l’eau. A Sion, les schistes, ou brisés, dominent, associés au mica: ce sont eux qui donnent au Fendant “les Murettes” ce tempérament caractéristique et ces arômes de pierre à fusil. Si le Fendant représente encore près de la moitié de la production, donnant un vin très réputé pour sa fraîcheur, sa légèreté et son léger pétillant, d’innombrables cépages, dont certains uniques au monde, sont remis aujourd’hui à l’honneur et permettent au Valais d’engranger des médailles dans les plus grands concours internationaux. En blanc, il faut citer l’amigne, l’arvine, la marsanne blanche, le muscat, le païen, la malvoisie et le sylvaner, appelé ici Johannisberg. (suite…)

ICE T "Mémoires de ma vie de Gangster et de ma Rédemption, de South Centyral à Hollywood"

My life has been a great story/ In a ultimate War/ Do I ill or do right ?/ Make peace or go raw? Ma vie a été une grande histoire/ Dans une guerre absolue/ Dois-je faire le bien ? Dois-je faire le mal/ Faire la paix ou devenir dingue ? Ice-T, Exodus

C’est une icône du hip-hop. On dit qu’il a inventé à lui tout seul le gangsta rap dans les années 80. Pour les téléspectateurs c’est l’inspecteur Odafin  » Fin  » Tutuola de la série prestigieuse New York Unité Spéciale. Mais, là où s’arrêtent les projecteurs, loin des gros titres des journaux, commence la véritable histoire de Ice-T, celle que des millions de ses fans n’ont jamais entendue… Ce livre, c’est Ice-T avec ses propres mots, crus, Ice-T que la censure ni la peur n’empêchent d’exprimer ce qu’il pense. Orphelin, élevé dans les rues infestées par les gangs de South Central à Los Angeles, il passe quatre ans dans l’armée américaine dans la célèbre division « Éclair des tropiques ». Il ne dissimule rien de sa carrière réussie de voyou et de cambrioleur, de l’accident de voiture qui a failli lui coûter la vie, et de sa décision cruciale de quitter le monde du crime pour creuser son propre chemin vers le monde du spectacle et la célébrité internationale…

Cercle Vertueux

En 2 jours j’ai été l’heureux bénéficiaire de 2 actes de bienfaisance. Le premier à la station service où j’avais oublié ma carte bancaire. La personne qui l’a retrouvée a fait l’effort de chercher mon numéro de téléphone sur les pages blanches et m’a contacté afin de me rendre ladite carte m’évitant ainsi des frais et du stress, le 2ème concerne mon chat qui avait disparu, grosse inquiétude (je vous passe les détails) et cette autre généreuse âme a eu l’intelligence d’une part de recueillir mon animal de compagnie et de mettre une pancarte sur la porte de son immeuble avec les caractéristiques dudit félin me permettant ainsi de récupérer la pauvre bête perdue. Quelle merveille de constater que malgré toutes les tentations d’individualisme, de lâcheté, de chacun pour soi qu’offrent notre société, certains resistent encore et propagent cette onde d’amour ou au moins de compassion, indispensable pour faire vivre le Cercle Vertueux , méditons sur « fais à autrui tout le bien que tu voudrais qu’il te fisse » et encore merci à eux et autres « gens biens » du quotidien.

J.M. Weston: The Boot, The Bag, And The Briefcase

The Boot, The Bag, And The Briefcase from J.M. Weston on Vimeo.

L’univers J.M. Weston aiguise l’imaginaire du réalisateur Lionel Koretzky, qui signe un scénario façon polar infusé aux codes du film noir. Né en France, mais vivant à Brooklyn depuis plus de quinze ans, Lionel Koretzky est avant tout photographe, passionné par l’objet, les compositions architecturées et la souplesse de la lumière. Il promène désormais son œil de photographe sur les images en mouvement, cadrant ses pensées avec la même rigueur esthétique que dans la chambre obscure.

Dites le… Avec des fleurs

Le nouveau chic chez les style setters est d’offrir des fleurs aux hommes. L’explosion des frontières entre l’homme et la femme et l’avénement du métrosexuel ont bouleversé l’ordre établi. Les valeurs sures: Orchidées, Dahlias, Roses blanches… Mais également fleurs exotiques et plantes rares.

Aux innocents la bouche pleine

«Comme d’habitude et par naturelle distraction, j’avais mal commandé mon entrée (un bouillon de langoustines gentiment banal) alors qu’en face il y avait un somptueux marbré de boudin noir au foie gras. Le décor, vous l’avez aussi déjà dessiné sur la buée des songes : un bistrot gourmand, des sous-verre au mur, des miroirs, l’ampoulement désuet des années, des affiches, des boiseries. On voudrait parfois se laisser enfermer à double tour dans ces petites républiques oubliées, ces duchés en chaussons, voir le monde défiler à l’extérieur tout en savourant lentement un cornas des familles. Un carré d’agneau somptueux vous réveille de votre torpeur. Il est signé du boucher Hugo Desnoyer, on en revient immédiatement à remettre les curseurs au bon endroit. Juteux, herbacé, une petite merveille qu’accompagnaient méthodiquement et fermement de solides pommes de terre frites. Ce genre de composition, c’est imparable, chacun à sa place, chacun dans son rôle : les patates font les roues du carrosse, la viande se pavane, c’est comme ça la vie.» François Simon est journaliste au Figaro et chroniqueur à Paris Première. François Simon www.passiondulivre.com

Macarons au chocolat

Pour environ 15 pièces 200 g de chocolat noir corsé – 120 g de sucre glace – 100 g de crème liquide – 60 g de poudre d’amandes – 40 g de beurre – 2 blancs d’œufs – 1 pincée de sel. Préchauffez le four à 180 °C (th. 5). Mélangez 80 g de sucre et la poudre d’amandes. Faites fondre 100 g de chocolat au bain-marie et incorporez-les au mélange. Battez les blancs en neige avec le sel et ajoutez le sucre restant. Incorporez-les au mélange. Déposez des tas de pâte sur une plaque recouverte de papier sulfurisé beurré. Enfournez 10 min. Décollez les macarons et laissez-les refroidir. Versez la crème chaude sur le chocolat, mélangez, garnissez-en les macarons. Préparation : 25 min. Cuisson : 10 min.

Hamburger suédois

4 petits pains (au sésame ou au pavot) – 4 tranches de saumon fumé – 6 cuillères à soupe de crème fraîche – 2 grosses tomates – ¼ de concombre – ½ citron – 1 petit bouquet d’herbes (persil, basilic, aneth…) – salade – sel, poivre. Coupez les pains en deux, en prélevant une rondelle au milieu. Coupez chaque tranche de saumon en deux ou trois morceaux. Rincez les tomates et le concombre, émincez-les en rondelles. Salez et poivrez-les. Assaisonnez la crème fraîche avec le jus du citron, sel et poivre. Equeutez, rincez et séchez les herbes. Rincez et essorez la salade. Garnissez les petits pains de saumon, salade, concombre, herbes fraîches, tomates et crème fraîche, en intercalant la rondelle de pain découpée. Servez aussitôt

Joseph Balsamo

Giuseppe Balsamo (Joseph Balsamo), dit Alessandro, comte de Cagliostro, fut un aventurier italien né à (Palerme, en 1743 et mort dans la prison pontificale de San Leo, près de Urbino en 1795). Personnage mystérieux qui s’est rendu fameux au XVIIIe siècle, il naquit d’une famille obscure. Son véritable nom était Joseph Balsamo. Au cours de sa vie, il adopta divers pseudonymes (notamment Comte Pellegrini, Mélissa, Fenice, Hérat ou encore chevalier de la Sainte Croix) mais le nom qui à fait sa renommée est celui de Comte de Cagliostro, inspiré par le nom de sa marraine.

Art Contemporain Bordeaux

La galerie Cortex Athletico est un espace expérimental comprenant deux lieux : l’un est dévolu à des ateliers accueillant des artistes sous forme de résidence, et l’autre est dédié aux expositions au sens large. Cette plate-forme permets de comprendre et d’accompagner des projets d’une envergure européenne en invitant artistes, commissaires, critiques, à penser le lieu de la galerie et son fonctionnement comme le topos d’une utopie artistique. […] Cortex Athletico Galerie – Art Contemporain 1, rue des Etables 33000 Bordeaux France  Source: artfacts.net A voir également: arretsurlimage.com

Courtesy galerie Cortex Athletico. Photo : Patrice Goasduff.

Petite Mort

Vous avez toujours rêvé de voir la tête des gens pendant l’orgasme ? Ce site est fait pour vous. beautifulagony.com Hommes ou Femmes, leur moment le plus intime enfin montré.

Pygmalion

Pygmalion, sculpteur chypriote de l’Antiquité, a créé, d’après la légende, une statue de femme d’une telle beauté qu’il en est tombé amoureux. Ayant demandé aux dieux de donner vie à cette statue, la déesse Aphrodite l’a exaucé. Le pygmalion de George Bernard Shaw quant à lui se doit de transformer une jeune fille du peuple en Nadine de Rotschild mais, il apparaitra que: « le savoir- vivre n’est pas nécessairement l’apanage de celui qui proclame en détenir les codes. » (www.agoravox.fr) De nos jours si un tel être existait, il serait assimilable à un super coach capable de découvrir, d’enrichir et de nourrir des potentiels humains. Entrainé irrémédiablement vers eux grâce à un formidable instinct, le pygmalion moderne serait un être a part, idéal, de bonne foi et mû par l’unique désir d’améliorer son prochain, de le rendre meilleur. Lui serait il possible d’exister dans un monde tel que le notre ?

Journalistes sur Facebook

Au-dela du réseau social permettant de connecter des amis entre eux, Facebook entend avancer sur le terrain du «média social». Le site aux 600 millions de membres a ouvert une page Journalistes sur Facebook, afin de publier les meilleurs pratiques journalistiques, les vidéos, et les articles de sa communauté. Après Yahoo, le géant du Web se positionne ainsi un peu plus sur le contenu éditorial. le 13h de la com

Opia New York

Les français de New York se retrouvent, en ces temps de victoires et de triomphe, à l’Opia, un restaurant 100% frenchy où l’accueil est chaleureux et la cuisine idéale pour se rémémorer, entre autre, les étés à Saint Tropez. 130 E. 57th St., New York, NY 10003 between Park and Lexington Aves. 212-688-3939

Le Gonzo se prend pour Dorian Gray à Hambourg

Dans la rue interdite aux femmes  l’ambiance est particulièrement heiß.  Tandis que j’écris ce billet à l’aide de mon bien aimé smartphone, mes amis volent chacun de leurs propres ailes (en rase motte pour la plupart) vers de sordides et scabreuses aventures, alors que moi je profite de mon court séjour dans ce lieu de perdition pour parfaire certaines connaissances… J’ai toujours eu du mal à distinguer la Spaten de la Wernersgrüner, la Erdinger de la Sion Kölsch, la Zünft Kölsch de la Veltins,  la Schultheiss,  de la Hacker Pschorr,  la Löwenbrau, de la Augustiner. Boissons que j’ingurgite toujours avec la plus grande des modérations et dans l’unique but de me désaltérer.  C’est comme pour les filles de joie qui sont, à ma grande surprise, présentes en très grand nombre dans cet espace qui me rappelle vaguement Amsterdam, une ville dans laquelle j’adore faire du lèche – vitrine,car les magasins de fleurs sont particulièrement attrayants. J’adore ces fleurs aux pistils très délicats, ou alors celles au contraire qui sont plus piquantes, ou ouvertes, jeunes, grandes, petites, colorées, chatoyantes… Bien sur, je condamne les innommables actes de mes comparses hommes qui vont, à l’aide d’euros, certainement faner un peu plus ces misérables corps et flétrir les âmes de celles qui , peut être un jour ont naïvement cru en l’existence du Prince charmant et se retrouvent aujourd’hui à la merci peut être d’un croquemitaine en costard. « Oh Homme comme tu n’as pas changé depuis ton éternel passé car, ne parlons nous pas là du plus vieux métier du monde ? »

Aristote

La beauté est un appui préférable à toutes les lettres de recommandation. Citation de Aristote  (en grec ancien Aristotélês) est un philosophe grec né à Stagire (actuelle Stavros) en Macédoine (d’où le surnom de « Stagirite »), en -384, et mort à Chalcis, en Eubée, en -322. Sa conception de l’être comme « substance » (ou ontologie) et de la métaphysique comme « science de l’être en tant qu’être » influença l’ensemble de la tradition philosophique occidentale, d’Alexandre d’Aphrodise à Martin Heidegger en passant par Thomas d’Aquin, et orientale, d’Averroès et Maïmonide à Cordoue jusqu’au persan Avicenne en passant par les théologiens médiévaux de Byzance. Véritable encyclopédiste, il s’est beaucoup intéressé aux arts (musique, rhétorique) et aux sciences (physique, biologie) de son époque ; il en théorisa les principes et effectua des recherches empiriques pour les appuyer. Sa conception de l’art poétique s’imposa dans l’esthétique classique. Sa théorie de la valeur influença l’économie de Karl Marx, et sa théorie de l’action (praxis) et de la prudence (phronèsis) marqua la philosophie politique et l’éthique d’Hannah Arendt. Le Stagirite est également considéré, avec les stoïciens[1], comme l’inventeur de la logique : il élabora une théorie du jugement prédicatif, systématisa l’usage des syllogismes et décrivit les rouages des sophismes.

RELATIONS HOT

Etes-vous folle amoureuse ou proche de la folie ? Bien dans votre célibat ou en chasse d’un homme ? Vous vivez en couple, vous êtes mariée et avez des enfants, ou vous avez été larguée et vous souffrez horriblement ? Quelque soit votre situation actuelle, RELATIONS HOT a la réponse à vos problèmes amoureux. Drôle, pratique et agréablement réaliste, il est bourré de conseils concernant la drague, les aventures brèves, mais aussi la monogamie et le mariage, ainsi que de petits trucs pour oublier un ex, trouver un homme, savoir repérer les loosers et survivre au premier rendez-vous. Vous y trouverez également des astuces pour clore les disputes, survivre à la jalousie et à l’infidélité et lutter contre vos mauvais penchants. Célibataires, en couple, homme, femme, vous allez enfin savoir comment trouver quelqu’un, et le garder… ! COX TRACEY www.lamusardine.com

Nike – Air Force 1 Supreme 07 (Kobe)

Um einem New Six Player gerecht zu werden, hat sich Nike dieses schöne Teil einfallen lassen. Der Air Force 1 Kobe ist anlässlich des 25. Geburtstages des Air Force erschienen und kombiniert typische, klassische Air Force Details mit neuer Technonlogie (Max Air Sohle) und metallverstärkten Laces.Schönes Nubuckleder in creme lässt das dunklere Konterfei Kobes stärker zum Ausdruck kommen und macht ihn so zu einem würdigen Verteter der Air Force Serie.  http://www.vagant.de

Les bordelais sont-ils les plus mauvais conducteurs de France ?

D’après une enquête menée auprès d’anciens parisiens, il apparait que les Bordelais sont les plus mauvais conducteurs de France. Il semble que les bordelais(es) aient la fâcheuse habitude d’utiliser leur portable au volant (sans oreillette); tandis que d’autres lisent; fument; voire font les 3 en même temps… Ils roulent également le plus souvent à 30 kmh en moyenne en ville et accélèrent généralement au moment où le feu passe au rouge. Ou alors à l’inverse, ils font le slalom à 90 en ville et 200 sur la rocade. Ils sont souvent de mauvaise humeur et ils profitent usuellement du fait de laisser passer les véhicules prioritaires pour gratter des places. De plus dès que quelqu’un essaie de les dépasser ils freinent volontairement et font tout pour l’empêcher de passer. En revanche les motards bordelais sont mieux considérés que les conducteurs de voitures, ils rouleraient bien et ils respecteraient ceux qui font l’effort de les laisser passer. Les cyclistes quant à eux sont jugés par les enquêtés comme irresponsables, dangereux et au dessus des lois. Enfin les enquêtés trouvent que les bordelais ont d’assez mauvais goûts musicaux en voiture : Techno Tuning ou RFM à fond, fenêtres ouvertes. N’hésitez pas à donner votre avis dans les commentaires ! PS: Les enquêtés considérant qu’il n’est pas bien de stigmatiser une communauté pensent que les bordelais peuvent s’améliorer et devenir de meilleurs conducteurs à l’avenir !

La Panthère Noire

La Panthère Noire (Black Panther, un temps connu en France sous le nom de Pantherman) est un super-héros créé par Stan Lee et Jack Kirby dans les pages des Quatre Fantastiques en juillet 1966. De son vrai nom T’challa, la Panthère Noire était le prince héritier du Wakanda. Ce royaume situé en Afrique centrale, très avancé technologiquement, est le seul endroit au monde où des mines de vibranium existent. Ce pays garde par ailleurs un mode de vie traditionnel et reste coupé du monde extérieur. À la mort de son père T’chaka (simple homonyme du roi zoulou Chaka), T’challa devient à son tour roi et endossa le costume de la Panthère Noire. Il brise l’isolationnisme de son pays en demandant l’aide des Quatre Fantastiques pour vaincre le super-vilain Klaw. Par la suite, la Panthère Noire intégre l’équipe des Vengeurs, dont il restera un membre de réserve. Il assure la représentation du Wakanda aux Nations unies. Actuellement il a repris sa liberté pour assumer pleinement ses prérogatives royales. Stan Lee s’inspire du nom d’une bataillon de tank de la seconde guerre mondial « 761st Tank Battalion (United States) ».  Apparu dans les pages des Quatre Fantastiques au début des années 1960, la Panthère Noire assure les seconds rôles dans des aventures de Captain America puis régulièrement dans celles des Vengeurs. Le personnage a marqué les esprits d’abord parce qu’il était noir, ce qui était inédit dans le monde des comics, et assez révélateur de l’ancrage sociétal des histoires de la Marvel, ici en référence au mouvement pour les droits civiques alors en pleine actualité. Stan Lee et Jack Kirby (en juillet 1966) ont de plus fait de la Panthère Noire non un Américain mais un authentique Africain dont le royaume était à la pointe de la science. Ce héros inhabituellement en 1966 valorisante des Africains a marqué les jeunes lecteurs noirs de l’époque. Il n’est pas interdit de penser que l’aura du roi du Wakanda a une part dans la dénomination de l’organisation Black Panther Party crée en octobre 1966. D’ailleurs l’ascension de ce mouvement radical a contraint Marvel à renommer un temps son personnage « Black Leopard » (le Léopard Noir). Le personnage a par la suite repris son nom original de Panthère Noire. En 2000-2001, le scénariste Christopher Priest et les dessinateurs Sal Velluto et Bob Almond ont réalisé une série mensuelle sur ce super-héros (le recueil de cette série pour l’année 2001 est intitulé séduction de l’innocent pour la version française). La Panthère Noire a commencé, depuis février 2005, de nouvelles aventures orchestrées par Reginald Hudlin et John Romita Junior, censées redéfinir le personnage. wikipedia.org

Maison Close présente ses Best Sellers Erotiques

Maison close passe en revue les codes de la séduction en revisitant de façon contemporaine les pièces maîtresses du vestiaire érotique. Goût du secret, raffinement et un certain plaisir fétiche définissent ces collections de lingerie et d’accessoires coquins. Jusqu’au vocabulaire, Maison Close revendique son attachement a une tradition des jeux de l’amour bien française où galanterie et plaisirs fripons font bon ménage. Jouant sur la corde sensible de la maîtresse et de la soumission, du secret et du dévoilement, de la retenue et de l’extase, les différentes collections évitent l’écueil de la vulgarité et de l’exhibition racoleuse. maison-close.com

JEREMY KOST – ALWAYS THE CENTER OF ATTENTION

FAME PAINTINGS. Les peintures de Jeremy Kost, à la façon d’un tirage en négatif, sont issues de ses propres Polaroïds, agrandis, transposés et sérigraphiés sur de larges toiles. Des photographies de célébrités, ou plutôt de la célébrité comme fait de société et catalyseur de fiction sociale, au moment où communication de masse et communion émotionnelle des foules se rejoignent. Avec, en filigrane, l’ombre double de la société du spectacle et du panoptique.

Vertiges et inversions : le monde est un théâtre qui mime à son tour la comédie du monde; le sujet regardant devient l’objet regardé, jouant lui-même à maîtriser le regard qui le saisit et s’oublie alors dans cette course au paraître.

Les stars; quête et fascination… Des vies spéculaires qui semblent n’être que validées et complétées par leur reflet médiatique. Face à elles, des existences ne se ressaisissant dans aucune image publique ou fiction partagée mais laissant celles-ci définir les contours de leur contenu émotionnel et en déterminer les pics d’intensité. Une foule consommatrice affectée par des affects, parfois sincères, souvent, lorsque tenus en lumière, construits ou exacerbés.

Dans la série des Fame Paintings, on aperçoit et on croît reconnaitre tel ou tel personnage public; mais au fond, si on voit bien quelque chose, que s’y manifeste-t-il? Une apparition? De star sublimée ou banalisée. Ou plutôt un rêve de disparition, un désir d’absence à l’image? D’un être encerclé essayant d’échapper à l’oeil de la caméra médiatique envahissante. En général qu’offrent aujourd’hui les innombrables et répétitives images de célébrités? Ces clichés du déjà vu ne révèlent plus rien. Trop souvent, la pulsion de reconnaissance a suppléé au plaisir de la surprise. Chez Kost, la lecture immédiate de la reconnaissance est troublée par le passage au négatif, qui protége ainsi un instant l’identité de la figure et la déplace sur un terrain poétique ou mystérieux, mais accentue paradoxalement aussitôt le jeu de démasquage du « voyeur ». La dynamique de l’étonnement et de l’attirance fascinée est alors réactivée. Fascination mais aussi parfois répulsion; pour le corps qui s’exhibe, de la démonstration à la monstruosité, il peut n’y avoir qu’un pas. Jeremy Kost poursuit dans la série des Fame Paintings son exploration de la relation à la célébrité, au corps médiatique, à la vie mise en scène, avec une vision personnelle mêlant dramatisation et intimité, excès et fine sensibilité. Une démarche qui fait écho à celle d’Andy Warhol, lui aussi acteur et voyeur dans ce monde restreint du paraître et de l’avant-scène, et surtout transmutateur de valeurs.

« Quand je me sais photographié, je me transforme en image… » Roland Barthes

La Galerie Nuke présente une nouvelle série de peintures, inaugurée lors d’une récente exposition de Jeremy Kost au Musée Andy Warhol, à New York, ainsi que la vidéo « What You Need Is In The Limo », pour la première fois montrée dans une galerie.


JEREMY KOST
ALWAYS THE CENTER OF ATTENTION
VERNISSAGE: SAMEDI 20 OCTOBRE, 18H-21H
EXPOSITION DU 18 OCTOBRE AU 18 NOVEMBRE 2012

Monumenta 2012 – Daniel Buren

Un grand Bravo aux brillants lecteurs de JetSociety qui ont remporté les laissez-passer et l’album « Daniel Buren Monumenta 2012 » offerts par « Le Nouveau Paris Ile-de-France » et qui ainsi ont pu assister à cette remarquable exposition au grand palais de Paris. Pour rappel: Après l’Allemand Anselm Kiefer, l’Américain Richard Serra, le Français Christian Boltanski et le Britannique d’origine indienne Anish Kapoor, c’est au tour de Daniel Buren, auteur des célèbres « Colonnes de Buren » de transformer la Nef du Grand Palais ! grandpalais.fr  Tous les jours (sauf le mardi) : de 10h à 19h le lundi et le mercredi, de 10h à minuit du jeudi au dimanche. Jusqu’au 21 Juin 2012


Monumenta 2012 – Interview de Daniel Buren par Rmn-Grand_Palais

Full Time Dépravé

Merci aux sermonneurs moralistes pour cette si extraordinaire société de consommation dans laquelle nous vivons ! et encore s’il ne s’agissait que de cela on pourrait arriver à leur pardonner, prenant à notre compte notre juste part de responsabilités. Leur véritable crime est plutôt d’avoir instillé insidieusement en chacun de nous, le rôle de censeur des mœurs d’autrui. À la fois juge, jury et bourreau, nous condamnons sans relâche les buveurs, fumeurs, fornicateurs, plaignons les oisifs, nous insurgeons contre tout comportement ou acte décidé comme hors norme. Petit bémol, sauf si les mass médias s’en mêlent et adoubent l’acte(ur) prétendument licencieux.

Pour ma part, je me revendique comme un Full Time Dépravé et pourtant je ne fais rien de bien méchant ! Mais un soupçon d’hérésie et voilà le bon peuple qui équarquille ses gros yeux inquisiteurs. Terrible moment que de les entendre s’inquiéter des risques, des conséquences hypothétiques – pour eux-mêmes – et si cela ne les touche pas, (ouf de soulagement), alors ils craignent pour la santé, ou pire la réputation dudit rebelle. Le tout généré selon moi par une seule cause La PEUR. Cette peur qui sclérose tout, empêche d’agir ou de penser librement, prisonniers volontaires d’un système qu’ils abhorrent verbalement mais qu’ils n’échangeraient pour rien au monde.

Pauvres de nous qui souhaitons jouir plutôt que souffrir. Que faire ? il ne nous reste qu’à nous réunir « sous le manteau », organiser des sabbats la nuit venue et finir brulés sur des bûchers tels les sorciers et les sorcières des anciens temps. Comme quoi rien n’a vraiment changé ! A bon libre penseur… Salut !

MON JOUET PRÉFÉRÉ

Photographies d’Hervé PLUMET 20 octobre 2012 – 14 avril 2013 Moirans-en-Montagne, JURA Du 20 octobre 2012 au 14 avril 2013, au musée du Jouet de Moirans-en-Montagne, l’exposition photographique « mon jouet préféré » questionne la relation unique et privilégiée qui unit un individu à son jouet favori.

Cinquante et une personnes, enfants, femmes et hommes de tout âge, vivant dans l’une des dix-sept communes du Pays de l’Enfant, ont accepté de prendre la pose avec un jouet, un jouet qui compte dans leur quotidien ou qui est profondément ancré dans leur mémoire. Cette commande au photographe Hervé PLUMET prend tout son sens dans le cadre de la première exposition temporaire du musée rénové. Elle fait entrer dans ses espaces les habitants de JURA SUD, un territoire marqué, depuis des générations, par l’artisanat du jouet et son essor industriel.

AUTOUR DE L’EXPOSITION (vacances de la Toussaint)
Atelier « Magie de la photographie », dès 8 ans, 2 séances d’1h30
Séance 1 : Fabrique un appareil photo (boîte à sténopé) et apprend à capturer une image sur un papier photo.
Séance 2 : Réalise un portrait avec ton sténopé et découvre les secrets du développement photo.
Dates : lundi 5 novembre, 14h00 (séance 1) – mercredi 7 novembre, 10h30 (séance 2) – tarif : 7 € / séance inclus la visite du musée Atelier «Photo cubes », dès 4 ans, 1h30
Deux coups de ciseaux, quelques pliages, un peu de colle et des photos. Viens fabriquer un jeu de cube et joue avec les images. Dates : lundi 29 octobre 14h00 – lundi 5 novembre, 14h00 – tarif : 7 € / séance inclus la visite du musée
MUSEE DU JOUET
5, rue du Murgin – 39260 MOIRANS-EN-MONTAGNE Tel : 03 84 42 38 64
www.musee-du-jouet.com
Jours et Horaires d’ouverture : Ouvert lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h30, samedi 10h00-12h00 et 14h30-18h30 , dimanche 14h30-18h30 – Fermeture hebdomadaire le mardi – Fermeture le 1er janvier, 1er novembre, 25 décembre.
Tarif Visite libre Expo permanente + temporaire : Adulte = 7€ / Enfant > 7 ans = 5 € / Enfant < 7 ans = gratuit / Tarif réduit adulte = 5 € / Tarif réduit enfant = 4 €

LA CLE DE MON EGO S'EXPOSE AUX INVALIDES PENDANT LA FIAC

DU 17 OCTOBRE AU 7 NOVEMBRE 2012 Dans le cadre du parcours OFF7 organisé par la Galerie 208 Chicheportiche, Emmanuelle Legavre expose La Clé de mon Ego sur l’esplanade des Invalides pendant la FIAC. Du 18 Octobre au 07 novembre 2012. Issue du concept My Crazy World, cette œuvre monumentale a été présentée lors de la fashion Week printemps été 2012 à L’Hôtel LE MEURICE à Paris,  puis à Milan lors du Ventura Lambrate en avril 2012. Elle sera, ici, exposée dans une version très « Street Art », Place des Invalides.

Tous des cons…

« Le pire con, c’est le vieux con. On ne peut rien contre l’expérience. » dit Jacob Braude, cela étant Yvan Audouard a raison lorsqu’il affirme  qu’être traité de con par un autre con ne prouve pas que vous n’en soyez pas un. Mais je ne peux que m’incliner devant cette sublime citation  de Georges Wolinski « Je suis un con, mais quand je vois ce que les gens intelligents ont fait du monde… ». Tout ça pour dire qu’à longueur de journées nous nous plaignons complaisamment des cons  aux yeux desquels nous sommes sans doute, à l’instar d’un miroir, leur alter-ego. Ayons au moins la franchise de l’admettre de temps en temps, être con n’est pas incurable, il suffit d’ajouter à sa personnalité un brin d’humour, de recul, de lâcher – prise, de tolérance et de considérer l’autre non pas comme une pompe à essence 24/24 mais comme un véritable être humain. Cela fait vous deviendrez juste con par intermittence et non plus constamment.  Dont acte of course 🙂

The Cardiff After Dark Series

Si j’ai bien compris Maciej Dakowicz a collecté depuis 5 ans des images d’étudiants bourrés la nuit à Cardiff « The Cardiff After Dark Series ». Un livre est d’ailleurs disponible chez Thames & Hudson. Pas culpabilisant ni larmoyant, c’est juste le témoignage visuel d’une jeunesse livrée sans état d’âme à la débauche… euh…. Cool ?

maciejdakowicz.com

FURLA ENTRE MODE ET ART

A l’occasion de la Fashion Week, Furla recevait la semaine dernière dans son showroom milanais journalistes, blogueurs, célébrités et mondains afin de leur présenter en avant première la collection Printemps/Eté 2013. Anna Dello Russo ainsi que des blogueurs internationaux comme Bryan Boy, Susie Lau (Style Bubble), Denni (Chic Muse), Pelayo (Katelovesme) et Tamu McPherson (Alltheprettybirds) ont répondu présents à l’invitation de Furla.

Une présentation-événement placée sous le signe de la lumière et « illuminée » par la présence de VIP et mondains dont Anna Dello Russo. Grande affluence de journalistes, blogueurs, célébrités et mondains lors de la présentation Furla qui s’est déroulée dans une atmosphère lumineuse. Le thème de la lumière, source d’inspiration de la collection printemps-été 2013, a été renforcé par une « Light installation » suggestive de l’artiste Mario Airò, créée pour la Fondazione Furla. Pour exprimer leur gratitude et leur affinité envers la marque, de nombreuses personnalités ont assisté à la présentation comme Cavaliere Mario Boselli, Beppe Angiolini (président de la Camera Nazionale dei Buyers), Roland Frasch (Président de Saks Fifth Avenue), Anna Dello Russo, Glenda Bailey, Giovanni Gastel, Guido Taroni, Senette Francesca, Francesca Versace, Ildo Damiano et des blogueurs internationaux tels que Bryan Boy, Susie Lau (Style Bubble), Chic Muse, Tina Leung, Pelayo, Tamu McPherson.